Par-delà le mental Chapitre 3
« L’infatuation psychique est causée par le passage du mode rationnel à un mode psychique suractivé. L’ego est pris de court par ce nouvel état d’esprit, se voyant projeté au-delà des limites de son expérience antérieure par sa relation avec une source de savoir et de vie. » BdM
En Français vous lisez la traduction professionnelle du texte anglais de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette traduction, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
L’infatuation psychique entraîne une dépendance indue ainsi que la croyance à l’endroit de l’information interdimensionnelle, ce qui influe sur le discernement rationnel à travers des notions s’appuyant fortement sur une interprétation suprasensible des événements au profit de celle-ci. Elle se développe par l’ouverture de la psyché, dès lors que se perçoit le contact avec des niveaux pré-personnels de la pensée. L’harmonisation de l’énergie de l’âme avec des intelligences désincarnées ayant accès à la psyché, mais ne partageant pas l’expérience humaine de l’âme, donne lieu à une dégénérescence en proie à la naïveté, dans la mesure où le mental n’a pas encore appris à intégrer les facettes de la connaissance supra-rationnelle.
La mémoire intellectuelle se voit secouée par la rencontre, ou le contact, avec des réalités alternatives, donnant lieu à une infatuation psychique temporaire ou à long terme. Alors que l’attention mentale se replie sur elle-même, en vertu de la réception accrue de données paranormales, l’ego subit une transformation profonde et souvent permanente de la personnalité. Ce dernier éprouve un lien avec les aspects supra-rationnels du mental, amplifiés par la conscience accrue de la proximité d’autres plans. L’ego fait alors l’économie d’une autre dimension, dont les lois internes demandent à être intégrées, ce qui met un terme à son implication avec la seule réalité physique. L’infatuation psychique est la conséquence inéluctable d’un processus de croissance naissant qui entraîne une prise de conscience interdimensionnelle. Les habitudes égocentriques mécaniques et inconscientes sont graduellement court-circuitées alors que l’ego se voit relié à une source alternative dont les conditions internes ne pourront être objectivement comprises qu’au gré du temps et de l’expérience.
L’infatuation psychique est causée par le passage du mode rationnel à un mode psychique suractivé. L’ego est pris de court par ce nouvel état d’esprit, se voyant projeté au-delà des limites de son expérience antérieure par sa relation avec une source de savoir et de vie. La réalisation de ce lien contraint l’ego à adhérer à un nouveau système de savoir interne qui, en temps et lieu, devra être ajusté afin qu’une identité objective soit atteinte.
La réalité psychique l’emporte, en termes absolus, sur les notions présumées du mental intellectuel. Par le fait d’enseigner depuis son point d’observation, elle devient non seulement une source abondante d’informations communiquées par voie télépathique, mais également un puissant champ de forces interne qui objective et révèle la relation psychique entre le mental inconscient et les plans subtils de l’intelligence. Sa présence renforcée au sein du champ de conscience amoindrit graduellement l’importance de l’intellect à titre de seul siège de la raison intelligente. Selon la nature de sa source et du degré d’évolution de l’âme, elle suscite, de manière imperceptible, un survol de la réalité pouvant être conforme ou non au meilleur jugement de l’ego. La réalité psychique tente de consolider la compréhension interne de dilemmes psychologiques, mais encore, elle peut fomenter de subtiles illusions susceptibles de mener à l’infatuation de l’ego naïf et inconscient en quête de certitude.
Le mental peut informer l’ego, bien au-delà des limites intellectuelles de ce dernier. C’est là une notion difficile pour toute personne ayant été formée à penser en termes de vérités auto-conditionnées et aspirant, à la fois, à développer et sécuriser une identité commode, bien que fictive. Sont ainsi exposés les fondements de l’infatuation psychique qui suscitent en l’ego le profond besoin de croire en ce qui transparaît de son contact avec les plans interdimensionnels. La connaissance subjective et la vérité sont conditionnées par des pensées n’étant en rien apparentées à la pensée consciente créative. La moindre impression créée par le mental psychique, à l’essor de son contact avec l’ego, influence ce dernier en faveur de l’acceptation naïve ainsi que de la croyance, conditions déjà propices à l’infatuation psychique. Bien qu’il semble d’emblée rassurer l’ego, il compromet, en fait, sa conception du « libre » arbitre et de tout équilibre. Cet état de confiance naïve est l’œuvre de l’intelligence pré-personnelle.
La communication interdimensionnelle active la psyché, engendrant une conscience alternative sans pour autant que sa source n’ait été pleinement identifiée. Faisant l’expérience d’un état intérieur qui témoigne de la présence de forces actives, l’ego peut soit mûrir au gré de sa capacité croissante à traiter objectivement avec la présence intérieure, ou succomber au leurre d’une infatuation psychique qui détournera son attention, d’une approche raisonnée à une approche plus psychique de la vie.
La prise de conscience, élevée à un niveau interdimensionnel, affecte profondément le processus inconscient de la pensée mécanique qui subsiste, de tout temps, en vertu d’un régime d’idées archaïques et conditionnées par la société. Lorsque le processus subjectif interagit avec des modes de pensée pré-personnels, l’ego se voit pris de court. Ses opinions endurcies se font toujours moins probantes, selon les prémisses psychologiques subjectives qui, par le passé, exercèrent un effet réfractaire à l’encontre de l’impact de données supramentales. A ce point, l’infatuation peut se révéler le symptôme d’un besoin grandissant d’obtenir une assurance infaillible, voire absolue, véritable danger que pose l’éveil de la prise de conscience psychique.
Le degré d’infatuation psychique dépend de la constitution intrinsèque de l’individu, composée d’attitudes et d’émotions. La communication interne est perçue d’emblée comme un soulagement quant au vieil ordre mental qui apporta une fausse sécurité à l’ego dans la phase antérieure de sa vie intellectuelle. La nouvelle communication objective sa réalité, ébranle les fondements de la personnalité et affaiblit ses mécanismes psychologiques de défense. La confusion de l’ego, ou la certitude naïve ne seront dissipées qu’au terme du long processus d’une expérience mentale finement ajustée, de même que la notion selon laquelle la normalité convenable en société est nécessairement conforme à un réel équilibre psychologique et psychique.
Il devient possible de surmonter l’infatuation psychique lorsque, et si l’ego traite la nouvelle expérience de manière à ce que sa réalité ne soit pas colorée par la manipulation astrale de la pensée et des émotions. Le défaut de compréhension de la nature de la psyché, par-delà le voile de la raison, entrave la prise de conscience objective. C’est là où l’ego peine à se dépasser et à se dessaisir des illusions qui font obstacle à l’individualisation. Il demeure enchaîné à une fausse liberté pouvant facilement devenir un mécanisme échappatoire que l’on qualifie d’infatuation.
Le mécanisme interne de l’infatuation psychique doit être compris afin que les individus sensibles puissent bénéficier du contact avec la réalité interdimensionnelle et s’y identifier. La sensibilité est un grand atout ; elle peut également s’avérer un tourment dans un monde en voie de se transformer en champ de combat pour la survie psychologique et l’équilibre psychique. Notre vision matérialiste de l’univers entrave la réalisation consciente de notre contact supraliminaire avec le monde de l’«au-delà», ou les influences immatérielles agissant sur la conscience. Nous avons été instruits à penser en termes d’idées pouvant être prouvées physiquement, et à la faveur de ce procédé intellectuel valable mais limité nous avons perdu contact avec d’autres dimensions qui affectent la conscience humaine. L’étude des symptômes de l’infatuation psychique ne suffit pas à libérer l’individu du trouble interne qui afflige son âme. Les causes premières doivent être mises en lumière, ce que la psychologie mécaniste ne peut jamais réaliser, au-delà d’un point. Comment dire à un fanatique religieux que ses messages ne proviennent pas de Dieu? L’infatuation psychique est difficile à éradiquer à la source avant que ses mécanismes internes n’aient été compris.
Sombre distorsion du mental, l’infatuation psychique révèle l’incapacité qu’éprouve l’ego à s’ajuster consciemment à de nouveaux niveaux de pensée qui pénètrent la psyché lors de sa canalisation interdimensionnelle. Elle résulte naturellement de l’effet de nouvelles forces agissant sur le mental. Dans la mesure où la pensée est un processus informatif, qu’il soit conscient ou inconscient, elle est sujette à de l’interférence psychique alors qu’elle relie l’ego à un niveau subliminal d’expérience de l’intelligence. L’infatuation psychique incontrôlée mène à de subtiles formes de désinformation interne pouvant poser une menace à l’équilibre de la psyché. Lorsque le processus de la pensée s’élève au-delà du niveau personnel, l’ego a besoin de temps pour s’ajuster aux niveaux émergents d’énergie de la pensée. La prise de conscience des plans supérieurs introduit de nouvelles dynamiques, exerçant une pression sur le mental naïf, qui doit être vécue et confrontée. Laissée à soi-même, cette force suscitera d’emblée l’infatuation psychique; seul par sa mise en examen, le potentiel psychique et psychologique de l’individu peut-il s’unifier en créativité, au-delà de tout niveau ayant été vécu antérieurement à la croissance mentale émergente.
Lorsque l’ego entame un processus de développement interne, à travers l’évolution d’une expérience interdimensionnelle, il perd une quantité considérable d’énergie à évaluer les nouveaux paramètres auxquels il se voit exposé. Les idées conditionnées de la mémoire subjective perdent graduellement leur emprise sur le Moi, et l’importance de la mémoire inconsciente et mécanique se voit diminuée proportionnellement à la force pénétrante d’un nouveau savoir. L’incapacité de traiter toute forme qui soit d’information psychique avec légèreté et bon sens contraint l’ego à faire face à des faits relevant d’un ordre pour lequel il n’a pas été préparé et dont il voudra, d’emblée, croire fermement à la validité.
L’infatuation psychique est une condition mentale qui révèle l’incapacité qu’éprouve l’ego à voir au-delà de la perturbation temporaire du processus mécanique mental, alors qu’il se voit substitué par une nouvelle créativité. Le prix que réclame ce changement n’est pas, de prime abord, d’une évidence claire. Ce n’est que rétrospectivement que l’individu peut comprendre que son infatuation provenait d’un état d’esprit naïf, inconscient du processus difficile de l’individualisation et de l’intégration de ses énergies, autant de l’âme que de l’esprit.
La psyché peut subir des ajustements mentaux profonds et complexes. Que l’homme en soit conscient ou non, des forces intelligentes agissent en lui. L’atteinte d’un certain niveau d’évolution spirituelle accroît l’intensité de l’ajustement qui devient alors un aspect conscient du développement interne. L’ajustement de la psyché est la cause première de l’infatuation psychique. Celle-ci est l’inéluctable résultante de l’effet saturant de forces psychiques qui pénètrent les limites inférieures de la conscience humaine, ainsi que de l’incapacité qu’éprouve l’ego naïf à traiter avec elles de manière intelligente.
La qualité première de la nouvelle conscience évolutionnaire est la compréhension de la relative influence psychique des plans, soit de l’âme-astral ou de l’esprit-mental. Faute de cette compréhension, la dynamique psychologique nuit au plein développement. Dans l’avenir, la compréhension du mécanisme de la conscience libérera l’ego de sa programmation astrale. L’appui réconfortant de son énergie créative, cadre référentiel absolu relié au double, ou la force de l’esprit, rend possible l’intégration de l’identité, ou de la fusion, au cours de ce cycle de vie. Une structure mentale psychique plus objective, n’étant plus colorée par les idées subjectives et astralisées qui constituent les assises de l’infatuation psychique, se développera dès lors en une pensée pleinement consciente.
La conscience supramentale est la prochaine phase du développement évolutif de l’intelligence civilisée. Elle implique une fusion qui objectivera, concrétisera et personnalisera le lien psychique entre le plan physique et d’autres plans de réalité, dont l’existence demeure un facteur inconnu dans toute l’équation de la vie. Le lien absolu du mental avec les plans parallèles sera vécu lorsque la psyché, franchissant le seuil de la conscience, sera prête et en mesure d’en supporter le choc.
La pénétration du seuil mental subjectif par les forces psychiques suscite d’emblée une fausse plénitude, donnant lieu à une infatuation débridée jusqu’à ce que l’expérience et une plus ample compréhension aient enrichi la vie interne. L’ego subit une forte dualité lorsqu’un nouvel ordre mental se manifeste en lui. Sa vaste réserve mémorielle subjective et conditionnée colore la nouvelle expérience et la maintient dans un champ de forces astral, donnant lieu à des attitudes égoïques correspondant au degré d’ignorance et d’illusions subliminales spirituelles qui sont légion.
Alors que le mental supérieur explore son lien imminent avec la psyché, l’ego devient conscient d’un droit inaliénable et d’une capacité de connaître et de comprendre ce qui constitue les soubassements de la psyché et le mystère intrinsèque [de l’être]. Il est alors témoin du terme d’un état d’esprit archaïque, alors qu’un nouveau processus mental l’entraîne au-delà des frontières de ses limites antérieures. S’imprégnant du sens profond de sa nouvelle expérience, le mental subconscient commence à émettre ses propres signaux, signifiant la présence de forces enfouies qui présagent une nouvelle vie mentale, en marge des modes de pensée rigides, linéaires et rationnels. Dès lors, la psyché anticipe dans ses fondements ce qui échappe encore à l’ego; la rencontre avec une autre dimension du mental, par voie de la connexion psychique avec une source de pensée supramentale.
L’ego s’est vu conforté par des idées conditionnées par la société et n’étant que peu apparentées à la puissance du mental dans son ensemble. A titre de puissance, ou processus créatif intégral, le mental possède l’immense capacité de faire naître le savoir objectif, libérant ainsi l’ego de modèles historiques relatifs qui tiennent de son développement antérieur, mais qui furent insuffisants à l’évolution de la nature supramentale des facultés pré-cognitives de l’homme. Demeurant sous l’ombrelle d’un système de croyance subjectif, ou social, l’ego ne peut accéder à un savoir fondamental et créatif. La liberté intérieure est incomprise et la capacité d’accéder à de l’information par soi-même, à partir d’un point d’observation correspondant à une réalité multidimensionnelle dont il fait partie en termes absolus, lui fait défaut.
L’expérience mentale interdimensionnelle est un niveau d’intelligence propre qui ne peut croître que suite à un redressement des habitudes inconscientes de la pensée, fondées sur des valeurs conditionnées par la race et qui par conséquent ne sont guère globales. L’intelligence objective et créative ne peut naître au niveau de l’ego. La pensée créative pure tire son origine de plans qui n’ont rien en commun avec les forces karmiques ou mémorielles de l’âme. A titre de champ intérieur, l’âme ne peut éclairer le processus de la pensée ; il n’appartient pas à son expérience de transmettre des pensées non karmiques par la voie de la psyché, car elles perturbent le champ d’énergie de celle-ci, de par leur nature. En tant que mémoire globale et parfaite, l’âme doit être unifiée à l’esprit, ou le double, afin que soit rompu le lien karmique humain avec les forces astrales qu’elle canalise lorsque l’ego est aligné selon un parcours de probabilités d’expérience qui ne dépendent guère de sa volonté. Ceci ne peut avoir lieu que lorsque l’ego éprouve une liberté intérieure en matière de pensée, correspondant à une conscience évolutionnaire en pleine possession de ses moyens créatifs.
Notre compréhension du mental se limite à des points de vue culturels déterminés selon des perceptions et des impressions. Dans la mesure où le système de la pensée ne conçoit pas la réalité comme un champ de forces, la pensée est perçue comme une toile de lignes de force inconscientes se conformant au malaise de l’âme aux dépens de l’ego. La vie inconsciente étant née de la programmation astrale et limitée par celle-ci, l’homme vieillit malgré lui, incapable de récupérer toutes ses ressources intérieures. Alors que l’énergie du mental supérieur éveille la conscience, l’ego connaît une certaine infatuation causée par des impressions astrales qui constituent le noyau de la mémoire karmique de l’âme. L’ego est asservi à ces forces de l’âme, jusqu’à ce qu’il apprenne à les intégrer. Le choc du mental supérieur constitue une mesure de ces forces prédominantes. Le contact initial avec la pensée interdimensionnelle, ou la communication psychique, procure un baume temporaire à l’ego affligé; cependant, ceux qui en auront fait l’expérience témoigneront de ce fait que le premier réflexe de l’ego est la peur de l’inconnu.
L’élan de la conscience vers des niveaux de pensée supérieurs transforme en l’être inconscient de grandes quantités d’énergie ayant servi, par le passé, à ériger un bouclier protecteur à l’encontre des profondeurs du savoir, qui ne peuvent être atteintes par la seule logique. Le mental inconscient appartient à un passé historique qui prive l’ego de l’exploration de la pensée consciente. L’infatuation psychique indique la difficulté qu’éprouve l’ego à traiter avec les limites extrêmes de la conscience qui s’étendent au-delà du cours subjectif de la pensée. Le mental conditionné ne tend qu’à absorber ce qui réside à l’intérieur des confins possibles du connu. L’inconnu perturbe son champ mémoriel et accroît la tension psychique qui, à son tour, mène à l’infatuation psychique, ceci en raison du besoin insatiable qu’éprouve l’ego de croire, ne pouvant connaître ce qui se dresse au-delà de ses limites subjectives.
L’infatuation psychique donne lieu à une fausse confiance. Un redressement s’opère lorsque l’individu reconnaît le besoin profond de traiter intelligemment avec des forces croissant en lui. Il réalise alors que leur intégration pose la condition fondamentale au plein développement de la fusion de l’âme et de l’esprit. Il devient d’autant plus clair que l’infatuation n’était, à l’origine, que le résultat d’un profond besoin interne de croire en une réalité concrète qui n’avait pas été intégrée.
Alors que la psyché ouvre la voie à des réalités alternatives, la pensée, pour sa part, oscille de part et d’autre, d’un niveau personnel à un niveau pré-personnel, ce qui accroît l’étendue du champ interne du savoir. La mesure est proportionnelle à l’intensité du choc qui résulte de la pénétration de formes-pensée non égoïques dans le champ densifié de la conscience de soi conditionnée. Alors que la pensée interdimensionnelle, ou transmise par télépathie, traverse le mental depuis les plans, ou mondes supérieurs, une profonde transformation de l’être et de sa personnalité fictive s’ensuit. La prise de conscience psychique et l’identité propre se développent jusqu’à ce qu’ils se soient consolidés en permanence. Le mental défi e toujours le statu quo lorsqu’il est porteur de l’entendement de réalités alternatives; et chaque vie humaine concourt à son propre progrès alors que la pensée émane de sphères psychiques, dans le but universel de s’amalgamer à la conscience humaine.
mise à jour le 18/08/2024