La naïveté humaine et l’esprit de masse

Space exploration – credit: @hubblespacetelescope @NASAGoddard

Par-delà le mental Chapitre 7

« Des millions d’individus sont en voie de perdre leur maigre identité à la fascination que suscite une population croissante et étincelante de héros artistiques et sportifs, dont la vénération accroît le vide existentiel et l’aliénation psychique. Les fortunes immenses et hors de toute proportion … sont une insulte aux penseurs des sciences libérales et physiques dont le rôle, qui consiste à soutenir et à orienter la vie, est trop souvent déprécié, voire ignoré, ce qui met en cause la qualité mentale [exerçant] au sommet des instances dirigeantes. » BdM

En Français vous lisez la traduction professionnelle du texte anglais de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette traduction, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

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L’homme ne jouit d’aucune ou de peu de protection psychique sur sa propre planète. La conscience astrale engendre des illusions existentielles soutenues par des systèmes de croyance infantiles se trouvant à des lieues d’une compréhension intelligente de l’univers systémique multidimensionnel. Les faux-semblants subjectifs constituent un piège psychologique permanent qui limite son expérience mentale inférieure. Il se voit exposé aux vicissitudes de la vie, du fait que son intelligence se trouve influencée de manière subliminale par les forces astrales du monde de la mort. La mort demeure méconnue et ses lois occultes cloisonnées dans le potentiel mental pur de sa conscience. Elle est connue en termes expérientiels comme un fait de la vie mais sa réalité occulte demeure un mystère spéculatif.

Les pensées sont des formes dont l’énergie varie selon leur source et ainsi elles portent en elles la lumière ou l’obscurité dans l’expérience. Elles ont le pouvoir d’élever ou d’abaisser le niveau de conscience vers, ou à l’écart de son centre réel. Afin de s’affranchir, l’homme doit être amené à réaliser, à travers son évolution personnelle, que le plan astral est un monde parallèle habité, dont l’objectif ancien et actuel est de détourner la conscience humaine du but évolutif ultime de la vie : la fusion avec le monde de lumière du mental supérieur, qui s’étend à l’infini, au-delà du monde de la mort. Le processus de la pensée humaine est coloré par des entités astrales ayant recours à d’infimes moyens, à travers de subtiles distorsions de la réalité. Jusqu’à ce que nous apprenions à mettre un terme consciemment à leur ingérence psychique, les pensées inconscientes prendront encore un aspect personnel, plutôt que de paraître tel une interférence interdimensionnelle. Le contact astral avec la psyché perpétuera l’illusion absolue du libre arbitre personnel et détournera l’ego de la réalité de son essence multidimensionnelle.

Le libre arbitre n’est qu’une forme expérientielle de liberté. Il ne s’agit guère d’une liberté réelle, ce qui ne peut être atteint que lorsque le Moi a pu constater que la conscience est un territoire psychique sur lequel de subtiles luttes mentales sont livrées, le mental inconscient se trouvant égaré dans la mêlée. Ceci explique les difficultés incessantes qui jalonnent le processus personnel évolutif, et le terrible coût des bonheurs éphémères à travers l’Histoire. En tant qu’être évolutionnaire, l’homme, avec le temps, n’aura d’autre option que de renoncer à son libre arbitre illusoire et à son intelligence mécanique, et de commencer à jeter les bases de sa puissance, nécessaires à l’atteinte d’une réelle liberté. S’il était dans sa réalité, la vie serait autrement. La conscience serait une expression permanente et créative de son lien avec une source de pensée non astrale qu’il viendrait éventuellement à reconnaître comme son ajusteur de pensée ou son Moi supérieur. La connaissance interne aurait libre cours. En raison de l’insidieuse influence astrale, l’orgueil intellectuel, ou la naïveté spirituelle ont atteint de telles proportions qu’elles obstruent systématiquement sa vision interne des multiples plans de réalité qui sous-tendent son êtreté globale. Il ne lui est plus possible de concevoir l’organisation effective de son univers psychique, en tant que macrocosme cosmo-politique dont il est un sujet aveugle, plutôt qu’un partenaire créatif.

L’homme évolue lentement et laborieusement en raison du recyclage sans fi n de ses mémoires, polluées par des agents astraux qui manipulent son ingénuité. La civilisation moderne est le comble de la distraction et de la servilité globale humaine, résultant de formes d’influence subtile exercée par des forces astrales qui induisent l’humanité à de difficiles expériences dépourvues d’intelligence. L’humanité ignore les outils appropriés et requis afin que soient repoussées ces forces qui étouffent la conscience. L’activité des forces astrales sur Terre aujourd’hui est d’une intensité telle que tout le tissu de la conscience planétaire est en voie d’être empoisonné par la domination astrale. Le style de vie américain recèle des qualités positives, du point de vue de la liberté politique, des droits de l’homme et de la reconnaissance du développement individuel ; mais ses excès astraux culminant dans le crime et la violence et en une angoisse psychique et miséreuse manifeste, sont sur le point de se propager en un syndrome planétaire. Le reste du monde suivra, mécaniquement, jusqu’à ce que la « connexion psychique » ait secoué l’individu et l’ait ramené à ses plus hauts sens.

D’un point de vue technique, le monde ne s’est jamais si bien porté. En termes psychiques, il n’y a jamais eu une telle pénétration subliminale par les influences astrales, tel qu’on le constate dans le strass et l’infamie de la vie moderne, le syndrome de la guerre et de la paix, la dictature empoisonnée des cartels de la drogue et les contradictions innombrables dont le fanatisme religieux qui attise le feu de la guerre ou invite l’individu à soutenir des entreprises alimentées de capitaux, qui tirent profit de l’innocence et de la culpabilité. Des millions d’individus sont en voie de perdre leur maigre identité à la fascination que suscite une population croissante et étincelante de héros artistiques et sportifs, dont la vénération accroît le vide existentiel et l’aliénation psychique. Les fortunes immenses et hors de toute proportion, en dépit des piètres arguments qui leur portent appui, sont une insulte aux penseurs des sciences libérales et physiques dont le rôle, qui consiste à soutenir et à orienter la vie, est trop souvent déprécié, voire ignoré, ce qui met en cause la qualité mentale [exerçant] au sommet des instances dirigeantes. Toute la matière de la vie moderne est sujette à une manipulation astrale croissante qui s’affine par la décadence.

Les influences astrales peuvent être constatées et mesurées par un mental ayant le pouvoir de s’instruire par lui-même en déviant de la désinformation destinée à la masse, tant manifeste que dissimulée, qui constitue l’essentiel des impressions conformes aux idées maintenues par le monde astral. En dépit du fait que les meilleures et les pires influences tentent de prendre possession de notre territoire psychique, la recherche identitaire se poursuit. Ce qui reste de l’intelligence objective créative est pitoyable, enveloppé dans l’imaginaire astral et nourri d’une soif insatiable de la domination.

L’innocence de la race humaine exclut toute prétention à l’intelligence dans un sens conscient du terme. L’intelligence individualisée et non astralisée est rare en effet. Inévitablement, les aberrations globales de tout genre prennent de l’ampleur, alors que la personnalité est dupée vers l’impuissance en raison de son manque de discernement envers le réel et l’imaginaire. L’homme sensible ne peut évoluer en suivant le phare de l’humanité, mais la collectivité peut évoluer à travers lui. Il ne suffit que d’un seul homme pour effectuer un changement réel, quelle qu’en soit l’ampleur. La conscience collective, en tant que force globale, est impuissante à effectuer un changement permanent et réel. Ce n’est qu’au terme du développement de l’identité propre, par la neutralisation de l’obstruction systématique des formes-pensées créatives et non astralisées, que l’individu peut croître et devenir une réelle inspiration. Le mental doit être exploré au-delà de la psyché conditionnée par la société. En dépit du fait qu’il est relié à la mémoire de la race, il se relie à des dimensions qui s’étendent au-delà de l’ego purement imaginaire et intellectuel. L’identité et la réelle liberté mentale ne peuvent être atteintes que par ceux qui ont objectivement identifié la lutte astrale.

L’humanité, en tant que race, est une accumulation historique de distorsions psychologiques et psychiques développées par la domination d’idéologies qui détournent l’individu de lui-même. L’humain plus évolué se dissociera, le temps venu, des idéologies globales et recouvrera son identité. Il prendra possession de son mental, librement, de son plein gré. La conscience ne peut être individualisée aussi longtemps qu’elle dépend de systèmes de croyance créés pour l’évolution de la conscience planétaire. Elle requiert une restructuration du Moi égoïque et un alignement de l’esprit, de l’âme et de l’ego. L’humanité ne se réfère pas à la réalité individuelle, ressource créative qui devrait servir le public plutôt que les alcôves ésotériques de sciences marginales. L’humanité a une raison d’être évolutionnaire globale par laquelle l’ego s’instruit des voies de l’âme, alors que l’esprit, en marge de l’Histoire, guette le moment où la maturité permettra que soit faite la distinction entre les illusions astrales de l’âme et la réalité absolue de la force de l’esprit.

Le mental collectif ne peut élever la conscience à un état pleinement intégré. Sa mémoire, dominée par la race, est constituée tel un labyrinthe psychologique dans lequel des formes illimitées de notions subjectives sont dispersées vers des millions d’egos insouciants et naïfs, au nom de la vérité. La mémoire de l’humanité est un continuum psychologique sans vie, par lequel elle fait valoir ses raisons d’être nombreuses et contradictoires. La conscience individualisée trouve ses racines dans une relation plus intégrée avec des plans mentaux non soumis aux émotions de l’esprit de masse. L’ego inconscient n’est que la jonction de l’énergie du mental et du plan astral, point où une division fondamentale a lieu en l’homme : il en perd le lien avec ses origines. Sa vraie nature doit être explorée selon une structure mentale qui se projette au-delà des référents psychologiques humains, afin que l’étude et le développement ne soient contrecarrés par des fantasmes émotifs qui entravent le contact avec sa source créative.

L’humanité traverse l’Histoire, engouffrée dans un processus inconscient de développement égoïque qui ne sert qu’au développement planétaire collectif de la civilisation. Alors que l’évolution tend à écarter [l’homme] du bassin de la conscience de masse, dans lequel elle a été plongée depuis des millénaires en servitude inconsciente, ceci en vue de le rapprocher de son propre centre, l’humanité modifiera sa relation avec la mémoire raciale et s’inspirera graduellement de notions plus individualisées qui auraient été rejetées pendant la période involutive de son développement primaire.

L’esprit de masse de l’humanité perdra graduellement sa densité émotionnelle alors que l’individu découvrira que la mémoire de la race a servi les puissances astrales par le biais des religions et des idéologies politiques sans scrupules et sur un plan global. L’esprit de masse se développera en une conscience plus subtile et fluide, capable d’équilibrer l’énergie émotionnelle et d’inviter la psyché planétaire vers des zones d’enquête jusqu’alors restreintes, dont l’absence, par le passé, perpétua l’ignorance humaine et les mystères de la vie, de la mort et de l’univers.

L’esprit de masse équivaut à l’ignorance planétaire, quel que soit le degré de sophistication qu’il puisse atteindre à travers le développement élaboré et systématique de ses illusions historiques. La seule force créative qui puisse s’y opposer est celle d’une psyché individualisée et centrique pouvant s’élever davantage, au-delà de son attraction gravitationnelle. L’inconscience devrait servir de base au développement de l’éveil individualisé, en vue d’atteindre sa liberté réelle et potentielle. La conscience de masse correspond à la dimension astrale de la psyché humaine. Elle n’appartient pas à l’homme au sens propre mais à la mémoire d’un dieu moindre en lui. Elle correspond à une nature qui tend à diviser plutôt qu’à unifier. Il en est ainsi du fait que la pensée inconsciente sert un dessein plus occulte, enraciné au dessus et au-delà de l’illusion du libre arbitre, ses origines tenaces profondément enfouies dans le sanctuaire du monde de la mort.

La race humaine produit un état d’esprit de masse qui puise dans les forces astrales planétaires. Ces forces mènent à la rupture de toute communication objective et non réfléchie entre l’homme et les circuits universels du mental, offrant aux influences astrales le plein contrôle de sa destinée. Alors que le contact conscient et interdimensionnel entre l’ego et le Moi supérieur demeure inerte ou du moins inconfortable, à cette étape du développement évolutif humain, les forces de l’âme s’emploient à maintenir le lien karmique entre la vie et la mort. Cette condition permet à l’âme d’évoluer aux dépens du lien conscient entre le Moi et les plans supérieurs du mental. Il sera reconnu, à travers le développement évolutif conscient du mental, que le monde de la mort ne peut objectivement instruire sur la nature des mystères, du fait qu’il est assujetti aux lois de l’illusion psychique qui déterminent la base de son pouvoir sur l’homme. Aucune forme de contact avec les forces désincarnées de l’âme, qu’elles soient spirituelles ou éclairées en apparence, ne peut engendrer la liberté, en raison de la constitution psycho-structurelle du monde de la mort. Nous entretenons un commerce plus étroit avec la mort que nous sommes disposés à reconnaître ; et afin de dissoudre cette alliance de la peur, le mental doit être affranchi de la densité de la conscience de masse, qui tisse une toile infinie de notions sub-mentales par les liens émotifs reliant l’âme au monde astral.

L’âme et la conscience de masse sont intimement liées. L’ego en voie d’évolution est confronté à l’ignorance historique de son époque jusqu’à ce qu’un lien se soit développé entre lui, l’âme et l’esprit. La formation de cet axe est le début de la liberté par rapport à des notions chargées d’émotion, entretenues et sanctionnées par l’esprit de masse. Dès lors que l’ego se dissocie des opinions subjectives et incorpore de plus hautes formes de pensée, il se rapproche d’une zone mentale plus libre, caractéristique d’une évolution vers des plans mentaux supérieurs. Les attitudes égocentriques disparaissent graduellement, ouvrant la voie à une pensée qui s’intègre en un tout créatif. L’ego peut se libérer de la conscience de masse alors qu’il accroît son lien de pensée, ou sa relation mentale avec le Moi créatif.

L’humanité, en tant que race psychologique, survit par la perpétuation de ses illusions de masse. Ses membres ont perdu contact avec la réalité interne en épousant les contours d’une collectivité qui devient homogène par sa tentative d’assurer un lien collectif vigoureux qui isole l’individu de sa conscience psychique, ou interdimensionnelle. L’individualité se voit sacrifiée au culte d’une personnalité fictive. Au gré de l’évolution, l’ego se développe et se trouve de plus en plus déchiré entre les idées collectives et personnelles. Il ne reste éventuellement d’autre choix que de se dissocier de la mémoire raciale de l’esprit de masse, si l’ego doit avoir une pleine mesure de la portée de son propre esprit. L’esprit de masse rattache l’esprit à une ligne de pensée historique, alors que le mental pur créatif confronte l’ego au choix et à l’épreuve difficiles de la pensée libre et créative.

Les questions et réponses fondamentales portant sur l’évolution personnelle, selon un cadre multidimensionnel de réalité, ne peuvent être issues de l’opinion collective. Elles doivent être recherchées sur le plan mental objectif du mental conscient. L’aigle ne se pose pas dans la rue. Le mental supérieur déploie ses ailes bien au-dessus et bien au-delà de la conscience de masse. L’humanité entretient des idées égoïstes en vue d’assurer sa survie dans les confins d’un champ de connaissance psychologiquement compatible. Peu importe qu’un tel savoir s’avère réel ou faux, ce qui importe c’est qu’il soit crédible. Le pouvoir, qu’il soit laïque ou religieux, s’est toujours soucié de la permanence de son statut, trait astral de sa nature mécanique et inconsciente. Il tente d’élargir sa base, autant que possible, en vue d’assurer l’approbation du mental de masse pour des raisons d’ordre purement politique. Toutefois, à l’aube de la phase individuelle de l’évolution égoïque, ces facettes de la mémoire de la race se voient de plus en plus rejetées, alors que le Moi se tourne vers les dimensions psychiques et éthéréelles du mental. L’initiation à l’identité individuelle débute lorsqu’une opposition grandissante à l’élan créatif se fait sentir, et que la réception accrue d’un savoir perturbateur, de par son objectivité, prend place au sein du mental évolué. Nous sommes alors témoins de l’éveil de la conscience : l’initiation solaire.

Une variation illimitée d’illusions est cultivée par la race humaine au cours de générations sans fi n. Depuis l’aube de son Histoire et au cours de tout le cycle involutif, les formules ont simplement changé et sont devenues plus sophistiquées, la conscience libérale s’étant élevée contre des abus de pouvoir flagrants commis contre la décence humaine. Mais encore aujourd’hui, tout reste à faire. Un long processus évolutif se profile où l’humanité, à titre de race psychique, s’individualisera lentement en conscience. La clef de ce formidable défi repose en l’homme lui-même. Le nouveau siècle donnera naissance à des concepts révolutionnaires qui poussent l’intelligence au-delà des barrières traditionnelles. Le vingtième siècle a donné lieu à une révolution démocratique et scientifique. Le prochain siècle connaîtra une évolution sociale et psychologique à un rythme qui minera les pouvoirs laïques et religieux exercés sur les habitudes de groupe. Un savoir nouveau et vital exigera une évaluation objective et personnelle plutôt que la croyance et l’adhésion. Le siècle idéologique sera enfoui dans les sables profonds de l’oubli et supplanté par un siècle de pensée créative pleinement adaptée aux besoins intérieurs et à la réalité d’un homme en évolution, une force évolutive qui fracassera les chaînons de l’involution.

L’individualisation est inéluctable en termes évolutifs et temporels. De puissantes forces à l’œuvre dans le monde peuvent, en apparence, cultiver superficiellement l’esprit de masse, mais le besoin indispensable d’une identité personnelle et du droit inaliénable à la liberté de l’oppression et de l’asservissement aux idées orientées vers la masse prévaudra. Alors que la race humaine s’éloigne davantage de l’euphorie idéologique, elle ouvrira la voie à de plus hauts courants d’énergie de la pensée qui outrepassent l’esprit de masse historique et conditionné, pour libérer l’individu de la densité psychologique de la conscience collective. Des formes avancées de savoir communiqué et interdimensionnel mettent un terme à l’asservissement collectif et psychologique ainsi qu’à l’impuissance psychique du mental en quête de sa propre évolution créative, au-delà des répétitions rébarbatives du passé. L’esprit de masse conditionne le mode de la pensée, alors que la conscience individualisée libère l’intelligence humaine du pouvoir astral des opinions acculturées, vers un parcours ascendant de conscience. La force brute des idées supramentales objectives magnétise le mental plus attentif et supplante les idées chargées d’émotion, portant sur la nature métaphysique de la réalité et de ses mystères apparents, libérant, par ce fait, une énergie nouvelle au sein d’une race éprouvée d’hommes en attente d’une ère nouvelle.

mise à jour le 18/08/2024

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