Les parasites du mental

Space exploration – credit: @hubblespacetelescope @NASAGoddard

Par-delà le mental Chapitre 12

“De manière générale, nous sommes inconscients des parasites du mental, à moins que nous ne soyons versés dans les sciences psychiques et autres expériences de la sorte… [Les parasites] appartiennent au monde psychique et sont des facteurs retardataires dans l’évolution vers l’identité de l’être… Ils sont responsables de sa détérioration graduelle, tout au long de la vie, et du déséquilibre des forces de vie.” BdM

En Français vous lisez la traduction professionnelle du texte anglais de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette traduction, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

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Le mental est un relais qui raccorde les dimensions physique, astrale et mentale au-delà du champ de pensée du registre intellectuel inférieur. Il canalise à nouveau toute son information inassimilée par l’état du rêve, une fonction désengagée de l’ego, qui traite les conflits irrésolus jusqu’à ce qu’ils aient été intégrés par le Moi inférieur. L’intellect n’est qu’une facette de la réalité mentale. Par la voie de la pensée consciente, le mental défie les illusions de la personnalité et a l’habileté d’informer à partir de points d’observation qui offrent une compréhension intelligible et une profondeur à la vie. Le niveau des données entrantes se voit élevé au-delà du conditionnement des sens physiques, libérant la personnalité de la relation astrale qu’elle maintient inconsciemment avec des guides spirituels, ou des présences qui conditionnent la pensée pour des raisons reliées à leur propre mémoire expérientielle. Le mental n’est globalement bénéfique que lorsque l’on en fait l’expérience dans le cadre d’une réalité compréhensive et multidimensionnelle. Lorsque la pensée vibre au-delà d’une fréquence subjective, les nouvelles dimensions mentales qui se voient alors focalisées accroissent la compréhension. L’interférence avec l’intelligence créative en est réduite et le lien karmique avec le plan astral est alors rompu.

Le mental inconscient est un soutien plutôt qu’un système créatif, imprégné d’énergie psychique instable et non intégrée dans le circuit universel de la communication pré-personnelle. Celui-ci informe et désinforme, d’où la nature désordonnée de la vie et le besoin infini d’expérience. La désinformation résulte de l’incapacité de s’instruire par soi-même depuis les plans supérieurs, dont la fonction est d’ajuster la pensée à partir de sources situées au-delà du monde astral ou du monde de la mort. Les limites du mental inconscient proviennent de sa coloration astrale à travers le plan de vie programmé de l’âme. La conscience astrale est expérientielle et déséquilibrée. Elle requiert un ajustement constant. Si le mental était alimenté depuis les sphères supramentales, il exercerait son privilège cosmique. Ses entreprises créatives harmoniseraient le processus de la vie en vertu de perceptions qui assureraient l’équilibre des forces de vie.

Nous ne comprenons pas la nature cosmique du mental. Nous n’entretenons aucun rapport conscient avec ce dernier, si ce n’est que par le processus subjectif de la pensée. Nous recherchons sans cesse, à travers une identité fictive, ce qui correspond à notre nature subjective en raison de la [condition] partielle de notre être. Le mental est un circuit universel de communication qui s’étend au-delà des confins de la personnalité. Il nous apparaît tout autre, en raison de notre implication avec sa fonction psychologique inférieure, plutôt qu’avec sa dimension psychique. Cette faille fondamentale constitue la cause de l’ignorance planétaire et de la difficulté involutive à accéder à l’identité de l’être.

La conscience dépend de la réalisation selon laquelle le mental est non simplement une opération du Moi inférieur mais un canal d’information qui véhicule l’énergie à partir de dimensions supérieures vers des dimensions inférieures. L’homme n’est pas conscient ; il est conditionné énergétiquement depuis les plans astraux et projeté vers des expériences dont il souffre afin que l’âme puisse évoluer par l’extraction de ses attitudes subjectives. Celles-ci appartiennent à sa conscience astrale. A travers elles, il tente en vain de saisir la nature de la réalité, alors que cette expérience limitative entrave son accès à la pleine dimension de l’expérience de la pensée.

Les attitudes subjectives sont des forces de l’âme qui donnent lieu à des sentiments négatifs pouvant facilement boycotter la liberté mentale, à moins qu’elles ne soient introduites à la lumière de la dimension créative du mental. Elles utilisent le centre sensoriel moyennant les points morts de la personnalité, en vue de créer un lien psychique avec le plan astral. Par le biais des émotions subjectives, nous tentons de saisir la vie selon des termes fictifs et temporaires, ce qui nous pousse vers l’expérience astrale. Une telle vie n’est guère réelle. Elle ne fait que contrecarrer le développement d’un axe entre le double, l’âme et l’ego, le terminal potentiellement intelligent de l’énergie cosmique qui doit être intégrée avant l’intégration consciente d’un courant de vie, dans lequel l’abandon de son enveloppe physique cesse de nécessiter un retour au plan astral de la mort. La compréhension intelligente des attitudes est fondamentale afin qu’une connaissance intégrée du Moi en vienne à constituer les composantes internes de la conscience. L’énergie émotionnelle utilisée par les sentiments subjectifs que suscitent les attitudes porte en soi un registre vibratoire qui relie fortement l’individu à des valeurs perverties, révélant les aspects plus faibles du Moi inférieur. Ceci est dû au fait que l’être mental supérieur n’est pas assez enraciné au sein du Moi. Les attitudes obstruent la présence du mental supérieur et entravent l’accès aux dimensions de la réalité du Moi. Elles remplacent la réalité à l’aide de perceptions conditionnées et chargées d’émotion.

Nous ne vivons pas l’expérience d’un mental libre. Des éléments parasitiques manipulent l’énergie mentale en se mouvant à travers la conscience astrale. De manière générale, nous sommes inconscients des parasites du mental, à moins que nous ne soyons versés dans les sciences psychiques et autres expériences de la sorte. Les parasites affectent le mental et s’alimentent de son énergie à partir de plusieurs sources. Certains consistent en des matières psychiques très inférieures, alors que d’autres sont plus subtiles. Ils appartiennent au monde psychique et sont des facteurs retardataires dans l’évolution vers l’identité de l’être. Les éléments parasitiques qui constituent la conscience subjective portent atteinte à la qualité et à l’évolution de l’intelligence. Ils sont responsables de sa détérioration graduelle, tout au long de la vie, et du déséquilibre des forces de vie. Nous avons peine à voir le mental tel un territoire psychique, constamment envahi par des forces issues d’autres plans. Nous nous sommes sécurisés par de faux-semblants, dans les confins d’une persuasion intellectuelle portant sur la nature de la conscience. Ce n’est que lorsque frappe la maladie mentale ou la dépression nerveuse que nous sommes tentés d’explorer la possibilité selon laquelle la communication tordue du monde des esprits pourrait être la cause de cette affliction. Toute personne se trouvant au bord de l’aliénation mentale serait fort mieux disposée à comprendre le conditionnement parasitique, si seulement ces faits psychiques étaient connus ou accessibles.

La clarté mentale se trouve diminuée par des parasites astraux.

Ces intrus dans le champ de conscience atténuent la lumière émanant du plan mental par leur présence imprévue et insoupçonnée. Leur énergie émane d’entités se nourrissant du mental, en vertu de notre asservissement à des émotions inférieures et aux pensées qui leur sont associées. Ils interfèrent avec la réalité du Moi et la distordent.

Ils affaiblissent les fonctions psychiques créatives et naturelles et déforment la personnalité par l’infusion de vibrations de la pensée qui divisent le Moi inférieur du Moi supérieur. La cognition est fondée sur la relation intuitive entre le Moi supérieur et le Moi inférieur.

Lorsque cette relation est compromise par des parasites astraux, le mental perd sa lumière et se voit éventuellement magnétisé par des pensées dépourvues d’intelligence qui paralysent la psyché et privent l’ego d’une perception adéquate de la réalité.

La psyché est l’ouverture du mental à un champ infini de communication interne. Alors que le mental grandit en éveil, l’ego s’ajuste à son nouveau territoire interne et commence à comprendre la manipulation complexe à laquelle il a été assujetti depuis le début de son développement. Alors que la conscience gagne en maturité et perd ses éléments parasitiques, la psyché emprunte une nouvelle configuration, permettant à l’ego de communiquer avec des plans qui existaient avant son incarnation actuelle et qui ont toujours fait partie de la réalité du Moi, dévolue à l’âme à titre de principe éternel d’énergie qui caractérise la conscience humaine. Mais la psyché est aussi un territoire pouvant être envahi par des éléments n’appartenant pas à la conscience humaine. Une telle intrusion du mental est cause de souffrance psychologique et d’un manque d’identité ; le processus de croissance du mental inférieur s’ensuit, plutôt qu’une alliance avec le principe supérieur qui sous-tend son activité psychique.

La conscience évolue avec le mental, mais l’âme n’évolue que lorsque le mental a été libéré des facteurs qui paralysent l’intelligence et imposent à l’ego un état de conscience indigne de sa réalité potentielle. Les parasites du mental appartiennent à la nature psychique du monde de la mort, ou du monde astral. Ils constituent des entités psychiques à part entière ou partielles, qui s’alimentent d’émotions et de pensées égoïques, en vue de parfaire leur propre développement évolutif. La dimension cosmique de la conscience est très peu connue dans le monde astral. Le monde astral constitue en fait une archive, une vaste banque mémorielle qui dessert les besoins spirituels de l’âme. Mais le mental surpasse de beaucoup le plan astral. Il s’agit d’un processus infini qui débute au niveau astral et s’étend au-delà, atteignant les plus hauts plans de l’énergie mentale d’où est issue la forme humaine précédent sa descente dans la matière. Jusqu’à ce que l’ego ait pris acte de son processus de pensée, en vue de réaliser que des interférences ont lieu et sont responsables de la plupart de ses expériences non créatives, l’âme demeure la force principale derrière ses actes ; et le double, ou la source de son énergie consciente, se voit incapable de changer créativement l’ignorance inutile de son évolution. L’âme exerce beaucoup de pouvoir sur l’ego inconscient.

Afin que le Moi puisse comprendre la nature du mental, il doit d’abord comprendre que la pensée ne trouve pas son origine dans le cerveau, et que cette part de l’être physique n’est que le terminal de la conscience. Cette réalisation est dévastatrice pour le Moi, novice en termes de communication interdimensionnelle. Une fois cet obstacle dépassé, il devient évident que le mental est fort assujetti à l’interférence, et que des éléments parasitiques tentent sans cesse d’obstruer sa vue. L’évolution de la conscience mettra l’individu en contact avec une connaissance qui défi e la science-fi ction, libérant l’homme de toutes les notions qui ont été entretenues au cours des âges. Elle le propulsera vers un parcours menant à une communication qui accroîtra la connaissance interne et diminuera la dépendance portant sur les systèmes de croyance intellectuels, dans sa quête d’identité personnelle.

La communication consciente avec les entités astrales confirmera éventuellement qu’elles n’offrent que peu de savoir, et que la source d’énergie du mental supérieur constitue en soi un recours infini à la compréhension de la science de la vie à travers l’univers. Ce n’est que lorsque le mental aura été libéré des parasites astraux qu’une étude objective des univers parallèles pourra être entreprise. L’énergie du mental, non plus absorbée par le champ astral de la pensée, devient un canal parfait pour des intelligences supramentales qui collaborent au développement de la créativité intelligente, au sein des paramètres inférieurs de la réalité mentale. Les univers parallèles sont au mental ce que l’univers physique est au corps. Les sciences devant être développées, afin que ceci soit compris, ne peuvent être manipulées astralement. L’intellect est une fonction astrale du mental inférieur, fondée sur le pouvoir collectif de l’ego alors que sa fonction mentale tient de son accouplement avec le Moi éthérique, non conditionné par le besoin d’identification psychologique. La fonction astrale du mental crée un obstacle psychique qui entrave le contact officiel d’intelligences systémiques avec l’humanité. Cette condition se verra éliminée lorsque les forces éthériques de la Terre généreront suffisamment d’énergie pour protéger son enveloppe éthérique des parasites astraux. Le contact avec des civilisations venues d’ailleurs sera alors officiellement établi, et les sciences planétaires pourront alors s’aligner avec les sciences systémiques, sous la direction d’une Régence planétaire.

Les parasites du mental constituent l’élément le plus retardataire pour l’évolution de la race humaine. Ils correspondent à une forme d’effluves provenant du plan astral. Les sciences planétaires, à ce jour, incarnent la conquête astrale de la sphère mentale humaine. La compréhension du lien entre la mort et l’expérience physique requiert une pleine conscience. Le Moi intellectuel demeure, à ce jour, une réalité virtuelle perçue et mesurée à travers une conscience astrale, cette même matière qui donne sa substance à l’égocentricité. Sous ces conditions, l’individu se voit limité à faire l’expérience de la vie sur la base d’un libre arbitre ne correspondant pas à la liberté du mental. La liberté du mental ne peut être atteinte que lorsque le Moi aura pris contrôle de l’ambivalence de ses propres pensées, c’est-à-dire jusqu’à ce qu’il ait appris comment fonctionne réellement le processus de la pensée, bien au-delà de ses attributs astraux. La naïveté intellectuelle de l’ego inconscient représente l’influence astrale sur le mental et requiert un réajustement de son énergie psychique, en vue d’accroître le rapport psychique avec les dimensions parallèles évoluant par-delà la mort.

Les parasites du mental font dévier la lumière ou l’énergie de l’intelligence qui pulse depuis le centre de l’univers systémique pour le bénéfice évolutif des êtres sensitifs. Les morts jouent un rôle parasitique majeur, en raison de l’insuffisance de leur lumière et de la restriction cosmique sous laquelle ils évoluent, en ce qui concerne la connaissance issue de la fusion de l’ajusteur de pensée et de l’âme, via l’ego conscient. Ils ne peuvent ainsi réaliser les aspects vitaux de l’évolution supramentale.

Plusieurs niveaux et sources de désinformation parasitique existent dans l’univers. Ces forces ont un accès facile à l’inconscience humaine lorsqu’assistées des émotions inférieures de l’homme, la plus apparentée des formes d’énergie terminale à laquelle ils peuvent s’identifier, alors qu’ils actualisent leur influence insoupçonnée depuis la dimension astrale. Les intelligences systémiques sont généralement libres de telles influences astrales inférieures, ce qui explique le niveau d’évolution avancé de leur intelligence. Or, plusieurs des ces races utilisent le champ astral de la Terre pour leur propre bénéfice scientifique. Pour cette raison, il n’est permis à aucune civilisation évoluant au-delà de l’atmosphère terrestre d’entrer en contact ouvert et officiel avec l’humanité jusqu’à ce qu’un corps régulateur supra-conscient ou une Régence planétaire ait été établis sur le plan éthérique de la Terre. Tout contact avec des civilisations systémiques, au niveau physique, demeurera officieux jusqu’à ce qu’une connaissance occulte suffisante ait été libérée, en vue d’accélérer et d’assurer un alignement de la relation astrale avec l’humanité avec des entités désincarnées, suffisamment avancées pour comprendre que l’urgence de leur propre évolution dépend de celle de l’humanité.

Le mental est un continuum multidimensionnel dont la relation au cerveau physique, à travers le corps astral, rend l’expérience physique possible alors que sa relation via le corps mental met l’intelligence à la portée de la conscience humaine. Le mental ne peut être révélé simplement par l’enquête étroite d’une philosophie matérialiste des sciences. Il se doit d’être étudié à travers le courant psychique d’une communication mentale supérieure. L’évolution de la conscience dépend du degré d’assimilation et d’intégration de la connaissance, transmise via le cerveau vers la conscience, depuis des dimensions résidant au-delà du plan physique et aussi libres que possible des parasites astraux. L’Homme nouveau est conscient et libre de l’expérience karmique de l’âme. Il est relié psychiquement à des sources mentales, n’étant plus esclave d’un processus subjectif de pensée conditionné par les dynamiques sociales du mental collectif qui retient la mémoire involutive et retardataire de la race [humaine].

Les religions ont créé des systèmes de croyance qui promeuvent et correspondent à la naïveté et à l’ignorance de la race humaine.

Elles ont spiritualisé la réalité des dimensions parallèles par une telle affabulation que le contact télépathique intelligent avec les sphères a été entièrement astralisé. La prière est devenue une forme subjective et pieuse de domination, invitant l’individu à la communion astrale avec les morts, plutôt que d’élever sa faculté télépathique de communiquer intelligemment avec des mondes mentaux plus élevés.

Nous avons graduellement perdu contact avec la réalité ainsi qu’avec l’habileté de développer une compréhension objective de la politique et de l’importance de l’univers invisible. Les religions ont perpétré les mythes des sphères. La conscience est devenue si astralisée que le contact intelligent avec des forces évoluant à travers l’univers a été perdu, résultant en une quête d’identité sans fi n. Les structures temporelles variées qui séparent les mondes et leurs cultures n’ont jamais été conçues pour faire partie d’une réalité universelle intégrale, mis à part l’effort limité d’une subculture ésotérique qui, au fi l des siècles, devint davantage astralisée mais qui demeura néanmoins une épine permanente dans le flanc de l’Église.

Les parasites du mental peuvent mener l’ego inconscient à des actes obsessionnels ou exercer sur lui un pouvoir contraignant qui le retient par une forme d’inertie qu’il trouve difficile à dépasser.

Ils sont présents sous une forme ou une autre de la vie inconsciente, appartenant aux forces de l’âme que l’ego apprend à transcender au cours de son expérience évolutive. Que l’on perçoive les parasites mentaux tels des parasites ou des formes-pensées, ou simplement telle une « psychologie négative » importe peu à court terme. Le développement évolutif, à long terme, requiert que la différence soit prise au sérieux, puisqu’elle permet à l’ego de fouiller les mystères de la conscience, en vue d’isoler les éléments qui lui infligent une souffrance karmique. Si l’on considère les éléments parasitiques comme des entités, il devient plus facile de traiter avec eux de manière plus objective. Si l’on choisit de traiter avec eux en tant que formes-pensées, nous faisons preuve d’un manque de courage intellectuel et

[perdons] un avantage à libérer les ressources internes nécessaires à leur encontre, en vue de neutraliser leurs influences et de mettre fi n à leur présence néfaste. Les mots portent l’acception que nous voulons bien leur attribuer. Selon le degré d’objectivité à notre disposition envers l’aspect transcendant de la réalité psychique, nous irradions plus ou moins de lumière. N’importe quel homme ne peut traiter avec l’idée selon laquelle des entités ont la possibilité d’infecter son mental. Ses chances de pouvoir traiter objectivement avec la réalité parasitique se voient cependant accrues, selon sa capacité de percevoir la réalité psychique comme appartenant à une réalité multidimensionnelle.

Les difficultés auxquelles nous sommes confrontés à l’égard des psychoses, lorsque des voix sont entendues et des commandements imposés au faible esprit d’un ego déséquilibré, offrent certains indices du pouvoir des parasites du mental, qui défient l’ordre humain par l’imposition de leur propre acabit astral de confusion au mental d’une humanité naïve. Nous acceptons plutôt facilement le fait historique, ou la légende selon laquelle les prophètes seraient entrés en contact avec d’autres mondes ou dimensions, mais nous excluons, pour des raisons évidentes, le fait que des millions d’êtres humains sont en contact avec des dimensions parallèles dont les occupants, ou entités pourraient ne pas être issus du même ordre que ceux-là qui vinrent en contact avec les grands personnages religieux ou mystiques, à l’origine des religions du monde. De ce fait, nous maintenons naïvement que les seuls êtres pouvant entrer en contact avec l’homme sont d’aspect noble, alors que les autres ne le sont guère. Cette

‘politique de l’autruche’ pourrait bien être la raison pour laquelle les maladies mentales demeurent les plus élusives parmi les formes de maladie connues de l’homme. Diminuer, à l’aide de drogues, le volume du [récepteur] radio du patient atteint de maladie mentale ne peut éliminer les ondes qui pulsent en lui. Il nous faudra, un jour, admettre que le cerveau n’est qu’un récepteur radio et que les ondes qu’il capte proviennent de la réalité multidimensionnelle d’un univers supra-matériel.

mise à jour le 18/08/2024

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