Par-delà le mental Chapitre 13
« L’inspiration… est une véritable expression créative interdimensionnelle, quoique colorée par le profil psychique de l’âme qui conditionne le lien télépathique avec le double éthérique, ou la force de l’esprit. » BdM
En Français vous lisez la traduction professionnelle du texte anglais de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette traduction, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
Les idées constituent la fonction évolutive terminale de l’activité interdimensionnelle. Elles servent, par nécessité, le développement de la conscience, au-delà des valeurs idéalisées par l’ego inconscient dans un besoin perpétuel d’expression. Elles constituent un pont mental vivant reliant le cerveau au mental. Elles constituent l’essence vitale psychique et psychologique d’un ego constamment sous la pression pour se manifester, en vue de remplir innocemment un rôle karmique déterminé avant l’incarnation dans un monde gouverné à son insu, par la loi de nécessité psychique.
Les idées créatives sont garantes de l’évolution civilisée car elles assurent l’activité du mental, à titre de canal de la conscience pour le bénéfice de la race [humaine], de la civilisation et ultimement du Moi individualisé. Elles offrent une mesure du potentiel évolutif relatif de la civilisation, dans l’espace-temps de la race, dans lequel l’individu, au terme d’un long cycle évolutif, doit être élevé à un statut universel d’indépendance créative et d’attributs psychiques perfectionnés. Les idées ne correspondent pas à une finalité idéologique, même si tel semble être le cas lorsqu’elles sont exprimées avec vigueur par les puissants de ce monde. L’avancée des idées ajuste constamment les abus et les illusions du passé.
Le mental n’est guère issu de l’homme en soi. Il pulse à travers lui alors que les idées cultivent et soutiennent l’illusion qu’il provient de lui. Cette condition donne à l’ego l’illusion millénaire du libre arbitre, nécessaire à l’équilibre psychique et psychologique, jusqu’à ce qu’il ait atteint un niveau d’intelligence consciente, suffisamment avancée afin qu’il comprenne l’intime relation avec des forces psychiques qui façonnent l’évolution personnelle, celle de la société et de l’humanité en général. Alors que le mental transcende les dimensions idéologiques, les idées correspondent aux besoins psychiques de l’homme. Elles lui permettent de faire l’expérience de la réflexion psychologique, afin qu’il vive et qu’il ait, au niveau de l’âme, l’impression d’appartenir au monde et d’en être le maître.
La conscience, au terme de ce cycle, est encore trop primaire pour que le Moi puisse voir et appréhender sa relation avec l’intelligence pré-personnelle; une telle qualité interne dépend plus de la science du mental que de la nature des idées. Les idées ne sont que des aspects chronologiques du développement évolutif manifesté par les forces sociales, mues par les dynamiques psychiques du flux et de la pression que l’on identifie comme pouvoir organisationnel.
Afin de comprendre la relation entre le mental et la dimension psychique de la pensée, nous devons être libres des insécurités psychologiques de l’ego pour percevoir le Moi, geste conscient plus ou moins dépourvu de réflexion. Il devient alors évident que le mental est le siège créatif du Moi et que ce dernier réagit à lui, ou agit en harmonie avec lui, selon le degré de liberté dont il jouit par rapport à la coloration astrale de ses idées. Lorsque l’on fait l’expérience de la pensée, l’ego s’associe avec elle plutôt que de s’identifier à elle de manière créative. Lorsque le mental est de plus en plus perçu en tant qu’état créatif pré-personnel, les idées sont naturellement et aisément élevées au-delà du seuil de la mémoire, et l’ego pénètre une zone créative qui accroît la perception de la pensée à un niveau résidant au-delà de l’intellect. Un tel contact avec le mental à l’œuvre permet au Moi de canaliser la pensée et de découvrir que les idées ne sont que la projection de l’énergie de la pensée, qui se combine à la dynamique psychologique de l’intellect.
Il n’est guère évident, d’emblée, que les idées émanent d’un centre mental réellement dissocié des éléments psychologiques de la personnalité. La science du mental débute à l’intersection de notre territoire psychologique et psychique, point rarement exploré objectivement dans un médium culturel où l’individu a été formé à penser en termes de paramètres psychologiques définis, remontant facilement aux vicissitudes de la personnalité et de sa mémoire. Ceci voile le fait que les idées émanent de plans dimensionnels faisant usage de la personnalité tel d’un bouclier à l’encontre de l’impact dévastateur qu’aurait la divulgation soudaine et non préparée de la réalité psychique sur l’ego non initié. Le niveau des idées correspond toujours à la réalité personnelle et renforce l’expérience subjective de la pensée qui, à son tour, maintient une certitude fictive de notre relation avec le monde qui se conforme à nos attentes psychologiques.
La conscience créative et objective se perd au cours de cet exercice, tout comme la proximité consciente avec le monde psychique du mental qui, autrement, laisserait les voies de la perception et de l’entendement supérieurs grandes ouvertes.
La psychologie supramentale indique que le mental implique la relation infinie du Moi, de l’âme et de l’esprit ou double éthérique, et la conscience de soi reconnaît l’existence d’un tel axe. L’entité physique fait l’expérience d’un niveau de communication soit conscient ou inconscient avec la persona éthérique ou l’ajusteur de pensée pré-personnel, à travers des facultés télépathiques partiellement ou pleinement développées, qui fracassent l’illusion d’une pensée émanant d’une source égocentrique.
Le contact psychique avec des dimensions parallèles est une part essentielle de la réalité de la conscience évolutionnaire. Une nouvelle approche psychologique à la réalité du mental est essentielle. Les composantes du Moi devraient être comprises selon l’ordre de leur fonction ascendante et non pas selon des configurations égocentriques établies depuis l’aube de la philosophie. Le mental est une dimension accessible et véritable de dialogue universel entre des ordres supérieurs et inférieurs d’intelligence, pour le bénéfice des deux. Il ne s’agit pas d’une banque de données confinées à des paramètres intellectuels, mais bien d’une source d’intelligence à travers laquelle sont accessibles des perspectives pré-personnelles visant le développement évolutif de la race en général, et de l’homme en particulier, à travers une civilisation lui servant de médium d’expression.
Le potentiel créatif de la pensée dépend de la vibration de l’âme et de la tension psychique qui conditionne l’évolution du Moi. Par conséquent, le Moi inconscient ne peut focaliser sur la plus haute vibration du mental et vit, pour la durée totale de son existence, dans le registre inférieur de la conscience de la pensée, n’atteignant jamais la pleine profondeur du mental. Une nouvelle psychologie évolutionnaire pourrait désigner la différence objective entre la conscience et le mental, et permettre à l’individu de réaliser son partenariat psychique avec le savoir qui n’est accessible que via le lien télépathique avec la réalité de l’intelligence supérieure. L’évolution personnelle peut alors être satisfaite, et il peut être permis au Moi de graviter vers une liberté supramentale, en vertu de son contact interne avec son Moi éthérique. Ceci mettrait terme à l’isolement psychique de l’être inconscient. La vie mentale serait réalisée par le lien télépathique permanent avec le Moi éthérique supérieur. Cela permettrait l’accès aux facettes plus inaccessibles de la réalité, initiant le Moi au fondement du savoir supramental de la conscience.
La notion poétique selon laquelle l’inspiration est un mouvement du mental qui gratifie les besoins et impulsions créatives du penseur dénote une compréhension rudimentaire des forces à l’œuvre au-delà de l’expérience humaine. L’inspiration, tel qu’on la nomme, ne fait que révéler l’aspect personnalisé de la relation occulte entre des niveaux d’intelligence humaine et autres. Même si nous la considérons comme un mouvement non régulé de la psyché, elle est une véritable expression créative interdimensionnelle, quoique colorée par le profil psychique de l’âme qui conditionne le lien télépathique avec le double éthérique, ou la force de l’esprit.
La notion de l’inspiration n’explique pas, en soi, le phénomène créatif. De plus, elle le restreint au niveau subjectif de l’expérience de la pensée. L’inspiration est une fonction spontanée du mental.
Ce dernier a le pouvoir de la construction créative de la pensée instantanée et pré-personnelle, par le mouvement d’une activité mentale supérieure qui voile la nature interne de l’intelligence.
Si nous étions conscients des divers plans du mental, la notion de l’inspiration serait instantanément remplacée par une communication télépathique directe, établie en permanence au sein du champ de la conscience.
Le pouvoir créatif du mental est interdépendant avec d’autres plans entièrement dissociés de l’intellect humain. La compréhension de ce fondement introduit la conscience aux plus hauts niveaux de savoir qui puissent être atteints sur une planète, dans son espace-temps évolutif. En d’autres termes, la qualité stimulante du mental demeure une facette expérientielle de la relation ego-âme, alors que l’aspect communicatif du mental libère l’ego de l’expérience et transforme l’inspiration en une forme nouvelle et permanente d’expression reliée à l’origine inaltérée de la pensée en soi. A travers l’inspiration, la pensée est colorée alors que par la communication, la pensée cesse d’exister à titre d’artifice expérientiel de l’âme et devient un outil révélateur. L’inspiration peut être suspecte, car elle active des forces psychiques ne pouvant être contrôlées, d’un point de vue supramental parfaitement intégré. Elle s’apparente à un feu que le mental créatif ne peut éteindre, tant elle est importante à la survie subjective de l’image de soi.
Les idées sont traitées à travers le mouvement de l’énergie mentale et constamment ajustées au niveau évolutif de l’expérience de l’intelligence. Plus la conscience est intelligente et créative, plus les idées seront ascendantes et harmonieuses. L’occulte, ou les lois inconnues du mental dissimulent une pleine compréhension du processus dynamique des idées, et l’individu se voit ainsi conditionné par leurs impulsions plutôt que de maîtriser sa propre énergie mentale. Le mental inconscient met constamment le corps mental en vibration, ou dans un état de pulsation. Ceci crée chez l’être une tension psychique permanente qui se transforme aisément en angoisse existentielle, jusqu’à ce que l’ego ait appris à traiter avec de l’énergie traduite en idées. Les idées sont trop souvent la source d’expérience, au cours de laquelle l’ego est amené à réaliser, malgré lui, le défaut de contrôle sur sa vie et la souffrance qui s’ensuit, ce qui fait partie de l’évolution de l’âme aux dépens du Moi.
L’homme est un être multidimensionnel dont les fonctions physiques, psychiques et psychologiques correspondent au besoin qu’éprouve le Moi à s’ajuster à son énergie mentale, afin que sa conscience puisse, avec le temps, se stabiliser de manière permanente dans le cadre humain. Scrutant davantage le sens du mental, l’individu en vient à comprendre que sa conscience est fondée sur le rapport entre différents plans d’activité intelligente. La pensée est une facette subjective de la réalité personnelle, résultant de la coloration du mental inconscient dont la compréhension de la nature de la pensée en soi fait défaut. La poursuite du développement du processus de la pensée, au-delà des limites psychologiques du Moi ignare, mène à la perception d’un point de contact entre le Moi inférieur et un plan mental ou psychique supérieur, siège du Moi supérieur ou du mental créatif. Cette perception crée un choc ayant pour effet d’ouvrir la psyché au sein de la matière égoïque, invitant le Moi à être témoin d’un réajustement de son processus de pensée qui facilite un influx supplémentaire de données pré-personnelles, non conditionnées par les expériences du passé. A ce point, la réalité objective du mental s’unit à l’ego. L’ego devient alors conscient, éveillé à des dimensions mentales résidant au-delà de la sienne et accessibles par communication télépathique avec une source d’intelligence précédemment silencieuse, en raison de sa méconnaissance de celle-ci.
Le prochain cycle d’évolution mettra en lumière la faculté du Moi à interagir consciemment avec le mental psychique. Une révolution personnelle d’ordre psychologique et psychique propulsera la conscience, de manière permanente, au-delà de ses limites historiques passées. Le développement de la pensée supramentale permettra l’individualisation globale de la psyché, à l’axe de l’esprit, de l’âme et du Moi.
L’âme est la quintessence des mémoires expérientielles présentes et passées, à partir desquelles le double, ou Moi supérieur programme de futurs modèles d’expérience incarnée, vers l’éventuelle fusion de l’âme et de l’esprit. Alors que le mental se voit focalisé consciemment par l’entendement supramental des lois psychiques de la pensée, l’ego peut se libérer des puissantes forces de l’âme, ou karmiques. Il peut élargir sa relation télépathique, ou sa relation mentale supérieure avec l’intelligence pré-personnelle, source dont procède sa réalité personnelle. A partir de ce point, les idées peuvent participer à un processus délié de croissance créative, imprégnées dans la psyché par des forces affranchies des pressions karmiques agissant sur l’âme, et représenter ainsi le lien cosmique entre le Moi inférieur et le Moi supérieur. L’âme ne peut empêcher le contact éventuel des plans inférieurs et supérieurs de la réalité humaine ; mais elle peut retarder leur fusion par son expression inconsciente de forces à sa disposition, en raison de son lien avec le plan astral, ou de la mort.
La traduction de la réalité en termes conceptuels intelligibles requiert une alliance psychique avec le connaissable, au-delà du pensable. Le mental, en tant que science bien fondée de la psychologie supramentale, peut faire la lumière sur la nature de la psyché. Une telle évolution ne peut avoir lieu par le biais de la manipulation égocentrique d’idées caractérisées par le rationalisme. La conscience supramentale puise son savoir du défi télépathique d’un contact avec le plan mental supérieur.
Les idées et le mental sont interdépendants mais non pas nécessairement complémentaires. Dans le premier cas, elles ne peuvent être dissociées du mental, or dans le cas second, l’ego inconscient ne s’imbibe pas nécessairement du traitement créatif et pré-naturel de son énergie idéationnelle. Si l’ego ne fait pas l’expérience de l’énergie mentale de manière consciente, il demeure sujet à la loi karmique de la conscience, s’identifiant aux forces de l’âme qui influencent et colorent les idées au profit de l’expérience, compromettant un équilibre interne parfait. Lorsque le Moi devient conscient du mental et de sa complémentarité avec le flux et la création des idées, il peut mettre terme à ce qu’impose l’âme en termes d’expérience inconsciente, par une manifestation de volonté réelle, par opposition au « libre arbitre ». Cette loi karmique de la conscience, faisant de la vie une conséquence d’incidents isolés, se voit remplacée lorsqu’une destinée contrôlée, dans un mouvement intelligent ininterrompu, justifie la vie consciente à travers un développement ascendant du mental, au sein des paramètres de l’identité individualisée du Moi.
Les idées inconscientes sont la manifestation du contrôle qu’exerce l’âme sur l’expérience humaine, nous contraignant d’admettre, en dépit de nos idées, que la vie est un processus conditionné par des forces résidant au-delà de notre contrôle. L’élévation de l’état de la conscience humaine remplace les habitudes mécaniques. Le mental humain est un monde psychique, accessible à l’intelligence supérieure qui ajuste le cours de l’énergie au sein du Moi, afin d’aligner les réalités psychologiques et psychiques. Le mental supérieur ne peut être introduit à la conscience de l’ego qu’à travers l’ouverture d’un centre supramental qui convertit l’énergie psychique en une puissance créative infinie. Le mental est un monde interne de communication de la pensée et non pas un état. Il est perçu tel un état, car nous ne parvenons pas à dénouer ses mécanismes internes subtils. Voilà ce qui entrave la compréhension harmonieuse entre les hommes, alors que leur personnalité perturbe les énergies de leur communication.
Cet aveuglement réduit le Moi au rôle de victime, à l’aide de la désinformation accumulée qui résulte de la nature involutive de la civilisation et des sociétés en général. La limite fondamentale de la conscience humaine trouve sa cause en ce que l’individu est dépourvu d’un centre mental psychique développé qui lui donnerait autrement accès à ses facultés internes, le mettant en contact avec l’intelligence objective, source de la réalité.
L’intellect utilise la connaissance égocentrique, alors que la conscience supramentale crée des conditions de perception mentale qui sondent les mécanismes de l’énergie mentale. Cette différence est fondamentale aux deux états de conscience et non pas mutuellement exclusive à l’un ou l’autre. Alors que l’intellect utilise les centres inférieurs de la conscience pour comprendre les forces mécaniques de la vie, l’intelligence supramentale élève le mental à un niveau pouvant actualiser les facultés psychiques de l’individu, lui accordant une indépendance par rapport aux forces de l’âme, responsables de l’expérience aveugle. L’intelligence humaine est inexploitée. Cette énergie illimitée n’est disponible que si les attitudes égocentriques sont transformées en intelligence transparente non égoïque.
Le nouveau cycle du développement de la conscience mettra en lumière les révélations du passé. L’être comprendra graduellement les mécanismes de la pensée qui facilitent la communication avec l’intelligence interdimensionnelle, harmonisée avec son statut évolutionnaire. Il découvrira l’influence des abîmes qui l’ont manipulé pendant des millénaires, depuis sa descente dans la matière. Le Moi fera l’économie de sa propre lumière, source de la conscience, et confirmera sa condition cosmique à titre d’être libre. Le passage à l’éveil de conscience requerra une profonde transformation de soi.
Les besoins internes de l’individu s’élargiront avec la conscience, vers une parfaite compréhension de ce que les initiés du passé ne pouvaient expliquer, en des temps de profonde ignorance humaine.
Le développement évolutif du mental mènera à l’éveil de la conscience supramentale. La nouvelle croissance surgira alors que le Moi renversera graduellement les notions du passé, leur substituant des idées qui le rapprochent de sa réalité psychique.
Le passage de l’évolution mentale, ou psychologique, à l’évolution supramentale, ou psychique, transformera le regard que porte le Moi sur la vie, la mort et les mystères. Ce sera une expérience difficile pour la civilisation, dont l’influence sur le mental sera mise en cause tandis que le Moi témoignera de l’héritage des illusions astrales qui ont maintenu l’humanité dans l’obscurité pour des millénaires. Le Moi se trouve au carrefour du passé et de l’avenir de la civilisation.
La lutte du Moi pour la liberté, par rapport à la conscience de masse, sera la plus importante jamais menée au niveau de l’individu.
Le rôle des enseignements du passé, en dépit de leur importance pour la conscience évolutive précédente, sera écarté au stade final de l’autodétermination à travers un nouvel éveil psychique. La conscience n’appartiendra plus simplement aux aspects psychologiques de la réalité. Elle plongera dans les dimensions psychiques du mental pour vaincre le syndrome de la culpabilité psychologique que l’on retrouve à la base de toutes les religions, depuis l’aube de la civilisation. La conscience ne peut devenir transparente, aussi longtemps que la culpabilité participe de sa composition. Cette part de sa nature astrale exclut le plein développement de l’intelligence créative, en raison de la manipulation négative des émotions.
Le mental est un phénomène cosmique aux proportions humaines. Alors que ses lois internes seront mises en lumière, les idées seront de plus en plus sous le contrôle humain, menant à la parfaite compréhension de la nature infinie du mental. L’expérience de la pensée doit être amenée à un niveau d’éveil nouveau qui satisfera la quête pour le savoir, au-delà des limites astrales de l’ego subjectif.
La phase difficile étant entamée dans nos sociétés servira à instaurer les mécanismes nécessaires à ce que l’on puisse se préserver soi-même, mécanismes qui firent tristement défaut par le passé. La grande lutte pour la liberté d’expression, en dépit d’une apparente décadence aujourd’hui, sera demain perçue comme une période à laquelle l’individu lutta, inconsciemment, à travers l’ère ténébreuse du lavage de cerveau historique qui conditionna tous les aspects de l’intelligence humaine.
mise à jour le 18/08/2024