La débauche

New York City – credit: @DronalistDailyDose YouTube

Communication préparatoire 222

« La débauche, c’est le cancer astral de l’Homme. La débauche représente chez l’être une conquête du plan astral sur son esprit. Elle représente la perte totale des facultés de discernement spirituel chez l’être humain. La débauche est tellement … » BdM

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

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La débauche, c’est le cancer astral de l’Homme. La débauche représente chez l’être une conquête du plan astral sur son esprit. Elle représente la perte totale des facultés de discernement spirituel chez l’être humain.

La débauche est tellement dangereuse pour l’Homme que s’il n’arrive pas à s’en libérer, elle deviendra chez lui une forme permanente de comportement, tant sur le plan matériel que sur le plan psychique. L’être qui connait la débauche ne se possède plus parce que la débauche devient plus importante à la satisfaction instinctuelle de sa sensualité inconsciente que l’aspect esthétique, naturel, créatif, que peut lui donner ou lui faire reconnaître son esprit.

La débauche est un abus du corps astral, donc un abus de l’âme sur l’ego. C’est une forme subtile de possession à travers l’instinct et c’est une forme puissante de contrôle astral sur la vie de l’Homme. L’être débauché découvrira au cours de son expérience que la présence mentale de certains égrégores astraux peut devenir tellement permanente qu’avec le temps, une grande portion de sa conscience, de son intelligence, sera dirigée vers l’actualisation de ce phénomène astral, vers l’actualisation de ces forces inférieures extrêmement instinctuelles, donc extrêmement anti-esprit.

L’être qui entretient la débauche s’éloigne de plus en plus de son esprit, c’est-à-dire qu’il s’éloigne de plus en plus de ce plan d’intelligence créative qui constitue pour lui la seule source d’intelligence réelle, de sorte que sa vie, au lieu de grandir, diminue imperceptiblement, jusqu’au jour où, devenu impuissant dans la débauche, il réalise que sa vie ne fut que le produit dégénératif d’une possession astrale qui l’a envahi et l’a maintenu prisonnier des années entières.

La débauche est certainement une des plus grandes manifestations de l’astral dans la conscience de l’Homme concernant la sexualité. La débauche représente la diminution du pouvoir vital de la sexualité saine, et entraine dans l’être une dégénérescence à tous les niveaux pour finalement l’abattre dans les ténèbres d’une conscience qui ne peut plus se relever, qui ne peut plus s’éblouir d’elle-même et se reconstituer en une force intégrale. La débauche est dangereuse parce qu’à long terme, elle épuise les forces de l’Homme, autant les forces mentales, qu’émotives, que vitales. Donc elle est dégénérative et elle constitue pour l’être humain un grand danger parce qu’elle empêche l’Homme de pouvoir, au cours des années, au cours de sa vie, éteindre en lui ce qui le retient vers la Terre pour élever en lui ce qui le mènerait vers sa propre lumière.

Donc la débauche n’est pas simplement un danger pour l’Homme, elle est une fatalité. Et l’être qui vit de la débauche le sent, et avec les années il le sentira de plus en plus, parce que la possession deviendra de plus en plus grande. L’Homme ne connaissant pas les lois astrales, ne connaissant pas les lois des mondes parallèles, ne connaissant pas les lois de l’invisible, ne connaissant pas les lois de la conscience humaine, est extrêmement victimisé par ce comportement humain qui relève d’une capacité intégrale de vivre à la hauteur de soi-même.

L’être débauché n’est pas simplement un être vivant à l’extrême limite de lui-même, il est aussi un être incapable de se dépasser. Il est incapable de grandir, il est incapable de surgir de l’instinctuel pour entrer finalement dans sa nature réelle, dans sa conscience, son intelligence, sa sensibilité, et aussi sa sensualité créativement ajustée et vitalement perçue. C’est un être qui, dans le fond, est malheureux parce qu’il ne possède pas la force nécessaire pour transgresser les lois de sa propre possession.

Il ne possède pas la volonté nécessaire pour éliminer de sa conscience les aspects astraux d’une âme qui n’a pas suffisamment évolué pour réagir aux forces psychiques qui constituent pour elle une forme de domination. Il est malheureux parce qu’il ne peut pas sentir son esprit. Il ne peut sentir que la possession astrale sur son corps matériel. Et plus les années avancent, plus il réalise une sorte d’imperfection, une faille profonde dans son être, et cette réalisation devient pour lui la marque dans son propre front, marque que lui ne peut cesser de regarder parce qu’elle est l’emblème de sa possession.

La débauche donne naissance à un ennui profond, à une solitude irréparable. Elle envenime l’existence et crée dans l’Homme une constante anxiété, une constante réflexion qui lui permet de voir qu’il n’est pas à la hauteur de lui-même malgré les péripéties, malgré les actes, malgré les plaisirs. Donc la débauche est un gouffre qui s’agrandit. C’est un vide qui ne peut pas se remplir, et chez l’Homme qui vit cette situation, cette condition, à un degré ou à un autre, il n’y a de recours que dans la volonté de surgir de ce néant pour se rapprocher de sa vraie nature. Mais ceci demandera une très grande volonté, parce que la volonté de la débauche est déjà très grande.

Donc l’Homme nécessitera une grande volonté créative pour dépasser la volonté de la débauche, le désir, la soif de sa propre aliénation. La débauche est dangereuse parce qu’elle envahit l’Homme par la tête et par le corps, par l’esprit et par le corps. Elle l’envahit dans ses pensées comme elle l’envahit dans ses actes. Donc elle est totalement vampirique, elle est totalement capable d’assujettir l’être à une forme de comportement qu’il sait très bien ne pas être créatif, mais dont il est impuissant à cause de la possession, à cause de la manipulation mentale de certaines entités dans le monde de la mort qui utilisent le plaisir contre l’Homme.

La débauche est un instrument de torture et de délice à la fois. Elle laisse un arrière-goût dans la conscience. Et même si le délice est vibrant, l’Homme ne peut se libérer de cet arrière-goût qui grandit au cours des années et qui éventuellement fut même le délice du plaisir. Donc la débauche est effectivement une possession sur les sens. Elle représente l’empire de l’astral sur l’Homme, et elle mène ce dernier à la déchéance, non simplement mentale ou émotive, mais aussi matérielle.

L’être débauché malgré toutes ses formes de rationalisation, profane sa nature, donc il profane la nature de l’Humanité. Et lorsque l’Homme profane la nature de l’Humanité, il se sépare d’elle en esprit. Il se retrouve seul, il se trouve différent et il ne se sent pas bien parce qu’il ne vit pas d’identité, il ne vit plus d’identité, il a perdu son identité. Donc déjà, l’Homme qui ne possède pas beaucoup d’identité est vulnérable, alors imaginons-nous l’Homme qui a perdu le peu de son identité, combien vulnérable il est à ses propres yeux, parce que c’est lui avec le temps qui devient le juge de son état. Et l’Homme qui se juge lui-même, se juge plus fortement que l’Homme jugé par les autres.

La débauche est aussi contagieuse, parce qu’elle a besoin de plusieurs partenaires, donc avec le temps elle devient une forme collective de possession, et elle peut s’étendre très loin jusqu’à affecter les racines profondes de la conscience sociale.

Sur le plan personnel, la débauche invite l’Homme à se joindre au rang inférieur de l’Humanité, donc elle le prédispose à vivre une vie dans le cadre d’une psychologie assombrie, une psychologie qui ne tient pas de la lumière de l’Homme, de son intelligence créative, de sa puissance en évolution, mais plutôt d’une psychologie qui, au cours des années, se développe en une forme de morosité mentale, une forme d’attitude psychologique face à la vie, basée et axée de plus en plus sur la corporalité des sens au lieu de l’élévation de l’esprit, donc de l’élévation de l’Homme.

Il est absolument impossible à un être débauché, à moins de changer complètement le cap de son orientation, de devenir un être qui s’aime et qui aime les autres, parce que la débauche en elle-même déchire l’Homme et elle voudra avec le temps déchirer les autres, puisqu’un peu comme le vautour, elle a besoin de se nourrir sans fin, à tout prix, afin de continuer à exercer son bas métier, sa piètre existence. Donc dans la débauche, ou là où il y a débauche, l’amour réel ne peut pas exister.

Plus l’Homme prendra conscience des lois de la vie, plus il prendra conscience des lois de l’esprit, plus il comprendra les affectations maladives auxquelles a été assujettie l’Humanité involutive, et il fera tout en son pouvoir pour se libérer de ces forces astrales qui mangent l’Homme, se nourrissent de son émotivité et perpétuent en lui le mythe de sa conscience.

La débauche est une maladie mentale, elle est une maladie émotionnelle, et elle peut même devenir une maladie corporelle. Donc elle ne représente chez l’Homme aucun atout positif, quels que soient les vêtements qui l’enveloppent, quelle que soit la forme qu’on lui donne, quel que soit le niveau de rationalisation qu’on veuille bien lui appliquer pour faire d’elle une compagne de vie. La débauche est en soi la représentation la plus grotesque de l’être. Elle est aussi la plus perfide dépersonnification de l’Homme. Et elle est, au-delà de ceci, la désintégration psychologique, psychique, de l’être humain. Elle ne fait pas partie de la nature créative, elle fait partie de la nature destructive chez l’Homme.

Les forces de la débauche, les forces astrales de la débauche, les forces de possession qui servent à la maintenir à la surface de la conscience de l’Homme, sont des forces tellement puissantes que l’Homme un jour devra comprendre, que seule une volonté absolue peut le libérer de cette forme de possession, car la volonté réelle est en elle-même une puissance contre l’astral, la volonté réelle est en elle-même le pouvoir de l’Homme sur les forces de la mort. Elle est aussi le pouvoir de l’Homme sur et contre les fantasmes psychologiques de son moi perdu dans la vie.

Pour que l’Homme conscient réalise le pouvoir de la débauche, il lui faut réaliser combien de volonté il doit faire surgir de son être afin de la remplacer par un comportement naturel, par un comportement de plus en plus édifiant de sa nature. Non seulement la débauche est-elle assise sur la perfidité de l’ego, mais aussi sur l’aliénation de l’ego. Pour que l’Homme en arrive à une qualité de vie aussi basse, il lui faut avoir été au cours des années, petit à petit, forcé de vivre des expériences, forcé de connaître des impressions qui, à cause de son immaturité, prirent place et devinrent pour lui un mode de vie.

C’est pourquoi les êtres qui s’enlignent dans cette direction sont souvent des êtres qui, au cours de leur jeunesse, au cours des premières phases de leur éducation, n’ont pas suffisamment été cultivés dans l’esprit. C’est la culture de l’esprit qui permet à la débauche de s’éloigner de l’Homme. C’est la culture de l’esprit qui élève ce dernier et le prépare plus tard à pouvoir naître à des niveaux plus élevés de sa propre conscience.

Donc les parents qui ont des enfants, ont la responsabilité de cultiver l’esprit de leurs enfants et de prendre dans la civilisation ses éléments élevés, grandioses, qui ont constitué les facteurs principaux de la conscience historique : ce que nous retrouvons dans la littérature, ce que nous retrouvons dans les arts, ce que nous retrouvons dans les sciences et les philosophies et même ce que nous retrouvons dans les religions et les spiritualités. Tous les aspects de l’esprit que l’Homme a voulu cultiver et que certains ont amené à de très hauts niveaux de développement, ceci doit faire partie de la culture de nos enfants, afin qu’ils puissent demain ne pas être absorbés dans des courants de vie qui pourraient facilement les amener vers la débauche.

La culture de l’esprit est essentielle chez un enfant et la culture de l’esprit va beaucoup plus loin que la simple éducation. La culture de l’esprit représente en fait l’aspect esthétique de l’éducation. L’éducation en soi, ce n’est pas suffisant, parce qu’elle représente simplement les éléments essentiels à la survie de l’Homme dans le cadre de la société, alors que la culture de l’esprit permet à l’enfant de bénéficier de la qualité esthétique des éléments essentiellement développés au cours des âges, qualité qui élèvera son esprit, le désengagera des bas-fonds de la civilisation et lui permettra demain de côtoyer des êtres qui, aussi, bénéficient d’une substance semblable à la leur.

Si la débauche existe dans le monde, c’est qu’il y a trop de pauvreté d’esprit. Et lorsque l’esprit est pauvre, il est difficile pour lui de s’enrichir, donc il veut plus facilement aller vers des expériences qui temporairement semblent l’enrichir, c’est-à-dire semblent lui donner quelque chose de particulier ou de particulièrement intéressant ou délicieux, sans réaliser que demain, au cours des années, au cours des décennies, le mental, l’émotionnel et éminemment le corporel seront affectés par un mode vie qui ne convient pas à l’esprit, mais plutôt aux entités qui possèdent l’Homme derrière le voile de la personnalité.

Pour que l’être se laisse aller à la débauche, il faut qu’il soit faible, il faut que son esprit soit faible, autrement dit, il faut qu’il y ait peu d’esprit en lui. Et souvent les êtres qui vont à la débauche sont des âmes qui sont jeunes, des âmes qui manquent d’expérience, des âmes qui sont attirées, fascinées, par le corporel. Mais même si l’âme est jeune, l’esprit dans l’Homme est vieux. Même si l’âme est jeune, l’Homme peut en arriver à reconnaître son esprit et à partir de ce moment-là, l’ego peut se désengager de cette puissante attraction pour le corporel et les éléments instinctuels qui attirent la conscience inférieure en attisant la passion effrénée.

La relation entre la débauche et la passion est une relation étroite. La passion, pour être grande, ou du moins vertueuse, ne doit pas se laisser trainer dans la boue de la déchéance. La passion, pour être belle et naturelle, ne doit pas se laisser attirer par les fantasmes égrégoriens d’une puissance astrale envoûtante.

Il est bon de souligner que certains êtres dans la communauté homosexuelle – et remarquez bien que nous ne parlons pas de débauche simplement en ce qui concerne la communauté homosexuelle, parce que la débauche existe très bien, et elle est très « saine » chez les hétérosexuels, elle est très « vivante », la débauche, chez les hétérosexuels – mais nous voulons faire un point et faire remarquer que dans la communauté homosexuelle, une grande tendance à la débauche existe. Parce que l’être homosexuel connait une certaine liberté psychologique face à sa sexualité, et que cette liberté psychologique lui donne accès à des droits qu’il se donne. Mais nous voyons depuis quelques années que cette même communauté subit un choc en retour et que ce choc est directement relié à une forme quelconque de débauche, c’est-à-dire à une forme quelconque de perversion des mœurs où nous observons que l’être homosexuel ne vit plus une sexualité partagée avec un partenaire, mais plutôt vit une sexualité collective avec une multitude de partenaires…

Il a été relevé un cas aux États-Unis où un être homosexuel avait eu des relations sexuelles avec 2000 partenaires dans une année : même chez Eaton on ne vend pas autant de paires de souliers dans un an. Donc les forces cosmiques, les forces de l’invisible, pour réétablir un équilibre dans des conditions de déséquilibre qui deviennent de plus en plus répandues dans le monde, agissent derrière la scène, et présentent la communauté homosexuelle internationale avec ce “joli cadeau” que nous avons aujourd’hui reconnu comme étant le “AIDS syndrom”. Donc l’Homme doit comprendre que si le SIDA existe dans la communauté homosexuelle, il existe à cause des abus.

Et la nature développe des mécanismes à l’insu de l’Homme pour rebalancer cet état de chose. La débauche ne peut pas indéfiniment continuer sur une planète parce qu’elle amènerait la civilisation à un terme, c’est évident. Les Romains sont venus à un terme, les Grecs sont venus à un terme. La débauche fit partie de la terminaison de ces civilisations. Les Aztèques sont venus à un terme. Toutes les civilisations qui viennent à un terme vivent une période ascendante de débauche, une période ascendante de possession astrale et les forces cosmiques doivent rebalancer ce déséquilibre, et ce sont les individus qui en payent le prix.

Donc il n’y a aucune place dans la vie de l’Homme pour la débauche, à quelque âge qu’il soit. Il n’y a aucune rationalisation possible pour la débauche. Et ceux qui vivent des vies sexuelles intenses, marginales, sont plus susceptibles de la vivre, de la connaître, parce que justement ils ont moins d’esprit, ils sont moins près de leur esprit. C’est l’esprit de l’Homme qui a le pouvoir de substantiellement éloigner les forces astrales de sa conscience. Donc il est évident que les êtres qui vivent dans des milieux sociaux où la sexualité est facile, même rampante, que ces êtres risquent d’être amenés, attirés dans la débauche, si la qualité de leur esprit est inférieure à ce qu’elle devrait être.

Lorsque l’Homme est dans son esprit, ou lorsque l’Homme a beaucoup d’esprit, il y a en lui de la lumière. Il voit à travers les voiles, il reconnaît les dangers, il évite les obstacles, naturellement. Mais lorsque l’Homme manque d’esprit, il devient de plus en plus facile pour les forces astrales de s’emparer de lui, de lui faire miroiter des aspects de la vie qui, souvent, peuvent apparaitre aguichants.

Mais ce que l’Homme ne reconnaît pas, c’est qu’à travers ces expériences, il vit le danger de perdre sa conscience et de connaître une aliénation profonde ; aliénation qui, un jour ou l’autre, deviendra si évidente chez lui qu’il n’aura plus le plaisir de sa propre réalité. Il ne pourra plus reconnaître le plaisir d’être. Il ne pourra plus reconnaître le désir de son identité à demeurer permanente. Il vivra à l’extérieur de lui-même, à la recherche de lui-même, et avec le temps la solitude l’enveloppera.

Et lorsque la solitude enveloppe l’Homme qui a trop débauché, la vie ne vaut plus la peine d’être vécue. Même les souvenirs sont amers alors que l’avenir n’existe plus. Donc pour ceux qui aujourd’hui sont jeunes et flirtent un peu avec la débauche, il faut faire attention, il faut regarder vers l’avenir, il faut voir demain en prenant conscience aujourd’hui, en réalisant que rien qui soit astral ne peut être remplacé par l’esprit, par l’intelligence pure, par la conscience réelle, par la lumière de l’art, par la puissance créative de l’art, et éminemment par le pouvoir de l’Homme dans et sur sa propre vie.

Lorsque l’Homme a le pouvoir et sent le pouvoir sur sa vie, il est bien. Lorsque l’Homme sent le pouvoir de la vie lui glisser entre les mains, entre les doigts, il perd ce bien-être. Il ne se sent plus au centre de sa vie. Il devient existentiel. Il n’est plus le roi, il n’est plus le maître, il est maîtrisé et il est devenu vassal.

Donc si nous regardons la débauche d’un point de vue plus élevé, si nous la regardons sans voile, sans astralité, nous réalisons qu’elle n’est pas pour l’Homme réel ou l’Homme en voie d’évolution une forme quelconque de nourriture. Elle est simplement un appât temporaire, elle est simplement une attraction, elle est simplement une forme d’hypnose sur ses sens. Et lorsque les sens de l’Homme sont hypnotisés, lorsque les sens de l’Homme sont attirés, contrôlés, manipulés par les forces astrales en lui, il n’y a plus de place pour son esprit dans la vie, et éventuellement cette hypnose, cette attraction, ce sommeil grandissant, s’étend dans la vie de l’Homme, et un jour l’Homme réel disparaît, et n’apparaît dans la vie de l’être que l’Homme fautif, l’Homme fictif, l’Homme pervers, l’Homme qui ne s’aime pas, l’Homme qui se hait et l’Homme qui hait les autres.

mise à jour le 21/08/2024

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