Conférence avec Daniel Ménard 46
En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
Daniel Ménard (DM) : Dans la deuxième partie, le sujet : “Les désirs visitent les besoins”. Nous allons demander à Bernard s’il est possible de situer la certitude que l’on vit à travers un désir via le mental, ou s’ il y a une certitude qui semblerait tout à fait différente. Donc, Bernard, une personne qui vit une passion ou qui est passionnée pour quelqu’un ou qui est passionnée pour un domaine qui peut être un sport ou autre chose, dans sa passion – évidemment qui doit être de l’âme – il (l’être) vit évidemment beaucoup de sentiments, beaucoup de polarité, mais il vit surtout une certitude qu’il est dans la bonne direction, qu’il vit quelque chose d’essentiel pour lui.
Et j’aimerais voir votre point de vue sur cette certitude versus le mental, qui semble présenter une nouvelle forme, ou une nouvelle sorte de certitude, donc qu’est-ce qu’il y a, qu’est-ce qui fait que l’être qui vit une passion semble s’impliquer ou s’engager dans le mouvement qu’il prend avec autant de certitude, ou autant d’impression de certitude ?
Bernard de Montréal (BdM) : Ça, c’est dû à l’inconscience de l’Homme. Si l’ego était conscient, si l’ego vivait au niveau de l’Esprit, autrement dit au niveau du mental supérieur, l’Homme n’aurait pas besoin de certitude basée sur la vibration expérientielle de sa mémoire. L’Homme n’aurait pas besoin de l’âme comme “back up” (sauvegarde). Alors lorsque l’Homme est inconscient, sa certitude, cette passion forte qu’il vit dans n’importe quoi, dans l’amour, dans le travail, ainsi de suite, ça fait partie de la pression de l’âme sur sa conscience. C’est l’âme qui pousse l’être dans une direction et qui lui fait vivre une expérience valable, parce que pour l’âme toute expérience est valable, pas nécessairement pour l’ego mais pour l’âme.
Tandis que – et je vais revenir à ça – tandis que l’Homme conscient lui, ne vivant pas d’expérience, la certitude qu’il va aller chercher dans son mouvement, fait partie de la connexion mentale qu’il a avec sa source, c’est-à-dire qu’il n’a plus besoin des humeurs de l’âme pour “renforcir” son action, il a simplement besoin de la clarté de son Esprit pour aller dans l’action.
L’Homme qui vit de l’âme doit lutter, se battre, foncer, agir fortement à l’intérieur de cette vibration de l’âme. Tandis que l’Homme conscient qui a une conscience mentale, n’est pas intéressé et ne vivra pas cette lutte, cette force, avec les éléments astraux de sa conscience pour entrer dans l’action. Il va simplement renter dans l’action, mais ce qui va faire la différence c’est le timing. Un Homme conscient peut attendre dix ans avant de rencontrer une personne pour faire telle chose. Un Homme conscient peut attendre cinq ans pour aller dans tel commerce, parce qu’il ne vit pas son commerce au niveau de l’expérience ; il va vivre son commerce ou l’évènement de sa vie en fonction du timing, de la chronologie que lui impose par clarté son Esprit.
Tandis que l’Homme, dans son inconscience, n’étant pas conscient des lois du temps au niveau du mental, va vivre l’évènement très souvent avant le temps. C’est pour ça d’ailleurs que souvent les Hommes… On dit souvent que la vie de l’Homme, elle est marquée par une courbe sinusoïdale, il y a des hauts et des bas, des hauts et des bas, des hauts puis des bas. Alors l’Homme commence, s’en va dans une certaine direction, ça va mal, il lâche, puis s’en va dans une autre direction, puis finalement il arrive à un certain niveau, ce qu’on appelle un certain niveau de succès, ainsi de suite.
Tandis que pour l’être conscient, pour l’être qui a une conscience mentale, il ne peut pas vivre sa vie en fonction d’une courbe sinusoïdale. Sa vie c’est toujours une ligne droite, mais une ligne droite qui est toujours raffinée. C’est comme si la ligne droite peut avoir une épaisseur, mais elle est toujours raffinée, raffinée, mais il n’y a pas ces hauts et ces bas. Parce que, où il s’en va, ça fait toujours partie de l’alliance entre l’ego et l’Esprit utilisant la mémoire de l’âme comme réserve, comme “background”, si vous voulez, expérientielle.
Tandis que l’Homme inconscient a seulement l’ego et l’âme, alors que l’Homme conscient a l’ego, l’âme et l’Esprit. Il y a un troisième paramètre, et c’est tout ça qui fait la différence, parce que quand on est inconscient et qu’on se cherche du travail, ou qu’on se marie, ou qu’on fait quelque chose dans la vie, on n’a jamais la certitude créative de notre mental, on a la certitude passionnée de l’âme. On a la certitude passionnée de l’expérience, on a la certitude passionnée qui est la force motrice astrale qui nous pousse dans une certaine direction, mais très souvent ces expériences-là sont pour le bénéfice de l’évolution de l’âme et elles sont au détriment de l’ego.
Et ce que je reproche à la vie involutive, c’est que l’Homme sur la Terre pendant des millénaires, a été forcé de vivre une vie qui a servi beaucoup plus l’évolution de l’âme, qu’elle ne bénéficiait à l’ego. Et une des preuves de ceci, c’est que sur la Terre aujourd’hui il y a énormément de pauvreté. Sur la Terre aujourd’hui il y a très peu d’Hommes – si on considère la population – qui font ce qu’ils veulent, il y a très peu d’Hommes qui vivent comme ils veulent, il y a très peu d’Hommes qui sont mariés comme ils veulent. Autrement dit l’Homme ne vit pas sur la Terre comme il veut !
Il vit en fonction et par rapport à des humeurs animiques, à des forces de l’âme qui, à travers la passion, comme vous dites, à travers cette décharge d’énergie qui est nécessaire pour enclencher le mouvement, amène l’Homme à faire des choix, mais des choix qui sont basés sur des préférences psychologiques, c’est-à-dire sur des humeurs astrales.
Alors que l’Homme conscient ne fait pas de choix. Il prend une décision à partir du moment où il a la lumière pour éclairer. C’est comme si vous avez une “flashlight”, vous allumez la “flashlight”, vous voyez le spot là, c’est là que tu rentres ! Ensuite la clarté indique là, tu vois le spot, tu rentres là ! Ça fait qu’il n’y a pas de décision à prendre, tu rentres là !
Tandis que l’Homme inconscient n’a jamais ce spot-là. Il tâtonne le mur pour voir s’il y a un trou, s’il peut rentrer dedans. C’est ça la différence. C’est pour ça que quand je dis que “je reproche” à la vie involutive, c’est parce que je la mets en contraste, ou je la contraste avec la vie de l’évolution, avec la vie de la conscience des cellules, avec la vie de la conscience mentale que l’Homme connaîtra au fur et à mesure où il prendra lui-même conscience de ses ressources.
C’est que nous avons été pendant des millénaires assujettis astralement, nous avons été assujettis aux forces de l’âme, et ces forces de l’âme là, sur le plan matériel ainsi que sur le plan de la mort dans l’astral, ont toujours travaillé en tandem pour utiliser ce qui existe de notions dans nos sociétés, pour toujours nous garder les Hommes, à l’intérieur de cet empire, au lieu de nous libérer de cet empire, et donc de nous amener à vivre plutôt d’un Esprit libre au lieu d’un libre arbitre.
DM : Ah OK !
BdM : Si vous dites à un Homme sur la Terre aujourd’hui que le libre arbitre est une illusion, il va le contester, il va se fâcher, il va vouloir demeurer dans l’illusion du libre arbitre. Et d’une façon ou d’une autre, on peut toujours lui démontrer que le libre arbitre est une illusion. La preuve c’est qu’on peut dire : “Bon, ben, dans deux semaines à telle heure, tu vas avoir un accident avec ton automobile”. Alors que si l’Homme était conscient, autrement dit si l’Homme était libre dans son Esprit, il pourrait défaire ça.
Un Homme conscient dans son Esprit qui se ferait dire par un médium que, dans deux semaines, il aurait un accident au coin de la rue, il peut le défaire ! Pourquoi ? Parce que l’Esprit domine l’âme. Tandis que chez l’Homme, l’âme domine l’ego, et l’axe entre l’Esprit, l’âme et l’ego, n’est pas formé, ce qui est l’inconscience, ce qui est l’involution. Donc, parler sur notre planète d’intelligence créative, c’est une illusion, c’est une perte de temps. On a une intelligence qui est canalisée, qui vient du plan de l’âme, qui fait partie de notre talent ! La vieille histoire là, que les gens disent souvent : “Bon, ben moi, je suis un artiste, il faut que je souffre comme artiste”…
DM : C’est un mythe, ça !
BdM : C’est un très grand mythe, et on l’a entretenu ce mythe-là. Il a été entretenu en Europe ce mythe-là, au dix-neuvième siècle. Alors pourquoi est-ce que l’artiste devrait souffrir ? Pourquoi est-ce que le scientifique devrait souffrir ? Pourquoi l’Homme créatif devrait souffrir ? C’est une illusion. Et la seule raison pour laquelle l’Homme souffre dans son activité sur le plan matériel, en affaires ou dans n’importe quoi, ou dans son ménage, ou dans n’importe quoi, c’est parce que ce qu’il vit c’est une expérience de l’âme, il n’a pas maté l’âme.
Et les structures psychologiques de notre savoir, autrement dit de notre connaissance, qui font partie de nos philosophies, de nos systèmes de pensée, ainsi de suite, qui font partie de la mémoire de nos races, que nous soyons… Que l’on soit Arabe, que l’on soit Italien, que l’on soit Russe, que l’on soit Indien, n’importe quoi, tout ça fait en sorte que l’ego n’a plus de place en lui, pour sa propre dimension, pour sa propre lumière, pour son propre savoir universel.
Donc c’est absolument normal que l’Homme sur la Terre vive ou ait besoin de cette passion puissante, pour lui faire faire des choix puissants qui vont lui faire vivre des expériences de tonnerre, qui vont l’amener au bout de sa vie, à réaliser qu’il y a eu des hauts puis des bas, puis des hauts puis des bas, puis des hauts puis des bas, autrement dit que la vie c’est simplement un parcours de souffrances. Même l’Église, l’Église dans ses sermons, même les religions dans leurs sermons ont toujours parlé de la Terre comme une vallée de larmes !
DM : Oui, c’est un fait, c’est historique.
BdM : Bon, alors la Terre c’est une vallée de larmes, pourquoi ? Parce que l’Homme vit de l’expérience de l’âme, et alors qu’on dit que la Terre est une vallée de larmes, on continue à dire aux gens : “Baignez-vous dedans”.
DM : Oui. Le désir qui est un peu le fondement de la passion, est-ce qu’il est fondé sur le doute ?
BdM : Non, non ! Le désir, c’est une aberration psychologique de l’ego qui l’empêche de vivre de l’impression créative de la lumière de l’Esprit, sur et à travers le plan astral de l’âme qui le frappe dans le mental. Le désir, c’est l’imperfection mentale de l’ego qui a besoin de l’incertitude pour avoir la préférence du choix.
DM : Ah ! Ça, c’est très bien !
BdM : Le désir, je vais vous en donner quelques unes pour avoir une idée, là.
DM : On va pouvoir choisir !
BdM : Le désir, c’est le besoin qu’a l’ego de savoir ou de sentir une certaine certitude d’autogestion, afin de ne pas perdre son Esprit (rires du public).
DM : Afin de ne pas perdre son Esprit ?
BdM : Oui. Je vais vous en donner un autre (rires du public). Le désir c’est l’attitude qu’a l’ego de se déjouer dans son intelligence pour pas goûter “d’la wrap”. Bon, je vais vous en donner un autre, vous avez l’air d’aimer ça ! Je pourrais écrire un livre sur ça ! C’est parce “qu’ils” descendent, ils descendent là ! Le désir c’est le besoin qu’a l’ego d’affirmer son identité à travers des illusions de possession de son choix.
DM : Des possessions de son choix ?
BdM : Oui, je ne les comprends pas… Ce que je dis là (rires du public), vous comprenez là ? (rires du public). OK. Je vous en donne d’autres. Le désir, c’est le besoin de l’ego de vérifier constamment dans son être la capacité de faire l’autogestion de ses besoins, afin d’avoir la certitude d’être maître de sa vie. Je vous en donne un autre (rires du public) ! Le désir c’est l’approbation de l’âme à travers l’ego, pour que l’ego sente en lui-même la valeur de son être expérientiellement éprouvé dans la matière, à travers l’évènement dont il a besoin pour réfléchir.
DM : Elle est bonne celle-là !
BdM : Un autre, un autre… J’en ai encore deux, trois ! (rires du public). Le désir, c’est la possession de l’âme sur l’ego avec l’impression qu’elle crée de ne pas lui nuire dans son libre arbitre. Comprends-tu là ? Le dernier là, le dernier… Le désir c’est l’aberration ultime de l’ego par rapport à son Esprit, c’est l’invitation sublime de l’ego par rapport à l’âme, c’est l’animalisation de son Esprit au profit de l’expérience (rires du public).
DM : Elle est pas mal bonne celle-là ! Bernard, je peux en poser une ? Les entités comment peuvent-elles influencer le désir ?
BdM : Les entités se servent du désir pour créer dans l’ego une voie, c’est-à-dire un accès d’énergie, un tunnel, un canal, afin de le manipuler dans l’expérience.
DM : Est-ce qu’il se greffe à l’ego par le désir ?
BdM : Automatiquement.
DM : Non, mais est-ce que c’est le moyen pour se greffer ?
BdM : C’est comme ça qu’il se greffe.
DM : C’est comme ça qu’il se greffe ?
BdM : Le désir pour une entité, c’est le canal, c’est comme un canal là, et puis à travers ça, il manipule l’ego.
DM : OK. Une personne qui…
BdM : Le désir c’est la plus grande “écœuranterie” jouée dans la conscience de l’Homme par l’astral, puis pourtant l’Homme se sert du désir pour s’astraliser, puis éventuellement mourir pour retourner dans l’astral, puis il recommence encore !
DM : OK. Les gens qui perdent le désir ont l’impression de ne plus vivre ?
BdM : OK. Les gens qui perdent le désir tombent en dépression, parce qu’ils n’ont pas la compensation de leur conscience mentale. Si l’Homme avait la compensation de sa conscience mentale, il perdrait le désir ; il aurait quoi ? Qu’est-ce que c’est qui remplace le désir ? C’est la conscience des besoins. Ce n’est pas pareil dans mon vocabulaire, la conscience des besoins puis le désir ! Le désir ça fait partie d’un besoin que se crée l’Homme pour astraliser sa conscience. Alors que le besoin, ça fait partie du mental de l’Homme pour éliminer ses désirs, puis l’amener à ne pas utiliser son énergie pour rien.
DM : Est-ce que c’est une illusion de penser qu’on doit se créer des besoins pour…
BdM : Tu ne peux pas te créer des besoins. Tu ne peux pas te créer des besoins sur le plan des désirs. Un besoin dans mon vocabulaire, un besoin c’est toujours intelligent. Si j’avais le besoin d’aller chez McDonald’s à côté pour m’envoyer une “patate frite” pour balancer ma vibration, ça serait bon pour ma santé, la patate McDonald’s serait parfaite pour moi (rires du public).
Autrement dit il y a une relation entre le besoin puis l’équilibre psychique des centres, puis un Homme qui serait capable de vivre toute sa vie, puis suivre son énergie là, puis aller toujours vers ses besoins qui font partie de son intelligence créatrice, cet Homme-là ne serait jamais malade. La maladie vient du fait que nos désirs sont amplifiés ou nos désirs sont sabotés. Quand ils sont sabotés, à ce moment-là on perd le goût de vivre. Quand ils sont amplifiés, on vit trop.
DM : On vit trop, oui !
BdM : Tu ne peux pas trop vivre, il faut que tu vives juste assez. Tu ne peux pas “underlive” (sous-vivre), il faut que tu vives juste assez !
DM : Donnez-moi donc un exemple de trop vivre.
BdM : Trop vivre ?
DM : Trop vivre. C’est trop de sensations fortes ?
BdM : Trop vivre, c’est avoir besoin de mesurer la valeur de ta vie par rapport à des expériences ou des évènements extérieurs qui, si tu les vis, te donnent l’impression de vivre. Ça, c’est trop vivre.
DM : Puis “pas vivre” ?
BdM : Pas vivre, c’est avoir la crainte d’exprimer ton énergie à travers des évènements, donc c’est être retenu par les forces astrales de l’âme.
DM : Bon, ces deux éléments-là qui sont en excès d’un côté comme de l’autre, en quoi servent-ils l’astral ?
BdM : Ils servent l’astral dans ce sens qu’ils ramènent toujours l’Homme au monde de la mort. N’oubliez pas une chose, qu’aujourd’hui dans notre temps, à partir du moment où l’Homme passe de l’involution à l’évolution – mais puisqu’on est encore dans le cadre historique de l’involution – aujourd’hui sur la Terre, la mort ça fait partie absolue de la conscience psychologique de l’ego, autrement dit mourir c’est normal.
On va admettre que certains Hommes ne meurent pas ou se dématérialisent, les grands initiés, le Christ, ainsi de suite là ! Mais pour l’Homme, la mort c’est un fait accompli. Mais ce fait accompli là de la mort, fait partie des lois de l’astral. Lorsque l’Homme aura vaincu l’astral, à ce moment-là la mort n’existera plus pour lui. Ça ne veut pas dire qu’il va rester dans un corps physique “forever”, parce que c’est “plate” (ennuyeux) de rester là-dedans “forever”, mais éventuellement, il va sortir de son corps physique, mais il ne retournera pas à l’astral. Il va aller à l’Éther.
Là, vous allez me dire : “Mais c’est quoi la différence entre la mort astrale puis la mort éthérique”… Quand l’Homme meurt, il retourne au monde de l’astral, il retourne au monde des esprits. Retourner au monde des esprits, c’est retourner au monde du manque d’expérience de l’intelligence. Dans le monde des esprits, l’expérience de l’intelligence n’existe pas, il y a simplement l’expérience de l’âme. La pire chose qu’un être humain peut faire sur la Terre qui est une planète à conscience expérimentale, surtout quand cet être-là est médium, la pire chose c’est de se soumettre à la connaissance des esprits.
Que les esprits donnent à l’Homme de l’information, parce qu’ils sont dans un autre temps, concernant l’Homme sur la Terre, d’accord, mais que les esprits enseignent l’Homme comment vivre, c’est mortel, parce que les esprits ne savent pas, ne connaissent pas les lois de la vie, parce que les esprits sont des âmes, ce sont des Hommes qui n’ont plus de corps matériels, donc ils sont aussi “sans-dessein” (pas intelligents) que nous autres on était, quand on était ici. Mais quand l’Homme communique avec le monde des esprits, il a l’impression de venir en contact avec des êtres qui ont de la sagesse, et ça, c’est une autre des illusions de l’Homme.
La sagesse, c’est la désinformation spirituelle de l’Humanité qui sert à garder l’Homme dans le fondement astral de son inconscience. Donc sur une planète expérimentale telle que la Terre, la pire chose que l’Homme a besoin c’est de la sagesse, parce que de la sagesse c’est tellement grand, c’est tellement beau que l’Homme n’est pas équipé pour voir à travers. Si tu rencontres quelqu’un qui est meurtrier, quelqu’un qui a beaucoup d’énergie astrale négative, c’est facile de le voir et puis de dire : “Bon, ben, ce gars-là, il n’est pas pour moi”. Mais quand tu rencontres quelqu’un qui est réellement fin, puis qui est réellement bon, puis qui est réellement généreux, puis qui t’aime, puis qui est un “petit saint” en marche, en devenir là, tu ne peux pas voir à travers ça ! Tu es fait à l’os !
DM : Comment on peut faire ?
BdM : Alors il faut que l’Homme communique avec le plan mental ; ça fait que tu communiques avec le plan mental, puis tu rencontres un “petit saint” qui peut te faire à l’os, à ce moment-là le plan mental va t’expliquer pourquoi est ce qu’il est un “petit saint”, pourquoi est-ce qu’il est devenu par incarnation sur la Terre un “petit saint”, il y a toutes sortes de raisons ! Ça peut servir les religions, ça peut servir l’Église, ça peut servir des gens autour de lui, ça peut servir s’il est miraculeux, ça peut servir à la foi d’autres personnes, ça peut servir la politique astrale, ça peut servir la politique de la civilisation de l’astral. Il y a toutes sortes de raisons pour ça.
Donc l’Homme ne peut pas se fier quand il est en communication – puis là je parle de l’Homme médiumnique – l’Homme ne peut pas se fier quand il est en communication avec les mondes des esprits, puis ça, c’est tellement réel que le jour où l’Homme va reconnaître ça par lui-même, en lui-même, il va commencer à sortir de l’astral, c’est là que l’Homme va rentrer dans son savoir. Et c’est là qu’à ce moment-là l’Homme n’aura plus besoin de vivre sur le plan des désirs. Parce que les désirs font partie… Le monde des désirs c’est l’arnaque astrale. C’est à travers les désirs que l’astral se manifeste et que l’âme vit de l’expérience, et que l’ego se fait manipuler.
DM : OK. Bon est-ce qu’une personne qui dirait : Je vais éliminer les désirs de ma vie, en viendrait à… Je sais que ce serait peut-être un peu illusoire…
BdM : Non, non, non, non, parce qu’il créerait d’autres attitudes !
DM : Il créerait des attitudes ?
BdM : Tu t’élimines pas tes désirs. Tes désirs ou les désirs – au fur et à mesure où l’Homme va prendre conscience mentale, au fur à mesure que la conscience des cellules va se faire – les désirs vont disparaître, ils vont être remplacés par des besoins.
DM : On peut les vivre ?
BdM : Ben oui, tu ne peux pas vivre à côté de ton âme, puis être effrayé d’elle.
DM : Il n’y a pas de danger à vivre ses désirs ?
BdM : Il n’y a pas de danger, il y a de l’expérience avec des désirs. Il n’y pas de danger à vivre des désirs, il y a de l’expérience. Bon, je vous donne un exemple. Ta petite fille est en amour avec son boss au bureau, bon. Puis son boss au bureau il a une femme, puis il a une autre “chum” (amie). Quand bien même tu dirais à ta petite fille : “Ben, écoute, ton boss au bureau il est marié”, elle ne va rien voir, elle est en amour ! Puis une petite fille en amour qui a un boss au bureau, qui a une femme, puis qui a une autre maîtresse, c’est réellement en amour ! (rires du public). Ça fait que c’est l’expérience de l’âme !
Ça fait que quand bien même tu lui donnerais toutes sortes de bonnes raisons, puis tu lui dirais : “Bon, éventuellement il va te laisser, il va retourner vers sa femme, ou s’il laisse sa femme aujourd’hui, il va prendre l’autre maîtresse”… Elle ne veut rien savoir, pourquoi ? Parce qu’elle vit le moment ! Dans le désir tu vis le moment, par contre c’est un moment astral, ça fait que c’est tellement intense le moment, qu’elle veut le vivre jusqu’au bout. Comment est-ce qu’elle va être amenée à le lâcher son boss au bureau ? C’est qu’un jour, elle va le rencontrer sur la rue, puis il va se passer quelque chose. Peut-être qu’il va trouver une autre maîtresse… Il va avoir sa femme, une autre maîtresse, puis là ça va être “too much” pour elle.
Une femme, deux maîtresses, plus elle, là elle ne pourra plus le prendre parce qu’elle n’aura plus de chance là ! Là, elle va faire une grosse crise, le plexus solaire va être pété, tout va péter, elle va tomber en dépression, puis elle va couper l’affaire. Autrement dit elle va commencer à être intelligente (rires du public).
DM : OK. Bernard, son désir, est-ce qu’on peut dire au moment où elle vit et puis qu’elle n’entend rien, est-ce qu’on peut dire que c’est un besoin ?
BdM : Non, c’est un désir ! Un besoin c’est toujours intelligent. Je ne parle pas du besoin dans le Larousse là. Là je vous parle du besoin comme moi je le définis, puis le désir comme moi je le définis là. Je vous dis que le désir… Je vous ai donné des définitions tout à l’heure là, un petit peu, (rires du public)… Bon ! Et puis un besoin, quand tu es conscient c’est toujours intelligent !
DM : Un besoin c’est toujours intelligent ?
BdM : Donc ça veut dire que les Hommes sur la la Terre vivent très peu de besoins, mais beaucoup de désirs.
DM : On ne peut pas être passionné, puis intelligent en même temps, c’est-à-dire être capable d’expliquer notre passion ?
BdM : Tu peux être passionné, puis pouvoir expliquer ta passion, mais si tu es trop passionné, tu enlèves à ton intelligence du pouvoir dans ton expérience.
DM : Ah OK !
BdM : Tu ne peux pas… Je me prends comme exemple là, moi je vis un contact mental direct tout le temps, vingt-quatre heures par jour. S’il fallait que je sois passionné, je me brûlerais. Je suis neutre, puis je suis “plate”, puis je brûle. Ça fait qu’imagine-toi si j’étais passionné en plus de tout ça, je brûlerais tout ! (rires du public). Ça fait que tu ne peux pas… Tu ne peux pas… Tu n’as pas besoin de ça !
DM : Mais vous êtes drôlement intense !
BdM : Je suis intense, mais s’il fallait que je sois passionné, ce serait terrible !
DM : Ce serait terrible, oui.
BdM : Je me rendrais malade !
DM : Ça pousserait au fanatisme !
BdM : Ça pousserait au fanatisme !
DM : Ça fait que c’est impossible d’avoir une passion puis d’être intelligent ?
BdM : L’Esprit n’est pas passionné, il n’y a rien de plus “plate” (ennuyeux) que l’Esprit.
DM : Comment ça se fait que c’est aussi intense, de l’Esprit ?
BdM : Parce que c’est vibratoirement dans la lumière, c’est toujours dans la lumière, puis dans la lumière, puis la lumière… Tu n’as pas d’incertitude quand tu es dans le bain de l’Esprit.
DM : C’est ça qui fait l’intensité ?
BdM : C’est ça qui crée l’intensité. Quand tu me poses des bonnes questions, là je vivre, là je vibre, là je m’énerve, tu ne peux plus m’arrêter (rires du public). Bon, ben, je parle, tu me parles. On parlait tout à l’heure de quoi ? On parlait du désir là. Je pourrais vous en donner pendant trois jours des définitions sur le désir, il va en passer, puis la vibration elle va monter, puis elle va monter, puis elle va monter, puis elle va monter, puis elle va monter ! C’est de même que ça marche.
Ça fait que tu sois en affaires, que tu sois en ménage ou que tu fasses n’importe quoi, tu es toujours dans cette énergie-là. Ça fait qu’avec le temps tu deviens habitué à ça, tu deviens normal. Tu te calmes avec le temps. Quand je suis sur la rue je suis normal, tu sais, mais là c’est parce que j’étais avec vous autres là, puis c’est intéressant, puis je parle. Mais s’il faut que tu vives la passion là-dedans puis que tu astralises ça, tu es fait à l’os !
DM : Est-ce qu’un besoin peut s’astraliser ?
BdM : Un besoin ça s’astralise quand tu n’es pas assez encore intelligent dans la loi de tes besoins. Ça s’astralise.
DM : Ça veut dire que la loi…
BdM : Ma fille elle connaît ses besoins, puis elle peut astraliser ses besoins. Avec le temps elle va devenir encore plus mûre, puis un jour elle n’astralisera plus ses besoins.
DM : Donnez-nous un exemple de…
BdM : Astraliser ses besoins, c’est ne pas avoir la parfaite certitude que ton besoin est exactement ajusté à ta vibration. Puis ça, ça va dans tout. Ça va dans ton linge, quand tu t’achètes du linge, le prix que tu paies pour tes bottines, ça va dans tout, la sorte de “char” (voiture) que tu t’achètes. Tout ! OK. Si tu veux, on rentre là-dedans…
DM : C’est une démesure ?
BdM : Le besoin… Plus tu es conscient, plus les besoins deviennent subtils, puis plus ils deviennent définissables, mais plus ils deviennent sans fin. Ça n’a plus de fin les besoins, par contre ils ont un timing. Puis plus tu deviens conscient, ton mental est tellement clair que quand le temps vient pour ton besoin, tu le prends, tu t’en vas. Après ça, il faut que tu en aies un autre parce que l’énergie elle continue.
Ça fait que pourquoi est-ce que l’Homme sur la Terre est pauvre ? Parce que l’Homme sur la Terre ne connaît pas ses besoins. Si l’Homme sur la Terre connaissait ses besoins, la pauvreté n’existerait pas. L’Homme connaît simplement ses désirs, et tu ne peux pas t’enrichir avec tes désirs. Tu peux t’enrichir peut-être dans une certaine direction, mais tu vas t’appauvrir dans une autre.
Si tu t’enrichis au niveau de l’argent, puis tu fais des affaires, tu fais bien des affaires, puis le business ça commence à te mobiliser, tu vas devenir malade. Tu vas faire du “burn out”, tu vas perdre ta famille. Ça fait que tu ne peux pas t’enrichir globalement avec des désirs. Avec des besoins, tu ne peux pas faire autrement que t’enrichir, parce que tu es obligé de constamment ajuster ta vibration à un taux vibratoire supérieur !
Quand je parle d’enrichir, je ne parle pas nécessairement monétairement, je parle globalement, santé, bien-être… Toute, toute, toute ta vie, ta vie ! Ça fait que c’est pour ça que le désir c’est astral. Le besoin c’est mental. L’Homme conscient connaîtra ses besoins, d’ailleurs l’Homme conscient connaîtra tellement ses besoins qu’il n’aura pas d’autre avenue qu’à travers ses besoins pour découvrir la beauté de sa vie. Pas la beauté de la vie, de “SA” vie. Parce que la vie c’est pas beau ! SA vie, TA vie, elle peut être belle ! La vie c’est pas beau, parce que sur notre planète, la vie est totalement égrégorisée.
DM : Ah OK !
BdM : Si tu t’en vas en Russie c’est le bordel, tu t’en vas aux États-Unis c’est les drogues, la violence, tu t’en vas en France c’est l’orgueil intellectuel. Au niveau des désirs tu ne peux pas vivre une belle vie. Tu peux vivre une vie intéressante, une vie passionnée, mais tu vas toujours vivre l’expérience, puis ça, avec les années tu vieillis, puis éventuellement tu en arrives à la même place que tout le monde, puis tu n’en arrives jamais à être conscient, autrement dit tu es toujours dans l’involution.
C’est pour ça que maintenant que la conscience supramentale commence à s’installer sur le plan matériel, et que la science de cette conscience-là des cellules va grandir puis va s’épanouir, puis va se répandre dans le monde, les Hommes vont être touchés par cette science-là, et les Hommes vont finalement faire contact avec eux-mêmes, pour lentement petit à petit, passer de la pensée à la communication.
Si tu prends une radio, que tu l’amènes en Afrique et que tu dis à un Africain : “Regarde cette radio qui parle”, ça vient de New-York sur CNN, il ne le croira pas, pour lui c’est la radio qui parle, il va faire des courbettes devant la radio, c’est un Africain, il n’est jamais sorti, c’est normal. Mais si tu prends la même radio, tu l’amènes à New-York et que tu dis : “Regarde c’est une belle radio, ça parle”, tu dis au gars, les ondes viennent de CKVL ou de CNN, puis le gars il n’y croit pas, il pense que c’est une radio qui parle, là il faut que tu le rentres à “Grande bâtisse” (HP). Ben, nous autres on est pareil ! (rires du public).
Nous autres, on pense que tout notre radio c’est ici puis ça parle ici, puis on ne réalise pas que l’Homme est un être multidimensionnel, qu’il est fait de différents plans subtils, le dernier c’est le plan matériel. Il y a le plan éthérique, il y a le plan astral, il y a le plan mental, puis il y a des milliards, puis des milliards, puis des milliard d’intelligences à différents niveaux ! Il y en a qui sont en dehors du temps, il y en a qui sont dans les temps, puis ils travaillent à l’organisation et à l’évolution de l’Homme – parce que l’Homme est un organisme intelligent très perfectionné sur la Terre – pour en venir éventuellement à connecter avec lui, pour que le gars sache que le son de la radio vient d’ailleurs. Puis on vient paniquer, sais-tu pourquoi ? Parce qu’on a été dit depuis des millénaires qu’on a le libre arbitre.
Puis ceux qui ont su, ou les connaissance qui sont sorties de cette périphérie-là, c’est les connaissances qui ont été cachées pendant des siècles ! L’ésotérisme chrétien de l’Église était caché, l’ésotérisme bouddhique il était caché dans le petit véhicule. Donc les Hommes qui ont su des choses ont été obligés de cacher ça, parce que dans ce temps-là, tu te faisais zigouiller. Aujourd’hui ça commence à sortir ! Mais il faut faire attention que ça sorte pas tout “croche” (tordu).
Donc on est rendu à un point pour se protéger du fait que ça commence à sortir… Parce qu’il y en a des affaires qui sortent là, il y en a des affaires, ça vient de la Californie surtout, ça vient de tout partout, là il est temps que l’Homme commence à se centrer sur lui, puis “checker” par lui-même ce qui se passe autour pour voir. Puis si ça marche avec lui ça marche, puis si ça ne marche pas il le met de côté. Tu ne vas pas demander l’opinion des gens si ça marche ! Puis les gens ils vont toujours te dire que ça marche. L’Homme est arrivé à un point où il ne peut plus se permettre de croire n’importe qui. Ça fait que quand tu prends du monde comme moi, des gens comme moi, qui ont la parole extrêmement facile, l’Homme ne peut même pas se permettre de me croire ! Parce que l’Homme ne me connaît pas !
L’Homme ne me connaît pas ! Je pourrais être un agent de l’astral, et l’Homme ne le saura jamais (rires du public). L’Homme ne me connaît pas. Ça fait que l’Homme doit aller par lui-même, “checker” par lui-même ceux avec qui il vient en contact, surtout quand il commence à tomber dans les domaines occultes du mental. Quand tu parles d’affaires c’est pas grave, tu parles de business, mais quand tu traites au niveau de ton mental, c’est ton Esprit !
Tu ne peux pas mettre ça dans la balance de quelqu’un, tu ne peux pas mettre ça et assujettir ça au jugement de personne. Tu rencontres des gens dans le monde, dans différents pays, tu rencontres. Par vibration, tu sais s’ils sont corrects. Par vibration, tu sais s’ils ne sont pas corrects. S’ils ne sont pas corrects, tu t’en vas vite ! S’ils sont corrects, tu restes puis tu “checkes”, parce que tu es encore influençable.
Puis peut-être que le gars il est bien correct, mais tu es encore influençable, puis il peut te magnétiser encore. Puis peut-être qu’il est correct aujourd’hui, puis il ne sera pas correct demain. Puis toi tu penses qu’il est correct aujourd’hui et puis qu’il va être correct demain. Il faut que tu aies toujours ton œil ouvert ! L’Homme ne peut plus se permettre aujourd’hui de croire ! Puis au vingt-et-unième siècle ça va être pire, au vingt-deuxième siècle ça va être pire !
Quand l’Homme va venir en contact avec d’autres civilisations, ça va être le test ultime. L’Homme ne peut pas se permettre de croire, parce que c’est l’effondrement de son individualité, c’est l’élimination de sa lumière, c’est l’astralisation potentielle de son inconscient, de son intellect, de ses émotions. Ça fait que quand l’Homme sort de tout ça, il rentre dans sa conscience mentale, puis il commence à connaître ses besoins, puis il commence à voir la différence entre ses besoins puis ses désirs, puis c’est clair, puis net !
DM : Bon, Bernard, on parle de connaître ses besoins, de prendre conscience de ses besoins. Est-ce que les intelligences qui, finalement, s’occupent de l’Homme, lui font connaître ses besoins, oui lui donnent strictement ce qu’il a besoin ?
BdM : Il y a une intelligence qui s’occupe de chaque Homme. Chaque Homme a un double, chaque Homme a un ajusteur de pensée, chaque Homme a un Esprit, chaque Homme a une source, chaque Homme a un Principe cosmique, chaque Homme a un Moi cosmique, chaque Homme a un Principe universel, chaque Homme est total, global, intégral ! Il lui reste simplement à découvrir sa globalité et son intégralité.
Souvent moi, je vais dire : “il” mais il y en a plusieurs, mais chaque être humain a un être qui s’occupe de lui, qui s’occupe de l’évolution de l’âme, depuis le début de l’évolution de sa propre âme. Puis c’est cet être-là qui, un jour, doit fusionner avec lui. Puis que tu veuilles, que tu ne veuilles pas, que ça prenne cinq-cents ans, mille ans, cent-soixante ans, que ce soit sur la Terre, que ce soit sur une autre planète, ça n’a pas d’importance !
L’être cosmique, le principe cosmique, le grand Moi, appelez ça comme vous voulez, parce que les mots ça ne dit rien, cet être-là, la source de la communication sur les circuits universels telluriques, éthériques, de l’Homme, font partie de lui. L’Homme n’est pas simplement un corps matériel, il est un corps éthérique, il est un corps astral, il est un corps mental.
Ces corps-là venant ensemble un jour, l’Homme passera complètement à une autre dimension. Ça fait qu’en passant de l’involution à l’évolution, il va découvrir ça. Il va découvrir ses besoins, il va réaliser qu’il ne peut pas croire, parce que la croyance a été utilisée par l’astral pendant des millénaires pour assujettir l’ego, pour assujettir la conscience de la planète, pour former des civilisations, pour former des cultes, pour former des cultures, pour former des conditions pour l’expérience de l’âme.
L’Homme conscient, l’Homme multidimensionnel, l’Homme supramental, l’Homme intégral, l’Homme fusionné, il ne pourra même pas croire. Tu ne peux pas croire ! Ce n’est pas que tu ne veux pas ! Tu ne peux pas ! Nous autres, quand on est inconscients, on peut croire, parce que ça fait partie de la mécanique psychologique du moi planétaire. Mais quand tu as un moi conscientisé, tu ne peux plus croire, ça ne fait plus partie de ta conscience mentale !
DM : Bon, est-ce que ça veut dire qu’on ne peut pas croire parce qu’on fait référence au double ? Ou c’est juste un état ?
BdM : Tu ne peux pas croire, point final. Puis ils ne permettent même pas de croire à eux autres. Croire c’est anti-Homme, croire c’est anti-lumière, croire c’est esclavage, croire c’est assujettissement, croire c’est du vampirisme. L’Homme est inconscient aujourd’hui, l’Homme est ignorant aujourd’hui parce qu’il a cru. L’Homme ne peut pas croire ! Là, vous allez me dire : “On peut croire au Christ”… L’Homme n’a pas idée qu’est-ce que ça veut dire le Christ.
Le Christ c’est un initié, c’est un être de lumière qui est venu sur la Terre, qui a placé une vibration, qui était la vibration de l’Amour, pour permettre que se fonde tout le mouvement générationnel des civilisations européennes, puis l’extension autour de la planète, parce que l’Homme était – avant, quand il était sous la loi du talion – l’Homme était extrêmement violent. Donc le Principe de l’Amour a été amené par l’initié le Christ, pas simplement pour que se créent des civilisations judéo-chrétiennes, mais pour que s’ouvre le canal entre l’Homme et le double, sa source, lorsque le temps de l’évolution de la race-racine soit venue.
Si on dit, si les gens demandent : “On peut croire au Christ”… ? Ce n’est pas le Christ qui est le problème, c’est autour de lui ! Ce n’est jamais l’initié qui est le problème ! C’est ce qui se crée autour de lui au cours de l’involution, pendant des siècles, et des siècles, et des siècles, où des doctrines profondément occultes, profondément ésotériques, qui ont été expliquées à un petit nombre de gars là, Pierre, Jacques, Jean, puis sa “gang” là qui, eux autres, ont compris ce qu’il voulait dire. Eux autres sont partis, puis ensuite, ça, ça a été pris, puis ça été nécessaire que ça soit pris pour créer les religions que ça a fait, ou la religion que ça a fait, mais pour l’expérience planétaire de l’involution de la race humaine.
Ça fait que quand tu parles sur le Christ, ce n’est pas le Christ qui est en faillite, ce n’est pas le Christ qui est le problème, c’est les Hommes qui ont interprété ses sciences, sa science, les Hommes qui ont détruit, qui ont éliminé pour des raisons de pouvoir temporel sur la Terre tout l’ésotérisme chrétien qui faisait partie de la conscience christique initiatique de cet Homme-là.
Tu ne peux pas t’imaginer qu’un initié qui vient sur une planète pour donner une nouvelle vibration, un nouvel élan à une civilisation, va parler simplement en des termes qui conviennent à la population, il va dire des choses qui font partie des fondements, des fondations cosmiques de sa science. Alors ces sciences-là ont été perdues. On les retrouve un petit peu à gauche, à droite, dans l’ésotérisme mondial. Il y a eu Rudolf Steiner qui a écrit l’ésotérisme chrétien qui a essayé de ramener ça un peu en France, mais au niveau de la masse mondiale, l’ésotérisme chrétien ça n’existe plus.
Par contre il y a un mouvement dans le monde aujourd’hui, il y a une grande recrudescence de la médiumnité, il faut faire attention ! Il y a une grande recrudescence du psychisme, de la médiumnité en Europe aux États-Unis, au Canada, au Québec, ainsi de suite, qui va faire en sorte qu’il va venir un temps où il va se créer dans le monde, pendant un certain temps, ce que j’appelle moi, des religions psychiques. L’Homme va sortir de la religion là, la religion traditionnelle, excepté pour des grandes masses qui sont encore à ces niveaux-là.
Mais il y a des Hommes qui vont sortir de ce niveau-là pour entrer dans ce que j’appelle des religions psychiques, autrement dit des conclaves ou des cultes psychiques, où tu vas avoir des médiums ou des channeling comme il y a aux États-Unis là. Ça, ça fait partie de la sortie là. C’est bon que ça se fasse, mais ce n’est pas fini parce que l’Homme doit en arriver un jour à sortir même de ces affaires-là, pour devenir lui-même son propre médium, son propre être, avoir sa propre connexion.
Mais ça se passe, et ça va se passer, puis on va le voir dans des films, puis on va le voir dans des séances, on va le voir dans des rencontres, on va le voir dans des collectivités. L’Homme doit savoir qu’il se créera des religions psychiques ou des cultes psychiques, ou des sciences psychiques, mais c’est rien que le début de l’iceberg, c’est rien que le début de l’iceberg ! Il faut que l’Homme retourne à lui-même !
Que l’Homme ne croit plus les religions, certains Hommes ne croient plus les religions, ça fait partie de leur évolution, que les Hommes croient ce qui se passe dans les cultes psychiques à travers le monde, ça fait aussi partie de leur expérience, puis un jour ils vont être obligés de se “checker”. Parce que les cultes psychiques ou les collectivités psychiques, ou les êtres qui traitent avec une médiumnité astrale sont régis par les forces astrales, sont régis donc, par les forces du monde de la mort, donc sont régis par des forces qui, ultimement, ne peuvent pas donner à l’Homme la clé de son évolution, parce que la clé de son évolution ne peut venir que de lui, elle ne peut venir que de la Terre.
La science de l’Homme ne viendra jamais du monde de la mort, elle viendra de la Terre, elle sortira de la Terre. L’Homme vivra des grandes souffrances pour lui donner naissance et l’Homme sera le seul à posséder cette clé-là, et cette clé-là sera la même clé que celle qui lui aura été transférée à partir du plan mental. Ça sera sa clé ! Ça sera la première fois que l’Homme aura sa clé, sa science, que l’Homme ne sera plus influencé, inspiré, médiumnisé, channelé par l’astral, pour avoir des notions qui dépassent le seuil psychologique des religions. Donc l’Homme finalement, une fois pour toutes, sera “safe” (en sécurité) sur la Terre. Il n’aura plus besoin de croire, il sera, point final ! Bonjour !
DM : Est-ce qu’on peut dire qu’aujourd’hui, à notre époque, qu’il est possible pour beaucoup de gens ou une bonne proportion de gens, d’accéder à cette source-là immédiatement, ou s’il faut attendre l’an 2200 ou ces choses-là ?
BdM : C’est un processus évolutif. Vous parlez de l’évolution de la race-racine, vous parlez de l’évolution de la conscience supramentale sur la Terre, vous parlez de deux-mille-cinq-cents ans, c’est un processus d’évolution. Nous les Hommes aujourd’hui, on est les rejetons de la cinquième race-racine qui a commencé avec les Rishis aux Indes, il y a eu les Atlantes qui ont vécu pendant très longtemps, ça a été la quatrième race-racine, donc quatrième race-racine, cinquième race-racine là, commence dans le monde la sixième race-racine.
Évidemment, il y a des Hommes dans cette vie-ci qui vont prendre conscience, donc ces Hommes-là font partie de ce processus évolutif là. Mais il faut faire attention aux catégories parce qu’on a toujours tendance à penser en terme de catégorie, penser en terme de valeur, penser en terme de mission, penser en terme d’évolution, penser en terme de statut : “Je suis assez évolué là ? Je suis fusionné là”… ? T’sé ! Ça fait que tu dis : “Est-il bon ton steak”… “Il est bon”. “Les aimes-tu tes patates-frites”… “Oui”. T’es fusionné, c’est assez, t’as pas besoin de plus que ça ! (rires du public).
On veut toujours… C’est encore le désir spirituel ! Si t’es bien dans ta peau, t’es bien dans ta peau. Puis avec le temps, ben, pourquoi est-ce qu t’es bien dans ta peau ? Parce que tu commences à prendre conscience de tes besoins. Ça fait qu’avec le temps tu deviens plus conscient, tu rentres dans ta conscience mentale, puis un jour quelqu’un te demande : “Fais-tu partie de la race-racine”… Tu vas dire : “C’est quoi cette affaire-là”… (rires du public). C’est ça .
Autrement dit là, on est rendu à un point où il faut qu’on arrête d’être niaiseux puis qu’on s’occupe de notre steak, puis notre steak, c’est d’être bien dans notre peau ! Mais notre peau, pas la peau du gourou, puis la peau du maître, puis la peau de Bernard de Montréal ! Bernard de Montréal il ne vaut pas “d’la marde” !Bernard de Montréal, c’est un instructeur, il arrive ici pour faire quelque chose, il donne des notions. Puis il y a des gens qui sont capables de partir avec ça, qui sont capables, parfait !
À part ça, ce qui compte, c’est que l’Homme s’occupe de lui. Une fois que l’Homme s’occupe de lui, puis sais-tu quand est-ce que tu commences à t’occuper de toi ? Quand tu commences à arrêter de croire les autres ! Quand tu commences à arrêter de croire tout le monde autour de toi, tu commences à t’occuper de toi. Ça va loin l’affaire de croire.
DM : Ouais. Mais c’est parce que vous avez déjà dit qu’il ne faut même pas croire à notre source ?
BdM: Non, parce que croire à sa source, ça veut dire dépendre psychiquement du pouvoir d’information télépathique qu’ils donnent, ils vont vous “jouer le cul”, ils vont vous désinformer pour vous apprendre à ne pas croire ! Quand vous aurez besoin de savoir de l’information dans la vie, pour telle raison, parce que ce sera important, vous le saurez, point final ! Sans ça vous allez vivre de l’ego, vous n’aurez pas de transparence.
Et une des grandes qualités du contact de la conscience supramentale, une des grandes qualités de la conscience des cellules, c’est que l’ego est transparent ! Ça fait qu’un Homme qui a un ego qui est transparent, qui est en contact télépathique avec sa source, quand l’ego est transparent, que ce soit de l’information pour son travail, à quelque niveau que ce soit, ça ne transpire plus l’impression, le désir du pouvoir.
DM : Parce que quand il y a de la croyance, il y a un “underground” (souterrain) de pouvoir ?
BdM : Quand il y a de la croyance il y a un “underground” de pouvoir.
DM : Voulez-vous expliquer ça ?
BdM : “L’underground” de pouvoir, ça fait partie de la mesmerisation de l’ego, de la fascination de l’ego avec des aspects plus occultes de la vie suprasensible. Et un ego qui est inconscient, il veut être en contact avec ça, il veut savoir comment ça marche cette affaire-là, il veut faire de la télépathie, il veut faire de la lévitation, il veut être capable de savoir quel cheval qui va rentrer à Blue Bonnets (Hippodrome). C’est tout un “underground” de pouvoir ! Ça fait partie des lois de la magie noire, même si vous dites que vous n’êtes pas dans la magie noire, peut-être que vous, vous n’êtes pas dans la magie noire, puis il y a de la magie noire en arrière de vous.
DM : Ouais.
BdM : Ouais, ouais, ouais !
DM : Bon, partant de ce point-là, l’individu qui veut aller chercher un contact avec sa source, est-ce que sa relation elle est réelle ou si c’est une relation qui va lui apparaître à un moment donné dans sa vie, par le biais des évènements ?
BdM : Tu ne vas pas chercher le contact avec ta source.
DM : C’est ta source qui vient te chercher ?
BdM : C’est ta source qui vient te chercher. Tu peux aller chercher un contact avec l’astral, ça c’est facile. Mais ta source, elle connecte quand c’est le temps, ça fait que si c’est le temps dans ta vie qu’elle connecte, elle va connecter les affaires, puis si ce n’est pas le temps elle connectera dans une autre vie, puis il n’y rien à faire. (rires du public).
DM : OK. Si c’est ta source qui… Non, mais j’ai une question là ! Si c’est ta source qui vient te chercher, est-ce que c’est ta source qui définit quand tu vas être capable de voir tes besoins ?
BdM : C’est ta source qui définit quand est-ce que tu vas être capable de la prendre.
DM : La prendre, la source, c’est-à-dire l’absorber ?
BdM : Ouais, absorber le choc, c’est une énergie ça.
DM : OK.
BdM : Comme l’électricité qui passe dans un fil, l’électricité c’est de l’intelligence, elle n’est pas intéressée à faire fondre le fil, elle va attendre que le fil se renforce un petit peu. Bon, ben, la source c’est de même ! Tandis que l’astral, ça ne le dérange pas si tu fonds ou si tu ne fonds pas. Moi je connais des médiums qui ont, je pense à Barbara Chapman aux États-Unis, la psychologue là, elle a son “staff”. Avant quand ils connectaient avec l’Homme, en général ils connectaient avec des gens simples, des fermiers, des gens de campagne. Mais là, ils sont rendus qu’ils commencent à connecter avec des psychologues des Universités là, parce que ça commence à être un petit peu plus important.
Ça fait qu’ils ont connecté avec Barbara Chapman aux États-Unis, ils lui ont écrit un livre, puis elle, c’est une psychologue là, elle est totalement rationnelle ! Puis la fille, elle n’a jamais cru ce qu’ils ont écrit, par contre elle était ecœurée, parce que les entités astrales, quand ça commence à taper sur ta ligne pour que tu écrives, ils veulent que tu écrives, ils te forcent à écrire. Puis elle est morte en 81 là, puis elle a été bien malheureuse de son contact, puis il y a d’autres personnes qui ont ramassé son œuvre.
Mais quand ils l’ont contactée il n’y avait rien à faire ! Psychologue, pas psychologue, bien intellectualisée, quand ils veulent rentrer en contact, ils rentrent en contact ! Ça, c’est au niveau de l’astral, alors imagine-toi au niveau du double ! Quand ils veulent entrer en contact, ils rentrent en contact. La seule différence, c’est que le double, quand il rentre en contact avec l’Homme, il entre en contact pour que l’Homme en arrive éventuellement à une conscience intégrale, c’est-à-dire à un état de conscience plus unifié avec lui. Tu rentres dans ton intelligence. Tandis que l’astral, quand il rentre en contact avec l’Homme, il va lui passer des petits messages qui sont valables, parce que ce que Chapman a reçu comme informations, c’est très très intéressant.
Par contre, c’est encore de la désinformation subtile, qu’un jour, du monde conscient va être obligé de défaire, puis de dire : “Bon, ben, il y a la réincarnation, puis il y a l’incarnation, il y a une différence entre les deux”. Il y a l’affaire de l’âme sœur, parce qu’ils sont forts sur l’affaire de l’âme sœur de l’autre bord ! Ça fait que l’âme sœur, c’est ça, puis il y a plein de types de complémentarités, c’est ça ! Ça fait que le problème, quand on “deale” avec les médiums ou qu’on “deale” avec l’astral, on vit toujours un petit peu de désinformation, puis l’Homme aujourd’hui n’est pas suffisamment encore dans son mental pour voir à travers.
Moi quand je rencontre des médiums, des clairvoyants, des gens qui lévitent, des gens qui passent à travers des murs, laisse-moi te dire quand ils ont fini avec moi après, ils ne passent plus à travers les murs (rires du public), parce que l’énergie elle ne vient plus de l’astral. C’est ça… Qu’on est rendu à ce point-là ! On est rendu à un point où on a besoin sur la Terre, de beaucoup d’hommes, de beaucoup de femmes, conscients, qui peuvent donner des conférences, écrire, parler, créer, mais voir à travers ce qui vient des plans astraux !
Puis dans les années qui s’en viennent… Vous allez voir… Regardez simplement en Californie, parce que ça part tout de là, c’est un centre tellurique astral très fort, puis ça s’en vient tout des états, ça s’en vient ici, puis ça s’en va en Europe. L’astral est très fort là, puis vous allez en voir de toutes les couleurs.
DM : Mais là, c’est parce que vous dites : on peut être connecté par l’astral, comme possédé par l’astral. Puis on peut être aussi connecté ou branché par notre double ?
BdM : On a tous un double.
DM : Oui, OK. Mais…
BdM: On a tous un double. Tu ne pourrais même pas penser si tu n’avais pas de double, ça fait que tu serais un animal. Ce qui fait la différence entre l’Homme puis l’animal, c’est que l’Homme a un double, l’animal ne l’a pas. L’animal a simplement de la mémoire d’âme, il n’a pas de double, il n’a pas de contact avec une source. Tandis que l’Homme il a un double. Ça fait qu’on a tous un double.
Par contre, on est en train de commencer à savoir qu’est-ce que c’est de la pensée. On dit : “Je pense, je pense” ! Descartes dit : “Je pense, donc je suis”. Ça veut dire quoi ça : “Je pense, donc je suis” ? “Est-ce que je suis niaiseux ? Est-ce que je suis intelligent”.. ? (rires du public). On est resté avec ça : “Je pense, donc je suis”. Ça fait qu’il ne nous a pas aidé bien gros Descartes. Puis là, tu vas à l’Université, puis le prof te dit : “Tu penses, donc tu es”… T’sé… (rires du public). Ça fait que… Je suis fatigué ! (rires du public).
DM : Moi c’est juste pour le branchement là… Comment un double peut laisser passer une possession astrale ?
BdM : Il ne peut pas faire autrement, il ne peut pas faire autrement parce qu’on est trop astralisé ! Essaie donc toi, de faire passer le soleil à travers des nuages, quand t’es ici dans ton jardin ! Comment est-ce que le soleil… Pourquoi est-ce que le soleil ne passe pas ses rayons à travers des nuages ? Tu as des nuages ! L’astral c’est des nuages ! T’as déjà vu ça, des coques ? Peut-être que t’as jamais vu ça, des coques astrales ? C’est des nuages ! Tu te promènes sur la rue, tu en vois des gens avec des coques astrales, ils n’ont même pas de yeux, c’est tout noir là ! C’est ça des coques astrales ! Puis ça traîne autour de toi, puis ça flotte.
Tu vas dans des maisons du monde, tu en vois des coques astrales ! Il y en a un qui était caché dans le coin à côté du poêle, puis il te regarde, comprends-tu ? Après ça, tu te demandes pourquoi est-ce que brûles ton steak ! ( rires du public). On vit dans des mondes parallèles. Bjorg, il se promenait sur la rue à Stockholm, tout d’un coup, il commence à réaliser qu’il passe à travers du monde… Au début, il n’était pas intelligent, il se tassait à droite… (rires BdM)… Puis finalement il a commencé à voir clair, il regardait, tout d’un coup il marchait les deux pieds au-dessus de terre, donc il a arrêté de passer à côté, puis là, il passait dedans.
Le monde… La réalité est plus grande que la fiction. Puis la science… La science puis toutes les connaissances de l’involution, à part des connaissances ésotériques de l’involution, ont voulu nous faire croire différemment. Là, la science commence à tourner de bord un petit peu. Ils commencent à s’apercevoir que le corps physique puis le cerveau, c’est un petit peu plus complexe qu’on pensait, hein ! Ça fait qu’on rentre dans une médecine “para”, puis on va rentrer dans la science “para”, puis attends qu’on rentre dans la science “para” !
DM : Oui, mais dans la science “para”, on va découvrir une multitude de choses dont vous parlez présentement !
BdM : Dans la science “para”, ça va être le début, ça va plus loin que ça, plus loin que ça, plus loin que ça !
DM : Puis les gens de science vont faire croire aux masses leurs découvertes ?
BdM : Écoute Daniel, écoute Daniel, on ne peut pas oser être mathématicien puis statisticien. Voilà cent ans, on était des “sans-dessein” scientifiquement. Edison a commencé à travailler avec le magnéto, puis ce n’est même pas lui qui l’a découvert “anyway”, c’est Tesla, puis tout le monde a dit que c’était lui. Disons que ça fait depuis 1850 là, qu’il commence à se passer quelque chose réellement intéressant au niveau de la science. Puis là, on est rendu en 1984, les changements… Tu aurais dit ça à ton grand père en 1900, qu’aujourd’hui on irait sur la Lune, il t’aurait rentré… Pas dans la “Grande bâtisse” (HP), mais dans son sous-sol ! (rires du public).
DM : Il m’aurait enfermé là (rires).
BM : Puis aujourd’hui, on ose penser qu’on est “smart”. Moi j’ai rien contre les scientifiques, je les adore les scientifiques. J’ai des “chums”… Plein, j’en ai plein de scientifiques “chums”, puis j’en ai qui sont marginaux à ceux-là, en plus de tout ça. Mais il faut qu’on arrête d’avoir peur de ne pas être comme les autres. Il faut qu’on arrête d’avoir peur de ne pas être comme les autres, parce que quand tu es conscient, tu n’es pas comme les autres. Puis c’est normal de ne pas être comme les autres, parce que les autres ne sont pas comme personne ! (rires du public) Comprends-tu ce que je veux dire ?
DM : Ouais.
BdM : Ça fait que le monde dit : “C’est drôle, ça fait vingt ans que je vis des affaires, puis j’étais un médecin, je n’ai jamais voulu en parler à mon collègue”. C’est ton “crisse” de problème ! Tu avais ta “chienne” (tu avais ta crainte) tu voulais garder ton statut ! C’’est ton problème, vis-là ta “chienne” (ta crainte) ! Puis on est tous pareils, on a tous vécu des expériences : “Oh ! Je pensais à toi quand tu m’as appelé, c’est comique”… C’est pas comique ! (rires du public). “J’ai rêvé à toi hier, comment ça se fait ? J’ai rêvé que tu divorçais, et puis tu m’annonces ça, c’est comique”. On est comique, on passe notre vie à être comique ! Ça fait que quand tu passes ta vie à être comique, je te dis que le monde rit de toi en “crisse,” surtout moi !
DM : Mais des gens qui savent comme vous, vous savez…
BdM : Il y a plein de gens qui savent.
DM : Mais ces gens-là, comment ça se fait qu’ils ne s’expriment pas ?
BM: Ben, il y a en a qui s’expriment, il y a en a qui s’expriment. Je parle de l’humanité, je parle au large. Il y en a qui s’expriment. Ma femme est allée en France dernièrement, elle a rencontré des médiums qui me connaissaient ici à Montréal, imagine-toi, il y en a du monde qui savent. Mais je parle au monde, les scientifiques, les ingénieurs, les techniciens, les gens les plus importants dans la société là, ceux qui travaillent “bolts and nuts” (écrous et boulons, au sens figuratif), c’est eux autres qui sont les plus renfermés dans leur Esprit.
Il y a un médecin là, un cardiologue qui travaille – je ne vais pas mentionner le nom, à Montréal, dans l’hôpital là – il est pas mal fasciné par le fait des cas des morts cliniques là. Au moins, il a une ouverture d’esprit. Il ne comprend pas, il dit qu’il se pose des questions. Quand un cardiologue commence à se poser des questions, c’est déjà quelque chose (rires du public). Tu respectes ça, un homme de même.
DM : Mais est-ce qu’il y a des gens qui ont…
BdM : “Anyway”, “anyway”. Inquiétez-vous pas parce que je vais vous dire une chose. Il y a des forces psychiques dans le monde qui sont en train de s’éveiller sur la Terre, qui sont tellement grandes que le couvercle, il va sauter sur le poêle, “anyway” ! Gorbatchev, il a changé la civilisation, hein ! Il n’était pas dans les prophéties de Nostradamus, Gorbatchev. Cherche dans Nostradamus, tu ne verras pas Gorbatchev !
Gorbatchev avec sa perestroïka puis toute sa patente, il a changé la civilisation, il s’est quasiment fait sauter, parce qu’il fallait qu’il se fasse sauter pour que ça change. Ça fait qu’il y a des forces sur la Terre aujourd’hui qui sont tellement grandes que l’Homme, à tous les niveaux, il va réaliser que la vie sur une planète comme la nôtre, c’est un petit jardin d’enfants, puis nous autres on est des gosses. J’ai pas dit des “couilles”, j’ai dit des gosses comme ils disent en France !
DM : Des enfants.
BdM : On est des enfants. Moi je me rappelle en 69, quand j’ai vécu le contact, puis j’ai dit : “Est-on si sans-dessein que ça”… Il dit : “Absolument”. Ça fait que j’ai fermé ma gueule depuis ce temps-là ! (rires du public). Puis vingt ans plus tard, je commence à la rouvrir (rires du public).
DM : Vous le dites pour vous là, c’est pas pour la planète là ! Pour vous, vous commencez à ouvrir.
BdM : Je commence à parler !
DM : Vous commencez à parler. Ça va être très impressionnant quand vous allez commencer. Merci beaucoup, Bernard de Montréal. (Applaudissements).
mise à jour le 22/08/2024