L’écriture automatique

Paris – credit: @DronalistDailyDose YouTube

Psychologie évolutionnaire 2

“Je veux parler un petit peu dans le cadre de la psychologie évolutionnaire, je veux parler un petit peu d’écriture automatique. Mais je veux parler de l’écriture automatique à ma façon, pas d’après ce que vous avez lu dans les livres. L’écriture automatique, pour que ce soit utile, UTILE, il faut que la pensée soit reliée au crayon. L’écriture automatique, ce n’est pas un mouvement d’automatisme… Que tu fais ça, là, tu écris …” BdM

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

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Je veux parler un petit peu dans le cadre de la psychologie évolutionnaire, je veux parler un petit peu d’écriture automatique. Mais je veux parler de l’écriture automatique à ma façon, pas d’après ce que vous avez lu dans les livres. L’écriture automatique, pour que ce soit utile, UTILE, il faut que la pensée soit reliée au crayon. L’écriture automatique, ce n’est pas un mouvement d’automatisme… Que tu fais ça, là, tu écris des choses puis tu es utilisé dans le processus.

Tu essaies de lire ça, ce n’est pas compréhensible, ça n’a pas d’allure, c’est rien que des mouvements mécaniques, moteurs. L’écriture automatique, de la façon dont ça doit être exécuté chez l’Homme, ça doit permettre à l’individu de reposer son Esprit. La seule fonction de l’écriture automatique, c’est de reposer votre Esprit, autrement dit de vous empêcher, en tant qu’individu, de fonctionner comme un paratonnerre, pour que l’énergie passe, l’information passe, se canalise et aille sur le papier.

Éventuellement, quand l’Homme va devenir très très conscient des autres plans et qu’il va entretenir une télépathie, donc une conversation à deux sens avec le plan mental, l’Homme va réaliser que les lois d’énergie au niveau du mental sont extrêmement sévères dans le sens que l’accès aux archives, ce n’est pas ouvert à toute l’humanité. C’est ouvert à des individus qui ont un certain taux vibratoire ; d’abord pour la protection de l’Homme, pour la protection psychologique de l’Homme, aussi pour l’élévation de sa conscience mentale, pour le changement vibratoire de son corps mental.

Il y a beaucoup d’informations que vous ne pourrez pas avoir directement par télépathie, il va falloir qu’elles soient canalisées par une forme d’écriture. Pourquoi ? Pour empêcher que le corps mental soit trop mis en vibration. Vous autres, pour le moment, probablement vous pensez : “Ah ! C’est bien intéressant de communiquer avec les autres plans”… Papapa…Papapa… Ce n’est pas comme ça que ça marche !

Communiquer avec les autres plans, tant qu’on n’est pas très très habitué, que l’ego n’est pas rendu très très transparent, qu’on n’a pas une conscience très objective dans la relation entre notre moi et ces plans-là, ça peut être très très fatigant ; parce que le moi planétaire est toujours testé, il est toujours amené à ses limites psychologiques, il est toujours amené à vérifier jusqu’à quel point il est libre de la conscience de la race. Donc à partir du moment où l’Homme vient en contact avec le plan mental ou des entités du mental – appelez ça comme vous voulez – à partir du moment où l’Homme vient en contact avec des intelligences systémiques, il doit se protéger du caractère invasif de cette relation-là.

Et c’est dans ce sens-là que l’écriture automatique est utile, mais ça va prendre un certain temps avant que l’Homme puisse faire de l’écriture automatique créativement, parce que son corps mental ne sera pas ajusté à sa fonction psychomotrice, dans le sens qu’il n’aura pas été suffisamment transmuté au niveau de ses corps subtils pour pouvoir canaliser directement l’information, et ne pas porter atteinte psychologique subjective à l’information. Donc il y a un travail qui se fait, il y a un travail qui devra se faire. Puis ça, ça peut durer des années de temps.

La raison pour laquelle je veux parler d’écriture automatique, c’est parce que je veux faire comprendre que l’écriture automatique à laquelle on a été habitué pendant l’involution, c’est une énergie astrale. Alors que l’énergie… Que l’écriture automatique dont je parle, au cours de l’évolution, ça sera une énergie mentale, c’est l’énergie mentale qui sera la force derrière ce mouvement-là, et non pas une entité dans le monde de la mort.

Et la différence est importante parce que si vous avez de l’écriture automatique qui est le résultat de l’activité d’une entité astrale, c’est de la connerie que vous allez avoir sur le papier, parce que l’astral c’est un plan qui, constamment, tend à maintenir l’Homme dans une forme quelconque d’ignorance. Donc, pour que l’Homme puisse se servir de cette écriture automatique là, puis finalement faciliter la descente de l’énergie, se reposer l’Esprit, ainsi de suite, il va falloir qu’il soit capable d’intervenir dans la vibration quand il écrit.

Autrement dit, quand vous écrivez, vous facilitez le processus de communication télépathique, mais il faut que vous soyez capables instantanément d’intervenir dans la fabrication du geste, dans l’information qui descend. Sans ça, si vous n’êtes pas capables d’intervenir, vous devenez un outil, vous devenez une extension d’une énergie dans l’invisible qui vous manipule et qui se sert de votre corps physique pour balbutier de l’information.

Si les gens étaient capables de faire de l’écriture automatique facilement, dans le sens que je le parle, l’Homme pourrait écrire des livres, des bouquins comme “La Genèse du Réel” avec grande facilité, dans leur vibration, selon leur propre rayon. Et on accèderait à de l’information de par le monde, extraordinaire, concernant l’évolution de la psychologie évolutionnaire ou la nature des plans ; parce que chaque individu est un cristal, chaque individu est une lumière, chaque individu a une relation avec l’invisible qui est totalement différente de l’autre, même si foncièrement ces relations-là sont universelles et uniquement réunies.

Mais pour pouvoir écrire, donc rendre service à l’humanité, informer l’Homme, il faut qu’on soit capable quand on écrit, d’être le juge et le critique et l’éditeur de ce qui est écrit. Mais si on n’a pas contact mental à deux sens et qu’on n’est pas capable d’injecter dans ce rapport-là, notre propre conscience, à ce moment-là on ne peut pas corriger l’information, on ne peut pas l’éditer, l’information ; on ne peut pas l’ajuster, l’information ; et surtout on est incapable d’en éliminer les courants spirituels.

Et si vous n’êtes pas capables dans le temps d’écrire des livres qui sont libres de toute trace spirituelle, vous ne serez pas capables de rentrer dans les mystères, et d’expliquer à l’Homme la genèse systémique de son évolution, l’origine des systèmes et l’évolution des grandes forces dans l’univers, puis les mondes parallèles qui sont responsables pour l’évolution des vagues de vie, des systèmes de vie, puis des gouvernements qui existent dans l’univers entier.

Donc vous ne serez pas capables d’accéder aux mystères, donc vous serez encore viciés par le besoin qui dure depuis des millénaires de poser des questions puis de ne pas avoir de réponses. Pendant l’involution, on a cru poser des questions et on a attendu les réponses. Dans l’évolution, on créera les réponses, point final. Avoir des questions c’est symptomatique… C’est symptomatique de notre impuissance à la source. Avoir une question, c’est symptomatique de l’impuissance à la source ! Un Homme qui est en puissance à la source n’a pas de question, il a une réponse.

Tu n’as pas besoin d’avoir un PhD (doctorat) en logique pour ça ! Avoir des questions, c’est symptomatique de l’impuissance à la source. Donc avoir des questions, ça réfléchit, ça indique, ça témoigne de notre conscience involutive. Alors que donner, créer des réponses – ce n’est pas pour rien que j’emploie le terme “créer des réponses” au lieu de simplement donner des réponses – créer des réponses, ça veut dire éditer le matériel qui nous vient par télépathie ; éliminer de ce matériel-là les petits courants subtils astraux qui spiritualisent la conscience et qui nous empêchent, en tant qu’êtres intelligents, de participer créativement à la structuration de la connaissance.

C’est-à-dire au développement d’une science systémique qui peut expliquer tous les plans, tous les sous-plans, investiguer les structures gouvernementales qui s’occupent de l’évolution des systèmes de vie, des formes de vie, des intelligences et des consciences ; donc des vagues de vie qui font partie du phénomène unique dans notre galaxie de ce qu’on appelle la conscience vivante !

Il faut que l’Homme soit capable de créer les réponses, mais créer les réponses, ça implique pour l’être humain de l’involution, une capacité d’éditer l’information qui passe dans son canal quand il est mis en vibration et qu’il est en contact télépathique avec les plans. Si l’Homme n’est pas capable d’éditer l’information, l’Homme à ce moment-là est simplement un outil de l’invisible.

Et à ce moment-là, il est possiblement un outil de l’invisible astral, donc il est en communication avec le monde de la mort, donc il est en communication avec des âmes qui sont désincarnées qui représentent simplement des humains qui étaient vivants dans une autre vie, donc il est en communication avec des plans de conscience qui sont aussi “sans-dessein” que nous autres.

Donc l’édition de l’information, de l’information télépathique, de l’information qui vous vient dans le mental lorsque vous êtes en vibration, ça fait partie de la capacité de l’Homme d’établir les bornes du réel en fonction de la vibration qu’il a, dans la mesure où cette vibration-là est totalement mentale. Un Homme qui a une vibration mentale, qui n’est pas astralisé, est aussi efficace psychiquement, électriquement, intelligemment, qu’une entité qui est sur un autre plan, qui n’a pas de corps matériel, mais qui fait partie des vagues de vie, comprenez-vous ça ?

Une intelligence humaine dans un corps matériel qui est capable d’éditer l’information – c’est-à-dire ne pas colorer astralement la communication qui est établie entre lui puis le plan mental – est aussi avisée dans la construction des systèmes de connaissance, donc dans le savoir, qu’une intelligence qui est sur un autre plan ; avec la seule distinction qu’il n’a pas pour le moment le véhicule nécessaire pour observer la qualité précise de cette information-là.

Je vous donne un exemple. Disons qu’on discute des Éternels. Là, je vous donne ça d’un corps physique, c’est évident que je ne les vois pas les Éternels. Par contre, si je suis dans le mental et que j’édite la vibration quand je la parle – parce que je n’ai pas besoin de la recevoir, là je suis trop habitué – quand je la parle, si je l’édite, c’est-à-dire si je suis suffisamment conscient pour la “dé-astraliser” instantanément au fur et à mesure que je parle, à ce moment-là je suis capable de vous définir qu’est-ce que c’est un Éternel, quel est leur rôle.

Et puis je vais vous le faire pour donner un exemple. Et à ce moment-là, si j’ai à vérifier ce que je dis, j’ai simplement à sortir de mon corps physique, aller en conscience morontielle puis venir en contact avec ces intelligences-là qu’on appelle des Éternels, pour finalement établir un lien morontiel télépathique sur les plans systémiques qui font partie de l’évolution.

Ce que l’Homme doit comprendre, ce que l’Homme n’a jamais saisi pendant l’involution, c’est qu’il n’était pas aussi loin de l’invisible qu’il pensait. La seule raison qu’il était loin de l’invisible, c’est parce qu’il n’était pas capable d’éditer sa pensée, et l’Homme devra en arriver un jour à éditer sa pensée, c’est-à-dire éliminer les aspects astraux de sa conscience involutive, les éliminer complètement pour ne vivre temporairement que dans les aspects architecturaux de son mental.

Donc c’est quoi un Éternel ? Un Éternel, c’est ce que tu peux dire de lui. Donc quand tu définis un Éternel, la définition est en fonction de ta propre éternité, elle est en fonction de ta propre infinité, donc elle est en fonction de ton propre rayon, donc elle est en fonction de ta propre conscience mentale. Quand je parle de conscience mentale, je parle d’une conscience qui n’est pas astralisée puis qui n’est pas conditionnée par la mémoire de la race, donc les Éternels vont être ce que je veux qu’ils soient.

Donc si je décide de prendre un crayon pour faciliter la distribution d’informations, je peux dire : “Bon, un Éternel c’est une entité qui est intelligente, qui a une forme, qui n’a pas de corps matériel, qui est sur le plan morontiel, qui est sur le plan systémique, et dont le travail fondamental est d’établir des relations ordonnées entre les catégories d’intelligences systémiques qui s’occupent de la distribution du pouvoir de la pensée dans l’univers local”. Ça, c’est un de leurs jobs !

C’est évident que quand tu es rendu à un certain point d’études dans les mystères, tu n’as plus besoin de vérifier ce que tu dis, parce que tu n’es plus prisonnier du vrai et du faux, d’ailleurs c’est une des conditions fondamentales de la psychologie évolutionnaire. Pourquoi est-ce qu’on a été piégé pendant l’involution ? C’est parce que les systèmes religieux et philosophiques ont basé la conscience de l’Homme sur le vrai et le faux. Donc on a voulu atteindre la vérité.

En voulant atteindre la vérité, on a été piégé par le mensonge donc on a polarisé notre mental et en polarisant notre mental, on a été incapable de diviser notre rayon, donc s’actualiser créativement dans un mode de conscience télépathique. Donc on a été obligé de réfléchir comme Saint Thomas d’Aquin, mais on n’a jamais été capable, en tant qu’être, d’établir les normes volontairement et les limites infinies d’une conscience créative qui est capable de dicter ce qui existe dans l’invisible, à partir du moment où l’Homme n’est plus régi par les lois de la mort.

Ça fait que si je veux aller plus loin dans la définition des Éternels, c’est quoi un Éternel ? “Un Éternel c’est un être qui a la capacité, à cause de sa très grande vitesse et de sa grande immobilité – c’est-à-dire sa capacité d’exister en dehors des temps systémiques – c’est un être qui a la capacité de créer à volonté dans l’intelligence des vagues de vie en évolution, dans le système local comme l’univers local, créer ce qu’on appelle une conscience”. Le job des Éternels, c’est de créer le phénomène de la conscience.

Mais c’est quoi le phénomène de la conscience ? Ça revient à un être conscient de pouvoir définir qu’est-ce que c’est le phénomène de la conscience. Une lumière ça devrait être capable de définir sa réalité, une lumière ça devrait être capable de définir son mouvement, une lumière ça devrait être capable de définir sa programmation, une lumière ça devrait être capable de définir son origine, si elle n’a pas peur d’être éteinte ou de se perdre dans son origine !

Si une lumière a peur de se confondre ou d’être confondue dans son origine, elle cesse d’être lumière, elle devient un ego planétaire. Donc à ce moment-là, elle n’est plus capable d’expliquer la fonction d’un Éternel ou de rentrer dans l’étude des mystères, comprenez-vous ce que je veux dire ? Donc un Éternel, c’est une intelligence qui a la capacité de créer une pulsation dans un univers local, qui crée de la conscience ; donc de faire vibrer une lumière particulière dans un univers local, une lumière tellement haute en vibration qu’elle est capable de pénétrer dans toutes les couches de consciences créées depuis le début de la création. Ça veut dire : le monde minéral, végétal, plantaire et humain, et suprahumain, c’est ça le job d’un Éternel.

Il n’y a rien là, parce que ça fait partie des constantes universelles absolues qui distribuent absolument une énergie pour le bénéfice absolu d’une conscience, qui a le droit absolu de revenir à la source. C’est le rôle des Éternels et c’est le but final de l’évolution, et c’est finalement le droit des Hommes sur notre planète ou dans d’autres mondes, de revenir à la source.

Là il y en a qui vont dire : “Bon, ben, si on revient à la source, il n’y aura plus de mouvement, ça va être plate (ennuyant), on va s’ennuyer”. C’est un petit peu comme quand on était jeune : “Qu’est-ce qu’on va faire quand on va aller au ciel, ça va être plate (ennuyant), on va être là pour tout le temps… Si on va en enfer, ça va être terrible, on va brûler tout le temps”…

Donc il y a des concepts psychologiques qui font partie du moi planétaire, qui font partie des limites de la conscience de la race, parce que l’Homme n’est pas capable de sortir en conscience morontielle. Il y a des limites psychologiques qui font en sorte que l’Homme, en tant qu’être pensant, n’est pas capable d’infléchir dans sa conscience le genou de son infinité, parce qu’il n’a pas le pouvoir de mettre en vibration sa lumière. Puis pourquoi est-ce qu’il n’a pas le pouvoir de mettre en vibration sa lumière ? Parce qu’il a peur de savoir.

On a tous peur de savoir, parce qu’on a tous l’impression qu’on ne sait rien, alors que l’Homme est lumière, alors que l’Homme a accès à ça. Mais pour que l’Homme puisse découvrir les mystères, rentrer dans les archives, et finalement dévoiler à l’humanité la merveilleuse orchestration de tout ce mouvement cosmique là qu’on appelle la création, il faut que l’Homme soit capable, dans l’instantané, de passer de sa personnalité à sa personne, de passer de la pensée qui réfléchit à la pensée qui crée ; c’est-à-dire d’être capable et de vouloir établir par lui-même les normes, les limites du savoir dont il a besoin pour explorer dans le temps où il est, les infinités qui existent.

Il faut que ça soit nous autres en tant qu’individus qui disent : “Bon, ben là, on est en 1995, c’est assez les conneries là ! La Vierge qui apparait à gauche puis à droite là ! C’est quoi cette crisse d’affaire là ! Ben, c’est telle affaire, telle affaire, telle affaire, telle affaire”.

Si l’Homme n‘est pas capable d’établir les limites du phénomène, parce que l’Homme a la crainte d’être dans l’erreur, parce que l’Homme est prisonnier de la polarité du vrai et du faux, à ce moment-là l’Homme n’a pas de conscience mentale, il a simplement une conscience réfléchie et il sera incapable de rentrer dans les mystères. Donc il sera incapable de créer un lien entre son âme qui est la mémoire, la totalité de sa mémoire et la source, donc de développer une conscience morontielle.

Donc c’est évident que l’Homme, quand il va mourir, il va aller sur le plan astral, il va aller vers la lumière du Nord au lieu d’aller vers la lumière du Sud systémique. Parce que si l’Homme n’est pas capable d’identifier la lumière du Sud systémique quand il meurt, il est fait à l’os parce que quand il rencontre la lumière du Nord systémique, tout ce qu’il pense, c’est que c’est le “bon Dieu”, que c’est une divinité, et puis ce n’est pas ça !

C’est simplement une “soucoupe volante” qui est très très loin dans le cosmos, très loin de lui sur le plan astral et qui le magnétise, et qui l’attire à elle. Alors que l’Homme, quand il ira dans le monde de la mort sur le plan morontiel, et qu’il verra la lumière, ce sera la lumière du Sud systémique. Et quand l’Homme verra la lumière du Sud systémique, au lieu d’être attiré par elle comme il le fait quand il meurt en conscience astrale, c’est la lumière systémique qui viendra vers lui.

Et quand la lumière systémique viendra vers l’Homme, à ce moment-là il verra, quand elle se rapprochera, que c’est un immense “vaisseau volant” qui fait partie des “vaisseaux séraphiques”, l’Homme pourra rentrer dedans puis commencer à voyager. Mais c’est quoi l’affaire ? Il va falloir que l’Homme, un jour, en arrive à pouvoir démystifier sa conscience. Ça, ça fait partie du rôle, de la fonction et du but éventuel de la psychologie évolutionnaire.

Si l’Homme n’est pas capable de démystifier sa conscience, l’Homme va toujours demeurer prisonnier de la mémoire de la race. Quand Shakespeare disait : “Il y a plus dans l’invisible que toute l’imagination des Hommes”, c’est ça que ça voulait dire. Il y a plus dans l’univers local, dans les mondes parallèles, dans les univers parallèles, il y a plus que tout ce que l’Homme peut imaginer sur le plan matériel, alors qu’il est prisonnier de son moi planétaire. Donc l’Homme aura besoin d’une psychologie évolutionnaire.

Donc c’est évident que dans l’évolution d’une conscience vers une psychologie évolutionnaire qui sera la “highway” (autoroute) de l’Homme, qui l’amènera finalement à son fameux internet personnel, l’Homme sera capable éventuellement d’expliquer, de découvrir les mystères. Et rendu à ce point-là, l’Homme sera suffisamment évolué, il n’aura pas plus besoin d’aller vers la mort astrale, il pourra aller vers la mort morontielle.

L’Homme pourra garder sa personnalité, l’Homme pourra garder son identité, l’Homme sera en contact avec sa source – alors qu’il ne l’est pas quand il meurt – à ce moment-là l’Homme pourra commencer à voyager dans l’univers local et commencer à développer des civilisations qui sont d’un autre ordre, mais qui n’existent pas aujourd’hui parce que le lien a été rompu, lorsque l’Homme est devenu un membre de la race Adamique.

Donc la destruction de la fascination, la destruction de la mystification, c’est le début du développement de la psychologie évolutionnaire. Un Homme qui est moindrement fasciné, fascinable, mystifié, mystifiable, magnétisé, magnétisable, ne peut pas avoir idée de ce que c’est une psychologie évolutionnaire. Parce qu’il n’est pas capable de réaliser que sa conscience c’est une force, c’est une puissance créative qui est libre de son corps matériel. Elle est libre de son corps matériel, elle est connectée à son corps matériel à cause de l’âme, mais elle est libre de son corps matériel.

Les parois de notre existence sont la spatio-temporalité, les parois de notre réalité sont infinies, la conscience évolutionnaire permettra à l’Homme de réaliser que les parois de sa réalité sont infinies. Et tant que l’Homme sera assujetti aux parois de son existence, l’Homme sera régi par les lois de la spatio-temporalité, donc il sera régi par les lois de conscience de la race. Donc il aura un ego réflectif, il aura une conscience psychologique, il aura un moi qui pense, il aura un moi qui fondera sa réalité sur le principe du JE, parce que l’Homme voudra conserver son libre arbitre. Alors que le libre arbitre est simplement une façon de le garder dans l’ignorance.

Quand l’Homme sera libre, l’Homme dictera, de par sa conscience, aux autres consciences, les bornes de l’infinité, c’est-à-dire les territoires à investiguer pour le développement de sa conscience et des autres consciences. On n’a pas besoin de savoir plus que ce qu’on a besoin de savoir. C’est inutile pour l’Homme aujourd’hui, dans le temps où il est, de savoir par exemple qu’un atome, qu’un atome matériel dans le monde matériel, c’est la projection très très rapide dans l’univers local d’un Éternel qui existe dans un univers parallèle à l’univers local.

Donc, un atome dans notre monde, c’est la projection à partir d’un autre univers parallèle dans un autre Superunivers à côté du nôtre, d’un Éternel dans ces univers-là, d’une énergie qui devient, pour nous autres, fracassante, un bloc de construction. Les univers sont tous imbriqués les uns dans les autres, donc si je vous le montre un petit peu au tableau : Les univers sont des cercles concentriques.

Si on est dans cet univers-là qui a un taux vibratoire, vous avez un Éternel dans cet univers-là qui est dans un autre monde par rapport au nôtre qui est déjà très vaste qui, instantanément, à cause de sa capacité de manifester l’énergie, crée dans notre univers local, des états de conscience minéralisés qu’on appelle l’atome. Donc le phénomène de l’atome minéralisé qu’on appelle la matière dans notre univers, c’est une condition universelle chez nous mais ce n’est pas une condition universelle dans le cosmos universel.

C’est ça qui explique l’invisibilité des autres mondes, comprenez-vous ce que je dis ? C’est simple, c’est très simple ! C’est dur à aller chercher, mais c’est simple… (mini coupure). Et c’est évident… Parce qu’un jour, il y a des questions fondamentales qu’il va falloir… Comme on dit en anglais : “We’re gonna have to put these questions to rest” (nous allons devoir mettre fin à ces questions), un jour il va falloir que l’Homme qui est un Être Lumière commence à utiliser sa lumière comme les Éternels utilisent leur lumière ! Donc les Éternels utilisent la lumière, leur lumière, pour créer dans des mondes à l’extérieur des leurs, des minéralisations.

Et il va falloir que l’Homme, un jour, utilise sa lumière pour créer dans son monde, en fonction de son monde, de la minéralisation. Quand l’Homme établit que telle chose est telle chose, que telle chose est telle chose, il fera exactement ce que les Éternels font, il prend l’énergie de la lumière et il la minéralise, c’est-à-dire qu’il lui donne par appointement une certaine stabilité, c’est ça de la création. Donc un Homme qui crée, c’est un être qui a une conscience.

Un être qui a une conscience crée, ne peut pas faire autrement, et à ce moment-là il est libre de penser, parce que penser c’est un état de conscience déminéralisé. Alors que créer, établir, confondre la pensée, confondre la mémoire de la race qui fait partie de l’expérience de l’âme – mais qui n’a rien à voir avec le pouvoir de l’Esprit – c’est simplement être un être involutif avec une conscience planétaire, mais ça n’a rien à voir avec l’Homme qui est un être cosmique avec la lumière qui est la source de sa puissance.

Donc si notre univers est une minéralisation créée par un Éternel dans un univers à côté, ça veut dire qu’il y a des mondes – puis ça, c’est simplement un univers – puis il y en a d’autres, il y en a sept par univers l’un à côté de l’autre, puis au centre de tout ça, vous avez ce qu’on appelle une île du Paradis, c’est-à-dire un centre, un centre cosmique qui n’a aucun temps et aucun espace, un centre qui est tellement vibrant que toute l’énergie dans les univers vient de ce centre-là.

Et pourquoi est-ce que l’énergie vient de ce centre-là ? Parce que, pour que l’énergie existe, il faut que l’espace et le temps disparaissent. Ça, c’est le premier niveau de ce que vous appelez Dieu. Après ça, là-dedans il y en a d’autres, il y a sept niveaux de Dieu. Donc vous avez des Alephs là-dedans, ainsi de suite, ainsi de suite. Mais on n’est pas équipés, nous autres les Hommes, pour fouiner là-dedans. Mais il y a des Intelligences, il y a des êtres dans l’univers local, sur différents plans, qui sont équipés pour aller fouiner comme des abeilles dans ces colonnes d’énergies là, et puis étudier ce qu’on appelle le phénomène de Dieu.

Mais il faut commencer à arrêter de penser que Dieu c’est un gars avec une barbe ! La raison pour laquelle je fais cet exercice-là, c’est simplement pour vous faire comprendre, une fois pour toutes, que la psychologie évolutionnaire de l’Homme, c’est le début ou ça sera le début sur la Terre du développement de ce que j’appelle l’individualisation de la conscience, c’est-à-dire le retour à la source de l’Homme et la prise de contrôle sur sa propre énergie.

Quand l’Homme va pouvoir défaire la mémoire de la race à laquelle il appartient, qui constitue la fondation psychologique de son moi planétaire, l‘Homme va commencer à prendre le contrôle sur son énergie, et éventuellement l’Homme va être très très habitué à manipuler cette énergie-là, et éventuellement il va en arriver à pouvoir passer d’une conscience matérielle à une conscience morontielle. Et c’est là que l’Homme finalement sera ce qu’il aurait toujours dû être, c’est-à-dire un être cosmique, c’est-à-dire un être qui a accès aux autres mondes, aux autres plans et aux autres civilisations.

Il faut que l’Homme arrête d’être un hurluberlu ou il faut qu’il arrête aussi d’être magnétisé, spiritualisé, dominé astralement, pour en arriver à contrôler la pulsion de cette énergie-là dont il est essentiellement en potentiel le maître, mais dont il a été essentiellement, pendant l’involution, la victime. L’Homme ne peut pas vivre indéfiniment des énergies de son âme. On ne peut pas être indéfiniment de l’âme qui retourne à la mort puis qui revient par une incarnation.

L’Homme doit devenir un jour un partenaire dans la relation entre l’âme et l’Esprit. L’âme doit être simplement le véhicule énergétique de sa conscience planétaire, mais son Esprit doit devenir la force de frappe de sa lumière sur le plan matériel ou sur les autres plans, pour qu’il y ait finalement fusion, c’est-à-dire unité de l’Homme et finalement conscientisation de son être, et éventuellement, morontialisation de sa conscience. Il faut que l’Homme se découvre.

Qu’est-ce que c’est l’Homme ? On se pose la question : “D’où est-ce qu’on vient, qu’est-ce qu’on est, où est-ce qu’on s’en va”… Il est temps que l’Homme en arrive un jour à résoudre ces questions fondamentales là. Il va les résoudre quand il va avoir la puissance de sa conscience, quand il va pouvoir exercer la puissance de sa conscience. Et il ne pourra pas exercer la puissance de cette conscience-là tant qu’il n’aura pas finalement traité avec le doute fondamental de son ego, lorsqu’il fait face à l’ambiguïté et à la polarité du vrai et du faux.

Si vous cherchez la vérité, vous êtes faits à l’os ! Parce que la vérité n’existe pas dans l’univers puisque tout est en développement, tout est hiérarchisé. Ce qui est vrai dans un temps, ce n’est plus vrai dans un autre. Donc ce que l’Homme a besoin de comprendre et de savoir, c’est que le réel sous-tend la vérité, que la vérité est temporairement nécessaire pour l’évolution des systèmes de vies inférieures, à cause de la grande nature animale de la race humaine. Mais une fois que l’Homme a dépassé les bornes de son inconscience involutive, il n’a plus besoin de la vérité.

Il est simplement engagé à découvrir le réel, à établir le réel et je dis : à établir le réel ! Parce que si vous ne l’établissez pas, le réel, en tant qu’individu, il y aura simplement un petit nombre d’individus dans le monde qui l’établiront, parce que le réel ne sera jamais établi à partir des tribunes institutionnalisées de la conscience planétaire. Le réel, ça fera toujours partie de l’Homme, qu’il y ait un Homme, deux Hommes, trois Hommes, quatre Hommes conscients sur une planète, c’est absolument suffisant pour l’évolution systémique de ce monde-là.

La quantité, ce n’est pas le problème. La quantité ça fait partie de l’évolution des âmes. La seule raison pourquoi est-ce qu’il y a tellement de monde sur cette planète-ci, tellement de populations, c’est parce que les âmes ont besoin de l’expérience et les Hommes sont trop inconscients pour les refuser. Si les Hommes étaient suffisamment conscients pour refuser l’expérience, la population des âmes sur la Terre descendrait très très rapidement, et il y a beaucoup d’âmes qui iraient évoluer dans d’autres mondes. Mais ça, ça fait partie de l’ignorance de la planète.

Puis après ça, vous allez avoir du monde qui vont dire : “Bon, ben, si tu as un enfant, il faut que tu le gardes, là”… L’Homme est assujetti à la pénétration du plan matériel par les entités astrales, parce que l’Homme vit sous les lois de la vérité puis du mensonge. L’Homme dit : “Bon, ben, si tu refuses une incarnation, tu crées un meurtre”… Commencez d’abord par savoir quand est-ce que l’incarnation est humaine, sachez quand est-ce que l’âme s’incarne !

S’incarne-t-elle quand le fœtus est à deux mois, trois mois, quatre mois, cinq mois, six mois, sept mois, huit mois, neuf mois, ou s’incarne-t-elle quand il sort puis qu’il commence à respirer, quand est-ce qu’elle s’incarne ? Ça, c’est votre job de le savoir. Quand vous aurez résolu ce problème-là, le reste des problèmes, ça n’existera pas. Mais tant que vous n’aurez pas réussi à résoudre ce problème-là par vous-mêmes, puis à savoir quand est-ce que l’âme rentre, à ce moment-là vous allez être pris avec le phénomène du vrai puis du faux.

Puis vous allez faire partie de la confrontation politique qui existe aujourd’hui entre les gens qui sont pro-vie puis les gens qui sont contre, entre l’Église qui veut bien des petits, puis la femme moderne qui en a “plein le cul” ! En tout cas, on se reverra une autre fois… Puis ce sont des réponses que l’Homme doit se trouver par lui-même… Pensez-vous que si ma femme était enceinte par accident, qu’elle irait voir quelqu’un pour lui demander si elle devrait avorter ou non ?!

Il faut que l’Homme décide, prenne ses propres décisions, ça s’en vient de plus en plus dans cette direction-là mais ce n’est pas fini ! On est réellement assujetti à la mémoire de la race, on est encore au stage d’avoir peur, de ne pas vouloir faire de la peine au “p’tit Jésus” ! “Maudit” qu’on est con ! Des êtres de quarante-cinq, cinquante, soixante ans qui ne veulent pas faire de la peine au “p’tit Jésus” parce qu’il y a quelqu’un qui leur a mis ça dans la tête… Que ça existait le “p’tit Jésus” !

Je n’ai rien contre le “p’tit Jésus”, mais je ne vais pas me faire “enculer” par le “p’tit Jésus”, je ne vais pas me faire “chier” par le “p’tit Jésus”. Autrement dit, je ne vais pas me faire “chier” par du monde ignorant qui utilise la crainte de l’invisible, pour créer sur la Terre matérielle une autre sorte de crainte qui est plus dangereuse. C’est évident que je vous parle gras, puis c’est évident que ça fatigue bien du monde, mais je vais vous dire une chose, vous êtes chanceux qu’on soit au Québec, puisqu’on a une langue du tonnerre, une langue qui est capable de faire vibrer, “checker”, puis “chier” bien du monde, avec un sourire !

En France on ne peut pas faire ça ! C’est trop poli. J’ai demandé à quelqu’un, une journée, une Française : “C’est quoi le plus haut degré de colère que vous pouvez faire”… Elle me répond : “Oh ! Quand je dis bordel de Dieu, là”. Je dis : “Qu’est-ce que tu veux que je fasse avec bordel de Dieu moi, tabarnak, moi j’ai besoin d’un bon tabarnak, ôte toi de mon chemin, crisse ! Fais-moi pas chier avec tes conneries”… “Bordel de Dieu” !! Elle était fâchée, c’est une grosse affaire pour elle “bordel de Dieu” ! Ça fait que vive le Québec ! Je n’ai pas dit “libre” ! (rires du public). Bon, je suis tanné, avez-vous des questions ?

Question : Vous pouvez nous parler de l’âme ?

BdM : L’âme… De l’âme c’est de la mémoire, c’est comme un computer, l’âme c’est de la mémoire, puis l’Homme découvrira avec le temps que la relation entre sa mémoire et sa lumière crée un phénomène qu’on appelle “l’humanité”. Le phénomène humain, c’est la relation entre la mémoire et la lumière, puis la lumière c’est la pensée. Si l’Homme n’avait pas de pensées, il y aurait de l’âme ! Un chien, ça a une âme, ça a une âme collective mais ça a une âme.

Ce n’est pas parce qu’un être a une âme qu’il est nécessairement un être conscient, un être humain conscient. Pour que l’être humain soit conscient, il faut qu’en tant qu’individu, en tant que personnalité, sa lumière, c’est-à-dire que sa pensée soit amenée à un niveau d’évolution suffisamment avancé pour que l’âme, qui est la mémoire, ne fasse pas de cet être-là ou de ce phénomène-là, simplement une expérience.

L’Homme ne peut pas indéfiniment vivre d’expériences sur la Terre, il faut qu’il mate l’âme, mais s’il n’a pas de lumière, s’il n’est pas en conscience mentale, sa pensée est assujettie aux courants de l’âme, parce que l’âme étant mémoire, crée dans sa pensée de la réflexion. Et cette réflexion-là assujettit son être, crée de la personnalité ; et sur le plan de l’expérience, force l’individu à demeurer prisonnier d’un niveau d’ignorance qui est partiel… Autrement dit la sienne, ou globale et collective, donc celle de la race.

Au fur et à mesure où l’Homme va passer de l’involution à l’évolution, au fur et à mesure où l’Homme va rentrer dans une conscience intégrée, sa mémoire, donc tout ce qu’il aura appris, sera sous le contrôle de son Esprit, donc d’une pensée télépathique, d’une pensée vivante. Donc, ce qui sera bon dans la mémoire l’Homme l’utilisera, ce qui sera inutile dans la mémoire l’Homme le retranchera.

Et à ce moment-là, au lieu d’être ce qu’on appelle “ignorant”, l’Homme sera dans un processus d’évolution de conscience et il pourra accéder à des niveaux plus avancés de science, donc de conscience, et son âme ne sera plus pour lui une barrière, c’est-à-dire un obstacle à l’intégration de son énergie globale. L’âme c’est une mémoire ! On vient au monde des êtres programmés à cause de la mémoire de l’âme.

L’Homme se déprogrammera dans le sens que l’Homme comprendra sa programmation, pourra traiter créativement avec sa programmation, au fur et à mesure où il aura suffisamment d’Esprit. Sinon l’Homme est régi par la programmation et il est invité toute sa vie à commettre les mêmes erreurs, c’est-à-dire à vivre de la même façon. C’est ça une programmation ! Une programmation, c’est une façon de vivre qui n’est pas altérée consciemment par un être humain.

Alors qu’une libération d’une programmation, c’est une capacité de l’Homme éventuellement de pouvoir altérer cette façon de vivre, pour en arriver finalement à manifester créativement sur la Terre, la totale de ses composantes, c’est-à-dire son âme et son Esprit. Ça, c’est un certain degré de fusion, c’est une certaine fusion, et c’est ça qui fait partie de l’évolution, qui fait partie de son rôle, et qui fait partie de sa destinée en tant qu’être conscient.

Question : Comment faire pour que la pensée soit utile ?

BdM : L’être va diviser son rayon, donc l’être va diviser le rayon de sa pensée quand il va commencer à prendre conscience que sa pensée vient d’ailleurs, que sa pensée est sujette à une certaine manipulation, que sa pensée est sujette à pouvoir informer, comme elle est sujette à pouvoir désinformer. Donc au fur et à mesure où l’Homme va avancer dans l’évolution de sa conscience, il va réaliser qu’une pensée, pour que ce soit utile, il faut que ce soit un petit peu comme la téléphonie, tu peux parler mais tu peux recevoir.

Mais nous autres, on est assujettis à une situation particulière, on peut recevoir mais on ne peut pas parler ! Ça fait que c’est une pensée qui est simplement un rayon alors que la pensée doit avoir deux rayons. Il y a un rayon qui descend puis qui s’en vient vers nous autres. Ça nous fait penser. Puis il y a un rayon qui part de nous autres puis qui s’en va vers la source, qui nous permet de communiquer. Ça fait qu’à ce moment-là, on n’a plus de communication à un sens, on a la communication à deux sens, ça, c’est de la télépathie universelle.

Mais pour ça, il faut que l’Homme prenne conscience éventuellement que son JE, que son moi planétaire ou que son JE l’invite automatiquement à une prise de conscience limitée, et que le TU doit être intégré avec son JE pour qu’il puisse bénéficier d’une conversation à deux sens. Puis le reste, ben ça, c’est de l’expérience qui peut durer des années, dépendant de sa nature spirituelle, dépendant de son niveau de croyances, dépendant de sa naïveté, ainsi de suite. Puis dépendant de la nature de sa lumière.

Il y a des Hommes qui sont plus évolués que d’autres, il y a des gens, il y a des êtres sur la Terre qui ont plus de lumière que d’autres, il y a des êtres qui ont des lumières plus puissantes que d’autres, et c’est ça qui fait la différence entre les Hommes. Ça, il n’y a pas de problème avec ça ! Mais où il y a un problème et où il y aura un problème chez l’Homme au cours de l’évolution, c’est lorsqu’il ne sera pas capable de traiter avec la lumière des deux bords. Tant que l’Homme sera forcé de vivre sa pensée rien que d’un bord, il aura une pensée réfléchie donc il ne pourra pas entrer dans les mystères de sa conscience.

Quand l’Homme commencera à s’habituer à une pensée qui va des deux bords, donc à un dialogue au lieu d’un monologue, ce qui n’est pas facile pour un ego qui est habitué à ça depuis des siècles, l’Homme pourra commencer à comprendre puis à saisir qu’il a accès à beaucoup d’informations, puis le reste c’est de l’expérience, parce que ses corps subtils devront s’habituer graduellement à s’autocorriger.

Le problème avec la pensée de l’involution, c’est qu’on n’est pas capable de s’autocorriger. Quelqu’un t’enseigne quelque chose dans l’involution, tu es “pogné” avec ça, tu es toujours pris avec une idéologie ! Alors que dans l’évolution, lorsque l’Homme aura une pensée qui sera double, autrement dit qui aura deux rayons, l’Homme aura une pensée qu’il pourra s’autocorriger. Il faut qu’on puisse s’autocorriger. On n’a jamais pu s’autocorriger pendant l’involution.

Dans l’involution, si l’Église nous disait telle affaire, ben, on restait avec ça pendant des années de temps, des siècles de temps ! Si les philosophes nous disaient telle chose, on restait avec ça pendant des siècles de temps, si les politiciens, les idéologues nous disaient telle chose, on restait “pogné” avec ça pendant des siècles de temps, on n’avait pas la capacité de s’autocorriger. Les quelques personnes qui ont réussi à s’autocorriger sont devenues de grands esprits.

Bon, on a eu des exemples, on a eu Galilée, on a eu Victor Hugo, on a eu les Hommes qui ont jeté ou apporté une certaine lumière à l‘humanité ; eux autres avaient une certaine capacité de s’autocorriger mais ce n’était pas suffisant pour comprendre les mystères. Mais ce sont ces Hommes-là qui ont permis une évolution, l’évolution de notre civilisation parce qu’ils ont été capables de s’autocorriger, alors que les systèmes, les pouvoirs en place voulaient les garder, les empêcher de s’autocorriger.

Ces êtres-là ont été suffisamment forts, intelligents et volontaires, pour briser la puissance qui voulait les retenir. Si on n’avait pas eu ces Hommes-là, on serait encore au Moyen Âge, si on n’avait pas eu de Voltaire, si on n’avait pas eu de Victor Hugo, si on n’avait pas eu de Galilée puis d’Archimède, on serait au Moyen Âge. Alors l’Homme de l’évolution aura la capacité de s’autocorriger à un très haut niveau. Jusqu’où ?

Moi je peux simplement vous donner un petit exemple de ce que moi je peux faire au niveau mental, mais il y a certainement des Hommes qui viendront après moi, qui seront capables de faire encore plus au niveau mental ; parce que le mental de l’Homme deviendra de plus en plus vibrant, de plus en plus électrique, de plus en plus systémique. La conscience vibratoire deviendra de plus en plus présente, la conscience morontielle de plus en plus développée, et effectivement, le contact entre l’Homme sur le plan matériel et d’autres dimensions, ça fera partie de l’expérience de tous les jours, alors qu’aujourd’hui ça fait simplement partie de nos rêves qui sont encore des états de conscience vers la peur.

Question : Pourquoi vous dites que l’Homme a peur de savoir ?

BdM : Quand je dis que l’Homme a peur de savoir, ça veut dire que ce n’est pas qu’il a peur de savoir psychologiquement, ça veut dire qu’il est incapable sur le plan psychologique de son moi de se dédoubler instantanément pour faire face à une contrevérité. Pour rentrer dans les mystères, il faut faire face à une contrevérité ! Une contrevérité, c’est une façon absolue de détruire la vérité à laquelle tu professes ! C’est là que l’Homme n’est pas prêt, c’est là que l’Homme a peur !

Il n’est pas prêt à faire face à une contrevérité parce qu’il est obligé de soutenir son ancienne vérité, afin de maintenir stable la condition psychologique de son moi. Pour faire face à une contrevérité, il faut être frappé par le rayon de la création dans le front, c’est-à-dire dans la pinéale, c’est-à-dire sur le plan mental, frappé suffisamment durement pour remettre en question même la validité du contact. Je suis sûr qu’au cours de l’évolution, les Hommes seront, quelque part dans leur expérience, forcés à cause de la puissance du rayon de la création, de vivre le besoin, à un certain moment de leur vie, de nier la validité du contact qu’ils auront.

Et à partir du moment où l’Homme se doit de nier la validité de son contact télépathique avec les plans universels, c’est une mesure, à ce moment-là, du statut universel qu’il a, du plan où il peut aller, et de sa capacité de révéler à l’humanité les archives. Donc c’est la manifestation de son impuissance. Si vous me demandez jusqu’où un Homme peut aller dans l’étude des mystères, la révélation des mystères, ben, je dirais qu’il peut aller aussi loin que le point où il va être frappé par le rayon de la création, qui va ultimement créer en lui le doute absolu de la valeur de sa télépathie. Est-ce que ça se comprend là ?

Pour vous donner un autre exemple, un être humain qui est confronté absolument par une quantité d’intelligence absolue, est forcé absolument de renier sa petitesse. S’il n’est pas capable de renier sa petitesse, donc se conformer, s’allier, s’unifier à cet absolu-là, il a découvert son plafond. Avoir un plafond, c’est être incapable d’aller plus loin que sa crainte fondamentale. Avoir un plafond, c’est ne pas être capable d’aller plus loin que sa crainte absolue, qui est la crainte fondamentale.

Être libre absolument, c’est la capacité de pouvoir vibrer le mouvement absolu qui va contre la mémoire de ta race en tant qu’individu, et être capable de ne pas souffrir l’ultime souffrance qui est la folie, qui est l’ultime doute. La folie c’est l’ultime doute de soi, donc un Homme qui est frappé par le rayon de la création et qui n’est pas assujetti à l’expérience du doute ultime, est un être libre.

Il est capable de pénétrer dans les mystères, de pénétrer dans les archives, révéler à l’humanité les mystères, dépendant du niveau de travail qu’il a à faire ou qu’il veut faire, et du temps qu’il a pour le faire ; et finalement instituer sur une planète en évolution des nouvelles coordonnées pour l’extinction de la mémoire de la race, et l’explosion dans les cosmos parallèles – comme sur le plan matériel – d’une nouvelle vie, d’une nouvelle naissance, d’une nouvelle conscience. Bye ! (Applaudissements).

mise à jour le 21/08/2024

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