La réciprocité psychologique

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Psychologie évolutionnaire 5

« Alors on continue toujours sur l’étude des principes de l’évolution de la psychologie évolutionnaire. Comme cette étude-là est totalement vibratoire, son étude est aussi instantanée, donc on en découvre les paramètres au fur et à mesure où on avance ; là, on voit qu’un des principes à étudier au niveau de cette psychologie-là, c’est ce que j’appelle la réciprocité psychologique. Alors la réciprocité psychologique, c’est la … » BdM

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

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Alors on continue toujours sur l’étude des principes de l’évolution de la psychologie évolutionnaire. Comme cette étude-là est totalement vibratoire, son étude est aussi instantanée, donc on en découvre les paramètres au fur et à mesure où on avance ; là, on voit qu’un des principes à étudier au niveau de cette psychologie-là, c’est ce que j’appelle la réciprocité psychologique.

Alors la réciprocité psychologique, c’est la fondation de la psychologie évolutionnaire dans ce sens que, pour que l’Homme en arrive éventuellement un jour à avoir une pleine conscience de lui-même, c’est-à-dire une compréhension parfaite de son statut psychologique sur le plan matériel, il faudra que l’Homme, éventuellement, développe des moyens ou des mécanismes qui lui permettront d’intervenir psychologiquement, pas seulement sur le plan matériel ; autrement dit en relation avec les Hommes mais aussi en relation avec d’autres intelligences sur d’autres plans.

Et ça, ça va demander de la part de l’Homme une élévation de sa conscience, une élévation suffisamment grande de sa conscience pour créer au niveau de l’ego, de son moi, de sa personnalité, un genre de vacuum, c’est-à-dire un genre de vide mais un vide plein, c’est-à-dire un corridor d’énergie, un canal qui lui permettra éventuellement de s’entretenir psychologiquement avec d’autres natures.

Quand je parle d’autres natures, je parle d’autres mondes, d’autres plans, d’autres niveaux d’intelligences, d’autres catégories essentielles de vie, qui sont en rapport indirect avec l’Homme ou qui sont en rapport direct avec lui, mais sur le plan télépathique, mais qui sont techniquement inconnus de l’Homme sur le plan psychique et sur le plan de l’expérience, parce que l’Homme sur la Terre appartient à une civilisation en quarantaine.

À partir du moment où une civilisation est en quarantaine, c’est-à-dire qu’elle est régie par des forces extérieures à elle-même, cette civilisation-là n’a pas le pouvoir psychologique pour s’entretenir avec des mondes qui sont parallèles. Quand je dis “s’entretenir”, je veux dire avoir accès à de l’information sans pour cela être dominé par cette information-là.

Donc l’évolution de la race humaine au cours des siècles et des générations à venir, sera basée sur la capacité de l’individu – je ne parle pas de la collectivité, mais je parle de l’individu – d’autogérer son portefeuille psychologique, c’est-à-dire d’en arriver à être capable un jour de s’entretenir d’égal à égal avec des intelligences qu’il ne voit pas ou qu’il peut voir, dépendant de son niveau d’évolution, et dépendant aussi de la disponibilité psychique de son moi, par rapport à des mondes qui sont extérieurs à sa conscience planétaire.

Il est évident qu’un tel mouvement de conscience, qu’une telle évolution de conscience, qu’un tel rapprochement avec des mondes parallèles, invitera l’humanité, éventuellement, à participer à des chefs-d’œuvres de civilisation qui n’existent pas aujourd’hui sur le plan de l’architecture du mental humain planétaire expérimental.

Quand je parle de réciprocité psychologique, je veux dire que l’Homme doit en arriver un jour à pouvoir confronter de façon absolue, c’est-à-dire de manière catégorique et aussi catégorielle, toute forme d’intelligence invisible qui s’institue devant lui ou par rapport à lui, comme une forme quelconque d’autorité.

Ceci permettra à l’Homme de développer un moi de très grande envergure, une conscience très vaste, une capacité psychologique indétournable et une conscience voyante très très différente de la conscience voyante de l’involution, qui était plutôt contrôlée par des esprits du plan astral ; alors que dans l’évolution future, la conscience voyante de l’Homme ne sera plus contrôlée par des esprits du plan astral, mais sera le résultat d’une fusion.

C’est-à-dire d’une unification de son principe cosmique avec son principe matériel, planétaire, ce qui lui donnera éventuellement accès à une unité de conscience indifférenciée, c’est-à-dire une capacité d’interroger sur tous les plans à la fois, simultanément, les natures, les divisions et les “dominium” (latin, pluriel : dominia) de conscience qui régissent l’Homme à l’insu de sa conscience planétaire et qui créent conséquemment ce que nous appelons ici, sur la Terre, l’inconscience planétaire, donc l’état psychologique de l’Homme endormi.

Une réciprocité psychologique, c’est un contrat qui, éventuellement, permet à l’Homme de forcément établir sa volonté en relation avec des forces de vie qui lui sont invisibles, donc de soutirer de ces forces de vie là, ce que nous appelons le pouvoir, c’est-à-dire l’accès qu’ils ont à ces différents champs d’énergie dont le corps mental, le corps émotionnel, le corps éthérique, et ultimement le corps matériel qui est une condensation de ces plans-là.

Pour que l’Homme en arrive éventuellement à pouvoir contractuer avec des forces qui sont invisibles, il faut qu’il soit lui-même très très intégré dans son énergie, c’est-à-dire qu’il doit pouvoir sur le plan psychologique, avoir une pleine maîtrise de sa conscience animale, c’est-à-dire de ses craintes. Ce que j’appelle la crainte chez l’Homme, c’est son contact astral ou sa proximité astrale avec le monde de la mort.

La crainte n’est pas un phénomène psychologique, la crainte est d’abord un phénomène psychique qui se traduit en phénomène psychologique à cause des paramètres de la personnalité. Mais la crainte ultimement à sa source, elle est psychique, elle fait partie des forces de l’âme, elle fait partie de sa conscience animale. Elle est soufflée dans l’Homme par le biais de la pensée ou par la manipulation de ses émotions, ou par la manipulation de son écran mental. Donc la crainte n’est pas en soi un absolu, c’est un dérivatif de son inconscience planétaire.

Donc si la crainte est un dérivatif de la conscience planétaire, toutes les expériences de l’Homme sur la Terre, doivent éventuellement le convaincre qu’il a ou qu’il possède, au-dessus de ses facteurs expérientiels, un pouvoir de contrôle, un pouvoir d’ascension et une capacité de neutralité ou de neutralisation ; ce qui fait partie de la conscience supramentale sur la Terre. Sinon, la définition de l’Homme, telle que nous l’avons développée au cours de l’involution, au cours des siècles, est absolument inutile pour une conscience élevée.

Elle ne sert qu’à définir une conscience inférieure et faire en sorte que l’Homme, l’humain, appartienne à un groupe d’intelligences inférieures animalisées – mais incapable de traiter de façon absolue avec des intelligences parallèles – donc automatiquement qui empêche, par le fait même, ces intelligences parallèles là, de se matérialiser, de se manifester, de venir en relation avec l’Homme pour élever sa conscience, changer la nature de ses corps subtils et l’inviter ultimement à passer dans d’autres dimensions, mais conscient.

La réciprocité psychologique, c’est une invitation à l’Homme, au mortel, à l’être planétaire, au terrestre, de s’instruire de la conscience de ses cellules, et si l’Homme apprend à s’instruire de la conscience de ses cellules, sa conscience l’invitera ultimement à rejeter toute forme de finalité, c’est-à-dire l’amènera éventuellement à participer à la continuité de sa conscience morontialisée, une fois que l’Homme sera sorti ou aura laissé son corps matériel.

Le grand problème de l’Homme sur la Terre, à cause de sa nature animale, à cause de la crainte, à cause des paramètres psychologiques de son moi qui l’invitent à penser, à évaluer et analyser sa conscience – en fonction des multiples expériences répétitives du deuil humain planétaire qu’on appelle la mortalité astrale – tout ceci empêche l’Homme de prendre conscience de la science qui est importée dans ses cellules.

Et cette science qui est importée dans ses cellules par le rayon de vie, par les rayons de vie, par les axes de vie, par les vagues de vie supérieures à sa conscience planétaire, cette science est infinie, absolue, et elle a le droit de vision totale, c’est-à-dire qu’elle a la capacité de juger de manière absolue, les différents états, les différentes natures, les différentes catégories existentielles de vie sur différents plans. L’Homme n’est pas un animal intelligent seulement, l’Homme est un être de lumière.

Et tant que l’Homme ne réalise pas qu’il est un être de lumière, il vivra sa conscience en tant qu’être intelligent seulement. Et si l’Homme vit sa conscience en tant que tel, il n’aura jamais la capacité sur la Terre de se mettre en confrontation ou de confronter les forces de vie occultes qui font partie de sa conscience, mais d’une conscience qui est établie en évolution statuée dans d’autres mondes parallèles. L’Homme ne vit pas seulement sur la Terre !

L’Homme est un être qui vit sur plusieurs plans à la fois, il n’en a pas conscience, et parce qu’il n’en a pas conscience, il a l’impression, sur la Terre, d’être un être humain seulement. Et l’Homme n’est pas simplement un être humain, l’Homme est un être cosmique dans une enveloppe humaine ! Et sa conscience, ultimement, doit l’amener à réaliser qu’il a le pouvoir sur le plan psychique de sa conscience transmutée, de s’informer de manière absolue de sa conscience cellulaire.

Et automatiquement, d’altérer ses rapports de force avec les mondes invisibles, pour qu’un jour, il en arrive à pouvoir commander à l’invisible, afin que l’invisible se matérialise à lui, travaille avec lui et en conscience morontielle, le projette dans des dimensions supérieures, pour établir finalement une nouvelle race humaine qui ne fait pas partie de la conscience planétaire, mais qui fait partie de l’évolution jupitérienne de la Terre en évolution.

Si l’Homme n’est pas capable de prendre ou de bénéficier sur la Terre des expériences limitées et limitatives qui affectent sa conscience émotionnelle, sa conscience mentale, sa conscience animale, et de transmuter ces paramètres de vie là – ce que vous appelez des expériences, la maladie c’est une expérience, la perte de votre maison c’est une expérience, toutes les pertes, toutes les souffrances, toutes ces expériences – si l’Homme n’est pas capable de transmuter les expériences et d‘en extraire une volonté, une conscience sans crainte, l’Homme ne peut pas travailler directement avec les forces de vie.

Le plus loin qu’il peut aller, c’est être invité à échanger avec les forces astrales, mais il n’a sur ces forces-là aucun empire, parce que les forces astrales font déjà partie de la science décomposée de ses cellules. Il n’y a aucune intelligence dans le monde de la mort. Si nous regardons la science matérielle aujourd’hui au stage où elle est rendue, nous pouvons facilement, en extrapolant, nous pouvons facilement nous imaginer que, dans quelques générations, la science sur la Terre sera très très avancée. L’Homme doit le faire sur le plan psychologique, sur le plan psychique.

L’Homme doit être capable sur le plan psychique de s’imaginer – pas dans le sens imaginatif mais dans le sens de se mettre en puissance – c’est-à-dire de pouvoir expérimenter chez lui la réciprocité psychologique, l’Homme doit être capable éventuellement de s’entretenir, non pas nécessairement de penser, mais d’un mode de communication, de télépathie, basé sur l’élimination progressive de la crainte de se tromper, c’est-à-dire d’être dans l’erreur.

Un Homme qui est dans la recherche de la vérité sur la Terre ne peut pas avoir pleine conscience de lui-même, parce que la vérité ne fait pas partie des paramètres psychiques de la conscience des cellules. La vérité fait partie de la manipulation psychologique de l’ego dans un corps matériel, à partir des plans de la mort. Si on vous parle de vérité ou si on vous parle de mensonge, on vous parle de l’astral. Si on vous parle de puissance créative, c’est-à-dire de réciprocité psychologique, si on vous parle de capacité de l’Homme de s’instruire de lui-même à partir de la conscience de ses cellules, on ne vous parle plus de vérité ou de mensonge.

On vous parle de la conscience créative du moi, on vous parle de la conscience morontielle, on vous parle de l’unité de conscience, on vous parle de “l’Homme- Lumière” ; on ne vous parle plus de l’Homme de la cinquième race-racine, on vous parle de l’Homme de la sixième race-racine. L’Homme de la sixième race-racine n’a aucune allégeance psychologique avec l’Homme de la cinquième race-racine. Le seul rapport qui existe entre les deux se situe au niveau de leur physicalité.

Un Homme de la cinquième race-racine et un Homme de la sixième race-racine ne se ressemblent pas sur le plan psychique. Le corps morontiel de l’Homme de la sixième race-racine est totalement intégré, c’est-à-dire qu’il n’est pas assujetti aux lois planétaires. Le corps astral est assujetti aux lois planétaires, le corps mental est assujetti aux lois planétaires, le corps physique est assujetti aux lois planétaires, mais non pas le corps morontiel. Pourquoi ? Parce que le corps morontiel, c’est la substitution psychique de l’ego planétaire au niveau cosmique pour le développement d’un entendement intégral, c’est-à-dire d’une science parfaite.

Question : Le corps morontiel et le corps éthérique, c’est synonyme ?

BdM : Le corps morontiel et le corps éthérique, ce n’est pas synonyme, c’est semblable. Le corps éthérique, c’est le corps vital qui permet à l’Homme d’électrifier son corps matériel et de le maintenir en équilibre, en relation avec les forces animales de sa conscience astrale, donc de son corps astral. Alors que le corps morontiel, c’est le principe de vie cosmique qui substitue la conscience des cellules pour donner à l’Homme l’impression sur le plan matériel d’être humain, alors qu’en réalité il a une “Conscience Lumière”, mais qui est voilée par le fait qu’il est enveloppé dans une matérialité.

Lorsque l’Homme sort de son corps matériel, à ce moment-là il est dans une conscience morontielle, c’est-à-dire qu’il a un corps éthérique éveillé, c’est-à-dire un corps éthérique qui est totalement libre de la mémoire de la race et qui est capable de se déplacer dans l’espace-temps des mondes, pour travailler avec des intelligences qui font partie de l’évolution de ces systèmes de vie là.

Une question seulement… Il faut que je continue ma conférence… Je veux simplement voir si c’est bon de vous laisser me poser des questions, parce que dans le fond, ce n’est pas nécessaire, je le fais simplement par respect de vos personnes parce que j’ai trop de choses à dire.

Question : Et la réciprocité entre le corps émotionnel et le corps morontiel ?

BdM : La réciprocité psychologique de l’ego permettra éventuellement à l’Homme de reconnaitre qu’il a, sur le plan matériel, deux fonctions. La première fonction, c’est d’étudier sa relation avec la mort, c’est-à-dire étudier sa relation avec la crainte. Et si vous regardez votre expérience de vie sur le plan matériel, toutes vos expériences, la sommation de vos expériences de vie, à partir d’un bas âge jusqu’à aujourd’hui, vous voyez nettement que votre expérience de vie traite avec le facteur de crainte.

Si l’Homme ne vivait pas de crainte sur le plan matériel, déjà sa vie serait extrêmement allégée, donc le phénomène de crainte fait partie de l’expérience de l’âme. Pourquoi ? Pour permettre à l’Homme éventuellement de s’entretenir de cette réciprocité psychologique, c’est-à-dire de s’amener éventuellement à transmuter cette conscience animale, afin de pouvoir unifier ses principes universels.

On ne réalise pas jusqu’à quel point l’expérience est importante, on ne réalise pas jusqu’à quel point la crainte fait partie essentiellement de la condition humaine, parce qu’on ne se sert pas suffisamment de ces paramètres de vie là, pour transmuter intégralement nos consciences planétaires. Si l’Homme était capable de réellement utiliser tous les mouvements de crainte dans sa personne, dans sa personnalité, et les neutraliser complètement, l’Homme transmuterait ses énergies, et l’Homme en arriverait à une conscience très grande.

Donc c’est le rôle de l’Homme en évolution sur une planète en quarantaine, à partir du moment où cette conscience passe de l’involution à l’évolution, c’est son rôle d’en arriver éventuellement à extraire de la crainte, c’est-à-dire des évènements qui créent de la crainte, des niveaux de force différenciée qui l’amèneront éventuellement à intégrer la totalité de sa conscience.

Le problème avec l’être humain aujourd’hui dans le monde occidental, un peu comme dans le monde oriental, c’est que l’Homme base sa conscience sur l’évolution psychologique de son ego en fonction de paramètres spirituels. La spiritualité ne peut pas vous faire évoluer, parce que la spiritualité c’est la formation psychologique du moi sur le plan astral. Donc la spiritualité, c’est un territoire qui est contrôlé par des entités astrales !

Comment voulez-vous que l’Homme spiritualise son être et en arrive à une pleine conscience en passant par la spiritualité, lorsque la spiritualité, ses modalités, ses niveaux de pensées, ses concepts, les formations égrégoriennes de toute sa manifestation viennent de l’astral ?! Donc l’évolution spirituelle de l’humanité c’est normal, ce sera très long, elle été très longue, elle a eu des phases utiles sur le plan de la civilisation, elle a eu des phases totalement inutiles aussi, mais sur le plan de l’individu, la spiritualité est totalement une perte de temps.

Pourquoi est-elle une perte de temps ? Pour trois ou quatre raisons primaires. Premièrement, parce qu’elle n’est pas réelle, ce qui veut dire quoi ? Ça veut dire qu’elle n’est pas intelligente. Ce qui veut dire quoi ? Une spiritualité qui n’est pas intelligente veut dire quoi ? Ça veut dire qu’à l’intérieur d’une spiritualité non intelligente, l’Homme, l’ego, est toujours assujetti à des forces quelconques. Soit qu’il soit assujetti à des forces sociales ou soit qu’il soit assujetti à des forces psychiques ou occultes. Mais dans une spiritualité, si vous regardez les gens spirituels ou les Hommes spirituels dans le monde, ils n’ont pas de puissance.

Ils sont fins, ils sont bons, ils sont justes, mais ils n’ont pas de puissance, autrement dit, ils ne sont pas capables de “faire la guerre”. Un être qui n’est pas capable de “faire la guerre” est déjà vicié par sa spiritualité, et cette conscience de pouvoir “faire la guerre” fera partie de la conscience intégrale de l’Homme de la sixième race-racine. L’Homme doit être capable de “faire la guerre” parce que c’est la guerre qui permet éventuellement de corriger les erreurs du passé.

C’est la guerre qui permet de faire des corrections, c’est la guerre entre l’Homme et l’invisible qui permettra éventuellement de faire des corrections sur le plan psychologique de l’ego, pour que l’Homme un jour en arrive à une pleine réciprocité de conscience, c’est-à-dire une capacité d’établir ses droits en tant qu’être sur la Terre. Et quand je dis “d’établir ses droits”, je veux dire le contrôle de sa destinée en tant qu’être matériel, c’est-à-dire la capacité de contrôler la fluidité de ses corps, autant psychique que matériel, donc l’élimination ultime de la maladie, et éventuellement le détournement de la mort astrale pour le passage à la conscience éthérique.

Sans réciprocité psychologique, l’Homme ne peut pas prendre conscience de lui-même sur les plans supérieurs, donc il ne peut pas manipuler ces énergies-là. Il ne peut pas les faire descendre sur le plan matériel, il ne peut pas contrôler sa destinée. Donc, il est automatiquement astrologiquement et karmiquement lié aux mouvements des planètes.

Et dans cette condition-là, l’Homme n’est pas un être libre. Il est un être en voie de conscience expérimentale, et il n’est pas capable sur le plan psychique de son moi, d’intervenir de manière catégorique avec des forces qui sont techniquement absolues, c’est-à-dire les forces de vie. Pourquoi ? Parce qu’il a une conscience trop spirituelle de ces forces, donc pour lui existe – même s’il ne l’admet pas, dans une configuration unifiée – existe pour lui une divinité, alors que la divinité n’existe pas.

Un jour l’Homme découvrira, lorsqu’il aura suffisamment de science, que la conscience de la divinité ou une conscience divinisée, ou une conscience qui s’intéresse à la divinité, c’est une conscience qui veut unifier la particularité des mondes, parce que l’Homme, en tant qu’ego morontialisé, n’est pas suffisamment évolué pour pouvoir maintenir en tension les mondes invisibles et parallèles, ce qui est à la base de sa configuration d’esclave sur le plan matériel.

Donc un jour, l’Homme découvrira que ce que nous appelons “la spiritualité” sur la Terre, c’est une des grandes œuvres de l’involution. Ce fut nécessaire pour l’abolition de la conscience animale brutale, ce fut nécessaire pour l’évolution graduelle du moi, ce fut nécessaire pour la civilisation de l’ego, mais ça n’a rien à voir avec la transmutation de l’être, c’est-à-dire la capacité de l’Homme en conscience réciproque d’établir au niveau de son moi, les paramètres psychiques de sa relation avec l’invisible ; donc les facteurs nécessaires au développement d’une télépathie avec les circuits universels, pour éventuellement l’amener à une confrontation technique avec des mondes parallèles qu’on appelle la matérialisation.

Si l’Homme n‘est pas capable de se libérer de la spiritualité, il sera obligé de vivre sa conscience par rapport au monde astral, donc il sera obligé de retourner au monde de la mort, en conscience astrale et non pas en conscience morontielle. Nous avons un ego totalement déformé sur la Terre pour un certain nombre de raisons. C’est que nous avons été mal éduqués, nous avons été mal éduqués parce nous avons appris à partir des Hommes, à partir des systèmes, à partir des idéologies, nous ne l’avons pas appris à partir de nous-mêmes.

L’Homme ne sait rien à partir de lui-même. Tout ce qu’il sait, il le lit dans les livres ou il l’a entendu de quelqu’un ou il l’a pris dans les systèmes. L’Homme ne sait rien à partir de lui-même. Donc il est totalement mal informé, parce que toute conscience qui éduque, éduque, à moins qu’elle soit très intégrée, elle éduque toujours… (mini-coupure) (reprise en cours) (…) ou un Homme ou deux Hommes, il faut que cette conscience soit totalement retirée de la conscience de la race et qu’elle n’ait aucun lien avec la conscience de la race, donc il faut qu’elle n’ait aucune relation psychologique avec le moi planétaire.

À ce moment-là, elle peut donner ou faire une certaine étude, elle peut donner une certaine science. Pourquoi ? Parce qu’elle n’est pas impliquée dans les valeurs de vie rattachées à une telle science. Donc l’Homme de la Terre, qu’il soit oriental, occidental, qu’il soit d’une race ou d‘une autre, a été mal éduqué parce que son moi planétaire constitue devant sa conscience, un paramètre inférieur à sa totale réalité.

Tout Homme, quand il se regarde devant sa conscience, sait, sent, réalise, préconise qu’il n’est pas à la mesure de sa totalité. Et ce différentiel-là que j’appelle le moi, que j’appelle la personnalité, fait partie de l’assujettissement de l’ego à une conscience matérielle, historique, ou à une conscience spirituelle. Ou encore plus loin à une conscience totalement occulte qui doit être un jour mise en confrontation par l’Homme sur le plan de la réciprocité psychologique, qui mènera l’Homme à l’initiation solaire, et qui, éventuellement, amènera l’Homme à une totale capacité de haïr ce qui est invisible.

Donc la haine contre l’invisible, la haine contre l’occulte, la haine contre les forces de vie, ce n’est pas une haine technologique, technique, psychologique. C’est une puissance humaine en éveil, c’est une nouvelle puissance humaine en éveil qui ne grandira que lorsque l’Homme aura mis de côté les anciens habits de sa spiritualité planétaire, pour finalement en arriver à se confronter intégralement au dragon du mensonge, qu’on appelle “toutes formes d’entités dans les mondes invisibles” qui communiquent avec lui.

Il ne s’agit pas simplement pour l’Homme d’avoir ou de pouvoir bénéficier d’une interface avec l’invisible, il ne s’agit pas simplement pour l’Homme d’être voyant, il ne s’agit pas simplement pour l’Homme d’avoir un contact intérieur, Il ne s’agit pas simplement pour l’Homme d’avoir une communication au niveau de la petite voix intérieure.

Il s’agit pour l’Homme de pouvoir dans le temps, au cours de son évolution, réellement fracasser les voiles du mensonge qui sont naturellement, techniquement, établis au-dessus de sa conscience, parce que ça fait partie des lois de l’involution, ça fait partie de la structure de la conscience involutive de la Terre, ça fait partie du viol du moi, et ça fait partie de la terrible réalité de l’ego qu’il est totalement ignorant.

Si je regardais trop l’Homme, je ne donnerais pas de conférences ! La seule raison pour laquelle je donne des conférences et que j’ai la force de donner des conférences, c’est parce que je ne regarde pas trop l’Homme. Parce que si je voyais dans l’Homme le niveau d’ignorance qui fait partie de son inconscience – dont il n’est pas à blâmer – je serais moi-même, en tant qu’individu, découragé, et je ne pourrais pas en donner. Je ne fais pas le travail que je fais parce que j’ai une mission sur la Terre. J’ai dépassé depuis très très longtemps la naïveté de la mission sur la Terre, d’ailleurs je ne l’ai jamais eue !

Mais il faut que les choses soient dites, enregistrées, pour que l’Homme au cours de l’évolution ait conscience de ces choses, et qu’il puisse de par lui-même, éventuellement, en arriver à développer une réciprocité psychologique, pour finalement se mettre en opposition créative, constante, absolue avec des dimensions de son moi qui ne se sont pas encore révélées à lui, dont il ne connaît pas la nature, l’essence, les structures, la forme, la source, l’origine systémique, le caractère civilisateur, ainsi de suite.

Ne croyez jamais dans l’évolution de votre conscience ou de votre voix intérieure ou de votre conscience spirituelle, ou d’un certain contact avec l’au-delà, ne croyez jamais qu’une voix c’est simplement une voix. Une voix n’est jamais simplement une voix. Une voix, c’est une voix plus autre chose. Une voix, c’est toujours contenu dans une forme, une forme ça appartient toujours à un monde, un monde ça appartient toujours à un système, un système c’est toujours gouverné.

Les forces qui gouvernent sont toujours hiérarchisées, et les forces hiérarchisées appartiennent à des mondes de lumière ou des mondes de ténèbres, et c’est à l’Homme de savoir avec qui il trafique ! Si l’Homme n’apprend pas à reconnaitre avec qui il trafique, l’Homme ne pourra jamais faire la gestion psychique de son ego, parce qu’il voudra reconnaitre la vérité en lui.

Alors que ce n’est pas la vérité que l’Homme doit savoir, comme ce n’est pas le mensonge qui doit trop le préoccuper, c’est sa puissance créative qui peut pénétrer ces mondes et les faire fléchir devant sa volonté, devant son moi intégral, devant sa lumière, ainsi de suite, ainsi de suite. Donc nous avons été très très mal éduqués pendant l’involution. Et au cours de l’évolution, l’Homme sera obligé de retracer son chemin, revenir à sa source, mais ce ne sera pas la source spirituelle.

Revenir à la source spirituelle, c’est très très temporaire pour l’être humain. Un jour, il devra revenir au contact intégral avec son moi qui évolue sur un plan systémique, qui fait partie d’une civilisation systémique, mais qui ne peut pas – pour des raisons de toutes sortes – se matérialiser devant lui, parce que si l’Homme voyait l’autre côté de sa nature, il serait suffisamment terrifié pour mourir. Et pourquoi il mourrait ? Parce que l’Homme aurait peur de sa propre lumière.

Pourquoi il aurait peur de sa propre lumière ? Parce que l’Homme aurait l’impression d’être envahi à un tel point que son âme, au lieu de vibrer, ferait l’implosion ! Et en faisant l’implosion, l’Homme viendrait en contact instantané avec la conscience de ses cellules. Et l’agrandissement rapide et très très rapide de cette science qui afflue de cette expérience détruirait son Esprit et amènerait l’Homme finalement à la destruction de son moi. Donc il y a un temps pour ça.

La vie est très grande, l’univers est très vaste, l’Homme est très ignorant, la science commence. La spiritualité va s’ajuster et l’Homme, éventuellement, en arrivera à finalement pouvoir reconnaitre qu’il est lumière. Et ne cherchez pas dans vos propos spirituels ou dans vos dictées spirituelles, ou dans vos lectures spirituelles, ne vous laissez pas embobiner par des concepts spirituels tels que l’Homme est Dieu ! L’Homme n’est pas Dieu !

Ça fait plaisir à l’ego spirituel de se faire dire par des maîtres spirituels que l’Homme est Dieu ! L’Homme n’est pas Dieu. L’Homme est simplement une partie très peu développée d’une conscience universelle particulièrement, particulièrement sous-développée, parce que l’âme n’est pas unifiée au rayon de lumière qui est à la source de ce que nous appelons “la pensée”. C’est pour ça que l’Homme est tel qu’il est.

Si vous allez aux Indes ou que vous allez dans des écoles, ou que vous lisez des livres de par le monde qui vous disent que l’Homme est Dieu, à ce moment-là vous allez vous donner, vous attribuer des qualités qui vont vous faire perdre de vue votre vraie nature, qui est de détruire toute divinité. Et si vous perdez la vraie nature qui est de détruire la divinité afin de particulariser votre infinité, vous n’aurez jamais de conscience morontielle.

Vous serez simplement un autre niveau de conscience spirituelle animalisée, où la crainte aura transmutée, et sera devenue celle d’être dans l’erreur ou celle de ne pas vous avoir permis de trouver votre voie. L’Homme est toujours dans sa voie. Ce n’est pas sa voie qui est le problème comme on nous a toujours dit, mais c’est comment naviguer dans sa voie ! Si votre voie est une rivière chaotique, organisez-vous pour avoir des canaux en caoutchouc ! Ce n’est pas votre voie !

Vous êtes là dans le monde, dans un temps, dans un espace qui convient parfaitement à l’évolution de votre âme, de votre mémoire. Et vous êtes là dans un monde, dans un temps, dans un espace qui fait partie de la relation intime inconnue de vous qui existe entre le rayon de la création, votre source mentale et votre ego. Donc vous inquiéter de votre voie, c’est une perte de temps.

Donc l’Homme découvrira au cours de l’évolution que tout ce que nous avons appris pendant l’involution, ça ne nous sert plus, non pas parce que ça n’a pas été bon, mais parce que c’était régi par des lois inférieures à la lumière de l’Homme. C’est l’Homme qui doit établir la réciprocité psychologique avec l’invisible, ce n’est pas l’invisible qui doit dicter à l’Homme les lois et la nature des choses.

Quand l’Homme aura compris ceci, l’Homme aura finalement établi qu’il n’est plus dans une conscience expérimentale, qu’il fait partie de la conscience de la Terre parce qu’il est dans un corps matériel, donc il appartient à une conscience en quarantaine, parce qu’il fait partie dans ce cycle à une mortalité matérielle. Mais sur le plan psychique, l’Homme sera libre.

Et lorsqu’il aura laissé son plan matériel, à ce moment-là il aura une conscience cosmique, il sera morontialisé et la fusion fera partie de l’expérience de l’Homme nouveau. Donc les Tables de la Loi doivent être renversées ! Elles doivent être renversées par l’Homme lui-même parce que c’est l’Homme lui-même qui, demain, dictera la Loi à l’invisible, au lieu que la Loi soit prescrite de l’invisible vers l’Homme !

Grande différence entre les deux, différence fondamentale entre l’involution et l’évolution, et ne cherchez pas la vérité dans ces propos. Le développement de la réciprocité psychologique est basé sur la capacité de l’ego de supporter l’enchaînement graduel, au cours de la vie, des défaites.

Les défaites sont simplement des miroirs, des mensonges, des illusions qui font partie de la structure de la conscience astrale de l’Homme sur la Terre, et elles sont nécessaires pour l’amener éventuellement à pouvoir rencontrer son moi, c’est-à-dire vivre sur le plan matériel sans aucune crainte, s’imprimer de sa propre lumière, c’est-à-dire vivre de ses propres forces, en contrôler le mouvement, donc établir le contrôle de sa destinée, c’est-à-dire faire une gestion intelligente de ses corps subtils et matériels.

Autant la science d’aujourd’hui diffère de la science mécanique du dix-huitième ou du dix-neuvième siècle, autant la science du mental, la science de la conscience, la science de l’Homme, la science interne différera demain de la science de l’involution. Nous regarderons l’évolution des systèmes spirituels de l’involution demain, et nous verrons que ces systèmes font réellement partie du grand musée de l’humanité.

Jamais, JAMAIS l’Homme ne deviendra Homme dans le sens d’intégrer son énergie en fonction ou par rapport à une conscience collective. Une conscience collective, ce n’est que le support temporaire pour le développement de l’Homme, et une conscience collective doit éventuellement libérer l’Homme, ou l’Homme doit se libérer d’une conscience collective pour toujours faire son chemin seul.

Donc l’évolution de la conscience humaine sur la Terre, le développement de la réciprocité de la conscience, invitera toujours l’Homme à se libérer de ce qui est collectif, non pas de le rejeter mais de se libérer. Ainsi l’Homme reviendra à sa source, reviendra à lui-même et l’Homme verra jusqu’à point il est autonome psychiquement. Dans une collectivité, il n’a pas d’autonomie psychique. Nous sommes trop relationnels, interrelationnels.

Donc, c’est bon une collectivité effectivement, parce que ça permet à l’Homme d’échanger, mais ce n’est pas la condition ultime de son développement. La condition ultime de son développement, c’est sa grande particularité égoïque, donc son centrisme. Quand on est seul, on voit si on a de la crainte, quand on est deux on a moins de crainte, trois on a moins de crainte ! Il y a des Hommes qui sont à dix dans la vie, parce qu’à dix, on sent moins la crainte. Mais seul, on sent la crainte.

Si un Homme n’est pas capable un jour de partir seul dans le désert de sa vie et être sans crainte, il demeurera toujours rattaché à des aspects karmiques d’une collectivité, donc il s’empêchera de réellement découvrir jusqu’à quel point il est en puissance. Je n’ai rien contre la collectivité, mais j’explique simplement le principe de l’autonomie de l’Homme face aux Hommes, puis encore plus face aux forces occultes qui sous-tendent sa conscience.

La réciprocité psychologique de l’ego, c’est sa capacité d’intervenir de manière catégorique face à la crainte qui est créée dans son mental par les forces astrales ou par les forces de la lumière. Aussitôt que les forces vibrent dans la conscience mentale de l’Homme, si ces forces vibrent de manière négative pour créer en lui de la crainte ou de l’angoisse, l’ego doit être suffisamment sur la pointe de ses orteils pour savoir que ceci n’est qu’un truc, et que ceci n’est qu’une invitation à devenir plus fort.

Un être qui se laisse de moins en moins abattre par la crainte, qui se laisse de moins en moins essoufflé par la crainte, qui se laisse de moins en moins mesmériser ou hypnotiser par la crainte, en arrive éventuellement à toucher du doigt de son Esprit des niveaux de conscience extrêmement élevés. Et à ce moment-là, il n’appartient plus à la race humaine sur le plan psychologique de l’ego.

Il appartient à une race en évolution, à une race mentale, et il fait réellement partie d’un autre état, et il n’est là, dans ce temps-ci, que pour développer d’autres manières ou d’autres techniques d’approche par rapport à ces sciences cachées qui font partie de l’infinité de sa conscience.

Vous devriez un jour être capables de regarder, d’évaluer tous les systèmes, toutes les approches, toutes les formes d’études que vous avez utilisées pour apparemment grandir, tous les systèmes qui vous ont amenés à une certaine spiritualité, qui ont fait partie du besoin de l’âme de se rapprocher d’une sorte d’infinité de conscience, et vous réaliserez éventuellement qu’après toutes ces années, toutes ces lectures, toutes ces rencontres et toutes ces choses qui devaient vous amener à la pierre philosophale, que vous êtes réellement en dessous de la pierre ! (rires du public). Et si vous êtes heureux, vous n’êtes pas écrasés trop par la pierre !

La chose la plus extraordinaire que j’ai découverte dans mon expérience, c’est l’abondance du mensonge dans la vie. Un être qui n’a pas conscience du mensonge dans la vie, c’est déjà un être très naïf, il est déjà totalement enveloppé dans le mensonge. Et quand on est rendu à réellement voir et à réaliser l’abondance du mensonge dans la vie, on s’aperçoit que la vie est extrêmement intelligente.

Donc la perception qu’on a de la vie, de l’intelligence de la vie, vient après avoir reconnu le mensonge. Et les mensonges sont nécessaires parce qu’ils font partie des atmosphères psychiques de l’ego pour le protéger contre le choc extrêmement violent de la science de la vie. On devrait enseigner à nos jeunes, quand ils grandissent, tous les mensonges de la vie, pas les vérités de la vie, pas les religions de la vie, pas la spiritualité de la vie, mais tous les mensonges de la vie.

Et s’il était réellement expliqué à nos enfants les mensonges de la vie à tous les niveaux, ils seraient extrêmement conscients très jeunes, ils auraient une identité très vite, très rapide, et ils n’auraient pas à souffrir ce que nous, nous avons souffert au cours de l’involution. Ils seraient très avertis au lieu de rentrer dans la vie avec les yeux bandés. Mais ça, ça fait partie de l’évolution de la grande famille humaine, ça fait partie de l’évolution de la conscience de la race, et surtout ça fait partie de l’instruction mondiale de l’Homme.

Un Homme qui passe sa vie à étudier le mensonge n’a plus d’intérêt pour la vérité, il vient de le résoudre le problème de la vérité, tout de suite ! Mais un Homme qui toute sa vie passe son temps à étudier la vérité, imaginez-vous qu’il a réellement un problème ! C’est pour ça que la réciprocité psychologique est très importante parce qu’elle permettra à l’ego éventuellement de pouvoir intervenir intelligemment avec une conscience intérieure, donc avec un lien télépathique ou un lien universel.

Et c’est à ce moment-là que l’Homme commencera finalement à pouvoir prendre le contrôle sur le mouvement psychique de son être, c’est-à-dire sur sa conscience, donc sur son ego, sur sa personne, passer de la personnalité à la personne et pouvoir s’inviter lui-même à regarder ce qu’il veut, quand il veut et où il veut. L’Homme à ce moment-là sera libre.

La réciprocité de conscience, la réciprocité psychologique de l’ego veut que l’Homme en tant qu’être planétaire, techniquement inférieur parce qu’il est dans une capsule matérielle, soit psychiquement égal à tout ce qui vient en contact avec lui, sur le plan télépathique. On vous parle, on vous communique par la voie télépathique, l’Homme a, doit avoir la réciprocité psychologique, c’est-à-dire la capacité de se mettre en opposition, si l’intelligence, l’information, la science ou quoi que ce soit, ne fait pas son affaire.

Si l’Homme ne fait pas ça, il ne peut pas s’ajuster au niveau psychologique, au niveau psychique, il ne peut pas en arriver non plus à découvrir jusqu’à quel point il est intelligent, c’est-à-dire un être de lumière. Dire que la conscience est infinie c’est une chose, dire que l’intelligence est infinie c’est une chose, mais réaliser que le mouvement vibratoire de cette énergie est effectivement infinie, et que l’Homme a la capacité technique, matérielle, psychique, psychologique d’intervenir à tous les azimuts par rapport à toutes formes d’informations, c’est un autre niveau de la réalité.

Et c’est essentiel, parce qu’il est là son génie, c’est-à-dire qu’elle est là la manifestation de sa lumière. Si l’Homme ne développe pas la réciprocité psychologique au cours de l’évolution de la race mentale sur la Terre, l’Homme sera voué à l’échec expérimental de sa conscience. Il retournera aux limbes de l’inconscience planétaire, c’est-à-dire qu’il sera obligé, en tant qu’ego, de collaborer avec les structures involutives de la race humaine ; donc la guerre, la famine, et toutes ces choses qui font partie du karma de l’humanité, et il devra éventuellement retourner au monde de la mort en passant par le corridor astral.

Si l’Homme n’utilise pas l’outil de la réciprocité psychologique qui fait partie de sa conscience, il ne pourra pas avoir une mesure de sa lumière, de sa réalité, donc il sera un être assujetti, et s’il est le moindrement assujetti, il ne pourra pas venir en contact avec aucune forme d’intelligence matérialisée, sinon il serait totalement magnétisé dans ses corps et il n’aurait plus la capacité, sur le plan matériel, de fonctionner de façon normale.

La réciprocité psychologique de l’ego, on sait qu’elle existe, les initiés vous le disent, c’est à l’Homme de commencer lentement à remonter la filière, utiliser le fil d’Ariane qui est sa propre lumière, sa propre intuition, et se rendre compte et réaliser qu’au fur et à mesure où il revient à lui-même, que les obstacles sont là, non pas pour le détruire, non pas pour amenuiser son mouvement, mais pour tester sa capacité de s’affranchir du mensonge. Dans la vie normale, quand vous faites le troc de matérialité avec les Hommes, il y a toujours un combat, il y a celui qui demande et celui qui offre.

Au niveau occulte, au niveau de la science, au niveau de la conscience, au niveau de l’échange entre l’invisible et le matériel, il y a aussi l’offre et la demande. Et si vous n’êtes pas capables de combattre ou de faire le même genre de travail que vous faites avec les Hommes lorsque vous achetez ou que vous vendez de la matérialité, et que vous prenez le contact ou de l’information à partir des plans, comme si ça vous était donné gratuitement avec la grande faveur des dieux, vous vous apercevrez que les dieux sont des “chiens” ! (Applaudissements).

mise à jour le 21/08/2024

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