Paris – credit: @DronalistDailyDose YouTube

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

Le nouveau modèle mental de la conscience humaine sera prescrit par une sorte d’étapisme, ça se fera par étapes parce que l’Homme ne peut pas instantanément comprendre sa relation avec une entité. La raison pour laquelle l’Homme ne peut pas comprendre instantanément cette relation-là, c’est parce que le contact entre l’Homme et une entité, même s’il est psychologique dans le sens que l’Homme peut parler ou “placoter” avec l’entité, ce contact-là est vraiment basé sur une vibration, donc ça prend une conscience vibratoire suffisamment développée pour comprendre la relation entre l’Homme et une entité qui le chevauche.

Et le développement d’une conscience vibratoire, ça se fait avec le temps, ce sont les évènements de tous les jours, les oppositions, ainsi de suite, qui nous amènent graduellement à élever notre taux vibratoire, pour ultimement pouvoir confronter l’entité. C’est pour ça d’ailleurs que la spiritualité, c’est anathème pour une conscience.

Un Homme qui est moindrement spirituel ne peut pas confronter une entité. Il peut la confronter par des techniques en utilisant, par exemple, l’exorcisme, mais ce n’est pas réellement de la confrontation ça, l’exorcisme ! C’est simplement un travail fait par quelqu’un contre une entité qui chevauche une autre personne. Mais quand l’Homme doit confronter une entité, une entité mentale qui fait partie de sa réalité, il a besoin d’une conscience vibratoire suffisamment développée, parce que c’est seulement par vibration qu’une entité peut être attaquée.

On n’attaque pas une entité ou on ne contrôle pas une entité par la parole en tant que forme. Le travail qu’un Homme peut faire contre une entité, il faut qu’il ait des assises, et ces assises-là sont dans la vibration, pas dans la forme. Vous pouvez dire à une entité : “Lâche-moi”. Ça, c’est de la forme, mais si vous n’avez pas la vibration, ça demeure une forme, puis vous ne pourrez pas, à partir de cette forme-là, arrêter le processus et fermer le canal, parce que l’entité n’est pas menacée.

Une entité, il faut que ça soit menacée, puis ça se menace simplement par une vibration, parce que quand vous menacez une entité par vibration, vous changez son temps.

Vous altérez son temps, et altérer le temps d’une entité, ça équivaut au niveau de notre expérience à nous autres, de limiter les dégâts qu’elle peut faire, dans notre expérience à nous autres. Altérer le temps d’une entité, ça équivaut à rendre l’Homme libre. Quand un être est rendu libre, l’entité a fini son job. Qu’est-ce que c’est que vous faites, vous autres, quand vous finissez votre job ? Vous trouvez un p’tit plan après.

Quand t’as plus rien à faire, tu te trouves un p’tit plan, tu peux avoir un autre job, hein ! Aller en vacances deux semaines sur la plage, ce n’est pas assez, c’est bon, tu peux faire ça pendant deux semaines, mais tu as hâte de revenir à ton job, hein ! Une entité, c’est la même chose. Ça fait que si vous enlevez à une entité le privilège de vous manipuler à travers la pensée puis l’émotion, et que vous n’avez pas la vibration, c’est-à-dire l’énergie mentale concentrée pour la bloquer cette entité-là, elle va continuer à travailler.

Même si c’est une entité de haut niveau, ça n’a pas d’importance, que la souffrance vienne d’un haut niveau ou qu’elle vienne d’un bas niveau, c’est toujours de la souffrance. Que l’Homme soit chevauché par une entité astrale qui a déjà été incarnée sur la Terre, ou que l’Homme soit chevauché par une entité mentale qui n’a jamais eu d’incarnation dans un corps physique, c’est la même chose pour l’Homme. La souffrance, c’est de la souffrance !

Vous dites : “Ah ! Ben moi, je souffre, mais mon entité n’a jamais eu d’incarnation, mon entité est de haut niveau”. Vous ne direz pas ça longtemps. “Mon entité, c’est un Archange planétaire” ! Vous ne direz pas ça longtemps. Ça fait qu’éventuellement, le statut de votre entité que vous pouvez connaître, ça ne servira plus à contenir votre énergie parce que vous n’aurez plus la spiritualité qui aveugle le mortel, dans sa relation avec les plans. À ce moment-là, vous aurez une vibration suffisamment élevée pour pouvoir altérer le temps de l’entité qui équivaut à de l’espace pour nous autres.

Le temps pour une entité, c’est de l’espace pour nous autres, puis en altérant le temps d’une entité, l’Homme va en arriver éventuellement à créer dans ces mondes-là de nouvelles archives. Des nouvelles archives ça sera… ou seront la science que l’entité aura finalement développée par rapport à l’expérience de l’Homme mais sous le regard de l’Homme. Donc l’Homme conscient pourra avec très grande facilité et grande agilité définir pour l’entité qui le chevauche les conditions futures de leur rapport.

Pendant l’involution, les conditions qui sous-tendaient le rapport entre l’Homme et l’entité, c’était des conditions qui étaient totalement en dehors du contrôle de l’Homme. Tu viens au monde avec un corps physique, tu viens au monde dans un certain pays, tu as une certaine éducation, tu n’es pas éveillé, tu meurs non éveillé, tu retournes en astral. Ça, ça a été l’histoire de l’Homme. Mais à partir du moment où l’Homme va confronter l’entité, c’est lui qui va déterminer le rapport occulte avec elle, ça veut dire que l’Homme va connaître les lois occultes des mondes parallèles alors qu’il est dans un corps physique.

Et quand l’Homme connaîtra les lois occultes de ces mondes-là, pour la première fois depuis l’involution, l’Homme deviendra le maître de son propre temps. Devenir le maître de son temps, c’est devenir un être qui contrôle, qui domine finalement l’entité qui le chevauche au lieu d’être dominé par elle. C’est ça l’évolution, c’est ça la définition, si vous voulez, d’une conscience supramentale. C’est ça la nouvelle alliance entre l’Homme et les plans.

Et c’est dans ce sens-là que la Lumière, ce qu’on appelle “la Lumière”, c’est-à-dire l’énergie qui définit le rapport entre un être matériel et un être morontiel, cette Lumière-là finalement servira à l’Homme en tant qu’Intelligence, en tant qu’Esprit, au lieu de lui servir simplement en tant qu’expérience de l’âme. Donc à ce moment-là, il n’y aura plus de karma pour l’Homme. Le karma sera absolument évité, et la raison pour laquelle l’Homme n’aura plus de karma, c’est parce qu’il aura compris finalement le secret de sa conscience.

On vit un karma, c’est-à-dire on a “une dette”. On a une dette astrale avec les plans parce qu’on ne connaît pas le secret de notre conscience. Quand les philosophes disent : “L’Homme doit se connaître lui-même” – ça fait longtemps qu’on dit ça, ça faisait partie des doctrines ésotériques ça – mais se connaître soi-même, dans un sens fondamental, pas dans un sens philosophique, ça implique une confrontation avec une entité à un niveau tel que l’Homme ensuite ou par la suite, ne peut plus être dominé par elle.

Donc ça allait vite à une refermeture du canal et à une capacité dans ce processus-là d’instruire l’entité, des limites qui obligent l’Homme à une relation avec elle. L’Homme est obligé d’avoir une relation avec l’entité, sans ça il n’y aurait pas de pensées. On est obligé d’avoir une relation avec l’entité parce que la pensée vient d’ailleurs, par contre, on n’est pas obligé de subir la qualité relationnelle que certaines entités nous imposent, parce qu’on n’a pas intégré cette énergie-là.

Pourquoi est-ce qu’il existe sur la Terre et depuis des millénaires une conscience humaine qui ne se sait pas ? Parce que l’Homme n’a jamais compris le secret de sa propre conscience, il n’a jamais pu altérer le temps de l’entité. Et dans la réalité des mondes parallèles ou dans la réalité des plans, ou dans la réalité de la conscience, ou d’une conscience avancée, vient un point où la science occulte, cette science extrêmement puissante qui fait partie de la réorganisation du lien entre l’Homme et les Immortels, cette science occulte là ne peut être atteinte que par vibration.

Ce n’est pas une science psychologique, parce que ça ne fait pas partie du passé de l’Homme, ça fait partie de sa conscience vibratoire, donc ça fait partie de sa nouvelle conscience, ça fait partie de son nouvel ego. Et plus l’Homme aura un ego renouvelé ou plus l’Homme pourra se donner, ou se créer un nouvel ego, plus l’Homme aura une science avancée de l’invisible.

Et ça va loin la science de l’invisible, parce que ça préconise que l’Homme éventuellement en arrive à mourir dans un temps qui lui convient au lieu de mourir n’importe quand, comme les Hommes de la Terre ont connu pendant l’involution. Le droit à la vie, le droit à sa vie, ce n’est pas une condition qui est gérée par les plans seulement, comme l’Homme a pu toujours penser. Quand on disait : “Tu meurs quand Dieu veut”, cette condition-là elle existe parce que l’Homme pendant l’involution a été infatué de spiritualité.

L’Homme n’a jamais compris le degré de liberté que pouvait atteindre sa conscience. Donc effectivement, il mourait n’importe quand. Il mourait n’importe quand parce qu’il n’y avait pas suffisamment de conscience pour intégrer sa propre lumière et déterminer à quel moment dans sa vie, il avait fini de limiter le pouvoir de sa lumière.

Avec l’évolution, l’Homme pourra finalement commencer à prendre conscience du pouvoir de sa lumière, c’est-à-dire de sa relation avec les plans, à un tel point que lorsque viendra le moment de la mort, il sera libéré en Esprit et non pas entraîné sur le plan de l’âme à se reconstituer un corps matériel dans une nouvelle incarnation. Donc une fois libéré en Esprit, l’Homme ne vivra pas et ne connaîtra pas la mort comme on l’a connue, parce que la crainte de la mort ne fera plus partie du karma de son expérience.

Donc une fois le problème de la crainte révolu – parce que l’Homme aura compris son mystère, parce que l’Homme aura compris sa relation avec les plans, parce que l’Homme aura finalement contesté absolument le chevauchement de son entité – c’est seulement à ce point-là que l’être humain aura conquis ce qu’on appelle “la mort”. Conquérir la mort, ça ne veut pas dire qu’on ne meurt pas, ça veut dire que tu conquiers la crainte de la mort.

Un Homme qui a conquis la crainte de la mort ne meurt pas. Il souffre physiquement, oui, mais il ne meurt pas. Quand vous vous couchez le soir, vous n’avez pas peur de mourir, vous allez sur les plans, vous rêvez à différents niveaux, mais le lendemain matin vous avez votre “Kelogg’s” et votre verre de lait. Vous savez que votre “Kelogg’s” puis votre verre de lait vont être là.

Mais si l’Homme arrivait aux portes de la mort – qu’il est conscient – puis qu’il avait confronté suffisamment son entité, il saurait que de l’autre bord, son verre de lait est là de la même façon que sur le plan matériel quand il vit, il sait que son verre de lait va être là, dès qu’il se lève le matin. La grande question psychologique de l’ego qui mène l’Homme à épuiser son Esprit en essayant de comprendre ce qui se passe de l’autre bord, ça, ça fait partie de la manipulation de l’entité.

Mais si l’Homme avait confronté l’entité comme il la confrontera, s’il avait une conscience aigüe de la manipulation d’une entité qui le chevauche, l’Homme n’aurait plus jamais à subir la pensée de la mortalité, parce que dans le fond, la mort, ça n’existe pas, c’est seulement la crainte de la mort qui existe.

Mais la crainte de la mort, ça fait partie incontestablement de la manipulation de l’entité sur notre conscience, alors que si l’Homme avait contesté l’entité, établit les bornes de toutes formes de manipulation, l’Homme n’aurait jamais à subir cette déformation psychologique sur le plan de l’ego face à une expérience qui est absolument naturelle, c’est-à-dire la disparition ou l’éloignement de l’Homme, de son plan matériel, de son véhicule, de son enveloppe.

Donc la confrontation avec l’entité qui chevauche l’Homme et la compréhension de cette confrontation-là, ça lui permettra de développer un nouveau modèle mental de conscience. Et ce modèle mental de conscience là sera basé, comme je vous ai dit, sur la confrontation, mais aussi il donnera accès, il ouvrira sur d’autres plans, non pas de conscience mais d’actualisation. Ces autres plans d’actualisation, ça, ça fera partie de votre dossier planétaire, votre nouveau dossier planétaire.

L’Homme pourra finalement faire sur le plan matériel ce qu’il veut, ce qu’il a toujours voulu faire, au lieu de subir une expérience de vie qui est purement existentielle, qui fait partie de l’expérience de l’âme mais qui ne fait pas partie de son Intelligence, de sa Volonté. Et ce nouveau modèle mental là, ce n’est pas un modèle conceptuel. On utilise le terme modèle de conscience parce que c’est personnel à chacun, la conscience c’est personnel à chacun.

Il y a une conscience universelle, on parle de conscience universelle, oui, dans ce sens qu’il y a des lois qui sont communes à tous les Hommes, mais la conscience, elle est personnelle à chacun. Donc chacun a son modèle de conscience, et plus une personne est développée en conscience, en science occulte ou intérieure, plus son modèle de conscience est perfectionné. Et quand un Homme a un modèle de conscience perfectionné, il devient sur la Terre pour les Hommes un modèle de vie.

Il devient un modèle de vie parce que son expérience est tellement fondamentale que les Hommes ne peuvent plus la contester psychologiquement, parce qu’elle n’interfère plus à aucun niveau avec leur expérience. Ça, on appelle ça “la transparence de l’ego”. Le problème avec l’enseignement que l’Homme peut subir ou vivre, ou connaître par rapport à d’autres Hommes, c’est toujours basé sur le fait que l’Homme peut sentir une absence de transparence au niveau de l’ego, sinon on n’aurait aucun problème avec l’enseignement qui vient d’ailleurs.

Mais à partir du moment où on en sent un, même si c’est un petit peu d’ego, on sent à l’intérieur de cet enseignement-là, de cette science-là, on sent des lacunes, on sait des lacunes, on voit des lacunes. Donc, si les Hommes dans leur relation psychologique expriment toujours des lacunes les uns envers les autres, c’est parce que, dans le fond, la conscience universelle n’est pas sur la Terre. C’est simplement une conscience universelle mais à l’échelle individuelle.

S’il y avait une conscience universelle à l’échelle de la planète, on aurait une civilisation totalement différente. Donc dans les premiers développements de cette conscience-là vers un statut universel, le travail se fera au niveau individuel. Et probablement que dans l’avenir, dans un avenir extrêmement éloigné, il y aura sur la Terre une conscience universelle, mais à ce moment-là, les conditions évolutives de la conscience animalisée, mais intelligente, seront totalement renversées sur la Terre. Et l’Homme vivra sur une planète qui ne fera plus partie de la conscience lunaire locale, donc la civilisation sera réellement une civilisation solaire.

Puis une civilisation solaire, c’est une civilisation qui a la capacité de se déplacer dans différents espaces-temps pour toujours rechercher et trouver des endroits, ou des espaces psychiques, qui sont plus harmonieux avec ces consciences-là. Donc quand l’Homme pourra passer d’une planète à une autre en conscience morontielle, puis que l’Homme commencera à étudier, à évaluer dans le cosmos local sur différentes planètes, dans différents systèmes de vie, les endroits qui lui conviennent le mieux psychiquement pour son corps morontiel, à ce moment-là, l’Homme s’établira sur ces planètes-là. Et il commencera le nouveau travail qui équivaudra à la construction du développement d’une nouvelle civilisation.

Ce n’est pas avec les petites machines de la Nasa que l’Homme va utiliser dans ce temps-là pour se déplacer, c’est de la ferronnerie ! Mais il faut qu’on rapproche notre étude de l’Homme dans notre temps, on ne peut pas regarder simplement l’Homme dans un futur éloigné, on perdrait notre temps. Il faut qu’on le regarde dans un temps rapproché par rapport à des conditions qu’on vit aujourd’hui : Le travail, les amours, l’intimité, la maladie. Ça prend un nouveau modèle de conscience pour pouvoir évaluer ces choses-là, ces expériences-là, ces évènements-là d’une façon objective, pour ne plus en souffrir.

Si vous n’êtes pas capables d’évaluer mentalement ce que vous vivez dans votre expérience de tous les jours, vous allez souffrir des évènements de tous les jours. Alors qu’en réalité, vous devriez grandir à travers les évènements de tous les jours. Mais pour pouvoir grandir à travers ces évènements-là, ça prend une conscience suffisamment éveillée pour pouvoir évaluer la relation entre l’Homme, le mortel, et l’entité qui travaille sur d’autres plans à établir un développement chez l’Homme, mais en fonction toujours d’une certaine manipulation qui est illusoire.

Tant que l’Homme n’aura pas compris que toute manipulation, tout évènement vécu sur le plan matériel qui est en opposition avec sa volonté, dénote une caractéristique d’illusion, l’Homme souffrira des évènements, donc souffrira de l’entité qui le chevauche, donc l’Homme ne comprendra pas ce qu’on appelle “la vie” essentiellement. Il en sera simplement une marionnette, il la subira, et sa vie sera toujours un accident. Puis il n’aura jamais de répit.

On est très loin – même si ça ne paraît pas – on est très loin à la fin du vingtième siècle, des illusions, des égrégores qui ont créé l’ego planétaire de l’involution. Très loin ! Par contre, on n’est pas suffisamment rapproché de soi pour contester les entités qui ont le pouvoir de créer dans l’Homme une souffrance basée sur son ignorance des lois occultes. La loi occulte fondamentale concernant la souffrance humaine est basée sur le fait que les entités sont prépersonnelles.

Donc une entité n’attache pas l’importance à un évènement terrestre comme nous les Hommes le faisons, alors qu’on est incarné. Une entité d’ordre mental fait toujours son devoir, même l’entité sur le plan astral fait son devoir. Mais le devoir d’une entité n’est pas nécessairement une compensation dans la vie de l’Homme à la mesure, à la mesure de sa volonté. Ça, on appelle ça l’existence, c’est ça qu’on a vécu depuis l’incarnation, depuis le début des chaînes adamiques.

C’est pour ça que le création d’un nouvel ego, d’un nouveau modèle de conscience, est fondamental pour l’évolution. Ça n’a rien à voir avec la recherche de l’immortalité. Ça fait partie du rapport étroit entre l’Homme et l’invisible pour que l’ego éventuellement en arrive à avoir une conscience vibratoire suffisamment développée, pour que le mystère de la mortalité, de l’immortalité, soit compris finalement chez l’Homme, au lieu d’être projeté comme on l’a fait pendant l’involution, à travers une imagination purement stupide et fictive.

Les gens qui prêchent ou qui parlent d’immortalité et qui n’excluent pas dans ce phénomène-là la mortalité du corps physique, sont des êtres qui n’ont pas de conscience. Et dans un sens, ce sont des êtres qui envoûtent l’Homme par des enseignements qui sont absolument irréels. Puis il y en a beaucoup comme ça dans le monde – voir si quelqu’un veut vivre sur la Terre indéfiniment – il faut être réellement con ! Qu’est-ce que tu vas faire après !

Mais vivre sur d’autres plans en conscience morontielle indéfiniment, ça, ça a de l’allure, parce que ça fait partie de la conservation des énergies. Une conscience morontielle, c’est l’expression de la conservation des énergies, et ce modèle est totalement conforme, même au modèle physique matériel. Quand on dit : “L’énergie ne se perd pas, elle se transforme”, en physique, sur le plan morontiel c’est la même chose, l’énergie ne se perd pas, elle se conserve.

Mais non seulement l’énergie, est-elle conforme aux lois physiques de l’énergie, mais l’énergie morontielle en soi devient pour l’être conscient ou deviendra pour l’Homme conscient, la source, la puissance de son mouvement à travers des univers absolument inusités. Ça fait que non seulement l’Homme accédera-t-il au mouvement de son corps morontiel dans des espaces parallèles, à cause des lois de conservation de son énergie morontielle, mais il pourra – ce qu’il ne peut pas sur le plan physique – déplacer ses énergies sans le support d’une matérialité ou d’un vaisseau qui lui est inférieur.

Quand on va sur la Lune, aujourd’hui, on amène notre corps physique dans un vaisseau ou on est transporté dans un vaisseau qui, au niveau matériel ou qui, au niveau énergie, est inférieur à notre corporalité. C’est pour ça d’ailleurs qu’on a énormément de problèmes à tous les niveaux. Et les scientistes le réalisent parce qu’au fur et à mesure où on essaie d’amener l’Homme dans l’espace, ou qu’on le laisse en suspension dans l’espace pendant un certain temps, l’Homme revient avec des conséquences, des effets secondaires.

Amstrong, il est revenu sur la Terre avec des effets secondaires, parce que les véhicules utilisés pour le déplacement sont inférieurs en vibration au corps matériel. Alors que l’Homme, au cours de son évolution, lorsqu’il aura finalement recomposé avec ces entités qui l’ont toujours chevauché pendant l’involution, l’Homme conservera son énergie, c’est-à-dire qu’il élèvera le taux vibratoire de son corps morontiel, et éventuellement pourra se servir de son corps morontiel pour se déplacer dans des univers qui feront partie de sa conscience.

C’est seulement sur la Terre, sur le plan matériel, que l’univers physique ne fait pas partie de notre conscience. C’est pour ça qu’il y a tellement de dislocation entre nous autres et la vie matérielle. Mais sur le plan occulte, sur le plan de l’évolution, sur le plan de la conscience morontielle, lorsque l’Homme aura finalement dompté complètement ses craintes, qui font partie d’ailleurs de la disharmonie qui existe entre le plan matériel puis son corps physique, l’Homme accédera à une conscience morontielle, c’est-à-dire à des plans ou à des mondes qui sont parfaitement harmonisés en vibration à son corps morontiel.

Quand vous rêvez le soir, vous allez sur le plan astral, vous allez dans des mondes qui sont en vibration, harmonisés à votre corps astral, même si vous vivez dans cette expérience-là des cauchemars. La seule raison que vous faites des cauchemars, c’est parce que vous n’êtes pas capables de confronter sur le plan de l’ego votre énergie mentale à une énergie qui est purement astrale, c’est-à-dire à l’extérieur de votre corps matériel. Donc vous vivez des chocs. Mais ça, c’est temporaire.

Donc quand on parle d’un nouveau modèle de conscience humaine sur la Terre, on parle d’une capacité de l’Homme futur, de l’Homme nouveau, de l’Homme conscient, de toujours régénérer son rapport avec l’entité qui le chevauche. Si votre rapport avec l’entité qui vous chevauche n’est pas régénérée, dans le sens que vous ne venez pas réévaluer constamment au cours de votre développement, au cours des années de votre développement, vous restez et vous demeurerez dans un état extrêmement fragile, parce que vous aurez une certaine conscience, une certaine sensibilité, mais vous n’aurez pas de force réelle.

La seule force que vous aurez, c’est votre capacité de vous fâcher, mais vous ne serez pas capables d’altérer votre vie. Si vous n’êtes pas capables d’altérer votre vie, vous êtes en initiation. Et seul l’Homme peut mettre fin à son initiation, et c’est là qu’entre en jeu le fameux concept de la confrontation. D’ailleurs, c’est le seul temps depuis toujours, le seul temps dans l’involution où l’Homme en est finalement arrivé à comprendre sa relation avec l’invisible d’une manière nouvelle, d’une manière renouvelée.

On était extrêmement ignorant dans le passé, on deviendra plus “scient” dans l’avenir. Mais notre liberté sera à la mesure de notre volonté d’altérer notre relation avec l’entité. Si vous dites : “Bon, ben, je ne peux pas faire dans la vie ce que je veux, les affaires ne marchent pas comme je veux”, c’est parce que vous avez à la source un problème relationnel. Ce n’est pas vous qui établissez la loi, vous êtes légiférés d’en haut. Et dans cette législation-là, vous pouvez très très bien avoir l’impression que votre état est normal et correct.

Mais au cours de votre développement, au fur et à mesure où l’Homme prendra conscience, réellement conscience de sa relation avec une entité qui le chevauche et qui lui fait vivre des expériences qui sont opposées à sa volonté, l’Homme ne pourra pas être libre, demeurera un initié. Il aimera ça même, qu’on dise… Il aimera ça, dire : “Ah ! Ben moi, je suis un initié”. Puis moi, je vous dirai : “Initié à quoi ? À la souffrance” !

Tant que l’Homme se considérera un initié, c’est parce qu’il y aura encore en lui une conscience spirituelle, ça fera encore partie des voiles subtils de l’involution qui traînent, ça fera partie d’une alliance particulière avec les plans qu’il ne comprendra pas parfaitement, et où l’orgueil aura continué à s’immiscer dans sa conscience mentale.

Mais lorsque l’Homme aura réellement compris sa relation avec les plans, dans un sens intégral, et que la confrontation fera réellement partie de sa puissance mentale, décousue, libre de l’émotion, à ce moment-là l’Homme commencera réellement à percevoir d’autres niveaux de conscience qui font partie de son modèle de conscience personnelle. Donc l’Homme pourra adapter sa conscience, son énergie à des évènements matériels de tous les jours qui, en soi, sont simples, mécaniques, mais qui peuvent être convertis dans une joie de vivre à la mesure de sa puissance.

Tu peux aller dans un champ faire pousser des carottes ou tu peux aller dans un champ puis commander aux carottes qu’elles poussent, ça c’est deux sortes de “farmer”, différentes (rires public). Ça fait que dans nos vies, les carottes poussent, il y en a des courtes, ll y en a des longues, il y en a des crochues, puis on est “pognés” (être pris) avec, jusqu’à ce que l’Homme, finalement, fasse pousser ses carottes.

Puis ce n’est pas facile de faire pousser les carottes parce que ça fait partie des mystères de la conscience, ça fait partie de la domination du pouvoir occulte sur sa conscience, ça fait partie des lois de l’involution, ça fait partie des assises de notre ignorance. “D’où on vient, où on est et où on s’en va”, ces questions fondamentales là, cette triade qui nous suit depuis des siècles, les Égyptiens, les Chinois les Grecs, les Arabes, ainsi de suite, les philosophes modernes, on n’a jamais réussi à la trier cette triade, parce qu’on n’a jamais été amené par une science à confronter ce qui nous fait penser. On a toujours subi ce qui nous fait penser, puis ça, par canalisation, par inspiration, par intuition, par didactisme interne automatisé ! Ça a fait de nous des êtres dont la conscience est expérimentale.

Conscience expérimentale veut dire : Vivre une vie sur une planète qui n’est pas conforme à notre volonté, donc une vie qui n’est pas conforme à la volonté de l’Homme, c’est une vie qui fait partie de l’expérience de l’âme.

Et l’expérience de l’âme mène l’Homme finalement à la mort astrale et au recoupement de ses vertus expérientielles qu’on appelle “la mémoire de l’âme”, pour la construction de nouveaux corps subtils qui l’amèneront éventuellement à reprendre vie sur le plan matériel, pour finalement finir dans les sphères astrales, s’il ne revient plus en forme physique, rester dans les sphères astrales en forme astrale, et continuer le processus d’incantation psychologique à travers d’autres entités matérielles incarnées, phénomène qu’on a connu pendant l’involution.

C’est plein d’entités astrales qui ne reviendront jamais sur le plan matériel, mais des entités qui sont “pognées” dans l’astral, même sur les hauts plans spirituels de l’astral, et dont la fonction cachée, occulte, spirituelle, est de garder l’Homme dans l’ignorance à travers le truchement de toutes sortes de formes d’idéologie. Pourquoi est-ce qu’un Homme va penser d’une certaine façon, puis un autre pense d’une autre façon, puis un autre pense d’une autre façon ? Parce que les Hommes sont légiférés psychologiquement par des entités différentes.

Mais si les Hommes avaient réellement une conscience universelle, les Hommes ne penseraient pas nécessairement de la même manière, parce que là il n’y aurait plus d’individualité, mais ils auraient une conscience vibratoire qui leur permettrait entre eux de parfaitement comprendre leur différence, sans en subir les conséquences. Moi j’ai des amis avec qui je parle, on n’a pas la même conscience, on n’a même pas les mêmes référents, on n’a pas la même sensibilité, mais on a une conscience vibratoire commune qui nous permet de ne pas souffrir de nos différences.

Sans ça, si l’Homme souffrait des différences, si l’Homme souffrait trop des différences entre lui et les êtres, il se retrouverait seul dans le monde, il deviendrait un ermite. Il représenterait un modèle d’expérience qui ferait partie d’une volonté supérieure, une entité quelconque qui veut qu’il finisse seul dans un coin ! Alors que ça ne fait pas partie de la réalité de finir tout seul dans un coin, parce que les lois de l’énergie sont basées sur la fondamentale de l’expression. C’est quoi une expression ? Une expression, c’est un rapport. Un rapport, c’est une tendance d’unification. La tendance à unifier, c’est un processus universel.

La conséquence, c’est la joie de vivre dans une conscience vibratoire comprise de tous les Hommes, ce qui amène à l’illumination d’une science entre les Hommes. Quand le silence est éliminé entre les Hommes, il se crée de la communication entre les Hommes. Pourquoi la communication entre les Hommes n’existe pas sur la Terre ? Parce qu’il y a trop de silence, il y a trop de choses, il y a trop de non-dits. Il y a trop de non-dits entre les Hommes, il y a trop de non-dits entre les hommes puis les femmes.

Pourquoi est-ce que les hommes ne comprennent pas les femmes puis que les femmes ne comprennent pas les hommes ? C’est parce qu’il y a trop de non-dits entre les deux, entre ces deux espèces de conscience unitaire. Il y a trop de non-dits ! La femme vit beaucoup de non-dits par rapport à son mari parce qu’elle ne veut pas perdre le support financier qu’il lui donne, parce qu’elle ne veut pas se promener un petit peu “lousse” (libre) dans la ville pour avoir de la sexualité !

Ça fait qu’elle veut garder son mari dans son giron, ça fait qu’il y a des non-dits. Elle sait que c’est une “ostie” de tête de cochon, elle sait que c’est un menteur, elle sait que c’est un ivrogne, elle sait tout ça ! Les défauts de votre partenaire, vous les connaissez tous. Mais essayez un jour d’éliminer le non-dit dans votre relation puis vous allez connaître finalement qu’est-ce que c’est l’explosion, le volcan, la grande surprise : “Comment ça, je suis un menteur” !

L’homme connaît la femme, lui aussi il est victime des non-dits. Je ne veux pas dire qu’on doit dire tout à l’autre, parce que là, c’est tomber sur l’adage de la vérité puis l’illusion de la vérité. C’est évident que l’homme ne peut pas vivre complètement ce que la femme sait de lui, puis vice versa, parce que vous ne seriez pas ensemble. Je vous défie de rester ensemble si vous manifestez la totalité de vos non-dits.

“There is not one men, not one women who can stand a pressure of knowing that the other one knows everything”. Il n’y a pas un homme ni une femme capable de supporter le regard incandescent de l’autre. “Checkez-le”, prenez pas ma parole, “checkez-le” un jour chez vous. Et les non-dits font partie de l’expérience de l’âme.

Je vais vous en donner un exemple de non-dit dans l’expérience de l’Homme. Le gars, il sort avec une fille mais c’est rien que pour avoir une sexualité, il aime bien sa femme. Sa femme, elle découvre ça. Elle dit : “Pourquoi est-ce que tu ne me l’as pas dit”… Les femmes ont toutes la même ritournelle. “Si tu me l’avais dit”… Mais un soir, parce que tu es un homme, puis que tu as une sexualité différente à fleur de peau là, tu vas rencontrer une “poupoune”, dans le jardin d’une parfumerie, puis tu reviens à la maison, tu dis à ta femme : “J’ai rencontré une poupoune ce soir… Inquiète-toi pas toutou, je t’aime bien, pas de problème, c’était rien qu’une expérience”.

Si votre femme prend ça comme elle pourrait le prendre si elle était réellement consciente, amenez-moi la, je vais la marier ! (rires du public). Donc les non-dits qu’on vit dans nos relations humaines à tous les niveaux font partie des secrets de l’âme qui doivent être vécus confrontationnellement dans l’expérience humaine. C’est pour ça d’ailleurs que le bonheur n’existe pas sur la Terre ! Ça donnerait quoi à une âme de s’incarner pour rencontrer une autre âme dans un état de perfection, tu peux rester de l’autre bord ! Comprends-tu ce que je veux dire ! Pourquoi descendre ici ?!

Mais pour une âme, de rentrer dans un corps de femme, puis une âme de rentrer dans un corps d’homme, puis vivre la confrontation qui s’exerce lorsque deux systèmes psychiques avec vibration différente se rencontrent, là pour l’âme, ça vaut la peine. Puis là, pour l’entité qui chevauche, c’est le “fun” ! Je vais en écrire un probablement, un livre sur l’amour, un jour, parce que ça me fatigue cette affaire-là ! Je vais en écrire un.

Mais je vous garantis que quand vous allez le lire, vous allez avoir un miroir, un miroir de votre réalité. Puis ça, ça va être ajusté tout à votre vibration, que vous soyez Chinois, Anglais, Allemand, c’est la même affaire pour tout le monde. Puis ça va permettre à l’Homme finalement de comprendre que son incarnation sur le plan matériel n’est pas à la mesure de sa volonté à aucun niveau, même dans l’amour, même dans le job, même dans la maladie.

Sinon l’expérience sur le plan matériel n’aurait aucune valeur pour la simple raison que la majorité des énergies structurées dans le monde, au niveau d’une conscience, sont dans l’invisible. Il y a très peu de consciences incarnées sur la Terre, il y a très peu d’âmes incarnées, même si vous dites qu’il y a bien du monde, puis qu’il y a trop de Chinois, c’est très peu. Mais prenez quinze milliards à quarante-septième puissance, et vous avez une idée de la quantité d’entités intelligentes seulement dans notre système local ici.

Là, on ne parle pas des entités des autres mondes, on ne parle pas des planètes, on ne parle pas des nébuleuses, on ne parle pas de l’énorme énergie de consciences qui existent dans l’univers local, parce que nous autres on pense que notre conscience, c’est nous autres tout seuls, c’est un petit paquet dans un corps physique. Mais l’énergie, ce qui est morontialisé, c’est-à-dire rendu libre du corps matériel, n’appartient plus à aucune conscience individuelle. Elle devient automatiquement universalisée, elle fait partie d’une grande réalité qu’on appelle ou qu’on pourrait appeler dans un sens – mais il ne faut pas le faire – “Dieu”.

Mais Dieu, ça n’existe pas comme on le pense. Dieu, dans le sens occulte du terme, c’est simplement un niveau organisationnel de cette énergie morontielle là en dehors du corps matériel, puis de l’expérience de l’âme tellement développée, tellement intelligente, que son principe en soi est à la base de la création des mondes. La création des mondes, ce n’est pas un processus mécanique qui simplement découle de l’explosion atomique dans des temps reculés.

Quand on parle du développement ou de l’explosion des mondes, on parle aussi des mondes invisibles, des systèmes invisibles, des couches qu’on ne voit pas des réalités matérialisées. L’univers local, c’est simplement le dernier système dans la condensation des énergies subtiles qui font partie des grands univers locaux, qui font partie des grands temps cosmiques.

Même la réflexion de l’ego qui pense, c’est la constitution psychologique pour l’expérience de l’Homme d’une carrière finie, c’est-à-dire d’un mouvement d’âme incarnée pendant un certain temps. Mais ça n’a aucune valeur sur le plan morontiel, parce que ça n’a aucune réalité. Ce qu’on vit au niveau de l’expérience, ce qu’on vit au niveau de réflexion, ce qu’on vit en tant que personnalité, ça a de la valeur pour nous autres parce qu’on a des émotions qui donnent à nos évènements de la valeur.

Mais sur le plan morontiel, sur le plan de l’Esprit, sur le plan de la totalité commune de l’énergie de l’Homme en mouvement vers un plan universel ou morontiel, ça n’a aucune valeur, aucune. Demandez à votre entité qui vous chevauche si votre pensée ou vos pensées, ou vos idées, sont importantes, ils vont toujours vous dire : NON. Parce que pour eux autres, tout ce qui compte, tout ce qui est véritable, tout ce qui est réel – c’est pour ça d’ailleurs que l’Homme souffre de sa relation avec les plans – ce qui est réel pour une entité qui chevauche l’Homme, pour un ajusteur de pensée, c’est la vibration, ce n’est pas la pensée elle-même.

Quand bien même tu te fâcherais contre ton entité, puis tu utiliserais n’importe quel mot, n’importe quel vocable pour l’attaquer, pour la fâcher, “whatever it is”, toute dégonflée, ça ne change absolument rien au niveau de l’entité. Parce qu’une entité à ce niveau-là, une entité qui fait partie des mondes qui élèvent la conscience ou qui transforment la conscience, ces entités-là ne font pas partie du monde de l’Homme. Un guide spirituel, oui. Un guide spirituel, ça fait partie du monde de l’Homme, ce sont des Hommes incarnés qui sont de l’autre bord.

Un ajusteur de pensée, ça ne fait pas partie du monde de l’Homme, c’est pour ça que votre relation avec votre ajusteur de pensée ne sera jamais une relation psychologique. Vous ne pourrez jamais amener votre ajusteur de pensée à composer avec vous dans votre vie comme vous voulez, “no way” ! Ça, ça se fera quand vous aurez une conscience vibratoire, parce que c’est seulement avec une conscience vibratoire que vous pouvez altérer le temps d’une entité qui fait partie de votre conscience.

Là, à ce moment-là, ils sont obligés d’altérer leur relation avec vous autres, ils sont obligés de changer de temps, ils sont obligés de se manifester par rapport à l’Homme d’une manière différente. Et comment ça, d’une manière différente, qu’est-ce que ça veut dire pour un ajusteur de pensée de se manifester d’une manière différente ? Ça veut dire que la nature de vos pensées va changer, ça veut dire que la nature de votre réflexion va changer, ça veut dire que le degré de silence dans votre conscience mentale va se développer !

Ça veut dire qu’éventuellement vous allez avoir conscience de la nullité du rapport avec eux autres, mais vous allez avoir conscience du lien permanent sur le plan vibratoire avec eux autres. Moi je ne vais pas nier le lien vibratoire que j’ai avec mon ajusteur de pensée, mais je vais nier l’importance de sa relation psychologique avec mon mental. Puis ça, c’est la confrontation qui va créer ça. Et c’est là que l’Homme va finalement pouvoir établir sur la Terre dans sa vie, au niveau de son expérience humaine, les conditions nécessaires à son plein épanouissement. Bye ! (Applaudissements).

mise à jour le 21/08/2024