Paris – credit: @DronalistDailyDose YouTube

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

Ce que je veux discuter ce soir, c’est… Il faut me suivre d’assez près là, parce que c’est un peu occulte, je veux parler du caractère inquisitionnel du monde des esprits, le plan, les plans, le plan des entités. Je veux développer ça, je veux faire comprendre ça, parce qu’il y a beaucoup de choses importantes là-dedans, puis on se méprend facilement par rapport à ça.

Ce que j’appelle le caractère inquisitionnel du plan, des plans ou du monde des esprits à n’importe quel niveau, que ce soit sur le plan astral ou que ce soit sur le plan mental, c’est l’inhabilité de l’Homme de traiter avec les entités, dans le sens d’amener les entités à sa volonté, tout de suite. Ça prend un certain temps, ça prend un temps, ça prend du temps pour amener les entités sous la volonté de l’Homme.

Donc pendant ce temps-là, ben, on a une période qui peut être relativement longue, qu’on appelle souvent “initiation”, durant laquelle l’Homme vit des relations, des évènements par rapport aux plans qu’on connaît aujourd’hui, qu’on ne connaissait pas dans le passé, mais qu’on réalise de plus en plus. Donc l‘Homme s’aperçoit que sa vie est de plus en plus en relation avec… que sa vie est de plus en plus le produit d’une exécution à partir de plans subtils, et sa relation avec ces plans-là devient naturellement, à cause de la nature des plans, inquisitionnelle, dans ce sens que c’est difficile d’amener les entités à plier sous notre volonté.

Et l’évolution, ce que j’appelle “l’évolution”, c’est-à-dire la conquête des entités par l’Homme, l’abattement de ces forces inquisitionnelles là, ça fait partie de l’évolution, et aussi, ça demande de la part de l’Homme ou ça demandera de la part de l’Homme une très, très, très grande force intérieure et surtout une capacité de ne jamais paniquer. Ça fait que, disons que j’inscris au tableau de cette recherche-là le terme “paniquer”. Quand on traite avec des entités et que les évènements de la vie sont fortement en opposition avec nous autres, on a tendance à paniquer parce qu’on ne réalise pas jusqu’à quel point tout est écrit sur le mur.

On ne réalise pas jusqu’à quel point tout est écrit, tout est su à partir des plans, et comme on ne réalise pas parfaitement ça, parce qu’on n’a pas réellement une conscience télépathique très développée et qu’on n’a pas une relation télépathique avec les plans très développée, on a tendance à rationaliser les évènements. Et quand on les rationalise, automatiquement on fait surgir en soi un terrain émotif, on fait surgir en soi des émotions, des énergies qui sont très astralisables !

Puis éventuellement, ça nous confusionne l’Esprit, puis ça nous met dans une situation où on perd contact avec soi-même, c’est-à-dire qu’on perd le focus, on perd notre capacité de réellement savoir qu’on peut transcender tout. C’est très important pour l’Homme de réaliser qu’il peut tout transcender. Et il peut tout transcender dans la mesure où il est conscient, c’est-à-dire dans la mesure où il n’est pas assujetti au caractère inquisitionnel des entités.

Puis ça, c’est très occulte, ça fait partie des lois occultes, c’est probablement un des grands secrets de la vie sur la Terre. Ça fait partie de la science du mental, ça fait partie des lois du mensonge cosmique, et aussi, ça fait partie du droit fondamental de toute conscience unitaire en évolution de pouvoir exercer le taux vibratoire qu’elle veut à l’intérieur de son territoire psychique, c’est-à-dire à l’intérieur de la conscience de son moi.

Ce qui veut dire qu’un être qui a un moi, c’est-à-dire une conscience réfléchie, égoïque, planétaire, a le droit au niveau cosmique d’être le maître de sa maison, dans sa maison. Être le maître dans sa maison, de sa maison, de son territoire psychique, de son moi, ça équivaut à la maîtrise de sa conscience, ça équivaut à l’élimination de la conscience planétaire expérimentale, et ça amène l’Homme éventuellement à pouvoir mettre un arrêt, contrôler si vous voulez, le caractère inquisitionnel des forces occultes.

Si vous êtes inconscients des forces occultes ça ne change rien. Ce n’est pas parce qu’on est conscient des forces occultes que la vie change. Les forces occultes sont là, elles ont toujours été là, c’est l’arrière-plan de la vie. Si vous êtes conscients des forces occultes par contre, vous avez un certain avantage à pouvoir comprendre les fondamentales de votre vie et aussi à comprendre les mécanismes, les forces, les points de pression, qui constituent pour vous des entrées en expérience dans votre vie.

Et à ce moment-là, vous pouvez avec le temps en arriver à pouvoir vous libérer de plus en plus de l’inconnu en ce qui concerne votre existence, puis finalement rentrer dans une conscience constructive, créative, c’est-à-dire une conscience qui vous permet de ne plus vous assujettir ou de vous assujettir de moins en moins à ce contrôle inquisitionnel, qui fait partie de ce qu’on appelle l’existence, c’est-à-dire le monde de l’astral dominant le monde de la matière.

Le grand problème de l‘ego sur la Terre, c’est la réflexion, la réflexion étant une diminution de la lumière instantanément et l’absence de révélation exercée ou canalisée entre le moi planétaire et son principe cosmique, c’est-à-dire son ajusteur de pensée. Si un Homme ne peut pas avoir une relation directe, étroite, totalement éclairée, dans sa relation avec un ajusteur de pensée, ben, automatiquement il va devenir victime, jusqu’à un certain point, d’autres niveaux d’énergie qu’on appelle “le plan astral”.

Et ces niveaux d’énergie là serviront temporairement de palliatif pour absorber une trop grande lumière que, pour le moment, il n’est pas capable d’absorber. Ce n’est pas parce qu’on parle de lumière ou qu’on parle de conscience, qu’on parle de fusion, qu’on parle d’unité de conscience avec les plans, que l’Homme nécessairement peut vivre cette union-là avec les plans de manière instantanée. Ça ne fonctionne pas comme ça, la progression est totalement vibratoire.

Elle fait partie des lois occultes de l’ego, puis c’est avec le temps que l’Homme en arrive à ça, parce que ce sont des lois d’énergie, et l’Esprit de l’Homme, à cause de son incarnation, a des limites, c’est-à-dire que son système nerveux, sa nature animale, ses émotions, ses caractéristiques planétaires, souvent, sont une barrière à ce contact direct, à cette fusion instantanée, donc à cette révélation instantanée de notre relation avec les plans, et ultimement, le contrôle qu’on puisse exercer contre ces plans afin d’éliminer leur caractère inquisitionnel.

Pourquoi le caractère inquisitionnel ? Parce que la vie matérielle est un terminal. Les plans sont à l’origine de toute conscience, que l’Homme en soit conscient ou non. Donc les plans étant à l’origine de toute conscience, la vie commence sur les autres plans, la programmation commence sur les autres plans, l’exécution commence sur les autres plans.

Et le temps que l’Homme passe sur le plan matériel, les quelques années dans un corps matériel sont simplement des années où l’âme est mise en vibration pour, avec le temps, en arriver éventuellement à pouvoir être suffisamment élevée en vibration pour recevoir le choc vibratoire de ce qu’on appelle “l’ajusteur de pensée” ou “l’Esprit”, afin de créer éventuellement une fusion, puis ramener l’Homme au point de départ de sa conscience cosmique, c’est-à-dire au point où il est capable d’entrer en conscience morontielle, c’est-à-dire d’avoir une conscience continue, et ne plus partager avec les enfers astraux la conscience de l’involution ; les enfers astraux étant les plans inférieurs de la lumière qui permettent à une âme de se tester, d’explorer les différentes affinités qu’elle a avec la matière et tout ce qui convient à cette matérialité-là, comme sur notre planète, par exemple, qui est extrêmement variée en expériences.

Donc le caractère inquisitionnel des plans ou la sorte de difficulté qu’on a, en tant qu’ego, de faire ce qu’on veut dans la vie, comme on veut dans la vie, ça fait partie de ça. Ce n’est pas nouveau, ça a toujours été comme ça, les Hommes ont toujours eu de la difficulté dans la vie à faire ce qu’ils ont voulu. Même les grands Hommes n’ont pas toujours fait ce qu’ils ont voulu. Napoléon a perdu à Waterloo, César s’est fait assassiné. Les Hommes n’ont jamais pu faire ce qu’ils ont voulu dans la vie. Pourquoi ? Parce que le caractère inquisitionnel des plans existe et ça fait partie des lois de la vie d’en arriver à créer un processus résurrectionnel dans la conscience humaine, pour que l’Homme en arrive éventuellement à éliminer cette insurrection des plans contre la matérialité.

Et quand l’Homme aura réussi ça, l’Homme appartiendra à une nouvelle race qui n’est pas commune, c’est-à-dire une race mentale, et l’Homme aura la capacité à ce moment-là de pouvoir réellement comprendre la vie. Les mystères n’existeront plus et l’assujettissement du mortel à l’ajusteur de pensée ou aux plans inférieurs cessera, et l’Homme aura une conscience continue, c’est-à-dire qu’il rentrera dans sa morontialité. Puis lorsqu’il mourra, il changera simplement de plan pour aller vers le plan morontiel, mais l’Homme ne retournera pas au plan de la mort, parce que sa conscience sera maintenue vivante à la sortie de son corps matériel, lorsque les corps subtils se disloqueront.

La caractéristique inquisitionnelle des plans ou des forces occultes sur l’Homme, ou contre l’Homme, l’invite à trois choses. D’abord elle invite l’Homme, s’il est suffisamment conscient, à prendre conscience de l’importance de ne pas paniquer, parce que la panique c’est la réaction animale, c’est la réaction astrale, c’est la réaction des forces de l’âme, c’est un mouvement de basse vibration qui va à l’encontre des lois solaires de la conscience humaine, autrement dit la panique, c’est l’effet miroir dans la matière de l’impuissance humaine.

Un Homme qui panique quand ça va mal n’est pas dans son centre d’énergie, n’est pas en autorité de conscience. Il est régi par des effets périphériques, il est ce qu’on appelle “astralisé”. Et un tel Homme ne peut pas sur le plan matériel, dans le temps où il est ainsi astralisé, avoir une compréhension parfaite de ses moyens, et aussi, ne peut pas atteindre, ne peut pas toucher ou mettre le doigt sur ses outils, sur ses moyens, parce qu’il est déjà très très infirmé.

La panique, le phénomène de la panique, c’est l’astralisation du mental humain et la dévolution de la mémoire visuelle, mentale, qu’on appelle la Volonté. L’Homme perd sa volonté dans la panique. Et un Homme qui n’a pas de volonté ne peut plus travailler, ne peut plus exercer, si vous voulez, son énergie à la conquête de l’invisible, c’est-à-dire ne peut pas maîtriser le caractère inquisitionnel des forces occultes, parce qu’il est encore animalisé dans sa conscience, c’est-à-dire qu’il appartient à la race de l’involution et ne fait pas partie de la conscience solaire.

L’autre problème en ce qui concerne la panique, c’est que dans la panique, vous perdez votre capacité de comprendre la raison pour laquelle vous êtes en opposition. Si vous ne pouvez pas comprendre la raison pour laquelle vous êtes en opposition, ça sert à quoi votre opposition ? Ça sert à quoi votre souffrance, ça sert à quoi votre perte, ça sert à quoi le déséquilibre temporaire dans lequel… Que vous vivez présentement ?!

Si vous ne comprenez pas ça de manière objective, à ce moment-là vous êtes simplement réduits à une expérience karmique, et vous ne pouvez pas encore là, élever votre taux vibratoire pour éventuellement en arriver à maîtriser l’inconnu, c’est-à-dire briser le pouvoir préférentiel des entités sur votre programmation. Et le pouvoir préférentiel des entités sur votre programmation est toujours celui qui vous crée, dans votre expérience incarnationnelle, de la souffrance.

Les entités ne font pas souffrir l’Homme par plaisir – on ne parle pas des entités astrales là, on parle des entités cosmiques – elles ne font pas souffrir l’Homme par plaisir. Mais les entités ont un agenda qui est beaucoup plus vaste que celui de l’Homme, elles ont un agenda d’évolution, elles ont un agenda qui est fondé sur des siècles à venir. Donc pour eux autres, l’évolution c’est fondamental parce que ça fait partie de leur domaine.

Nous autres, on en a ras-le-bol de l’évolution après un certain temps, on veut simplement manger, puis avoir un steak, puis avoir assez d’argent dans nos poches pour s’acheter un saucisson. Donc la relativité de l’espace entre les deux est très grande, et l’Homme doit comprendre ça. Donc la panique élimine cette compréhension-là, parce que la panique c’est la réaction animale, c’est-à-dire c’est tout votre aspect inférieur qui veut être supérieur, mais qui ne peut pas l’être parce qu’il est trop enraciné dans la crainte.

Ça fait que, quand on parle d’évolution de conscience ou qu’on parlera d’évolution de conscience, au cours des siècles à venir, qu’on parlera de fusion chez l’Homme, qu’on parlera d’intelligence intégrale, on parlera de choses qui n’ont rien à voir avec la crainte, donc avec la panique, qui est la caractérisation astrale, primaire, primale de l’Homme, et que l’Homme doit dépasser. Sinon, il est obligé de subir pendant un certain temps encore, un certain nombre d’années encore, ce que j’appelle “le caractère inquisitionnel des forces occultes”.

Il y a beaucoup de gens qui viennent me voir puis qui me disent : “Ben oui, mais c’est assez”, ou : “Pourquoi je ne peux pas faire ce que je veux ! Quand je fais quelque chose, il arrive quelque chose”. C’est toujours de même, “anyway” ! Si vous aviez été inconscients, ça aurait été de même “anyway” ! C’est de même pour tous les Hommes de la Terre. La seule différence aujourd’hui, c’est qu’on connaît un peu plus les mécanismes occultes de ça, les mécanismes de l’ombre, et on peut les expliquer.

Par contre, le régime demeure le même, l’Homme est en opposition avec les plans, il l’a toujours été, et c’est lui qui se libérera de cette opposition-là. Et il se libérera lorsqu’il aura compris pourquoi le caractère inquisitionnel des forces occultes l’oblige à subir pendant un certain nombre d’années, un certain temps, une certaine opposition à sa volonté ou à son corps de désir.

Il est évident que chaque être humain est la mesure de sa propre faiblesse, soit en fonction de sa culture, de sa mémoire, de son manque de volonté, de ses craintes. On est la mesure de notre petitesse, par contre cette mesure-là peut s’altérer avec le temps. Et l’Homme peut devenir plus grand, plus grand, plus grand, et grandir en conscience pour en arriver un jour à réaliser que, hop, Il est capable, il a une certaine capacité de mettre un frein au caractère inquisitionnel des forces occultes. Mais ça, ça fait partie de l’évolution puis ça fait partie des lois occultes de la vie et ça fait partie du but, si vous voulez, de cette instruction-là qui se veut extrêmement occulte, et pas nécessairement à la portée de tous les Hommes de la Terre, dans un même temps.

L’énergie a des taux de vibration, c’est-à-dire que l’énergie a des niveaux de puissance qui font partie intégrale de sa propre volonté. Plus le taux vibratoire chez un Homme change, plus il s’élève, plus la Volonté de l’Homme devient grande, plus son Intelligence devient grande. Pourquoi ? Parce que plus il est allumé, autrement dit moins il est dans l’ombre de lui-même, moins il est dans ses craintes, moins il est dans l’âme, plus il est dans l’Esprit.

Par contre, ce n’est pas parce que l’Homme commence à goûter un petit peu plus de cette sorte d’envergure qu’il va nécessairement être libéré de vivre le caractère inquisitionnel des forces occultes. Par contre, avec le temps, il va en arriver à réaliser et à comprendre que c’est son rôle, en tant qu’être mortel, de comprendre le jeu des forces occultes.

Un Homme qui comprend le jeu des forces occultes souffre moins ou devient moins victime de leur caractéristique inquisitionnelle, et éventuellement il en arrive à les mater. Mater les forces occultes, ça veut dire en arriver un jour à faire sur la Terre ce qu’on veut, c’est-à-dire à se libérer de sa programmation. Il y a des discours qui seront certainement développés un jour ou mis à l’œuvre un jour, en ce qui concerne le caractère astrologique de la conscience humaine. Il est évident que la conscience humaine est très influencée, que l’Homme est très influencé par les globes.

Par contre, l’Homme aussi réalisera un jour qu’il a la capacité de neutraliser les courants astraux de ces influences-là. Les courants astraux des globes, autrement dit les forces qui donnent à l’âme son rythme planétaire, ces forces-là peuvent être ralenties, diminuées, et complètement d’ailleurs, éliminées de la conscience humaine. Ça fait partie de l’évolution, parce qu’un jour l’Homme sera tellement en Esprit que les forces de l’âme ne pourront plus être pour lui, dans son expérience, le focus de son mouvement, en tant qu’être ou en tant qu’entité, l’Homme vivra simplement en tant qu’Esprit.

Vivre en tant qu’Esprit, ça veut dire ne pas participer aux aspects inférieurs d’une planète ou d’une conscience planétaire, donc ça demandera des Hommes qui auront réellement vaincu à tous les niveaux le mal de la conscience involutive, pour rentrer dans l’Intelligence de la conscience évolutive. Rendu à ce point-là, l’Homme sera maître de lui-même, ne subira plus le caractère inquisitionnel des plans, et à ce moment-là, il aura une vie qui sera totalement victorieuse, c’est-à-dire qu’il n’aura plus rien à apprendre.

Mais tant que l’Homme a quelque chose à apprendre, c’est qu’il y a des aspects chez lui qui sont astraux, et ces aspects-là doivent être ajustés pour qu’ils coïncident, avec le temps, avec son Esprit, parce que techniquement, un Homme quand il est amené ou qu’il s’est amené, ou qu’il a été amené à s’unir suffisamment avec son énergie, n’a plus rien à apprendre sur la Terre. Donc techniquement, il est prêt à mourir, c’est-à-dire qu’il est prêt à changer de plan, mais ne pas retourner en astral.

Le phénomène de la panique chez l’être humain est immense, et plus l’Homme est inconscient, plus l’Homme est émotif, plus l’Homme est éloigné de sa conscience, de son centre mental, plus la panique devient évidente pour lui, surtout quand ça va mal. On ne parle même pas des gros mouvements de masse là, t’sé, on parle réellement de la panique personnelle qu’on vit quand on a l’impression que tout s’écrase autour de nous autres, et qu’on est enfermé dans une petite boîte. Mais ça, c’est une illusion ça, d’être enfermé dans une petite boîte, mais l’illusion est toujours à la mesure de notre inconscience.

Par contre, l’Homme en tant qu’individu a beaucoup de choses à apprendre. Sur le plan individuel, on a beaucoup de choses à apprendre. Puis les choses qu’on a à apprendre, il faut qu’on les sache, on ne les sait pas et le fait qu’on ne les sait pas, ça rend notre vie plus difficile, parce que quand tu ne sais pas ce que tu as à apprendre, ben, tu cherches. Tandis que quand tu sais ce que tu as à apprendre, tu ne cherches plus, tu t’arranges simplement pour ne plus le vivre, ça ! Et comment est-ce que l’Homme peut s’amener à savoir ce qu’il a à apprendre ? Vous avez simplement à regarder où votre vie ne fonctionne pas.

Où votre vie ne fonctionne pas, vous avez quelque chose à apprendre, c’est simple. Votre vie ne fonctionne pas en amour ? Vous avez quelque chose à apprendre. Votre vie ne fonctionne pas sur le job ? Vous avez quelque chose à apprendre. Où votre vie ne fonctionne pas, vous avez quelque chose à apprendre ! Ça fait que mettez-vous en focus sur ça, puis travaillez ça.

Mais si votre vie ne fonctionne pas, puis que vous ne réalisez pas que vous avez quelque chose à apprendre, là vous allez vivre en périphérie de tout ça, vous allez vivre autour de tout ça. Puis vous pouvez vivre autour de tout ça pendant longtemps, longtemps, longtemps, longtemps. Puis ça, j’appelle ça : “vivre de l’expérience”. Puis en général, on a de la difficulté à identifier ce qui ne fonctionne pas avec soi, parce qu’on ne veut pas le savoir. Puis la raison qu’on ne veut pas le savoir, c’est parce qu’on veut toujours avoir l’impression qu’on est correct.

L’être humain veut avoir l’impression qu’il est correct. Le gars qui est marié avec une femme, il veut avoir l’impression qu’il est correct. La femme qui est mariée avec le gars, elle veut avoir l’impression qu’elle est correcte. Le gars qui travaille pour quelqu’un dans son job, il veut avoir l’impression qu’il est correct. Le patron qui a un employé veut avoir l’impression qu’il est correct. On veut tous avoir l’impression qu’on est correct, puis on n’est pas correct !

Si on était correct, peut-être qu’on ne serait même pas avec cette femme-là, peut-être qu’on ne serait pas avec ce gars-là, peut-être qu’on ne serait même pas dans ce job-là, ou peut-être qu’on serait plus… Ça dépend des cas. Mais ce n’est pas normal d’avoir une vie ou de vivre une vie – quand je dis ce n’est pas normal, ça ne devrait pas être comme ça, c’est normal, tout le monde est de même – mais ce n’est pas normal de vivre une vie où on ne sait pas ce qui n’est pas correct.

On devrait le savoir ce qui n’est pas correct. Vous êtes bien mieux avec vos “chars” (voitures) qu’avec vos vies ! Avec vos “chars”, vous savez ce qui n’est pas correct. Une “fuse” (fusible) qui pète, oh tu le sais qu’elle n’est pas correcte ! Aussitôt que le son de ton “char” change, t’es rendu chez Shell, pas de problème ! Il y a des gars qui prennent soin de leur “char”, pas de problème ! Mais prendre soin de notre vie, là on attend, puis on attend, puis je te dis que c’est long avant de passer au garage !

Puis quand on passe au garage, ben, le “char” n’est plus bon ! (rires du public). Il y en a qui sont chanceux, il y en a qui ont des Mercedes, ça fait que ça dure plus longtemps ! Alors la relation entre l’Homme et les plans, c’est une relation d’ajustement. On parle des plans occultes avancés là, on ne parle pas des plans astraux inférieurs où on a des entités de basse vibration dans le chemin. Mais même ça, ça fait partie de l’étude de l’Homme.

Quelqu’un qui a des entités de basse vibration devrait le savoir ! Quand tu as un virus dans ton computer, tu devrais le savoir. Si vous ne savez pas que vous avez une entité de basse vibration qui vous manipule, vous avez un gros, gros, gros problème. Il peut être très grave le problème, “très pas bon le problème” (rires du public). Mais si vous êtes intelligents, que vous avez un peu d’Esprit, là vous allez dire : “Ben, là, comment est-ce qu’on peut le savoir si on a de l’Esprit”… Il y a deux façons de savoir si on a de l’Esprit.

Premièrement, il faut qu’on le sache, puis deuxièmement il faut qu’on le sache ! Si vous ne savez pas que vous avez de l’Esprit, vous avez un gros problème ! Parce que quelqu’un qui a de l’Esprit le sait, hein ! Tu demandes à quelqu’un : “As-tu de l’Esprit”… Il va dire : “Oui”. Mais tu vas demander à quelqu’un qui n’en a pas s’il a de l’Esprit, il va te dire : “Qu’est-ce que c’est ça”… Demander à quelqu’un s’il a de l’Esprit, c’est comme demander à quelqu’un : “As-tu un lighter”… Il va dire : “Oui”.

Si tu demandes à quelqu’un qui n’a jamais vu un “lighter” (briquet), il va dire : “C’est quoi ça, un lighter”… L’Esprit c’est la même chose. Par contre, l’Esprit n’est pas ajusté chez l’Homme. Tu peux avoir de l’Esprit, mais il n’est pas ajusté. Si votre Esprit n’est pas ajusté, il est astralisé. Ça, ça veut dire que votre lumière est trop forte pour vos reins, que vous n’êtes pas capables de la prendre votre lumière. Vous autres, vous ne le savez pas, vous pensez que vous êtes capables de la prendre, mais eux autres le savent que vous n’êtes pas capables, ça fait qu’ils vous protègent contre votre propre ignorance.

Ça fait que quand la lumière est trop forte pour toi, il y a quelqu’un qui la transforme, on appelle ça des entités astrales. Puis c’est cette “gang-là” – je les appelle les “mouks-mouks” – c’est cette “gang-là” qui “peuvent” nous faire, qui “peuvent” nous rendre la vie difficile sur le plan matériel, parce qu’eux autres ne t’amènent pas de lumière, ils la transforment, ils en descendent le taux pour que tu puisses fonctionner un petit peu, puis avoir de l’expérience au niveau de l’âme.

Tandis qu’un Homme qui fonctionne au niveau de son Esprit, il n’a pas besoin d’entités entre les deux, il n’a pas besoin de distributeur, ça rentre direct, puis il s’ajuste avec le temps. Le pouvoir de cette énergie-là rentre, puis grandit, puis il devient de plus en plus habitué, puis habile à traiter avec cette énergie-là. Puis quand tu lui dis : “As-tu de l’Esprit”… Il dit : “Oui, j’ai de l’Esprit”. “En as-tu gros”… “Oui, j’en ai en masse”. “Devrais-tu en avoir plus”… “Oui, il faudrait que j’attende un petit peu”.

Ça fait qu’à partir de ce moment-là, si vous savez que vous avez de l’Esprit et que vous vivez des expériences qui sont difficiles, qui auraient tendance à faire paniquer quelqu’un de moins conscient que vous, à ce moment-là c’est là que vous avez la chance de tester la conscience que vous avez de votre Esprit. Avoir de l’Esprit, c’est une chose : “Ah ! J’ai de l’Esprit, OK”. Mais il faut qu’elle soit testée la conscience de votre Esprit, il faut que vous ayez une mesure de cette conscience-là, une mesure de cet Esprit-là.

Puis la mesure de cet Esprit-là, c’est dans l’expérience que vous allez l’avoir, parce que lui sait de quelle expérience vous avez besoin. Il va vous donner l’expérience à votre mesure, puis dans cette expérience-là, vous allez voir, vous allez savoir si vous êtes capables de réellement vivre à la mesure de votre Esprit. Il va toujours y avoir le facteur de panique qui est l’élément mesurable de votre Esprit. L’Esprit, ça se mesure au niveau de panique qu’on a dans l’opposition !

Moi, la seule raison que je sais que j’ai beaucoup d’Esprit – à part le fait que je lui parle là, c’est que dans l’opposition, dans les plus grosses oppositions… Puis plus elles sont grosses, moins je casse, je ne casse pas. Dans les petites choses, je peux casser parce que je ne suis pas averti, je ne suis pas… Ça, c’est comme un gars qui fait des arts martiaux. Si tu lui donnes un coup de poing quand il est en train de prendre son “Beacon and Eggs” le matin, il risque de tomber à terre. Mais si tu lui donnes un coup de poing quand il est en pratique dans “le gym”, là, il va te rentrer dans le mur. Ça fait que c’est un petit peu comme ça que ça fonctionne.

Ça fait que quand on est en opposition, c’est là qu’on a la chance de tester notre Esprit, puis c’est là que, si on est capable de supporter cette opposition-là intelligemment, c’est-à-dire la comprendre, à ce moment-là on développe des niveaux de résistance psychique de grande valeur. Et ça, ça nous amène avec le temps, avec le temps, à ne plus faillir, à ne plus paniquer devant rien. Quand tu ne paniques plus devant rien, ils ne peuvent plus rien faire !

Même l’Esprit ne peut pas rien faire, parce que le pouvoir de l’Esprit contre l’Homme, c’est la panique. Si l’Homme ne panique pas, l’Esprit n’a plus de pouvoir sur l’Homme, à ce moment-là il y a égalité entre l’Homme et l’Esprit, et l’Homme a gagné sa partie, la première tranche de sa partie de vie sur le plan matériel. Il a gagné sa première victoire, il commence finalement à neutraliser le pouvoir inquisitionnel des esprits ou de l’Esprit. À ce moment-là, la vie commence à être facile, tu commences à faire pas mal ce que tu veux, tu patines comme tu veux, à la vitesse que tu veux.

Mais l’Homme ne peut pas arriver à ça sans être testé dans l’expérience, que vous soyez conscients ou inconscients. Les grands Hommes inconscients ont été testés dans l’expérience. On parle souvent des premiers ministres, puis des chefs d’États aujourd’hui, en Israël, par exemple, ils ont été testés dans l’expérience, ils ont donné leur vie, ils ont mis leur vie sur la table pour leur pays. Puis on dit : “Tel premier ministre, premier ministre Begin, tel premier ministre ici, premier ministre là”…

Souvent ces gens-là, surtout dans ces pays-là, ils ont mis leur vie sur la table quelque part quand ils étaient jeunes, ils ont été dans l’armée, ils ont fait partie des commandos, puis “they put their life on the line” (ils mettent leur vie en jeu). Puis un jour, les pays les ont reconnus, puis leur ont donné le plus grand des honneurs, ils sont devenus : Premier ministre.

Ça fait que tu sois conscient ou inconscient c’est toujours la même chose ! Tu ne parviens pas à dépasser les oppositions – donc à neutraliser le caractère inquisitionnel des plans contre ta vie planétaire programmée – tant que tu n’en arrives pas à complètement avoir le contrôle sur le bouton de panique. Pourquoi est-ce que l’Homme n’évolue pas quand ça va bien ? Parce que quand ça va bien, il n’y a pas de panique. Les gens qui évoluent le moins, ce sont les gens qui sont les mieux nantis.

Si vous êtes bien nantis, puis que vous avez cinquante millions à la banque, puis vous êtes beaux, vous êtes belles, puis vous avez une grosse maison, puis vous n’avez pas besoin de travailler, tout va bien, puis vous donnez des ordres, vous ne pouvez pas évoluer ! Parce qu’il n’y a pas d’opposition ! Un jour vous allez en avoir. Un jour, rendu à soixante, soixante-cinq ans, soixante-dix ans, vous allez “pogner” le cancer là, c’est là qu’ils vont vous tester dans vos reins.

Ça fait qu’un Homme qui est trop bien nanti ne peut pas évoluer. Le Christ quand il disait… Il parlait des pauvres d’esprit, pas dans le sens des pauvres d’esprit ici, là, “le royaume des cieux est à eux”, c’est dans ce sens-là qu’il voulait dire, les initiés. Pourquoi ? Parce que c’est là que l’Homme est testé dans… C’est là que l’Homme vit le plus l’aspect inquisitionnel des forces occultes. Surtout quand il est conscient, puis qu’il a une conscience occulte. Là, il évolue. Pourquoi il évolue ? Premièrement parce qu’il a un contact télépathique avec lequel il peut entrer en référence, en liaison. “Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi ça se passe”… Puis il peut avoir des réponses.

Mais ce n’est pas parce qu’il a des réponses que la pression n’existe pas, la pression existe pareil. Puis avec le temps, il en arrive à comprendre, puis à saisir le caractère vibratoire de ses expériences. Vous autres, vous vivez des expériences, c’est toujours psychologique.

Ton “chum” te laisse, tu pleures, tu veux te suicider. Ta “blonde” te laisse, tu pleures, tu veux te suicider. Tu perds ton job, tu veux te suicider. On veut toujours se suicider. Je ne sais pas ce que c’est que cette affaire-là, se suicider. Les Japonais, c’est l’harakiri. C’est “Harry en haut qui rit” (rires du public), l’élément de panique, au lieu d’utiliser les évènements pour réellement briser le pouvoir inquisitionnel des plans ! Si on n’avait pas de science, OK. Mais là, aujourd’hui, on a une science, depuis 1969. On commence à avoir une psychologie un petit peu plus évoluée concernant la vie, puis les aspects occultes de la vie.

C’est à nous autres de l’utiliser puis de réaliser que la panique c’est réellement en dessous de notre ceinture. Quand l’Homme travaille directement avec les plans, il s’aperçoit que les plans ont des têtes de cochon. Il n’y a rien à faire avec des plans ! Les entités ont des têtes de cochon. Même les entités des plus hauts niveaux ont des têtes de cochon, même ils sont pires !

Pourquoi et à quoi ça sert cette tête de cochon là ? Ça sert réellement à nous mettre en vibration. Puis ça te met en vibration, puis en grosse, grosse, grosse vibration. Donc tu en arrives à les haïr, puis les haïr, puis les haïr, puis les haïr ! Puis dans ce processus de haine là, que tu développes par rapport aux plans, tu en arrives à développer la maîtrise ici, parce que dans le même processus tu apprends, tu apprends de ton erreur. Les entités ne te parlent pas de tes erreurs, ils ne vont pas te dire : “Tu as fait ça ou tu as fait ça, ou tu as fait ça”. Ce ne sont pas des “teachers”. Ils vont te faire voir ton erreur par vibration à travers l’expérience.

Quand tu commences à voir tes erreurs, ben, à ce moment-là c’est tes erreurs, ce n’est pas les erreurs de l’entité. Nous autres, on a toujours tendance à blâmer les entités quand on fait des erreurs. Ce n’est pas les erreurs de l’entité, c’est que l’entité elle agit par rapport à ce que tu es. Ça fait que si tu es bâti d’une certaine façon, si tu as un point faible quelque part, elle va utiliser ton point faible l’entité, et ça, ça devient une erreur.

C’est important pour vous autres de comprendre ça : Que ce n’est pas l’entité qui vous met en erreur, c’est votre condition utilisée par l’entité pour vous amener à la dépasser. Il y a bien des gens qui disent : “Ah ! Ben, c’est les forces, puis c’est ci puis c’est ça”. Ça, c’est des excuses cosmiques, ça. C’est toujours votre faute quand vous êtes en erreur, ce n’est jamais la faute de l’entité. Par contre, l’entité connaît votre faiblesse, elle connaît votre talon d’Achille.

Elle va agir, elle va vous créer une condition pour le dépasser ça, et c’est là que vous vivez ce caractère inquisitionnel de l’entité. Mais l’erreur, c’est votre erreur ! Ta “blonde” t’a “crissé” là en fin de semaine, ou tu as “crissé” ta “blonde” là en fin de semaine, puis là, tout le monde autour de lui ou d’elle capote. Ça tombe tout en morceaux là. Ce n’est pas à cause de l’entité, c’est toi qui a une faille quelque part. C’est toi qui a un problème à régler avec, je ne sais pas moi… Avec la réjection, avec la jalousie.

Tu as un problème à régler toi, p’tit gars ! Ça fait que l’entité, elle se sert simplement de l’évènement pour te faire régler ton problème, ce n’est pas la faute de l’entité. L’entité, c’est de la lumière qui rentre dans ton sous-sol. Nous autres, on a tendance à blâmer les entités, c’est encore une forme de naïveté, ça. Parce que si vous n’en arrivez pas à réaliser que c’est vous la raison, la cause, vous allez toujours mettre la cause ou la raison sur l’entité, et vous ne comprendrez jamais rien de vos vies. C’est très grave, ça peut être une erreur fondamentale.

Je vous assure qu’une personne qui blâme toujours l’entité, un jour, elle va se retrouver dans une situation totalement défaitiste ! Ce n’est jamais l’entité, c’est toujours nous autres ! Quand vous étiez inconscients, c’était vous autres, ce n’était pas l’entité. À cette heure où vous êtes conscients, vous mettez ça sur le dos de l’entité ! Vous allez être obligés de corriger ça, puis de comprendre que c’est toujours vous autres.

La seule différence, c’est qu’aujourd’hui vous savez qu’il y a des entités en arrière-plan qui travaillent pour vous autres ou contre vous autres, dépendant que ce soit des entités astrales ou que ce soit des entités de plus haut niveau. Ça fait que vous avez quelque chose à comprendre, puis si vous ne le comprenez pas, vous avez un gros problème, puis vous allez le traîner toute votre vie, votre problème ! Ça fait que vous allez être comme tout le monde sur le plan matériel, ignorants, vous allez mourir… Plus de dents !

Puis quand tu es conscient des entités, puis que tu commences à comprendre que ce n’est pas l’entité, que c’est toi, là je peux dire réellement que tu commences à être intelligent. Parce qu’un Homme qui est conscient des entités, puis qui réalise que c’est lui le problème, que ce n’est pas l’entité, déjà il a fait le partage des choses. Déjà d’abord, il a pris une mesure de ce qui doit être changé chez lui, donc il a pris une mesure de son erreur. En prenant une mesure de son erreur, bon, ben, l’entité a fini son travail.

Mais si vous n’avez pas pris une mesure de votre erreur, l’entité n’a pas fini son travail, puis elle va vous revenir encore “tal’heure” (tout à l’heure), avec une autre expérience, puis vous allez le revivre encore à un autre niveau. Elle ne lâchera pas, elle. Une vie ou une autre vie pour elle, il n’y a rien là, elle va revenir. Mais si vous ne prenez pas conscience que c’est vous l’erreur, c’est vous qui avez fait l’erreur, c’est vous qui n’avez pas saisi telle chose ou telle chose, à ce moment-là vous ne pouvez pas bénéficier de votre énergie, et l’entité va devenir, va demeurer une entité inquisitionnelle, puis elle va vous casser les pieds encore.

Puis ça, c’est l’histoire de l’Homme, puis c’est pour ça qu’on dit souvent : “C’est dur au monde de comprendre, puis d’avancer, c’est long, puis c’est long, tu as beau leur dire, puis envoyer des messages… Puis ils ne comprennent pas”. La conscience c’est une science, ce n’est pas un état, de la conscience. C’est une science qui crée un état. Si vous n’avez pas la science des plans, si vous n’avez pas la science occulte, la science de la vie, si vous ne comprenez pas comment ça fonctionne la vie, vous n’aurez jamais l’état de conscience. Vous serez toujours à la recherche d’une conscience.

On étudie la matière, on étudie l’Esprit, tout s’étudie, tout se comprend. Ça n’existe pas ça, de l’incompréhension. Tout se comprend. Mais on a des problèmes avec soi parce qu’on ne veut pas admettre, comprendre, réaliser, que le problème est avec nous autres. Puis le centre de ma conférence ce soir, même si je parle de l’inquisition des plans, est réellement là : Le problème est avec nous autres, il n’est jamais avec les plans. C’est important que vous le compreniez. Il y a des gens qui blâment les autres toute leur vie, toute leur vie, toute leur vie ! Ils blâment les autres, c’est toujours les autres !

Puis quand ils deviennent conscients des plans occultes là, c’est les plans occultes, c’est toujours les plans occultes, c’est les plans occultes ! Si vous êtes dans cette condition-là, vous êtes mieux de vous regarder le nombril, puis commencer à faire une opération, parce que vous avez réellement un grand retard sur votre conscience. C’est jamais les autres. Les gens disent : “Ben oui, mais c’est pas un cadeau ce gars-là, puis c’est pas un cadeau cette femme-là”. Ils ne sont pas un cadeau, mais c’est jamais les autres, c’est toujours toi.

Si c’est pas un cadeau, “crisse-les” là, va-t’en ! Moi quand je rencontre quelqu’un que ce n’est pas un cadeau, je le “crisse” là… Je les “crisse” là, bye, puis c’est fini, je les barre de ma vie, point final à la ligne. L’affaire de toujours blâmer les autres, c’est très grave pour deux raisons : Premièrement, quand vous blâmez les autres vous déplacez votre centre de gravité mental, c’est-à-dire que ça vous empêche de faire une étude de vous-mêmes, vous ne pouvez pas vous étudier.

Si tu blâmes les autres, tu ne peux plus t’étudier, t’es fait à l’os, ça fait que là, t’es réellement “blindé” (aveugle) ! Moi je connais une personne dans mon expérience qui a toujours blâmé les autres, puis même aujourd’hui encore, il ne comprend pas son expérience. Puis ce n’est pas un idiot, il ne la comprend pas encore. Puis des fois, il vient me voir pour que je lui explique, je ne lui explique pas, je ne vais jamais lui expliquer, quand bien même il serait sur son lit de mort !

Sur son lit de mort, il va dire : “Hé, explique-moi donc, Bernard, ce qui est arrivé”. Je vais lui dire : “Occupe-toi pas de ça là, tu changes de plan, bye ! Si tu n’as pas changé dans trente-cinq ans, tu ne vas pas changer à la dernière minute” (rires du public). Puis ça va loin l’affaire de blâmer les autres. Blâmer les autres, c’est totalement astral, puis ça fait partie des poussées, ça fait partie des entités qui vous soufflent des idées inconscientes, c’est toujours une entité.

Un Homme qui serait dans sa lumière là, ne pourrait jamais blâmer une autre personne. Il pourrait la comprendre, il pourrait la savoir, mais il ne pourrait jamais blâmer une autre personne. Si le moindrement, vous sortez de ce plan-là, puis que vous rentrez dans des plans un petit peu plus astralisés, là je te jure que le blâme des autres, ça fait partie de la “game”. Faites attention à ça, vous êtes faits à l’os ! Puis le grand danger là-dedans, ce n’est pas tellement le fait de blâmer les autres, c’est le fait que vous ne vous verrez pas, vous allez finir que vous allez avoir des “blindspots” abominables.

L’aveugle qui ne se voit pas, tu sais quand le Christ disait : “Le gars qui a la bûche dans l’oeil puis que”… Je ne me rappelle plus comment est-ce qu’il disait ça là… (rires du public). Est-ce que c’était une bûche ou une poutre ? Il avait une poutre dans l’oeil… En tout cas, il avait la bûche dans l’autre (rires du public). Moi je n’ai jamais été capable de répéter les paraboles du Christ, mais j’ai une idée de ce qu’il voulait dire (rires du public) ! “Passer un chat dans le trou de cul d’une aiguille”… Tu sais l’affaire de “passer un chat dans le cul d’une aiguille”… Je comprends ce qu’il voulait dire pareil, il était plus poli que moi (rires du public).

Ça fait que l’affaire de blâmer les autres, regardez ça, parce que si vous continuez ça, vous ne pourrez pas élever le taux vibratoire de votre mental inférieur. Ça, ça veut dire que vous ne serez pas capables au niveau de votre ego de vous désengager de votre mémoire, donc de votre réflexion, donc de tout ce qui crée en vous la structure psychologique de votre moi. Vous ne serez pas capables !

Puis en ne pouvant pas faire ça, vous allez couper, réduire, les possibilités du contact avec le plan mental, parce que quand tu parles au plan mental, c’est clair et net ta relation avec eux autres, puis c’est clair et net ton action dans le monde. Ça fait que si tu fais quelque chose dans le monde, ils sont capables de te l’expliquer : “Tu as fait telle affaire pour telle raison”. C’est clair et net, il n’y a pas de blâme là-dedans.

Mais si vous n’avez pas contact avec le plan mental, parce que vous n’êtes pas capables de vous libérer de cette activité tendancieuse là, qui est de blâmer les autres, vous allez réduire votre possibilité de développer un canal ou une faculté télépsychique avec eux autres, de haut niveau. Parce que ce n’est pas simplement l’affaire de pouvoir communiquer avec eux autres, ça c’est une chose, il y en a qui l’ont naturelle, il y en a qui l’ont moins naturelle, c’est l’affaire d’avoir une communication avec eux autres qui est réellement claire et nette, sans aucune ambiguïté, toujours dans l’intelligence.

Parce que même eux autres, ils sont capables d’utiliser le contact pour vous faire miroiter des illusions, parce qu’encore là, ben, vous avez quelque chose à apprendre, ainsi de suite. Ça fait que ça va loin la “game”. L’Esprit c’est très nuancé, l’Esprit c’est de la nuance, c’est pour ça d’ailleurs que de l’intelligence c’est si beau, parce que c’est tout de la nuance, donc les plans sont inquisitionnels, ils l’ont toujours été.

Des fois, ils sont un petit peu plus mielleux, mais quand les plans sont mielleux par rapport à vous autres, attendez-vous à ce qu’ils soient inquisitionnels plus tard. Quand tu dis à un plan : “Comment ça va aujourd’hui”… Puis qu’il dit : “Ah ! Ça va très bien aujourd’hui, tu vas avoir une belle journée”. Tu vas avoir une belle journée et le lendemain tu vas avoir de la merde, c’est sûr ! Ils sont mielleux, puis le lendemain, bang ! Miel, bang ! Miel, bang ! Ça, c’est leur technique.

Puis s’habituer, pouvoir s’habituer, ce n’est pas facile de s’habituer, ça vient avec le temps. On s’habitue au caractère inquisitionnel, non pas dans le sens qu’on l’accepte – tu n’acceptes jamais ça – mais dans le sens qu’on en arrive à vivre une sorte d’équilibre par rapport à ça, parce qu’éventuellement on sait que les plans – autrement dit les plans en haut ici, là – que les plans travaillent réellement avec l’Homme, les plans font partie de la conscience de l’Homme, et les plans sont l’intelligence dans l’Homme.

Dans ce sens-là, le caractère inquisitionnel, on l’absorbe, on est plus (+) capable de “dealer” avec, puis quand on est rendu à ce point-là, à ce moment-là on ne panique plus devant les obstacles, devant les grosses oppositions, puis là, le taux vibratoire s’ajuste. Puis là, l’Homme commence réellement à rentrer dans sa grandeur, c’est-à-dire qu’il commence à se libérer des grandes influences planétaires et devenir roi dans la matière. Roi dans la matière, ça veut dire avoir une maîtrise suffisante de ses énergies astrales pour ne plus être trop victime des positions planétaires, des quadratures qui font partie de sa programmation.

Un autre problème avec les entités, c’est qu’on a tendance à prendre les entités pour de la petite fumée là ! Puis il va falloir un jour que le phénomène de l’entité soit suffisamment concrétisé dans la conscience humaine pour que l’Homme réalise que c’est du monde, ce sont des Intelligences, qui n’ont pas de corps physique effectivement, qui n’ont pas subi d’incarnation effectivement, elles ne sont pas sur le plan astral, mais ce sont réellement des Intelligences.

Ce sont des personnalités très avancées, très développées, très différentes de nous autres, qui vivent dans des mondes qui sont parallèles à nous autres, mais ce sont des êtres ! Si vous n’avez pas de relation concomitante avec ces entités-là comme étant des êtres, vous allez avoir moins de punch dans votre rébellion. En ayant moins de punch dans votre rébellion, ça veut dire que vous allez les subir plus d’une façon spirituelle que d’une façon catégorique. Et en ne vivant pas une coexistence catégorique avec elles, ça va être plus long pour vous autres d’apprendre les aspects occultes de votre expérience.

Tandis que si vous avez une relation extrêmement catégorique avec les entités – parce que pour vous, elles représentent des Intelligences sur un autre plan, même s’il n’est pas matériel, et ce sont des Intelligences qui sont équivalentes à vous en tant qu’êtres matérialisés – à ce moment-là vous allez avoir moins de difficulté à pouvoir traiter avec la vibration. Et le secret de toute conscience, c’est la capacité de traiter avec la vibration – pas traiter dans un mode d’évolution psychologique par rapport à eux autres, ils ne sont pas sur ce plan-là – mais sur le plan vibratoire, par exemple, ils sont là, et l’Homme peut réellement travailler avec elles sur le plan vibratoire, puis les amener ces entités-là, à lui obéir.

Mais si l’Homme n’est pas capable de traiter avec la vibration parce qu’il n’est pas capable d’absorber le choc du caractère inquisitionnel des entités, à ce moment-là l’Homme n’aura pas la force intérieure nécessaire pour maîtriser son humanité, son animalité, ses basses passions, ses basses vibrations, qui sont la source de sa souffrance en réalité. Il demeurera donc un être qui a une conscience expérimentale et il sera obligé de mourir ainsi, au lieu de passer à une conscience éthérique.

Et sur le plan matériel, durant la vie, il n’aura jamais l’impression qu’il est en pleine conscience, en pleine mesure, qu’il est en plein contrôle, puis c’est le droit de l’Homme de contrôler sa vie. Par contre, pour contrôler sa vie il faut réellement aller aux extrêmes de la conscience. Et les extrêmes de la conscience commencent dans notre capacité… Coupure. Fin.

mise à jour le 21/08/2024