L’idéalisation de la conscience

Paris – credit: @DronalistDailyDose YouTube

Psychologie évolutionnaire 51

« Donc, pour poursuivre un peu dans l’esprit de la première partie, l’idéalisation de la conscience c’est très difficile de s’en départir. L’Homme va s’apercevoir que ça sera un combat qui durera des années dans sa vie. On ne se départ pas de l’idéalisation de la conscience facilement, ça prend des années, … » BdM

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

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Donc, pour poursuivre un peu dans l’esprit de la première partie, l’idéalisation de la conscience c’est très difficile de s’en départir. L’Homme va s’apercevoir que ça sera un combat qui durera des années dans sa vie. On ne se départ pas de l’idéalisation de la conscience facilement, ça prend des années, des années.

Et la raison est celle-ci : c’est qu’une fois que le canal est ouvert entre l’Homme et les plans et que la communication télépathique est établie, et qu’il y a une conversation ou un mode de conversation suffisamment identifié par l’ego, on s’aperçoit que les plans sont extrêmement effectifs dans la déception. Et quand je parle de déception, je ne parle pas de déception dans le sens humain du terme.

Quand je parle de déception, je parle de manière qu’ils ont pour déjouer l’ego, même si c’est dans un sens créatif, même si c’est dans un sens utile à court ou à long terme. Et c’est cette forme de déception là qui fait en sorte qu’au cours des années, au cours de cette longue période où l’Homme prend conscience et où l’Homme apprend, si vous voulez, à traiter avec les plans, c’est au cours de cette période-là qu’on s’aperçoit que l’idéalisation des plans va réellement à l’encontre des intérêts de l’ego, même si au niveau des plans ou au niveau de leur agenda, les plans travaillent pour l’Homme.

Et je veux faire la distinction entre les deux, parce que des Hommes diront : “Bon, ben, les plans travaillent pour nous, les plans travaillent pour l’évolution de l’ego, les plans travaillent pour le développement de la conscience, donc leur agenda est utile”, puis effectivement leur agenda est utile. Mais il faut comprendre aussi que les plans ne sont pas seuls, autrement dit les plans ont leur réalité et que l’Homme a sa réalité, et qu’il doit éventuellement se développer un équilibre entre la réalité de l’Homme et la réalité des plans, un équilibre entre l’ajusteur de pensée et l’ego du mortel.

Sinon, s’il n’y a pas d’équilibre, c’est une initiation sans fin, c’est donc un état de possession qui doit ultimement se terminer dans une grande souffrance. C’est pour ça que je dis que l’idéalisation de la conscience, c’est un état psychologique chez l’Homme qui, graduellement, doit se métamorphoser, s’ajuster, pour que finalement l’Homme en arrive à équilibrer sa relation avec les plans, sinon il sera voué à vivre une perturbation à partir des plans.

Une perturbation qui sera à la mesure de sa relation avec eux, mais il y aura une perturbation, parce que les plans peuvent devenir extrêmement présents dans la vie de l’Homme. Et plus l’Homme est conscient des plans, plus le canal est développé, plus ils ont accès à sa conscience mentale, plus ils ont accès à sa mémoire, plus ils ont la capacité d’interférer directement dans sa vie sur le plan matériel.

C’est dans ce sens-là que l’idéalisation de la conscience, bien qu’elle soit le résultat naturel de la conscience spirituelle de l’ego, en ce qui concerne le développement de l’Homme, en ce qui concerne le développement de sa maturité, en ce qui concerne le développement de son intégration, il n’y a aucune place ultimement dans la vie de l’ego pour l’idéalisation de ces plans-là, à quelque niveau ou quelle que soit la reconnaissance qu’on leur donne. D’ailleurs, plus on leur donne de reconnaissance, plus on doit invoquer des stratèges symboliques pour les identifier.

Par exemple, on dira… Il y a des gens qui diront : “Bon, mon contact c’est un Archange, mon contact c’est un Séraphin, mon contact c’est un ci ou mon contact c’est un ça”. Quelle que soit l’identification symbolique utilisée par les plans pour faire la connexion télépathique avec l’ego, avec le mortel, la symbologie de leur statut spirituel, universel, religieux, ecclésiastique, théologique, est totalement inutile, illusoire. C’est très important de comprendre ça ! Ils utiliseront votre mémoire.

Si vous êtes Islamiste on utilisera la mémoire de l’Islam, si vous êtes Chrétien on utilisera la mémoire du Chrétien, si vous êtes Juif on utilisera la mémoire Juive, si vous êtes Indien dans le sens des Indiens Amérindiens, on utilisera la mémoire Animiste, si vous êtes Haïtien on utilisera la mémoire Créole, Haïtienne, Panafricaine.

Toute forme d’identification symbolique utilisée par les plans, par les entités, que ce soit sur le plan astral, que ce soit sur le plan mental, est simplement une manière “conveniente” (appropriée) pour eux de faire contact psychologique avec l’ego. Donc chez un Chrétien qui a une ferveur spirituelle ou une ferveur religieuse qui découle de la mémoire de sa race, qui appartient à sa forme d’éducation, ben, on dira : “C’est le Christ qui te parle ou c’est la Vierge qui te parle, ou c’est St Jean qui te parle, ou c’est St Christophe qui te parle”.

Mais quelle que soit la parlance ou la symbolique de la parlance, on s’apercevra au cours de l’évolution que dans toute relation mentale, télépathique avec les plans, l’utilisation symbolique d’un vocable pour les identifier dans leur relation avec l’Homme ne fait partie que d’une manière convenable, “conveniente” pour eux. Et éventuellement l’Homme en arrivera à se libérer de cette stratégie spirituelle, religieuse, théologique, cabalistique, ésotérique, pour finalement entrer dans une relation télépathique mentale, absolument libre d’une forme quelconque de symbologie spirituelle ou hermétique. Très important ça, très important !

On a déjà vu des cas qui ont été identifiés par la psychiatrie, où des individus, par exemple, ont rapporté à des psychiatres qu’ils avaient entendu la voix du Christ leur dire de faire telle chose ou telle chose. Il y en a un qui a été jusqu’à vouloir détruire le statuaire au Vatican à Rome parce qu’il avait entendu parler, il avait entendu le Christ lui dire qu’il devait détruire les statues nues dans le Vatican.

Et si vous regardez les différents niveaux d’état mental, de schizophrénie, les gens qui entendent des voix, qui s’identifient avec des entités quelconques, soit sur un plan religieux, spirituel ou sur un plan purement pragmatique, comme ceux qui disent : “Bon, ben, j’ai entendu la voix de Sam qui me parle,” quelque soit la symbolique utilisée par les entités, l’Homme devra éventuellement s’en défendre, et surtout si le symbole est de l’ordre spirituel ou religieux, ou théologique.

Et ce n’est pas évident ça, de se défaire, de se rendre libre de cette conversation ou de cette convocation au parloir. Ce n’est pas évident. Mon expérience m’a démontré que beaucoup, beaucoup de personnes subissent ces genres de dialogues au nom d’une entité quelconque, et qu’ils finissent éventuellement par subir une débilité psychologique qui, souvent, les amène à faire des stages dans les départements psychiatriques des différents hôpitaux de la Province ou du monde.

Donc, ma guerre contre l’occulte, mon combat, si vous voulez, contre l’occulte depuis tant d’années, m’a amené à reconnaître l’importance d’afficher pour l’Homme des protocoles de conduite intérieure, afin de se protéger contre les entités ou le bruit des entités. C’est l’idéalisation spirituelle qui a permis à l’Homme de créer les religions, de faire les religions, et c’est la reconnaissance de cette illusion-là qui lui permettra de se libérer du connu et de finalement comprendre les aspects occultes de la vie, pour s’amener un jour à confronter l’entité en lui et à renverser la nature du message, afin de pouvoir éventuellement se créer une conscience individualisée, libre de la conscience de la race ou de la mémoire de la race.

Il n’y a pas de fin, il n’y a pas de terme à l’évolution d’une conscience raciale, d’une conscience planétaire, il n’y a pas de temps. Dans deux-mille ans, l’Homme apprendra des choses sur la nature des choses. Dans deux-mille ans, l’Homme apprendra des choses sur la nature des gouvernements invisibles. Dans deux-mille ans, l’Homme apprendra des choses sur la cosmologie, sur la systématique universelle des plans d’évolution.

Dans deux-mille ans, l’Homme apprendra des choses sur les lois de l’énergie, l’Homme apprendra des choses sur les lois de l’âme, la nature de l’âme. La science, d’ailleurs, permettra finalement à l’Homme de concrétiser son rêve, c’est-à-dire de créer la magie sur le plan matériel, c’est-à-dire de renverser les lois qui ont toujours séparé ce qu’on appelle le plan matériel des plans occultes. Ceci viendra.

Viendra le jour où l’Homme sera capable sur le plan de la science de prendre l’énergie de l’âme d’une personne, de la placer dans un cristal et de la garder là pour une grande période de temps, de la faire vibrer et de l’amener éventuellement à être utile sur le plan de la télépathie avec le monde animal.

Il y aura toutes sortes de choses qui permettront finalement à l’Homme de dépasser l’âge de la science tel que nous le connaissons, pour finalement entrer dans la grande science cosmique où le matériel est régi par les lois de l’énergie, où le temps n’est plus un obstacle à la conscience de l’Homme, et où le voyage spatiotemporel finalement est libéré des contraintes de la matérialité, pour permettre finalement à l’Homme de se déplacer dans les espaces-temps systémiques très vastes à l’aide de véhicules ou de moyens qui ne font pas partie aujourd’hui de sa science.

Mais avant que la grande conscience humaine se manifeste sur la Terre, l’Homme devra apprendre, sur le plan individuel de son évolution, à confronter l’inconnu, c’est-à-dire à confronter la crainte qui est incrustée dans sa manière de penser.

Dans toute manière de penser, dans toute manière de réfléchir, à partir du moment où l’Homme est en opposition ou en contestation avec ce que nous appelons les valeurs absolues de la création, donc le concept de la divinité, le concept des Éternels, le concept des Anges, des Archanges, tous ces concepts qui font partie de la diminution de l’intelligence humaine – mais de l’explosion de sa spiritualité sur la Terre – à partir du moment où l’Homme aura finalement réalisé que la conscience humaine n’est pas simplement une énergie qui puisse ou qui doive réfléchir le passé, mais que la conscience humaine est une énergie qui doit exploser dans l’avenir de sa propre réalité !

Et quand la conscience humaine pourra exploser dans l’avenir de sa propre réalité, l’Homme pourra finalement activer, rendre à sa conscience, donner à sa conscience l’accès aux archives qui fait partie de la matérialisation, c’est-à-dire du décodage de la vibration pour finalement se permettre sur le plan humain, alors qu’il est en matérialité, de pouvoir éliminer les mystères, d’élever la conscience humaine et d’agrandir son champ de conscience.

Ce que j’appelle par “champ de conscience”, c’est cet état mental qui permet à l’Homme de ne plus subir d’autorité. Un champ de conscience, c’est une conscience qui ne subit pas d’autorité. Une conscience qui subit de l’autorité n’a pas de champ parce qu’elle ne peut pas s’exécuter librement. Alors qu’une conscience qui est libre de l’autorité s’exécute librement un peu comme la vibration, même électromagnétique, qui se promène dans l’espace tellurique, qui se promène dans le temps, dans l’espace et qui va jusqu’à tant qu’elle s’éteigne.

C’est la même chose pour une conscience humaine. La conscience humaine peut et doit s’exécuter librement, c’est-à-dire ne pas rencontrer d’obstacle au mouvement définitif de sa réalité. Si l’Homme n’est pas capable de se mouvoir psychiquement, n’est pas capable de parler psychiquement, créativement, n’est pas capable de se manifester vibratoirement dans son expérience, il ne convient pas d’appeler sa conscience, libre, parce que cette conscience appartient déjà au passé.

Donc elle n’est pas libre du connu, et si la conscience de l’Homme n’est pas libre du connu, l’Homme ne peut pas être libre, et il ne peut être que prisonnier d’un libre arbitre fictif, fabulatif, qui fait partie de l’involution, qui fait partie de sa réflexion, mais qui n’a rien à voir avec la liberté réelle d’une conscience épanouie, libre du connu et en puissance créative.

Mais pour ceci, il faut que l’Homme se soit libéré de l’idéalisation de la conscience, autrement dit se soit libéré de la spiritualité qu’il veut ou qu’il peut facilement invoquer par rapport à toute intelligence non corporelle qui constitue pour lui un lien télépathique dans son expérience occulte, ésotérique ou spirituelle. Le concept de finalité à toute conscience, c’est un concept qui ne fait pas partie de la réalité de la conscience. Il n’y a pas de finalité dans la conscience.

L’Homme peut parler jusqu’à la mort, jusqu’à sa mort. L’Homme peut toujours créer parce qu’il peut toujours interpréter la vibration qui fait partie du fluide cosmique de toute mentalité architecturée, donc il n’y a pas de limite à la conscience humaine. Où il y a limite à la conscience humaine, c’est là où le moi est réfléchissant, là où le moi n’est pas capable de par lui-même de se mettre en opposition de manière absolue avec des concepts qui font partie de la mémoire de la race, et qui lui donnent les attributs du libre arbitre alors que lui, en tant que conscience, n’est pas libre.

Donc lorsque nous parlons de conscience supramentale, d’évolution, de psychologie évolutionnaire, nous parlons de cet état de conscience qui a le pouvoir individualisé, unique, de démanteler ce qui, par le passé, a été structuré pour garder l’Homme dans une forme de conscience expérimentale. C’est dans ce sens que je dis que toute forme idéalisée de conscience sur la Terre représente l’esclavage de l’Humanité, fait partie du travail des forces lucifériennes et constituent un affront à l’intelligence humaine. Pourquoi ?

Pour le maintien du pouvoir spirituel, pour le maintien du pouvoir spirituel des religions, pour le maintien du dogmatisme théologique des religions, pour le maintien du pouvoir spirituel occulte, occultifié ou ésotérique des plans astraux, ou même du plan mental où évoluent ce qu’on appelle les entités cosmiques, c’est-à-dire les ajusteurs de pensée. Il n’y a pas de différence systémique entre une intelligence incarnée et une intelligence désincarnée.

Ce qui fait la différence entre une intelligence incarnée et une intelligence systémique, c’est la capacité de l’intelligence incarnée de réduire, réduire sa compréhension à des paramètres qui sont évoqués selon le degré de crainte qui constituent à l’intérieur de l’âme, les confins de son expérience.

Alors qu’une âme ou un être incarné qui est libéré de ces paramètres ne vit aucune restriction par rapport à la valeur d’échange de ce que nous appelons “la connaissance”, c’est-à-dire la prise de conscience des différents niveaux des mystères, que ce soit un être incarné ou que ce soit un être matérialisé sur le plan astral, ou que ce soit un être matérialisé sur le plan éthérique, ou que ce soit un être qui fasse partie de ce qu’on appelle la conscience mentale, il n’y a pas de différence. De l’intelligence, c’est de l’intelligence.

Mais de l’intelligence, ce n’est pas ce que l’Homme pense, parce que lorsque l’Homme pense à de l’intelligence, il pense à un degré ou à une accumulation réfléchie de concepts très structurés, bien structurés, qui lui donnent l’impression ou un certain degré d’appréciation de sa valeur personnelle, alors que de l’intelligence dans le sens systémique du terme, c’est une configuration psychique établie par l’ego, en ce qui concerne le mouvement vibratoire de l’énergie de l’âme par rapport aux forces spirituelles de son Esprit, afin de pouvoir sur le plan matériel, pour le besoin de la civilisation, d’éclairer d’autres Esprits.

L’intelligence ne sert jamais à l’Homme lui-même, l’intelligence sert toujours aux Hommes. Lui, ne fait qu’exprimer en tant que canal, en tant qu’être vibratoire cette énergie infinie que nous appelons la lumière, donc un Homme ne peut pas s’identifier à de l’intelligence. On peut dire de lui qu’il est intelligent, mais lorsqu’on dit de lui qu’il est intelligent, on fait une réflexion, on fait simplement une observation sur le degré d’efficacité de sa capacité de décoder l’énergie. Mais pour un Homme qui est en mouvement vibratoire, l’intelligence n’existe pas parce qu’il n’est pas en réflexion de pensée.

C’est important de comprendre ceci parce que c’est sa compréhension de ceci qui permettra un jour à l’Homme de finalement se libérer du connu, c’est-à-dire de confronter toute forme de pensée qui fait partie de sa mémoire, de la mémoire de la race, afin de faire exploser les paramètres qui ont défini sa personnalité, pour finalement permettre que lui, en tant qu’être, devienne un grand annonciateur. C’est le rôle de l’Homme d’ailleurs d’annoncer.

Et tous les Hommes, à un niveau ou à un autre doivent annoncer. Que l’Homme soit inconscient ou qu’il soit conscient, il annonce. Quand vous êtes dans le monde, que vous êtes architecte, vous annoncez par votre architecture. Quand vous êtes médecin, vous annoncez par votre médecine. Quand vous êtes philosophe, vous annoncez par votre philosophie. Quand vous êtes conscient, vous annoncez, mais à un autre niveau. Donc tous les Hommes annoncent parce qu’à partir du moment où l’on parle, on annonce.

Et lorsque l’Homme saura réellement parler, que l’Homme sera capable de se libérer du connu, que l’Homme aura une parole qui ne transige plus avec la mémoire de la race, et qu’il aura la capacité de confronter instantanément dans l’architecture de son propre mental toute forme de connaissance qui a servi pendant l’involution à garder l’Humanité dans un statu quo, l’Homme sera un grand annonciateur, c’est-à-dire qu’il saura communiquer aux Hommes cette vibration particulière qui fait partie de la conscience systémique et qui fait partie de toute conscience humaine non éveillée.

Mais pour ceci, il faut que l’Homme se libère un jour de l’attribut ancien et spirituel de l’ego inconscient. Et ça, c’est l’idéalisation de la conscience. Et ce ne sera pas facile parce qu’on a tendance à croire les entités avec lesquelles on est en communication, on a tendance à les croire parce qu’on a de la difficulté à réellement mesurer jusqu’à quel point ces entités ont un agenda. On a beaucoup de difficulté en tant qu’être incarné à réaliser jusqu’à quel point les entités astrales ou d’ordre mental ont un agenda.

Et si jamais vous parlez avec ces entités, vous verrez qu’elles ont un agenda très définitif, un agenda qui s’étend sur plusieurs générations, plusieurs vies même, et qu’elles sont capables de contribuer à une grande retenue de l’énergie de l’Homme tant qu’il n’a pas compris que leurs énergies doivent être renversées, que le lien entre l’ajusteur de pensée doit cesser d’être vertical, qu’il doit devenir horizontal, et qu’éventuellement l’Homme doit reprendre sa place dans le schéma de création, c’est-à-dire qu’il doit cesser d’être une créature et devenir un créateur. J’ai fini ma conférence. (Applaudissements).

mise à jour le 21/08/2024

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