Avoir la certitude de se posséder

Paris – credit: @DronalistDailyDose YouTube

Psychologie évolutionnaire 65

« Bon ! Comprendre l’infinité, c’est simplement de l’expertise mentale, c’est une perte de temps, c’est une perte d’énergie. Le seul niveau où vous pouvez utiliser le concept de l’infinité, c’est en mathématiques, à ce moment-là c’est utile, parce qu’en mathématiques, le concept d’infinité fait … » BdM

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

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Bon ! Comprendre l’infinité, c’est simplement de l’expertise mentale, c’est une perte de temps, c’est une perte d’énergie. Le seul niveau où vous pouvez utiliser le concept de l’infinité, c’est en mathématiques, à ce moment-là c’est utile, parce qu’en mathématiques, le concept d’infinité fait partie d’une structure mentale de basse vibration mais qui est reconnaissable, qui est utilisable au niveau de la forme. Tandis qu’au niveau du mental lui-même, chercher à comprendre l’infinité, c’est une angoisse spirituelle.

Participant : C’est un petit peu comme ce que vous disiez, vivre cette infinité… (inaudible)…

BdM : Exactement, exactement. Moi… D’ailleurs, je vous l’ai déjà dit à plusieurs reprises, je me rappelle de mon expérience en 69, quand je suis sorti de l’Université puis que j’ai vécu la fusion, vivre ce phénomène-là d’intelligence, avoir de l’information tout le temps, tout le temps, tout le temps, pour moi ça a été très très difficile pendant des mois, puis des mois de temps.

Là, je suis habitué à cette heure parce que ça fait quand même trente ans, mais j’ai beaucoup souffert de tout ça, puis c’est un peu comme vivre cette infinité-là, mais je n’étais pas équipé dans ce temps-là pour vivre ça. Premièrement, le nettoyage n’avait pas été fait, le contact était là, tout le changement au niveau des architectures du mental, c’est abominable, c’est abominable, c’est ça mon initiation ! Ça fait que ça crée une angoisse, ça crée une angoisse spirituelle ou ça crée une angoisse mentale, puis ultimement c’est une perte d’énergie. Essayer de comprendre Dieu… ! Il faut que tu fasses au moins de la voyance écrite.

Si tu fais de la voyance écrite, si vous l’avez cette connexion, ben, tu fais de la voyance écrite comme moi je fais au tableau. Bon, ben là, je peux aller longtemps là-dedans, j’arrête là, parce qu’il faut que je fasse mes conférences. Mais techniquement là, si je commence à répondre à des questions comme lui il me pose, par exemple, je suis capable d’aller longtemps, longtemps, mais ce qui va arriver, c’est que je vais changer sa vibration si je le fais trop longtemps.

Question : Changer sa vibration, ça veut dire que tu peux me mettre en initiation ?

BdM : Ben, évidemment, je peux te mettre en initiation parce que… C’est toujours de la souffrance… Parce qu’il pense. Mais moi je ne pense pas. Ça fait que moi, si je fais ça, si je fais de l’étude, moi ça ne m’affecte pas, il faut que je pense à vous autres, par exemple. Je ne peux pas trop faire d’études. Moi j’aime ça, faire des études pour vous faire plaisir, ainsi de suite, mais je ne peux pas trop en faire d’études, parce qu’il faut que je prenne en considération… Il y a toute une salle ici là, il y a différents niveaux, il y a différentes architectures du mental pour moi ! Ça fait qu’il faut toujours que je protège l’Homme contre la réflexion.

Ça fait que la conscience associative, un des principes fondamentaux de cette conscience-là, c’est que dans son processus créatif, elle se retrouve toujours. Autrement dit, quand tu as un problème dans la vie, tu es supposé, même si le porblème te désorganise puis t’envoie en orbite, tu es supposé de toujours revenir à toi. Ça, ça fait partie de la conscience associative.

Une personne à qui il arrive un choc, sa petite fille, elle vient de mourir, je ne sais pas moi, elle s’est fait frapper par un autobus, puis là, il part en orbite, puis il ne revient plus… C’est là que vous décrochez puis que vous devenez malades, vous êtes supposés de toujours revenir, et ce qui vous empêche de revenir c’est ceci : ils disent que c’est parce que vous n’avez pas suffisamment d’Esprit, ce qui veut dire pour eux autres, vous avez trop d’émotion dans le mental. Parce qu’un Homme qui n’a pas d’émotion dans le mental, il revient tout de suite ici.

Un gars comme moi… Moi j’aime bien ma fille là, si ma fille elle mourait demain matin, je recevrais un téléphone de San Francisco qu’elle a eu un accident là, probablement que je ne partirais même pas en orbite autour de ce point-là, je resterais probablement en vibration très fixé ici. Pourquoi ? Parce que je n’ai pas d’émotion dans le mental.

Ça ne veut pas dire que je n’aime pas ma fille, je me mettrais probablement en communication télépathique avec elle tout de suite, je saurais où elle est, ce qu’elle fait, si elle est contente, ou tout ça ! Mais je n’aurais pas l’émotion pour me mettre en orbite, pour me faire vivre des états que les parents normaux normalement vivent. Ça fait que le degré d’orbitation varie avec tous les individus.

Il y a des individus qui partent en orbite de même, puis ça c’est très dangereux parce que ça fait partie du fait que nos architectures mentales sont toujours émotionnalisées. Puis c’est pour ça qu’on vit… Il y a du monde (des gens) qui vivent des dépressions, il y a du monde qui vivent des états abominables dans la vie, quand ils vivent des expériences. Il y en a qui sont plus solides. Je regardais avec mon “chum” (ami) dont je vous parlais hier qui… Mais il y en a quelque fois qui, tout d’un coup, rien qu’à penser qu’il n’aurait plus sa Compagnie, il part en orbite encore, il devient fragmenté encore. Ça fait que la capacité de revenir à soi rapidement, ça fait partie d’avoir une conscience associative très développée.

Question : Dans la froideur de l’Esprit ?

BdM : Bon, ben, dans la froideur de l’Esprit, tu restes toujours sensible mais tu ne mets pas d’émotion dans ton mental. Moi je vous donne des expériences de ma vie, des fois, t’sé (tu sais), pour vous faire comprendre. Moi, ma fille, je reçois un “téléphone” (coup de téléphone) demain matin, ma fille est morte, puis là, j’irais par en dedans, je dirais : “Qu’est-ce qui se passe, là”… Bon, ben, ils me diraient : “Elle est morte”. Je dirais : “OK. Où est-ce qu’elle est rendue”… Ils vont me parler, ils vont “placoter” jusqu’à tant que je sois tanné de leur parler.

Bon, ben, la capacité de revenir à soi, ça fait partie de l’association psychologique du mental. Qu’est-ce que c’est qui nous empêche d’y accéder facilement, à ça ? Je vais vous donner des exemples. Ils me disent… C’est drôle qu’ils me disent ça, ils disent que vous n’êtes pas sûrs de vous posséder, mais je comprends ce qu’ils veulent dire par : “être pas sûrs”. Bon, je reviens à mon expérience de ma fille de tout à l’heure.

Quelqu’un m’annonce que ma fille est morte, bon, ben moi, j’ai la certitude de me posséder, ça veut dire que si elle est morte, bon, je vais dire à la personne : “OK, tout est correct”, je vais dire à ma femme : “Christine est morte, tout est correct”, je vais même lui présenter ça d’une certaine façon, je vais lui dire : “Elle a changé de plan”, je ne parlerai même pas de mortalité, je vais dire : “Christine a changé de plan, bye”… Je vais jouer même à un jeu : “Christine a changé de plan, bye”…

Puis je l’ai déjà fait ça, avec des amis qui sont effectivement morts. Ça, ça veut dire que…. Comment j’ai appelé ça ? Bon, j’ai la certitude de me posséder. Autrement dit, la certitude de se posséder, ça veut dire que tout ce que tu es, tes émotions, ton mental, ton “burn out”, tout ça là, toute ta personnalité, tout ton être, il est sous le contrôle de ton Esprit.

Question : Tu n’es pas déstabilisable ?

BdM : Tu n’es pas déstabilisable à cause de tout ça. Tu ne peux pas être déstabilisé, exactement ça. Tu n’es pas déstabilisable. Ça, ça devient un outil absolument extraordinaire dans la vie parce qu’on est toujours sujet à être déstabilisé. Ça fait que… Comment est-ce qu’ils ont dit ça ? La certitude de se posséder ! OK. Ça fait que quand tu as la certitude de te posséder, tu as aussi la certitude de ne pas être possédé. C’est intéressant ça, c’est toi qui te possède. Ça fait que tu n’es plus possédable par une entité astrale.

Il n’y a pas une entité astrale qui peut rentrer chez vous, t’habiter et “fucker” avec ton Esprit, puis te faire vivre toutes sortes d’illusions par rapport à la mort que tu as à vivre… Qu’elle prend. Puis il y a une autre tranche dans cette affaire de… Comment est-ce qu’ils appellent ça ? (rires du public)… La certitude de se posséder. Il dit : C’est la capacité de supporter la réalité sans utiliser tes émotions pour la comprendre. Ça se comprend ça ? J’en perds des bouts là, parce qu’ils me parlent trop vite là ! Mais c’est ça, en tout cas…

Question : C’est la définition de la froideur de l’Esprit ?

BdM : Oui, tu n’as plus besoin d’utiliser tes émotions pour évaluer la mort de ta fille… Bababa bababa… Pour comprendre l’évènement, c’est direct au mental.

Question : Est-ce qu’on pourrait dire : Vous avez la certitude de vous posséder mais que, nous autres, on a la conviction de se posséder ?

BdM : Il dit : Vous pouvez avoir la conviction de vous posséder mais ça peut vous être enlevé facilement ça, s’ils montent le standard du choc (rires du public). Ils vont monter le standard du choc parce qu’ils peuvent toujours aller plus loin.

Question : Mais “monsieur tout le monde” a la conviction de se posséder !

BdM : Oui, effectivement, puis même la conviction de se posséder, ce n’est pas mauvais. Seulement qu’ils peuvent toujours aller plus loin jusqu’à tant qu’ils t’enlèvent tes culottes, même si tu penses que tu les as ! (rires du public).

Question : Vous êtes d’accord avec ça, Bernard, que monsieur tout le monde a la conviction de se posséder ?

BdM : Il y a des gens comme toi, tu en es un, tu as une conviction de te posséder, t’as quand même… Vous autres, vous appelez ça du “self control”, ce que tu parles toi là, bon, ben ça, c’est du “self control”, t’as quand même du “self control”, tu as été dans la police, vous avez du “self control”, hein… Bon, ben ça, ça fait partie de votre “training” ça, mais vous l’avez cette affaire-là.

Tu sais, tu vas faire face à des bandits, il faut que tu aies quand même un “self control”, il faut que tu aies un certain degré de certitude de se posséder, mais s’ils lèvent la barre, ben, ils peuvent te l’enlever ça, t’sé. Tu peux toujours faire face à un terroriste, lui les normes il les fait sauter, t’sé, je donne un exemple… Ça fait que la… J’ai bien de la misère avec ça… La mémoire… “Câlisse” ! La certitude de se posséder ! (Bernard l’écrit).

Question : Vous l’avez perdu à un moment donné, la conviction de se posséder, ils pourraient vous donner la certitude ?

BdM : Ouais, mais ça, c’est simplement un transfert de conscience, ça se fait tout seul.

Question : Quand vous êtes tombé en fusion, vous vous possédiez ? Vous l’avez perdu complètement la possession de soi-même… La perdre complètement pour la réintégrer ?

BdM : En fusion, tu vis des terreurs tellement grandes qu’éventuellement, tu passes comme d’un cas à l’autre, puis éventuellement…

Question : Ou tu pars en orbite, tu ne reviens pas ou même tu reviens, mais tu restes là…

BdM : Il faut que tu reviennes… Il faut que tu reviennes, tu véhicules des forces astrales, ça fait qu’il faut que tu reviennes mais la souffrance peut être assez intense que ça peut prendre un certain temps avant que tu reviennes, t’sé… Tes corps sont en choc ! Dérange-moi pas là, il faut que je fasse ma conférence (rires du public et de BdM)…. Je peux bien perdre la mémoire avec toi (rires du public), parce que si tu me déranges trop, ce qu’ils font, c’est qu’ils me coupent la capacité de comprendre…

Question du même participant : C’est quoi l’Alzheimer ? (éclats de rires de BdM et du public).

BdM : Je reviens ici à cette affaire-là ici, la certitude de se posséder, ça c’est bien bien intéressant, je veux en découvrir des aspects là. Il y a un caractère inaliénable là-dedans, il y a un caractère ou il y a un aspect inaliénable de ta certitude là-dedans, puis c’est quand vous vivez des grands chocs de vie, t’sé, le cancer, la mort de tes enfants, la perte d’un grand job, les choses qui bouleversent ta vie, quand tu es capable de vivre… Quand tu es capable de ne pas bouger dans ces expériences-là, c’est à ce moment-là que tu as un haut niveau de cette affaire-là !

Ça fait que c’est vous autres personnellement qui avez la mesure de tout ça, puis c’est bon que vous ayez votre propre mesure de tout ça, parce que la mesure que vous avez, vous êtes les seuls à pouvoir en avoir conscience. Ça fait qu’un homme ou une femme peut avoir une bonne mesure du degré de certitude de se posséder.

Si vous pensez que vous en avez une certaine mesure, c’est bon ; si vous pensez que vous avez plutôt une mesure faible de tout ça, ben, recommencez à le prendre en considération, parce qu’il va se passer quelque chose au cours des dix, quinze, vingt, cinquante, soixante ans, où vous allez vivre des expériences, et où vous allez avoir besoin de tout ça.

Ça fait que vous avez avantage à prendre vos expériences de vie plus vous êtes jeunes, puis commencer à travailler ça, pour vous amener avec le temps à avoir ça dans votre poche. Ça fait que ce soit au niveau de vos jobs, de vos mariages, vos santés, ainsi de suite, si vous avez ça dans votre poche, vous allez pouvoir faire des choses que vous n’auriez pas pu faire… Moi, si je n’avais pas eu ça, je serais mort aujourd’hui, parce que toutes mes planètes favorisaient le décès à partir de 84.

Question : Être possible de se posséder, c’est au niveau de la santé que c’est le plus gros test ?

BdM : Au niveau de la santé, c’est le plus gros test, parce que dans votre santé, les aspects matériels de vos vies ne comptent plus. C’est quand tu es malade là, quand bien même tu serais un grand politicien, ça ne compte plus. Il n’y a rien que ta santé qui compte, parce que quand tu es malade tu ne peux plus rien faire, tu ne peux plus goûter à rien, tu ne peux plus voyager, tu ne peux plus utiliser tes finances, tu ne peux plus rien faire.

Ça fait que la santé, c’est bien bien important, puis si vous voulez… D’abord premièrement, occupez-vous de votre santé tout de suite là, il ne sera jamais trop tard pour commencer, occupez-vous de votre santé, jeunes, puis s’il vous arrive quelque chose au niveau de votre santé, ben, à ce moment-là si vous avez un petit peu de tout ça, ça va vous permettre de probablement guérir plus vite. Puis si vous en avez bien gros de tout ça, ça va vous permettre de vous guérir. Moi, c’est comme ça que je me suis guéri.

Question : Pourquoi il y a un décalage au niveau de votre santé mentale puis votre santé physique ?

BdM : Parce que j’étais un initié puis il fallait que je vive différentes sortes d’initiations.

Question : Puis les humains, on vit un grand décalage au niveau de notre santé physique, on a une certaine santé mentale mais c’est la santé physique en général qui est attaquée dans la société ?

BdM : Ouais, c’est sûr.

Question : Qu’est-ce qui fait qu’on est si loin de notre corps physique, là on se conscientise, puis à un moment donné on se rend compte qu’on ne prend pas soin de notre santé. Pourquoi on n’a pas pensé à prendre soin de notre santé ?

BdM : Parce que ça ne fait pas partie de notre culture de prendre soin de notre santé. Ça commence, voilà quelques années qu’on commence, puis la science médicale en Amérique est très très basée sur la pharmacologie, puis la pharmacologie a beaucoup d’effets secondaires, il y a des gens qui se prennent des pilules, puis qui prennent des médicaments, puis qui vivent des états secondaires abominables. C’est encore très très primitif, la médecine.

Puis les gens en général n’ont pas suffisamment d’identité personnelle, à moins que ça fasse partie de leur milieu familial, que la mère était là-dedans depuis des années, mais en général les gens n’ont pas suffisamment de “background” (contexte) familial pour les amener, pour les entraîner, à partir du moment où ils sont jeunes, d’évaluer différentes… Ce que je reproche moi au moderne, à l’Homme moderne, c’est qu’il est devenu trop dépendant des hôpitaux.

Ça fait qu’on est devenu dépendant des hôpitaux. Ma mère, c’est un sport, ma mère, d’aller à l’hôpital, ça te pique ici, il faut aller à l’hôpital, ça te pique là, elle va à l’hôpital. Puis il y a des formes de médecine, il y a des cultures médicales qui sont moins pharmacologiques, plus naturelles, ainsi de suite. Puis la médecine moderne a ses grands avantages, ainsi de suite, tu te casses un bras, si le cœur doit être opéré, ils sont capables de t’aider.

Mais au niveau des forces vitales, la médecine moderne n’est pas au point encore, au niveau des forces vitales, c’est tellement délicat les forces vitales, ça fait qu’elle avance, puis elle avance, puis elle avance, puis on voit les travaux qui se font. Par contre, il y a un processus de détérioration des organes qui se fait en même temps, à cause des effets secondaires. Mais si ça faisait partie de notre culture d’étudier l’homéopathie, par exemple, puis d’étudier les médecines naturelles en même temps que de prendre avantage de la médecine classique, à ce moment-là on avancerait en âge, puis il y a beaucoup de choses !

Regardez le problème des migraines, comment est-ce que c’est difficile pour la médecine de régler le problème de la migraine, puis il y a des façons de traiter ! Moi je connais des gens qui ont fait des études pendant des années et des années dans le domaine paramédical, pour en arriver finalement à guérir leur corps sans les empoisonner en même temps, ainsi de suite. Mais ça, ça fait partie du culturel, puis ça fait partie de l’identité personnelle, ça fait partie d’une sorte de centricité. Si tu ne l’as pas de ta famille, il faut que tu ailles le chercher, ainsi de suite.

Ça fait qu’on est très très affecté par le processus d’influence au niveau des cultures, puis c’est puissant la médecine aujourd’hui, c’est tout partout, les compagnies pharmaceutiques sont financièrement très solvantes, les associations médicales américaines, canadiennes, ce sont des associations très puissantes. Puis ces associations-là font leur travail, puis sont toujours en développement, mais il y a des gens, on dirait qu’il y a des gens qui n’ont pas de vision historique de la médecine.

Pour nous autres, la médecine, ce qu’elle fait aujourd’hui, c’est final, c’est “top of the line” (haut de gamme) et ce n’est pas le “top of the line” c’est le début, c’est le début de la ligne. Ce qu’on va faire en médecine dans cinquante ans, soixante ans, quatre-vingts ans, ça va être extraordinaire avec ce qu’on fait aujourd’hui. Ça fait qu’il faut que les gens développent des habitudes de prévention au niveau médical. C’est comme l’affaire… C’est tellement complexe, on ne parle rien que de l’affaire du job, il y a combien de gens qui se rendent malades parce qu’ils ne savent pas comment travailler.

Le système les déboîte, les emboîte puis les déboîte, le système va chercher tout d’eux autres, pourquoi ? Parce qu’ils ont peur de perdre leur job, ils ont besoin de sécurité, ils ont besoin de payer leur “mortgage” (hypothèque), il y a tellement de forces centrifuges qui s’attaquent à la conscience humaine que si tu n’es pas associatif dans ta conscience, t’es fait ! T’es fait !

Ça fait que c’est complexe la vie humaine, c’est complexe au niveau du mental, c’est complexe au niveau de l’émotion, puis au niveau du physique, c’est très très complexe, parce qu’on le voit quand on est malade qu’on ne les a pas facilement les réponses. Il n’y a pas de consensus au niveau médical, on a de la misère à guérir des rhumes, on a de la misère à guérir des sinusites, on n’est pas capable de guérir des migraines ! Pourtant, ça fait des années qu’on est en médecine là, ou c’est des choses, c’est des placébos temporaires !

Mais régler le problème, on ne l’a pas, puis l’alliance de la psychologie avec le médical, ce n’est pas évident, c’est rien que dernièrement qu’il y a des médecins qui vont commencer à dire : “Oui effectivement, ce qui se passe au niveau psychique, ça affecte le corps matériel”, puis ils l’ont fait d’une façon très, très, très, très délicate, dans des congrès internationaux. Pourquoi ? Parce que la science il faut que ça soit matériel, observable, mesurable, répétable dans des labos.

Tu rentres la psyché là-dedans, ce n’est plus observable dans les labos, ça fait que c’est pour ça qu’on en reviendra éventuellement, ou les individus en reviendront éventuellement à devoir regarder leur vie mentale, émotionnelle et physique à partir de points de vue qui sont totalement neufs et qui feront partie de leur centricité. Ça, c’est une évolution, puis ça va être long, puis je ne veux même pas regarder là-dedans parce que je le sais que ça va être très long.

Question : Ton corps mental est directement en santé ?

BdM : Mon corps mental est directement en santé dans le sens que je ne mets pas d’émotion dans ma santé. Ça fait que si je suis bien malade comme je l’ai été depuis trois, quatre, cinq ans, je “deale” ça au niveau, totalement, des architectures du mental, je “deale” avec eux autres ; ça fait que si je suis en train de mourir puis je dis : “Suis-je en train de mourir”… ? Puis ils disent : “Non”. C’est final, quand bien même le médecin me dit : “Monsieur Bernard, il faut que vous rentriez à l’hôpital”, je ne rentrerai pas. Mais ça, ça prend de la conscience, il faut que tu aies de la conscience, puis il faut que tu sois capable de supporter ce que je disais ici, la certitude de se posséder, je l’ai ça, moi !

Question : Mais ce n’est pas “monsieur tout le monde” qui peut le faire, ça ?

BdM : Là, je ne m’occupe pas de “monsieur tout le monde” en société, je donne des principes, je vous donne des principes, puis individuellement… Ça, c’est un petit peu comme des graines ; des graines dans le monde il y en a des milliards, puis le petit moineau lui, il va s’en chercher une, puis c’est tout ce que je veux, je veux que le petit moineau aille chercher une graine. Je ne suis pas intéressé moi, à ce que tous les “crisses” de moineaux partent dans une direction, puis aillent chercher toutes les graines (rires du public), tu comprends ? Qu’un moineau aille chercher sa graine ! C’est ça l’instruction.

Question : La certitude de se posséder, ça revient à un lien avec ça, à la force centripète ?

BdM : Ça fait partie… Il faut que tu aies une grande force centripète. Si tu ne l’as pas, la grande force centripète, il n’y aura jamais d’équilibre entre toi puis les forces centrifuges, à ce moment-là tu es absorbé par ça, puis tu deviens influençable, tes émotions chavirent, ton mental n’est plus équilibré pour “dealer” souvent avec des diagnostics difficiles. Moi, quand je me fais dire dans ma tête… Le médecin il me dit : “Monsieur Bernard, vous ne respirez qu’à 10 %”, puis l’autre en haut qui me dit : “T’en as assez, là, prends des petites “puffs” (bouffées).

Tu sais, pour te faire dire : “Prends des petites puffs”, bon, c’est correct, je prends des petites “puffs”, mais je ne peux pas dire ça au médecin ! (rires du public). Ça fait que si tu n’as pas cette patente-là, t’es fait à l’os ! Ça m’a servi ma maladie moi, j’ai appris bien des affaires, seulement je suis tanné là, c’est assez, deux, trois ans, quatre ans malade ! (rires du public).

Question : Quand tu prenais juste des “petites puffs”, tu devais faire attention… (inaudible)…

BdM : Je comprends, c’est pour ça que je n’irais pas, t’sé, c’est bien fin, mais… Ton “chum” qui veut te tuer (rires du public). Bon, je continue là ! Je veux continuer dans cette patente ici… Que j’oublie là (la certitude de se posséder), puis eux autres ils continuent cette affaire-là, au lieu de me dire qu’est-ce que c’est, ils me disent : “Cette affaire-là” ! (rires du public). Ils disent : “Cette affaire-là”, ça va vous permettre en tant qu’Homme… (Ils sont constants, inquiète-toi pas) (rires du public), ça va nous permettre en tant qu’Homme de réaliser jusqu’à quel point on est vulnérable.

La vulnérabilité, je vais le regarder ça ! Vous, vous êtes sensible, vous êtes une personne sensible ? Une personne sensible ? Oui ? Il dit : Vous devez toujours vous préoccuper de la façon que vous pensez, toujours la façon que vous pensez. Habituez-vous à ça. Ça fait que la vulnérabilité, il dit : C’est un état “d’incompletion” (inachèvement) de “cette affaire-là”, de la certitude de se posséder.

Puis il y a des gens qui sont très, très, très vulnérables dans la vie, il y a des gens qui le sont moins, puis pour un être conscient, devenir invulnérable au niveau mental, au niveau émotionnel, ça fait partie de sa conscience. Donc, pour nous autres, d’avoir la certitude de se posséder comme ça, pour les êtres conscients c’est important parce que c’est ça éventuellement qui nous permet de développer des grandes forces centripètes.

Puis ce sont ces forces centripètes là qui finalement te protègent contre les forces centrifuges, puis éventuellement tu as un bel équilibre là. Quand tu as un bel équilibre, après des années tu deviens équilibré, tu ne “flyes” pas, tu es bien normal, tu es en société, tu travailles, tu as ton job, tu as une famille, puis tu es équilibé. À ce moment-là, vous avez des vies harmonisées. Mais tant qu’il y a un déséquilibre entre les forces centripètes puis les forces centrifuges, vous avez des expériences à vivre.

Question : Peux-tu nous donner Bernard, la différence de la certitude de se posséder versus la conviction de se posséder ?

BdM : La certitude dans le sens que je le parle, il n’y en a pas de conviction, ça fait simplement partie de ton intelligence ça, ça ne fait pas partie des miroirs de ton intelligence, il n’y a pas d’ego là-dedans autrement dit. Ce n’est pas réfléchi là, c’est ta conscience, c’est ta lumière à toi.

Question : Là, il faut savoir quand est-ce qu’on a de l’ego puis qu’on n’a pas d’ego ?

BdM : Oui, effectivement ce n’est pas évident, mais ils disent que ça vient avec le temps au fur et à mesure que la conscience s’intègre, puis ça se fait, puis ça se fait, puis ça se fait, ça se fait petit à petit ça. Vous ne pouvez pas vivre une dissolution de l’ego trop rapidement, vous ne pourriez pas travailler, vous ne pourriez pas fonctionner, vous ne pourriez pas prendre soin de vos familles, ça fait que ça se fait petit à petit.

Il ne s’agit pas pour le monde de vouloir devenir conscient puis de vouloir devenir conscient trop vite, parce que vous allez souffrir trop vite pour rien, ça fait que dans un sens, il faut qu’on se protège contre toute cette affaire de conscience là. Il ne faut pas en manger de la conscience, il faut se protéger contre ça, puis d’ailleurs, quand ils commencent à rouvrir les centres psychiques de l’Homme, ils les ouvrent, mais ils les ouvrent dans leur temps à eux autres.

Question : Ma question Bernard, l’acte d’ouvrir dans leur temps, ça ne peut pas être forcé, ça ne peut pas être égocentrique pour faire plaisir à l’ego, ça vient d’eux autres ou ça vient de toi ?

BdM : Quand c’est équilibré, ça se fait des deux bords, ils peuvent ouvrir puis toi tu peux ouvrir, mais l’ego n’est pas impliqué parce que si l’ego est trop impliqué, ils vont fermer le canal. Parce que si l’ego est trop impliqué, puis qu’eux autres ouvriraient la machine là, vous auriez des esprits très très fatigués, puis c’est comme lui, il disait : “C’est comme si t’as passé de la Baie James dans un fil à Montréal, direct”. Il faut que ça soit transformé cette énergie-là, il faut que ça soit dégradé lentement. Puis ça se fait lentement au cours des années. Sinon, on n’aurait pas de résistance, puis d’ailleurs on perdrait le plaisir de vivre.

Moi, souvent les gens ne comprennent pas quand je vais dire : Vous avez bien plus de mérite à avoir la conscience que vous avez que moi, parce que moi je n’avais pas le choix. Moi je n’avais pas de choix ! Tandis que vous autres, vous avez une sorte de choix dans le sens que votre ego, il n’est pas tout “washé” (lavé) il n’est pas tout éliminé, puis vous êtes dans un processus d’évolution, vous venez en contact avec une science qui est très très avancée, puis très vibrante, puis en même temps, vous n’avez pas la certitude qu’un initié a.

Ça fait que pour moi l’Homme inconscient a bien plus de mérite dans le processus évolutif qu’un initié. La seule différence avec un inité, c’est qu’un initié a la capacité d’avoir cette certitude de se posséder instantanément quand ça se fait. Mais ça, il faut qu’il soit de même parce qu’ils ont…

Question : On ne peut pas aller vite ?

BdM : Vous ne pouvez pas parce que si vous voulez vous presser, ça va être une forme de spiritualité, ça va faire partie de vos illusions, vous allez vous “crisser” vos vies à terre. C’est comme toi ici là, il faut que tu prennes ça là, tu es rendu à un point, il faut que tu prennes ça bien mollo, puis que tu t’occupes rien que de faire de l’aviation seulement, seulement… Je te le dis là… Je suis ton “chum”, je te le dis… Ça fait qu’il faut qu’on se protège contre ça, puis on n’est pas habitué au processus.

Pendant l’involution, on voulait se développer spirituellement mais il n’y a pas de danger parce que pendant l’involution, on fonctionnait à l’intérieur des structures archaïques : la prière, le mysticisme, ainsi de suite, on allait aux Indes, à la recherche de la vérité. Mais ce n’est plus ça qui se passe là ! Ce n’est plus la recherche de la vérité, c’est le développement de l’identité de l’Homme, puis c’est le développement d’une capsule psychique à toute épreuve, parce qu’un Homme conscient, ça a une capsule psychique qui devient impénétrable.

Puis c’est cette capsule psychique là qui est faite du contact de l’âme avec l’Esprit, donc d’une certaine fusion qui va permettre éventuellement à l’Homme de retourner à sa source – puis ultimemement si on regarde loin dans l’avenir de l’Humanité, loin dans l’avenir occulte de l’Humanité, à l’Homme – à venir en contact avec d’autres plans de conscience, puis d’autres plans de civilisations qui font partie simplement aujourd’hui des rêves de l’Humanité.

Ça fait qu’on est à l’aube d’une grande découverte, autant en sciences matérielles qu’en sciences pures qu’en sciences psychiques, mais l’ego va devoir réellement prendre ça bien bien mollo pour protéger son état mental, donc protéger sa sanité, ainsi de suite. Pendant l’involution, c’était merveilleux d’aller aux Indes, mais dans l’évolution l’Homme ne verra plus comme ça, parce que ça va se faire directement chez eux dans sa maison, en Afrique, en Amérique du Sud, aux Indes, qu’il soit n’importe où, ça va se faire là, dans sa propre conscience individualisée, ce n’est plus collectif là !

Ça fait que le monde a besoin de réellement comprendre que le point d’appui, c’est la matérialité, c’est pour ça que c’est important pour l’Homme de travailler, c’est important pour l’Homme de mettre en focus sa vie matérielle, la développer sa vie matérielle, parce qu’ils ne vont jamais venir vous venir en aide au niveau de votre vie matérielle, ce n’est pas leur rôle. Leur rôle, c’est de vous venir en aide au niveau psychique, au niveau mental. Puis le rôle de l’Homme, c’est de se développer une conscience mentale ou psychique suffisamment avancée, mais en même temps suffisamment équilibrée pour pouvoir jouir, avoir la jouissance si tu veux, de ses biens matériels.

Sans ça, la vie sur la planète ça va être un enfer pour nous autres, puis vous autres, vous ne réalisez pas le degré de manipulation au niveau du mental que moi je réalise. C’est abominable ! C’est abominable ! Abominable ! Moi, j’ai perdu tellement d’argent depuis deux ans, que vous n’en reviendriez pas !… (S’adressant à un participant : Laisse-moi finir mon histoire)… (rires du public).

Ça fait que c’est abominable, puis tu parles avec eux autres de ça, puis ils ont toujours des points de vue différents de nous autres, puis apprendre à “dealer” avec ça… Puis quand je dis “perdre de l’argent”, je ne veux pas dire nécessairement “perdre de l’argent” en soi, mais un manque à gagner aussi ! Ça fait que c’est du “stock” ! Puis là, en ce qui me concerne moi, leur gros argument, c’est que : “Si tu étais trop riche, tu ne travaillerais plus”, puis ce n’est pas nécessairement vrai, ça !

Peut-être que je travaillerais moins, mais en tout cas c’est subtil pour moi, vouloir travailler ou ne pas vouloir travailler, ça dépend de ma responsabilité sociale parmi tout le monde que je connais. Si je n’ai pas de responsabilité sociale, autrement dit si le monde évolue à travers l’instruction, puis je n’ai pas d’inquiétude pour eux autres, là je relaxe ! Mais aussitôt que je commence à avoir de l’inquiétude pour le monde, là je relaxe moins, puis c’est ça qui fait que je veux lâcher…

Question : Comment se développent les forces centripètes ?

BdM : Les forces centripètes se développent à partir de l’intelligence que vous avez maintenant, puis l’agrandissement de ce centre-là, ça fait que si votre intelligence est grosse comme un petit cent (monnaie), avec le temps ça devient large comme un vingt-cinq cents, puis après ça, ça devient large comme une pièce américaine, puis ça grandit, le cercle grandit. Mais quand vous vivez votre intelligence, apprenez à ne pas la questionner si elle est réelle. Si elle n’est pas réelle, là vous avez à la questionner, mais si elle est réelle, apprenez à ne pas la questionner.

Puis quand est-ce qu’elle est réelle ? Quand elle ne vous fait pas souffrir. Puis avec le temps, vous vous habituez à ça, puis ça grandit, puis ça grandit, puis ça grandit, puis éventuellement, ça devient un centre de certitude extraordinaire. Mais ce n’est pas la culture qui va vous permettre de comprendre ça, parce que la culture fait partie des forces centrifuges. Puis le développement de notre intelligence, c’est l’habitude, on devient habitué à “dealer” avec tel évènement, tel évènement ou tel ordre d’évènement d’une certaine manière, puis ça fait partie de notre conscience.

Puis c’est toujours la même façon, ils vont toujours “dealer” avec la mort d’une certaine façon, puis ils vont toujours “dealer” avec la vie d’une certaine façon, puis c’est très très constant. On s’habitue à être intelligent, une fois qu’on commence ça devient de plus en plus facile, de plus en plus facile, puis éventuellement, on n’a plus de problème avec. C’est pour ça que je disais ça au jeune tout à l’heure, surtout en lien avec sa sensibilité, il faut qu’il s’habitue à son intelligence, sinon il va être ballotté à gauche puis à droite, il va toujours vivre la désorientation, ce jeune gars là. Il faut qu’il s’habitue à son intelligence. Puis ce n’est pas facile, ça ne fait pas partie de notre culture.

Moi je regarde ma fille, elle est tellement habituée à son intelligence qu’elle en est quasiment “tough” (Québec : “toffe” : dur à cuire)… Dure, tu sais là ; elle m’a envoyé un email l’autre fois ; là, j’ai dit : “Sacrament, c’est quasiment une SS” (dans le sens frette), (rires du public), je lui dis : “Comment est-ce que le monde deale avec toi, tes chums”… “Aahh ! Avec mes chums, je suis une amoureuse à l’os, je leur fais l’amour comme les autres femmes leur ont jamais fait l’amour, puis ils sont très contents, puis ça va bien”… Elle est fine trois fois…

Question : Ça fait que l’intelligence ne passe pas par toutes les portes de la sensibilté, ça dépend des individus ?

BdM : Ça dépend des individus, parce que la sensibilté pour eux autres, c’est un aspect du canal, ça fait que l’intelligence ça peut passer par la sensibilité, seulement il ne faut pas que ça soit de la sensiblerie, l’intelligence ça ne passe pas à travers la sensiblerie ; à travers la sensibilité, oui.

Question : Donc, à travers ta fille, ça passe à travers sa sensibilité.

BdM : C’est ça.

Question : Qu’est-ce qui fait que c’est quasiment comme “une SS” ?

BdM : Je dis c’est comme “une SS” parce qu’elle peut être tellement “frette” (froide), nette… Sec ! Mais là, c’est parce qu’elle a été élevée de même à être… Comment est-ce qu’on dit ?… Avoir la certitude de se posséder… !

Question : Avoir la certitude se posséder, ce qui fait qu’elle…

BdM : Qu’elle est de même…

Question : C’est un peu comme des militaires ?

BdM : C’est ça exactement, ça fait que des fois je “checke” pour voir si elle est bien correcte là-dedans, puis elle est bien correcte, puis elle est bien fine, puis elle est bien douce, puis tout ! Mais quand elle se met dans cet état-là, qu’il arrive quelque chose, ben, ça fait partie de sa conscience, ça fait qu’à ce moment-là c’est correct. Mais elle est chanceuse, elle fait partie de cette nouvelle évolution là, tandis que nous autres, on n’a pas eu ça. Mademoiselle, avez-vous une autre question ?

Question : Oui. J’ai du mal à formuler mais je ne comprends pas pourquoi… C’est quoi la différence entre une mémoire, une expérience, puis… (inaudible).

BdM : Les mémoires, l’expérience, ce sont toujours des trappes pour votre ego, toujours ! Autrement dit… Même d’ailleurs, je vais vous dire une chose, toutes vos mémoires sont des trappes. Il y a quatre sortes de mémoires dans la conscience humaine, il y a quatre sortes de mémoires. Il y a ce qu’ils appellent, eux autres, la mémoire structurale, c’est ça qui te permet de toujours pouvoir faire référence à toi en tant que Bernard, par exemple. Ça, c’est une mémoire, sans ça je m’appellerais Paul tout d’un coup, t’sé ! Ça fait que c’est une mémoire structurale. Ça, ça fait partie de l’ego.

Ensuite, il y a une mémoire résiduelle qui fait partie de votre culture. Ça, ça fait partie aussi de votre ego. Ensuite, ils disent qu’il y a une mémoire virtuelle qui fait partie des architectures du mental qui sont utilisées par les plans pour vous créer des angoisses, des mémoires, des états d’euphorie, ainsi de suite. Ils vont prendre des images, puis ils vont vous envoyer ça dans votre tête, ainsi de suite. Ça, c’est de la mémoire virtuelle.

Puis il y a de la mémoire purement dynamique, comme dans mon cas là, où je dis souvent : Je n’ai pas de mémoire, mais j’en ai, autrement dit je peux aller en chercher du matériel qui devient mémoriel pour l’Humanité. Ça, c’est une mémoire dynamique, de la mémoire vive ; ça fait que si j’ai besoin de savoir quelque chose, je vais le chercher, ça fait que c’est de la mémoire dynamique. Ça fait qu’il y a quatre niveaux de mémoires.

Où l’Homme devient victime, c’est dans la mémoire résiduelle, parce que cette mémoire résiduelle là, dans cette mémoire résiduelle là, il y a beaucoup d’imagination, il y a beaucoup d’imaginaire, puis souvent c’est une mémoire qui est plaisante, puis des fois c’est une mémoire qui n’est pas plaisante. C’est comme un gars qui va à la guerre, un gars qui va à la guerre, puis qui revient chez eux avec des visions comme il a vu son “chum” se faire couper la tête ou se faire frapper par un obus, ainsi de suite. Puis il se réveille dans la nuit, puis il a toutes les chaleurs, puis tout…

Bon, ben, ces mémoires-là, il faut en arriver à contrôler ça, parce que s’il n’en arrive pas à contrôler ça, il va souffrir ça toute sa vie, ça va mettre sa vie à terre. Ça fait que qu’est-ce que c’est qui va lui permettre de se libérer, si vous voulez, de ces mémoires résiduelles là, c’est la patente là, la certitude de se posséder, parce qu’en voyant l’image de son “chum” qui se fait fracasser, il ne mettra aucune émotion dedans.

En ne mettant pas d’émotion dans cette image-là, automatiquement, éventuellement elle va s’éteindre parce qu’ils ne pourront plus l’utiliser contre lui. Puis les femmes sont plus susceptibles d’avoir de la mémoire résiduelle que les hommes parce que les femmes ont plus… La femme utilise beaucoup plus son corps émotionnel pour mettre en vibration son intelligence que l’homme. Ça fait qu’elle est plus victime de sa mémoire, la femme !

Question : Le femme elle a tendance à parler de son ex… (inaudible) (éclats de rire du public)…

Intervention d’une participante : Des fois, c’est bon de la mémoire par exemple… (rires du public)… Ce qu’il ne faut pas faire, c’est s’en rappeler émotivement, mais s’en rappeler intelligemment… (rires du public). Quand on développe la patente là, la certitude de se posséder, le courant est de même, mais toi tu restes de même…

BdM : Ça fait que la mémoire c’est utile quand elle n’est pas émotivée, ça fait qu’à ce moment-là, elle devient un poste d’observation, un outil extraordinaire, mais c’est quand elle est émotivée qu’elle devient, pour nous autres, une source… C’est là qu’on devient victime d’elle. Puis c’est là que la femme souffre plus que l’homme parce que la mémoire est beaucoup plus connectée à l’émotion que chez lui.

Question : Ce qui arrive, c’est soit que tu te connectes avec ta mémoire, soit que tu restes… Sans attitude. Si tu ne te connectes pas avec ta mémoire, tu te connectes avec quoi ?

BdM : Ben, vous ne pouvez pas faire autrement, vous en avez de la mémoire, avec le temps vous voyez le jeu ; il y a un jeu qui se passe, il y a une “game” qui se passe, puis avec le temps vous êtes moins susceptibles d’être entrappés, puis c’est là que votre certitude grandit, puis elle grandit, puis elle grandit. Probablement que vous aurez toujours une certaine mémoire, mais… Moi la seule raison que je n’ai pas de mémoire, c’est parce que c’est pour me protéger de la fusion, puis de ce que je sais, pour que j’aie une vie normale.

Mais vous autres, l’Homme… L’Homme aura toujours une certaine mémoire, mais au moins vous ne serez pas entrappés par elle. Ma déposition contre la mémoire c’est l’entrappement qu’elle crée parce que l’Homme n’en connaît pas les lois astrales ; ça fait que pour prendre l’exemple du soldat qui voit la tête de son “chum” qui se fait éclater, s’il est capable de ne pas émotiver l’image, ben, éventuellement il en arrive à se libérer de tout ça. Mais c’est une affaire d’habtitude, c’est une affaire… Il faut savoir que c’est comme ça, il faut “dealer” avec.

Mais si on n’a pas de certitude, on pense qu’on n’a pas de cœur, on n’a pas de cœur pour ci, puis on n’a pas de cœur pour ça, puis ce n’est pas une affaire de ne pas avoir de cœur, c’est une affaire de mettre de moins en moins d’émotion dans le mental.

Question : L’intelligence, ça ne s’archive pas comme des mémoires ?

BdM : L’intelligence, ça ne s’archive pas “pantoute” (pas du tout) ; de la mémoire ça s’archive, de l’intelligence ça ne s’archive pas, aucunement.

Question : Mais qu’est-ce qui fait qu’on devient plus intelligent, parce que c’est facile à comprendre au niveau des mémoires, mais…

BdM : On devient plus intelligent parce qu’on est plus vibratoire. Regarde comment est-ce que je suis “sans-dessein” ce soir, avec cette “crisse” de mot-là ! Certitude de… “Whatever” ? “Certitude de se posséder”, tu sais, c’est… Mon prof à l’université, il me regarderait, il dirait : “Bernard, tu es rendu réellement… Kkkkrrr”… Puis pourtant, ce n’est pas ça le phénomène, c’est un phénomène de contrôle de mémoire, là c’est parce qu’ils jouent avec moi ce soir parce que je parle de tout ça là ! Ils ont du fun, tu sais ! Tu comprends ce que je veux dire ?

Ça fait que la mémoire, il faut que ça soit un outil pour nous autres, et non pas une condition de victimisation, puis en général c’est ça qui se passe. C’est pour ça que je suis contre la mémoire, puis la femme est plus affectée par la mémoire que l’homme, ça je sais ça ! Parce qu’elle émotive plus, puis elle est très intuitive la femme, elle voit, t’sé…

Question : La maladie, c’est une mémoire qui se cristallise dans le corps ?

BdM : Ça, c’est intéressant ! Il dit : Ça dépend des maladies, il y a des maladies karmiques qui font partie des anciennes mémoires de l’individu, de l’âme en évolution, puis il y a des maladies qui ne sont pas karmiques. Les maladies karmiques, c’est dur d’éliminer ça. Puis il y a des maladies qui ne sont pas karmiques, c’est simplement régi par les lois d’accident. Ça, ça se guérit. Heureusement que la majorité des maladies sont “non-karmiques”, puis ça, ça s’arrange, ça se “deale”. Les maladies karmiques, c’est dur à éliminer, il faut qu’il y ait un gros changement de la personne.

Question : Admettons une maladie karmique… (inaudible)… Si j’assume, parce qu’on est brillant dans la mesure où on est conscient, si je suis assez consciente, j’ai plus de chance que mon frère lui, qui nie… La maladie karmique, on a un certain jeu dessus mais en même temps, on a le jeu de la conscience qu’on a…

BdM : C’est ça, c’est toujours en fonction de la conscience qu’on a, mais c’est plus difficile à éliminer une maladie karmique, qu’une maladie basée sur les lois d’accident.

Question : Le traumatisme, c’est quoi le lien entre le traumatisme et les maladies ? C’est une mémoire le traumatisme ?

BdM : Le traumatisme, c’est un choc à l’âme.

Question : Ce n’est pas une mémoire ?

BdM : Non, c’est un choc à l’âme qui est dû à un évènement qui s’est produit dans le passé, puis ça, ça a créé une mémoire. Une personne consciente là, comme moi là, je ne pourrais pas vivre ça, de traumatisme. Parce que l’intégration de ma conscience est trop avancée pour me permettre de créer de la mémoire que mon ego réfléchirait. Ça fait que le traumatisme, c’est toujours lié au fait que l’Homme se fait prendre dans le processus marquant de la mémoire, une mémoire trop forte.

La fille qui se fait violer à treize ans, elle est traumatisée pour le restant de ses jours ; ça, c’est la mémoire qui est trop imprimée dans son corps astral, puis elle n’est pas capable de se libérer de ça, mais elle serait capable si elle savait comment ça marche. Moi, j’en connais des femmes qui ont vécu des expériences difficiles quand elles étaient jeunes, elles sont venues à mes séminaires dans les années 80, puis elles ont passé à travers ça comme du beurre dans la poêle, mais c’est parce qu’elles avaient une autre psychologie.

Moi je leur disais… Je disais : “Bon, OK. Tu t’es faite violer là, par ton père à dix-sept ans, ça a créé un choc dans l’âme, ça t’a rendu extrêmement sensible au niveau du corps émotionnel, considère le choc comme étant un point d’entrée de ton énergie”. À partir du moment que la fille a considéré le choc comme un point d’entrée, j’ai dit : “Si t’avais pas eu, là… Parce que t’es très belle, puis si t’avais pas eu un choc comme ça au niveau de ton corps émotionnel, ta beauté aurait été trop grande pour ton ego, ça fait que tu serais devenue une fille plus volage mais très très inconsciente. Tandis que le choc que tu as eu là, ça t’a enlevé de la certitude, ça a ouvert ton canal, puis là, ta propre lumière peut rentrer, mais il faut que tu partes du principe que tout ce qui s’est passé, ça n’a aucune importance. Si tu es capable de faire ça, tu vas tout régler le problème du traumatisme”. Puis elle l’a réglé.

Question : Là, le traumatisme est lié à une opération quelconque dans le corps physique ?

BdM : Effectivement, effectivement, tu sais, un traumatisme c’est toujours un choc créé ou connecté avec le phénomène de la crainte. Quand tu parles “traumatisme”, tu parles de crainte. Quand tu parles de “pas de crainte”, tu parles de l’absence de traumatisme. Ça n’existe pas un traumatisme sans crainte. Parce que la crainte en soi, c’est une vibration astrale très puissante qui est utlisée par les plans pour créer des conditions de programmation très très présentes dans la vie de l’Homme.

Il y a des gens qui ont des traumatismes, c’est abominable, ils ne sont pas capables de se libérer de ça. Il y a du monde (des gens) qui ne sont pas capables d’aller en avion, il y a du monde qui ne sont pas capables de rentrer dans un élévateur, il y a du monde… Tu sais, ça, ça fait partie de la vie, ça fait partie des souffrances de la vie. Puis les comprendre ces traumatismes-là, ça fait partie de la conscience.

C’est pour ça que je dis que de la conscience, ce n’est pas simplement un état mental, c’est une science dynamique de notre propre lumière, mais applicable ici, descendue ici, matérialisée ici pour qu’on comprenne tout ce qui se passe ici. Puis éventuellement, la télépathie devient de plus en plus facile, plus accessible, parce qu’on est moins réflectif, on est moins rationnel, on est moins… C’est évident que si on est trop rationnel, eux autres on ne peut pas les entendre, parce qu’on a de la difficulté à faire de la différence entre le moi qui parle puis le moi qui se fait parler ; autrement dit le moi qui pense puis le moi qui se fait parler.

C’est pour ça que je donne l’exemple souvent, je vais dire : “Bon, ben, un Homme qui est bien bien conscient, il va être télépathe, mais jamais, jamais dans sa tête il sera capable de penser JE”. En JE, tu n’es pas capable de penser en JE, c’est une absurdité pour moi de penser en JE. S’il se passe quelque chose, il faut que ça soit de la communication, donc tu penses en TU. Mais ça, c’est une autre étape, la transformation de l’ego ; rendu à ce point-là, tu ne fonctionnes plus pareil.

Ça fait que des traumatismes, tu ne peux plus en avoir parce que tu n’as plus d’éléments, tu n’as plus de structures astrales suffisamment égocentriques, puis émotivées, pour te paralyser. Je vais regarder encore des petits éléments de cette affaire-là qui restent… Puis ils disent que dans le développement de cette certitude-là de la possession de soi, que l’Homme va développer, l’Homme va en arriver éventuellement à s’isoler très, très, très profondément de ce que j’appelle “la conscience de la race”. Puis ça aussi, ça a des grandes conséquences parce que bon…

Demain matin, je donne un exemple, demain matin les Chinois font une connerie puis il y a possibilité de guerre entre les Américains puis la Chine, puis nous autres, on est juste entre les deux, puis dans ces situations-là, tout le monde panique un petit peu comme Cuba là, en 1964, avec Castro puis Kennedy, puis Khrouchtchev. Bon, un gars comme moi, je ne suis pas capable de vibrer là, ça fait que je dirais : “Bon, ben, qu’est-ce qui se passse”… ?

Ils pourraient aussi bien me dire : “Reste à Ste Adèle, tu es bien là”, puis je resterais à Ste Adèle. Ça fait que même si tout le monde prend son “char” puis ils sortent, puis s’en vont, moi je ne bougerai pas. Pourquoi ? Parce que plus tu as cette certitude-là, plus tu te dissocies psychiquement de la conscience de la race, ça fait que le phénomène des ruées vers la sortie puis des autoroutes, puis tout ça là… Ou je serais averti ou amené avant l’expérience à sortir du pays, mais je ne vivrais jamais le traumatisme social, pourquoi ?

Parce que la certitude de possession de soi empêche l’ego de vivre sa conscience animale, ou d’être plutôt régi par sa consience animale. Moi je me rappelle, j’ai vécu une expérience intéressante voilà bien bien des années, j’étais à New York dans un restaurant, il était à peu près trois, quatre heures du matin, j’étais assis au comptoir, j’étais après manger.

Puis tout d’un coup il y a un type qui rentre, puis il commence à échanger des coups de feu avec un autre type dehors, deux gars qui s’en voulaient à mort effectivement, puis tout d’un coup là, je voyais les “poutres pecos”, ces étagères, paf, ça sautait… Bang ! Le monde (les gens) dans le restaurant ont réellement “freaké” (paniqué), les femmes étaient en dessous des tables, les gars étaient en dessous des tables, puis moi dans ce temps-là, j’étais bien bien en fusion, ça fait que je ne pouvais pas faire avec mon corps ce que je voulais, tu sais !

Il fallait quasiment que je demande la permission, tu sais ! Ça fait que j’ai dit : “Qu’est-ce que c’est que je fais”… ? Il dit : “Reste là”. Je dis : “S’il y a une balle qui me rentre dedans”… Il me dit : “Non, non, elles vont passer à côté, on sait ce qui passe”. En tout cas je suis resté là, puis finalement ça a arrêté cette affaire-là, puis je me rappelle, il y avait une fille qui était là, puis elle avait peur, puis il y avait un gars avec sa tête entre ses jambes, il était en train de “geler” là, comme ça.

Finalement quand le danger a disparu, elle dit : “OK. C’est assez, tu peux te relever” (rires du public). Ça, c’est fort ! Puis moi j’ai continué à prendre mon affaire comme si… Mais je ne vous dis pas que je serais capable de faire la même affaire aujourd’hui. Mais dans ce temps-là, j’étais assez “gelé” (anesthésié) par la fusion, j’avais une grande centricité… FIN.

mise à jour le 21/08/2024

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