Psychologie évolutionnaire 126
En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
BdM : (…) Parce que si je rentre là-dedans, ça ne finira plus… C’est très intéressant. Avez-vous des questions ?
Question : Tout à l’heure, Bernard, vous avez dit qu’il y a une raison à tout ce qui nous arrive, à quel moment c’est un karma ou c’est un mouvement de l’Esprit ?
BdM : Ah ! Ça, c’est une question intéressante. Qu’est-ce que c’est un karma ? Un karma c’est une mémoire qui doit être dépassée, autrement dit s’il vous arrive quelque chose et que ça fait partie d’une mémoire qui cristallise votre personnalité, à ce moment-là cette mémoire elle est karmique et elle doit être dépassée, et c’est ça qui crée l’évolution. Le reste, ça fait simplement partie des lois d’accident.
Autrement dit, si vous êtes en amour avec une fille, elle vous “sèche les pieds” (rires du public), vous la mariez, vous avez dix enfants, et un jour elle vous laisse pour un bel Italien et vous vivez une dépression abominable, vous voulez vous faire sauter, vous voulez vous dégoupiller, à ce moment-là c’est un karma qui doit être dépassé. Ça, c’est karmique. Autrement dit quand il y a facteur karmique, il y a toujours cristallisation de la personnalité. Cristallisation de la personnalité, ça veut dire difficulté de l’ego de transcender sa nature expérientielle, c’est ça karmique. C’est une mémoire. Vous l’avez dans le sang, dans la peau, parce que dans une autre vie probablement, elle vous a eu dans le sang et la peau (rires du public). Question ?
Question : Moi, j’aurais une question.
BdM : Parlez fort parce qu’il faut que ce soit enregistré.
Question : La question c’est par rapport à ce dont vous parliez tout à l’heure, c’est assez théorique, mais ce que je me demandais, c’est est-ce que vous pouvez nous donner comme une solution quelconque pour aider justement à ne plus se sentir divisé… ?
BdM : Ben, je ne suis pas un gourou, moi ! Non, il n’y a pas de solution, il y a des lois, il y a des principes de base ; quand on dit par exemple que l’Homme pense qu’il pense, c’est déjà un principe fondamental, donc ça vous permet d’observer ce qui se passe dans votre tête, ça vous permet d’observer si les conneries que vous recevez dans le mental sont une partie qui est jouée contre vous, ou ça vous permet de voir si vous prenez ça sérieusement ou non. Si vous ne le prenez pas sérieusement, ça vous amène à vous en dégager. Si vous le prenez sérieusement, ça vous permet de vous engager. Ce n’est pas un cours en motivation ça !
Question : C’est quoi qui empêche l’Homme le plus d’être dans sa lumière, quand il est divisé…
BdM : Bon, l’Homme est divisé parce qu’il y a beaucoup de réflexion dans sa conscience. L’Homme premièrement n’est pas conscient que la pensée vient d’ailleurs, il ne réalise pas jusqu’à quel point sa pensée est le résultat d’une manipulation à partir des autres plans, que ce soit astral ou mental. Donc ça, ça lui enlève de l’identité. Étant limité dans son identité, il n’a pas beaucoup de capacité mentale de surgir, de s’observer objectivement, donc de voir la partie, de voir le jeu de l’Esprit, ainsi de suite.
Donc il devient existentiel au lieu d’être évolutionnaire, il est régi par les lois d’involution au lieu d’être dans une évolution, ainsi de suite. Donc il y a des choses qu’il doit savoir. Dans l’évolution à partir de 69, ce qu’on a appris à partir de 69, c’est que l’Homme pense qu’il pense ! Donc cette réalisation, il faut qu’il en prenne conscience, ce n’est pas évident mais il faut que ça lui soit dit, il faut que ça soit établi comme une science de fond, une science fondamentale qui fait partie d’une nouvelle évolution. Donc on y a droit à cette science aujourd’hui, tant mieux.
Mais à partir du moment où on y a droit, il faut qu’on en prenne possession, et à partir de ce principe-là qui est un principe universel, l’Homme découvre beaucoup de choses concernant sa personnalité, la falsification de sa personnalité, les illusions de son mental, ses craintes, ses réflexions, ainsi de suite, ainsi de suite. On n’est plus dans l’ère de la spiritualité.
Quand on parle d’évolution, on n’est plus dans l’âge, si vous voulez, de la spiritualité, on n’est plus dans l’âge de la réflexion, on n’est plus dans l’âge philosophique, on n’est plus dans l’âge des religions, même s’il y a des religions. L’Homme en tant que tel, en tant qu’unité en évolution de conscience, n’appartient plus ou appartient de moins en moins à la conscience de la race.
Question : Mais le simple fait de savoir que l’Homme pense qu’il pense, c’est ça le défi, c’est ça le lien?
BDM : C’est ça, il faut qu’il le sache, s’il ne le sait pas, il est foutu. Si un chien un jour, si votre chien un jour commence à dire : “Ah ! Je m’appelle chien heureux, j’ai une belle queue, j’appartiens à un maître mais j’ai l’intention de me libérer de lui”, vous aurez un tout autre chien ! Vous aurez un chien conscient, et avec les siècles et les siècles il deviendra probablement un être comme nous. Pourquoi ? Parce qu’il aurait la capacité de penser. Donc il développerait un ego, et un jour votre chien devrait transcender ça et devenir autre chose.
On ne l’a jamais su, il faut le savoir, il faut le savoir qu’on pense qu’on pense ! On ne peut pas demeurer dans un état de réflexion comme le philosophe qui dit : “Bon, ben, je pense, donc je suis” ! Ça veut dire quoi : “Je pense, donc je suis”… ? Ça veut dire simplement que je pense. Donc le “je suis”, l’addition, si vous voulez, psychologique du “je suis”, ça ne veut rien dire. Je suis quoi ? Je suis mort ? Je suis inconscient ? Au moins, si on disait : “Je pense, donc je suis inconscient”, ça serait très bien ! C’est ça que Descartes aurait dû dire ! (rires du public).
S’il avait dit : “Ah ! Ben, je pense mais je suis inconscient, je pense mais je suis un Homme mort, je pense mais je suis ignorant”, mais non ! “Je pense, donc je suis” ! Et là vous avez toute la philosophie française, l’orgueil intellectuel français qui s’est répandu dans le monde et qui a fait de nous le reste des idiots ! (rires du public). Mais si l’Homme dit : “Ah ! Je pense, mais je suis dans une illusion personnelle”, ah, là il va essayer de comprendre, mais il faut qu’on lui dise, il faut que quelqu’un lui dise que c’est une illusion de penser qu’on pense. Mais qui est-ce qui peut lui dire ? Pas un autre Français ! (rires du public), vous comprenez ?
Donc maintenant qu’on a accès à ce principe de conscience mentale, c’est ça qui va permettre à l’Homme d’évoluer, de développer. Ça prendra le temps que ça prendra. On a notre vie personnelle sur une base de vie personnelle ; sur une base personnelle, l’Homme peut en arriver à avoir un très haut niveau de conscience. Au niveau de la race humaine, ben ça, on oublie ça ! C’est très long ! Probablement que votre chien va avoir le temps de devenir conscient avant que les Hommes… (rires du public)… Bon, je continue. Vous avez des questions parce que…
Question : Je voudrais que vous parliez un petit peu à propos des cauchemars…
BdM : Les cauchemars, c’est très bien les cauchemars, c’est toujours bon, mais oui c’est toujours bien un cauchemar, parce qu’un cauchemar c’est de l’information qui vous est envoyée au niveau du symbole, du rêve, pour mettre votre ego en éveil avec des blocages. Donc c’est très bon ! Donc on vous dit : “Vous avez un blocage là, débloquez-vous”… Boop ! C’est très bien, c’est merveilleux un cauchemar, c’est toujours bon ! Toujours ! Ça n’apparaît pas bon parce que c’est un blocage, il y a une opposition là, mais c’est très bien un cauchemar ! C’est comme une crise, une crise c’est toujours bon, ça fait évoluer !
Question : Mais quand il y a répétition ?
BDM : Ah répétition ! C’est parce que c’est un message qui est important. D’autres questions ? OK. Je continue ma conférence. Bon, qu’est-ce qu’ils veulent dire ? Regardons qu’est-ce que c’est la conscience évolutionnaire d’un autre point de vue. Il dit : La conscience évolutionnaire, c’est l’engagement de l’Homme de ne pas regarder sa vie, c’est-à-dire ce qui lui arrive à partir de son propre point de vue, c’est intéressant ça ! Il faut le faire ! Il faut le faire !
Si vous regardez ce qui vous arrive dans la vie à partir de votre point de vue, vous êtes foutus, vous allez moraliser, vous allez mettre des valeurs humaines dedans, vous allez demeurer existentiels ; si vous êtes Chinois, vous allez regarder à travers le fil de la mentalité Chinoise, si vous êtes, je ne sais pas moi, si vous venez d’Afrique du Nord, vous allez le regarder avec une perspective d’Afrique du Nord, si vous êtes Allemand, vous allez le regarder avec une perspective selon la race, selon le groupe auquel vous appartenez. Donc il n’y a pas d’universalité là-dedans.
Donc pour l’Homme, ne pas regarder ce qui lui arrive dans la vie à partir de son propre point de vue, ça l’invite à quoi ? Ça l’invite à comprendre ce qui lui arrive à partir d’un point de vue qui n’appartient pas à son animalité, parce que quand on regarde ce qui nous arrive à partir d’un point de vue qui appartient à notre animalité, on vit quoi ? On vit la crainte, on vit toutes sortes de configurations psychologiques qui font partie de l’ego, selon notre culture.
Mais si l’Homme a contact avec le plan mental, ce qui fait partie de son évolution éventuelle, il ne peut plus regarder ce qui se produit à partir de son point de vue, donc à ce moment-là il se libère de l’angoisse existentielle. Et je veux finir ma conférence sur ça. À partir du moment où il se libère de l’angoisse existentielle, regardez ce qui se produit ! Le mal de la vie lui coule sur le dos comme l’eau sur le dos d’un canard ! Parce qu’il y a beaucoup de mal dans la vie, il y a beaucoup de souffrance dans la vie, il y a beaucoup de pertes dans la vie.
Vous perdez votre enfant, vous perdez votre maison, vous perdez votre “blonde” (amie), vous perdez votre job. Le mal de la vie lui coule sur le dos comme l’eau sur le dos d’un canard. Pourquoi ? Parce qu’il ne moralise plus son existence, il ne met plus de valeur morale à son existence. Donc quoi ? Il cesse de juger la vie selon ses propres yeux. Donc quoi ? Il est obligé de rentrer dans sa conscience. Ce qui fait quoi ? Donc ce qui lui donne une plus grande envergure, un plus grand savoir, et ultimement une plus grande paix intérieure, la paix intérieure.
Comme vous, le monsieur en arrière, juste là, vous, vous, vous… Bon ! Qu’est-ce que c’est un problème avec lequel vous devez traiter ? Trop d’inquiétude, vous vivez trop d’inquiétude, vous avez trop d’inquiétude, parce que vous avez trop de sensibilité, et votre sensibilité est belle, elle est grande mais elle n’est pas suffisamment raccrochée à votre mental. Elle est plus raccrochée à votre centre de sensibilité, vos émotions. Donc ça fait quoi ? Ça vous rend très vulnérable, par exemple, à des affronts.
Alors ça, ce sont des souffrances que vous en tant qu’individu pouvez dépasser si vous apprenez à vous libérer ou à dépasser, si vous voulez, les valeurs morales que certaines expériences vous créent. Devenir un canard, que l’eau vous coule sur le dos comme l’eau sur le dos d’un canard. Vous comprenez ce que je veux dire ? J’ai donné un exemple, je prends le monsieur comme un exemple, je ne vais pas faire le tour de la salle mais je donne l’exemple pour montrer que l’Homme a les moyens de se comprendre parfaitement dans la mesure où il a la capacité de se détacher de la moralisation.
Qu’est-ce qu’ils veulent dire par la moralisation ? Mettre de la valeur morale dans l’évènement, dans un évènement, mettre de la valeur morale, mettre une valeur dans un évènement ! Une personne vous dit : “Tu es un con”, pas de problème ! Mais si quelqu’un vous dit : “Tu es un con”, et tu n’es pas capable de te libérer de la valeur morale, tu vas lui donner un coup de poing, tu vas finir en prison, tu vas le tirer, tu vas faire toutes sortes de conneries qui vont faire partie de ton expérience existentielle. Et on fait ça toujours, toujours, toujours, toujours, toujours !
Vous regardez aujourd’hui, je ne vais pas citer des races ou des groupes parce que ce n’est pas mon job de faire des remarques particulières sur des groupes en particulier… Mais je sais, et vous comprendrez qu’il y a des groupes dans le monde qui si vous les attaquez ils vont vous faire la guerre. Si vous parlez le moindrement contre eux, ils vont vous faire la guerre. Donc mettre de la valeur morale à des incidents avec des groupes comme ça, ça crée et ça créera au vingt-et-unième siècle des conflits abominables, abominables ! Pourquoi ? Parce que les forces astrales deviennent trop puissantes.
Que ce soit les forces astrales à travers un individu, ce n’est pas grave, mais quand ça devient des forces astrales accumulées sur une base d’une grande collectivité politique, par exemple, ou d’une grande collectivité religieuse, ça devient très grave. Et les nations au vingt-et-unième siècle vivront le choc de ces forces astrales. Pourquoi ? Parce que les Hommes ne sont plus capables de se parler sans se surexciter. C’est très dangereux de se surexciter.
Quand on vit ou quand on est habitué à vivre en relation avec une collectivité qui historiquement est homogène sur le plan de ses valeurs avec les nôtres, il n’y a pas tellement de problème, mais quand aujourd’hui il y a des grandes confrontations, des grands amalgames, des grandes réunions de différentes collectivités qui naissent de décisions politiques souvent très très mal faites, très mal comprises, parce que l’Homme ne comprend pas les lois des conséquences, à ce moment-là les peuples, les nations, peuvent payer des prix très chers.
Et les peuples et les nations paieront des prix très chers ! Les conflits que nous aurons au vingt-et-unième siècle, ce seront des conflits d’ethnies, de groupes, ce ne seront plus des conflits entre la Russie et les Américains, ce seront des conflits ethniques, très puissants, et on va payer le prix. Ça fait partie du karma des nations. Mais l’individu lui, il doit être libre de ces conflits, et il sera libre s’il est capable de ne pas moraliser, de ne pas être affecté sur le plan émotionnel par des valeurs morales qui appartiennent à une grande collectivité qui est en évolution, qui est en développement, qui est en… Je dirais même à la conquête du monde.
Il y a quelqu’un qui me demandait dernièrement : “Quelle est la différence entre l’Homme de l’involution et l’Homme de l’évolution, c’est quoi la différence”… ? Et j’ai dit : L’Homme de l’évolution c’est un Homme, c’est un être qui quelles que soient les conditions à l’intérieur desquelles il vit son existence, il en sera totalement libre sur le plan mental, parce qu’il ne pourra pas mettre de valeur morale à son expérience en relation avec ces forces collectives. Sinon on est foutu, on démoralise, la politique aujourd’hui ce n’est plus de tout repos, la politique en Europe ce n’est plus de tout repos.
Et la politique ne sera plus de tout repos parce que les jeux ont changé, les territoires se sont métamorphosés, les nations étant, ont perdu le contrôle sur l’évolution économique, sur le grand échiquier économique mondial, à cause d’un corporatif qui a besoin d’une main-d’œuvre et d’une politique qui n’a pas la volonté créative de contrôler l’immigration. Nous paierons très cher ! Je n’ai rien contre l’immigration, je n’ai rien contre l’échange entre les Hommes, je n’ai rien contre “l’amené” (dans le sens amener), que des groupes peuvent faire pour des États-Nations !
Mais lorsque les politiques, les penseurs, ceux qui dirigent n’ont pas la volonté créative de réellement étudier le charme des peuples, à ce moment-là nous avons un problème, et tous les peuples ont un charme. Et c’est à travers leur charme que les peuples entrent, s’inscrivent, pénètrent dans la conscience d’autres peuples, et qu’avec le temps nous avons une dissolution de l’esprit des nations, pour éventuellement en arriver à ne bénéficier que de la fragmentation de ces États- Nations.
Et nous les Hommes en tant qu’individus, nous nous perdons dans cette grande “amalgation” si nous n’avons pas suffisamment de conscience pour comprendre qu’un être conscient doit être libre de ce qui se passe dans le monde. Sinon vous allez vivre des frustrations abominables, vous allez vouloir partir d’un pays pour aller dans un autre, et quand vous allez arriver dans l’autre, vous allez voir que c’est le même problème. Pourquoi ? Parce que nous sommes dans un phénomène de mondialisation, nous sommes dans un temps où tout est en voie de métamorphose, de changement, pour découvrir dans cent, deux-cents, trois-cents, quatre-cents ans, que l’Humanité est arrivée à un point où elle a besoin finalement de reconnaître chez elle, en elle-même, l’empire humain. Mais nous ne sommes pas rendus à ce stage.
Donc comme nous ne sommes pas rendus au stage où l’Homme doit découvrir, prendre conscience de ce qu’on appelle l’empire humain qui est une forme de supersocialisation économique et politique de l’Homme, à ce moment-là nous sommes obligés de vivre la politique jour après jour comme étant le résultat d’aléas, de décisions, mal faites, décousues, par des Hommes politiques qui ont peur de leur réalité, qui ont peur de la réalité politique, et c’est ce que nous vivons aujourd’hui.
C’est très grave, mais ça, c’est l’évolution des nations, ça fait partie du karma des nations. Je regarde la presse internationale et je vois les énoncés de la gauche contre la droite, je vous les conflits entre la gauche et la droite, je vois les peuples, les nations qui critiquent aujourd’hui l’Amérique, je vais vous dire une chose ! Un jour, le modèle Américain, la façon des Américains de traiter avec l’immigration de manière forte, de manière forte, judicieuse mais forte, sera le modèle que devront emprunter d’autres nations qui n’ont pas voulu jusqu’à aujourd’hui se prononcer dans la manière politique de traiter avec les masses humaines.
Et ces nations, ces groupes, ces individus seront obligés de faire un tracé vers l’arrière, de regarder, et ils vont réaliser que les Américains dans leur matérialisme grossier ne sont pas aussi cons qu’ils ont l’air. Et l’Amérique deviendra une forteresse, elle deviendra une forteresse, parce que ça fait partie de la mission de l’Amérique, ça fait partie de sa constitution, ça fait partie de son Esprit de créer un ordre mondial, et personne va empêcher ça. Personne ne peut empêcher ça. Vous savez pourquoi ? Parce que c’est l’Amérique qui changera la conscience des nations.
Donc on ne peut pas regarder l’Amérique à travers ses petits abus, ses petits abus anecdotiques, on doit regarder l’Amérique dans un grand plan, on doit regarder l’Amérique dans un grand pli, dans l’esprit de tous les gens qui sont venus pour le construire, les gens qui viennent de tout partout dans le monde ! Et on doit la regarder l’Amérique dans l’optique que c’est une nation qui demain, peut-être pas évidemment, mais demain, aura protégé l’Humanité contre les dictatures, que ce soit les dictatures poltiques ou que ce soit les dictatures religieuses.
La seule raison pour laquelle je vous dis ceci, c’est parce que je sais que c’est très diffcicile aujourd’hui pour l’Homme, pour l’Homme de la rue, pour l’Homme qui travaille, pour l’Homme qui va à l’école, de réellement comprendre ce qui se passe sur l’échiquier mondial. Comme me disait aujourd’hui une avocate que je connais, quand on lui pose la question concernant tel Pays ou tel Pays, ou telle nation, elle dit : “Est-ce qu’ils votent ou est-ce qu’ils ne votent pas”… ? S’ils votent, dans le temps ils seront bien, mais s’ils ne votent pas ils devront changer. Donc c’est le principe très fondamental, les Hommes doivent pouvoir voter.
Si l’Homme ne peut pas voter dans son pays pour quelque raison que ce soit, il devra y avoir transmutation, transformation de la conscience de ces nations, éventuellement un jour dans un certain temps, parce qu’il est de la volonté de certains pays dont l’Amérique, de démocratiser le monde et d’asssurer qu’il y ait dans le monde un ordre nouveau, mondial, qui fait partie ou qui est l’expression d’une démocratie et d’une liberté d’expression.
Pourquoi je m’étire à vous parler de ceci, c’est pour vous faire comprendre que l’Homme en tant qu’être, demain, l’Homme conscient ne peut pas être dominé. L’Homme conscient ne pourra pas être dominé. Donc c’est à ce moment-là que les évènements, la valeur morale des évènements coulera sur son dos comme l’eau sur le dos d’un canard. Mais au moins, il aura la capacité une fois qu’il sera libre dans son Esprit, de comprendre ce qui se passe dans le monde. Parce que c’est très intéressant de comprendre ce qui se passe dans le monde.
C’est intéressant de comprendre la fonction des religions, les religions ont des fonctions très importantes. Je critique souvent le phénomène de la religion mais je comprends très bien le phénomène cosmique de la religion, le phénomène historique de la religion. Les religions sont nécessaires pour les Hommes parce que les Hommes n’ont pas d’identité, donc les religions sont nécessaires.
Mais le petit individu qui va s’extraire de cette conscience collective demain ne pourra plus être dominé par la religion. La femme ne pourra plus être dominée par la religion. L’homosexuel ne pourra plus être dominé par la religion. L’Homme doit être libre à tous les niveaux, que ce soit politique, que ce soit religion, que ce soit philosophie. Ça, c’est l’Homme nouveau, c’est l’Homme conscient, c’est l’évolution de la conscience évolutionnaire basée sur quoi ? Sur le fait, qu’ayant réalisé, compris que la pensée vient d’ailleurs, il en arrivera finalement à voir le jeu, la manipulation de son mental.
Et avec le temps, il en arrivera finalement à pouvoir se créer une nouvelle architecture, une architecture personnelle, c’est-à-dire une façon personnelle de voir ce qui se passe dans le monde basée sur une certitude. Il aura à ce moment-là accès à tout ce qu’il doit connaître en tant qu’individu pour parfaire son expérience.
Question : L’origine de l’anxiété existentielle?
BdM : L’origine, le sens de l’anxiété existentielle, c’est l’inhabilité à l’Homme de pouvoir ne pas vivre l’expérience sans la moraliser, sans lui donner une valeur morale, donc nous donnons à toutes nos expériences des valeurs morales, et à ce moment-là nous vivons des cauchemars, nous vivons toutes sortes de choses, parce que nous ne sommes pas capables de vivre l’expérience d’une façon unifiée.
Donc l’émotion prend le choc, le mental inférieur rationalise, réfléchit sur l’évènement dont il ne comprend qu’une partie de la programmation, et l’Esprit lui, il est ici totalement seul, incapable de communiquer avec l’âme, donc avec la personnalité, pour rendre à l’Homme ce qui est dû à l’Homme. C’est quoi ? Son unité, donc un état mental suffisamment développé pour qu’il ne vive pas la frustration, l’existentialisme, le “Angst” existentiel.
Alors aussitôt que nous mettons des valeurs ou trop de valeurs dans des évènements, dépendant des groupes auxquels nous appartenons, dépendant des facteurs historiques, des facteurs psychologiques, des facteurs culturels, familiaux, ainsi de suite, nous vivons des angoisses qui perturbent notre ego et qui sur le plan collectif créent des guerres de religion ou des guerres politiques, des conflits idéologiques, ainsi de suite, comme on a connus durant la deuxième guerre mondiale : nazi, communisme, capitalisme, ainsi de suite, et là c’est autre chose !
La domination crée cette condition. Une fois que l’Homme sera libre de la domination, il sera libre de cette condition, parce que ces conditions-là font partie de l’astralisation de sa conscience en tant qu’ego. Elles font partie de ce processus qui veut séparer l’Homme de sa réalité, donc le fragmenter, le diviser, le laisser dans sa personnalité perturbée, personnalité qui est le produit d’une acculturation quelconque, qu’elle soit Chinoise, qu’elle soit Allemande, Française, Américaine, ainsi de suite.
Donc l’Homme a le droit éventuellement de se séparer, si vous voulez, de la culture humaine pour entrer dans sa propre culture personnelle, mais nous n’avons pas de culture personnelle, nous avons une culture humaine, nous appartenons à une culture humaine, nous sommes Catholiques, nous sommes Protestants, nous sommes Mahométans, nous sommes ci, nous sommes ça, nous sommes Chinois, nous appartenons à une culture humaine. Donc il n’y a aucune identité, donc nous payons le prix, parce que dans ces cultures humaines, il y va de quoi ? Il y va du karma des races, il y va du karma des nations, et nous sommes plongés dans ces karmas et nous ne sommes pas capables de nous en libérer. Pourquoi ? Parce que nous n’avons pas d’identité !
Moi je me rappelle dans les années 40, je me rappelle du fait dans les années 40, où des grands “luminaires”, des grands intellectuels de l’Europe, dont Jean-Paul Sartre, Gide, professaient une alliance avec ce qui était de la Russie pour renier plus tard cette alliance, lorsqu’ils ont su après Soljenitsyne, tous les affronts à l’Humanité qui avaient été causés par Staline dans les camps de concentration en Sibérie.
Mais pourquoi ces Hommes n’ont pas été capables dès le début de voir qu’à partir du moment où un État enlève à l’Homme le droit de réfléchir comme il veut, le droit à sa religion, le droit à sa liberté, déjà il y a une faille dans l’architecture mentale, politique, de cette nation ! Et ensuite, on se retourne et on s’excuse au monde d’avoir fait une erreur ! Donc comme les Hommes n’ont pas d’identité, on suit, c’est dangereux de suivre un chef ! C’est dangereux de suivre un chef !
Je regardais hier des oiseaux dans le ciel qui étaient en forme de V, il y avait un “type” au bout, tout le monde le suivait, imaginez-vous si ce “type” perd le nord et qu’il s’en va dans le sud, ou qu’il perd le sud et qu’il s’en va dans le nord, toute la “gang” est foutue ! C’est très dangereux de suivre un chef, c’est très dangereux de suivre des maîtres, c’est très dangereux de suivre des Hommes. On peut écouter des Hommes mais on ne peut pas se permettre de suivre des Hommes.
Question : C’est pour ça qu’on voit toujours un aigle tout seul !
BdM : Volà ! Donc il n’est jamais dans la merde l’aigle, il est toujours bien, il a son nid, il reconnaît son nid, et le nid est suffisamment haut dans les airs, il ne se mélange pas avec la mémoire des autres races, donc les Hommes. Donc il ne se fait pas tirer dans le cul (rires du public). Mais c’est dérangeant d’être un aigle, c’est plus sécurisant d’être… Je ne sais pas moi… Comment elle s’appelle… Une outarde… Moutarde, outarde… (rires du public).
Question : Y a-t-il un lien ou c’est quoi le lien entre la psychologie humaine et le corps humain ?… Quand on meurt, on n’a pas de pensée, on n’a pas d’évolution, c’est quoi le lien, pourquoi le corps humain ?
BdM : Je ne comprends pas votre question ! Si vous ne comprenez pas votre question, à ce moment-là comment voulez-vous que je la comprenne ! Que vous ne compreniez pas la réponse c’est une chose, mais au moins comprenez la question ! (rires du public). Je ne comprends pas votre question ! Il faut être clair !
Question : Quelle est l’utilisation du corps humain dans l’évolution ?
BdM : Le corps humain dans l’évolution, ça fait partie de l’évolution de l’âme. L’âme a besoin du corps humain pour évoluer selon toute la programmation universelle de l’Homme, de tout ce qui est systémique, ça fait partie de l’évolution de l’âme, le corps humain. Parce qu’avec l’évolution dans le corps humain, la coupure depuis très longtemps exercée contre l’Homme, c’est-à-dire la rupture du contact télépathique avec les plans d’origine, ça a fait en sorte que l’âme est obligée de vivre éventuellement un certain karma parce qu’elle s’astralise.
Et en s’astralisant, elle développe sur le plan matériel un ego. En développant un ego, elle en arrive finalement à perdre contact avec sa source, et ça, ça crée ce qu’on appelle l’involution. Ensuite, quand les plans décident de reconnecter l’âme avec eux, à ce moment-là il y a un contact entre l’Esprit et l’Homme, et à ce moment-là il y a une évolution qui va être aussi longue que l’involution, et ça, ça va permettre finalement à l’âme éventuellement, de cesser de retourner au monde astral et d’aller en conscience morontielle. Parce que ce n’est pas normal.
Le plan astral n’existait pas au début de la race de l’Humanité, le plan astral a été créé au cours des milliards et des milliards d’expériences sur le plan matériel, et au fur et à mesure où les âmes se sont greffées à la matière, à cause de la sexualité, le plaisir, toutes les humeurs qui font partie de l’expérience humaine qui sont extraordinaires, l’âme a perdu contact avec sa réalité.
L’âme est morte, parce que ce qu’on appelle la mortalité, c’est-à-dire le déchirement des corps subtils… C’est ça la mortalité, parce que dans le fond au début les âmes ne mouraient pas, les âmes entraient dans un corps, sortaient du corps, c’était un jeu, elles pouvaient entrer dans n’importe quel corps, les âmes pouvaient même entrer dans un corps animal pour s’amuser. Mais c’est un corps qui ne les satisfaisait pas parce que dans le corps animal, il n’avait pas suffisamment d’énergie.
Donc dans le corps humain il y avait suffisamment d’énergie, les âmes sont restées, et c’est comme ça que les âmes ont appris graduellement au cours des millénaires à habiter dans le corps de l’Homme, et c’est ça qui a créé la séparation des liens entre ce qu’on appelle la race “simienne” et l’Humanité. Et maintenant que l’âme est très très habituée au corps, quand elle revient, elle revient toujours dans un corps matériel, dans un corps humain.
Et cette expérience lui vaut de développer une conscience égoïque au niveau du plan mental, parce que dans le corps matériel, elle développe une très très grande capacité de donner à son expérience une mémoire. Vous savez qu’est-ce que c’est de la mémoire sur le plan de l’âme ? La mémoire sur le plan de l’âme, c’est la capacité infinie de l’âme de réfléchir sans que l’ego s’en aperçoive, de réfléchir et d’emmagasiner toutes les impressions qui font partie de son expérience sensorielle, autrement dit sans que vous le réalisiez.
Si vous preniez un livre et que vous le regardiez, que vous tourniez la page, que vous le regardiez, vous pourriez passer à travers tout le livre, et tous les mots dans le livre jusqu’aux virgules, jusqu’aux points, seraient enregistrés dans l’âme, mais vous n’en auriez pas conscience en tant qu’ego. Et si vous aviez un peu conscience de ce phénomène en tant qu’ego, on dirait de vous que vous avez une mémoire photographique.
Il y a des gens dans le monde qui ont cette capacité, ce don, ils sont capables de prendre un livre et de passer d’une page à l’autre, d’une page à l’autre, et ensuite vous leur demandez qu’est-ce que c’est écrit sur la page 232, ils vont regarder dans leur écran mental, autrement dit dans les dossiers de l’âme et ils vont voir tous les mots écrits, même les virgules écrites. Ça, ça fait partie de certains phénomènes qui se produisent, qui sont attestés en parapsychologie, par exemple.
Donc c’est un phénomène extraordinaire l’âme, mais l’Homme ne peut pas vivre avec ce caractère extraordinaire tout le temps, parce qu’il est obligé pour des raisons d’évolution, pour des raisons de programmation, des raisons de servitude, des raisons de service à l’Humanité, des raisons de mission personnelle, il est obligé d’accéder au minimum d’informations afin de développer le maximum d’expériences.
Si l’Homme avait un maximum d’expériences, il aurait besoin d’un minimum d’informations. Un type pourrait dire : “Qui je vais marier”… ? On lui dirait : “Tu vas marier Madeleine dans dix ans à telle heure”. Ou le type pourrait dire : “Quand est-ce que je vais avoir un job”… ? On vous dirait : “Tu vas avoir un job dans trois mois”. Donc il n’y aurait plus d’expériences, parce que le type, l’âme incarnée aurait la certitude de connaître son avenir, et ayant la certitude de connaître son avenir, n’aurait plus à souffrir le temps. Et c’est à travers la souffrance du temps qu’on en arrive à évoluer, ainsi de suite.
C’est pour ça que pour les plans, le temps est très important. Pour l’Homme c’est une grande souffrance, et plus l’Homme va devenir conscient, ainsi de suite, ainsi de suite, plus il va comprendre le temps. Et un Homme qui est conscient comprend très bien le temps, il sait travailler avec le temps. Et quand on sait travailler avec le temps, on diminue, et on diminue, et on diminue l’angoisse existentielle.
Moi j’ai fait des expériences parce que ça fait des années que j’ai un contact, et j’ai fait des expériences avec les plans, et j’ai demandé, surtout en ce qui concerne des choses qui me touchent personnellement, ma santé, mes finances, les choses qui me regardent, et je demandais : “Quand est-ce que telle chose va se régler”… ? Et on me dit : “Ce n’est pas de tes affaires”. Ah ! OK. ! J’ai dit : “Pas de problème”. Donc je reviens et je dis : “Est-ce que ça va se régler”… ? “Oui”. “Quand”… ? “Ce n’est pas de tes affaires” !
Donc moi en tant qu’ego, je suis capable d’absorber “ce n’est pas de tes affaires”, du moment que je sais que ça va se régler. Vous comprenez ? Tandis que l’Homme lui, il n’est pas capable, il veut le temps : “Quand est-ce que ça va se régler ? Quand est-ce que je vais avoir mon job ? Quand est-ce que je vais avoir un homme dans ma vie ? Quand est-ce que je vais avoir un chum ? Quand est-ce que… Ainsi de suite”.
C’est ça le problème de l’âme incarnée qui n’a pas suffisamment conscience des lois universelles, parce que l’ego n’a pas contact télépathique avec sa source. Ça, c’est ce qu’on appelle l’involution. Une fois que ça, c’est réglé, la vie devient plus facile, je ne dis pas qu’elle est facile, elle devient plus facile. La vie ne sera jamais facile mais elle deviendra plus facile. Regardez si c’est fin, de l’Esprit : Il faut savoir que toute réflexion est une accumulation d’angoisse ! Toute réflexion, la moindre réflexion, n’importe quelle réflexion est une réflexion de l’angoisse chez l’Homme. Si l’Homme n’avait aucune réflexion, jamais de réflexion, il serait en télépathie, il serait en communication avec sa source, son origine, ainsi de suite.
Toute réflexion est une accumulation d’angoisse. Il y a toujours de “la merde” dans la réflexion, toujours ! Même la bonne réflexion ! Toujours ! Elle, si elle rêve de rencontrer un Homme, un bel Homme, un bonhomme, un bon italien qui fait du bon XX (plat italien), elle va avoir la réflexion de : “Qu’est-ce qui va arriver quand il va me laisser”… ! Vous comprenez ? C’est ça la réflexion, c’est ce que ça fait la réflexion, il y a toujours de l’angoisse dans la réflexion. C’est pour ça que je déteste penser, jamais je voudrais penser ! Je laisse ça à Descartes ! Mais il y a un prix à payer, c’est sûr. Je suis fatigué de parler, vous avez des questions ?
Question : (Sur la réflexion).
BdM : Ils disent : Une réflexion, c’est valable si ça ne vous dérange pas. Si ça vous dérange, ce n’est plus valable. Donc quand vous êtes en étude, quand vous faites des travaux, vous êtes ingénieur, vous êtes architecte, ou même médecin, vous faites des réflexions, c’est valable si ça ne vous dérange pas. Si ça vous dérange, vous devez savoir que vous êtes manipulés, parce que ce sont des lois d’énergie, l’Homme ne peut pas être dans un processus créatif et toujours faire référence aux plans, parce que c’est trop d’énergie créative. Donc il a besoin… Ça fait partie de l’équilibre de ses énergies mentales, donc quand vous faites de la réflexion, que vous construisez, que vous êtes ce que vous appelez créatifs, il n’y a pas de problème avec la créativité.
Ce qui est créatif, c’est créatif. Mais aussitôt que dans votre réflexion entre le doute, à ce moment-là c’est là que vous êtes en perte de vitesse, et c’est là que vous êtes manipulés. Et c’est ça que l’Homme doit surveiller, ce n’est pas quand vous êtes créatifs que vous avez des problèmes. Ce n’est pas quand vous avez de la réflexion créative que vous avez des problèmes, c’est quand vous avez une réflexion qui vous trouble. Et vous devez être suffisamment sur vos gardes pour voir quand ça se produit, et quand ça se produit, savoir que c’est un processus de manipulation.
Question : (inaudible).
BdM : Oh, occupez-vous pas de ça, vous en avez en masse, vivez vos vies !
Question : (concernant les émotions).
BdM : Les émotions dans votre cas, on regarde les émotions dans votre cas ! OK. On ne va pas trop loin, on regarde. Palier numéro un : On dit : Elle a trop de peur de se tromper. Pourquoi ? Parce qu’elle n’a pas suffisamment conscience de son intelligence. Pourquoi ? Parce qu’elle a peur de se tromper. C’est intéressant ! C’est un cercle vicieux ça. Vous comprenez ? Un jour, quand vous brisez ce cercle, vous passez à une autre étape. C’est comme ça que ça fonctionne. Si moi je peux vous connaître, il n’y a pas de raison que vous ne vous connaissiez pas. Vous comprenez ? Même si c’est une insulte à votre intelligence que moi je vous connaisse, et que vous, vous ne vous connaissiez pas. Je suis fatigué de vous parler, j’arrête. Bye. Maintenant qu’on n’est plus enregistré, on peut continuer (rires du public). Vous avez des questions… FIN
mise à jour le 21/08/2024