Psychologie évolutionnaire 140
En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
La notion de conscience que nous avons aujourd’hui au vingtième siècle va évoluer avec la conscience des plans. Nous avons une notion extrêmement primitive de la conscience humaine, de la conscience personnelle, ainsi de suite. Nous vivons réellement dans un enclos, dans un œuf. Il faudra un jour que l’œuf soit brisé, la coquille de l’œuf soit brisée pour que l’Homme finalement s’émancipe totalement au niveau du mental.
Et c’est à partir de ce moment-là que sa conscience prendra de l’ampleur, mais elle prendra de l’ampleur en relation avec sa capacité de télépathiser sa pensée. Télépathiser la pensée veut-dire la rendre totalement libre de l’ego, et quand la pensée est rendue libre de l’ego, ça se sent, ça se sait, parce que le rapport entre le mortel et la partie immortelle de la conscience s’installe instantanément, se vérifie, s’actualise, fait partie de la nouvelle réalité, fait partie de La Genèse du Réel.
Pour l’Homme, la télépathisation de la pensée viendra petit à petit en général, ça ne se fera pas tout d’un coup, à moins qu’il vive une fusion instantanée, donc ça se fera graduellement dépendant de son plan de vie, dépendant de l’agenda qu’a l’ajusteur de pensée avec lui. L’Homme ne pourra pas forcer la télépathisation, ça ne se force pas, ça vient d’en haut. Et comme ce n’est pas spirituel, ça ne peut pas être déclenché par l’ego qui cherche ou qui recherche, c’est le résultat d’une prise en charge du mortel à partir d’une conscience systémique prépersonnelle.
C’est réellement une prise en charge ! Quand la prise en charge est très très évidente, très radicale, très abrupte, c’est comme si l’ego est enlevé de la conscience de l’Homme, et à ce moment-là il vit une fusion, il devient télépathique. Mais même là, il doit pendant des années subir cette transformation profonde et en arriver un jour à un nouvel équilibre, à une intégration du mortel avec la contrepartie immortelle de sa conscience.
L’intégration est importante parce qu’elle permet à l’Homme finalement de bénéficier, alors qu’il s’équilibre sur le plan matériel, de bénéficier de cette lumière, de cette intelligence qui devient de plus en plus permanente chez lui. La permanence de l’intelligence c’est réellement la marque de l’Homme nouveau, il ne peut pas en sortir, il ne peut pas s’en dévier, il est dedans, il ne peut pas éclipser le soleil, il ne peut pas devenir lunaire, il est toujours solaire. C’est à ce moment-là que la télépathisation de la pensée devient évidente pour lui et que la réflexion de la pensée devient réellement pénible pour lui.
Autant elle fut évidente pour lui pendant l’involution, la réflexion, autant dans l’évolution elle sera pénible. Autant la télépathie pendant l’involution devenait impossible, autant dans l’évolution elle fera partie concourante de sa vie à deux niveaux, à plusieurs niveaux. Une des raisons pour laquelle l’Homme a peur de la mort, c’est parce qu’il pense. S’il ne pensait pas, il n’aurait pas peur de la mort.
La crainte de la mort crée chez lui des angoisses existentielles, créent chez lui des mécanismes astraux qui déforment sa réalité et qui l’empêchent encore de demeurer télépathe avec le plan systémique, et de passer à une conscience morontielle. Donc le retour en conscience astrale, ensuite il revient en conscience matérielle, ainsi de suite, les cycles de réincarnation, au lieu de simplement se libérer de ceci pour morontialiser son énergie, c’est-à-dire systématiser de manière finalitaire son lien avec ce que nous appelons les intelligences universelles.
La télépathisation de la pensée c’est un phénomène remarquable, c’est un phénomène unique à l’Homme, c’est un phénomène qui est neuf sur la Terre, parce que ça fait partie de l’évolution, et ça permettra à l’Homme de réellement passer à un autre âge, à un autre âge, à un autre niveau de conscience, à un niveau de science extrêmement avancé, donc il pourra se libérer de la mémoire de la race.
L’Homme sera totalement libre de la mémoire de la race, qu’il soit Chinois, Allemand, Africain, Catholique, il sera totalement libre de la mémoire de la race, parce que la mémoire de la race lui impose de l’autorité. Si on me demandait quel est le problème de la mémoire de la race pour l’être humain ? C’est qu’elle est pour lui une autorité, elle lui impose une autorité. Imaginez-vous l’autorité qu’on vous impose, si vous appartenez à une mémoire de race, par exemple, que l’on retrouve au Moyen Orient dans le Maghreb !
C’est incroyable la mémoire de la race ! Si vous êtes Hindou, si vous êtes Pakistanais, Italien, Irlandais, la mémoire de la race elle existe même dans les pays les plus sophistiqués. Donc la mémoire de la race, c’est pour l’Humanité involutive. Elle est nécessaire, elle fait partie de l’involution, elle fait partie des attributs de la conscience mortelle, expérimentale, mais elle n’a rien à voir avec la conscience créative de l’Homme très conscient, télépathique. C’est difficile pour le penseur de s’imaginer ne pas penser parce qu’il est habitué à penser.
Nous sommes des êtres d’habitudes, notre cerveau a été façonné, notre mental inférieur a été façonné depuis des années, toute la composition psychologique de notre ego, notre formation au niveau de la personnalité, la lecture de nos vies, ainsi de suite. Nos liens avec les institutions, nos liens avec les autorités temporelles, ont façonné notre mental, parce qu’à partir du moment où l’Homme entre dans le cycle de vie incarnationnelle, sa conscience devient expérimentale, elle n’est pas créative, elle est expérimentale, il expérimente la vie.
S’il a de bons parents, il expérimente la vie d’une manière plus favorable. S’il a des parents qui ne sont pas bons, qui ne sont pas intelligents, il expérimente la vie d’une manière plus difficile. S’il est né dans un pays qui favorise la liberté comme le Canada, il est favorisé. S’il est né dans un pays qui favorise l’esclavage comme en Russie, dans les années 80/90, sa vie est moins favorisée. Mais si l’Homme était conscient ou lorsque l’Homme sera conscient, il ne pourra plus être enchaîné, et sa conscience l’amènera éventuellement avec le temps à se sortir ou à se libérer des conditions qui définissent mal ou qui empêchent le développement de son identité.
Est-ce qu’un Homme conscient peut naître dans un pays qui favorise l’esclavage de son mental, comme par exemple dans une Russie staliniste comme les années 60, je ne sais pas, j’ai l’impression que les plans de vie sont réellement à la mesure de l’évolution de l’Homme et de sa lumière. Donc probablement qu’il serait projeté dans une matérialité un peu plus concurrente avec une réalité de liberté. Mais s’il advenait qu’un Homme conscient ou qu’un Homme appelé à devenir conscient selon son mandat de vie, naissait dans un pays totalitaire, éventuellement il chercherait la porte vers la liberté.
Toute sa vie serait dirigée vers la recherche de la liberté, il ferait tout, il marcherait dans les sables, il marcherait dans les plaines, il marcherait dans les grandes steppes froides pour se libérer de ce joug humain qu’on appelle le totalitarisme qui est ultimement sur la Terre l’abomination de toute liberté, de toute autorité. Vous avez des gens qui ont préféré être pacifistes par rapport au mouvement Américain, en Irak, mais ces gens ne pensent pas aux citoyens Irakiens, ils ne pensent pas aux peuples, ils pensent à l’idéologie, le laisser faire… Les Nations Unies qui sont réellement des nations désunies. Un jour vous apprécierez ce que les Américains ont fait en Irak : Libérer un peuple de ces agents qui sont des agents monstrueux, Saddam, Oudaï et d’autres.
Mais pour revenir à la télépathisation de la pensée, il y a des plans intéressants à regarder. Ils disent que la télépathisation de la pensée commence lorsque que vous êtes saisis de la présence d’une autre intelligence en vous. À partir de ce temps, à partir de cette expérience, il y a l’expérience à l’intérieur de l’expérience, ça peut prendre des années, dix ans, quinze ans, avant de devenir facilement télépathe, aisément télépathe, sans se sentir trop débalancé de cette cohabitation entre l’Esprit et le mortel, et c’est bien fait, ça se fait bien.
Il y a aussi le statut évolutionnaire, il y a l’ego qui a déjà sur le plan systémique, sur le plan de conscience, sur le plan évolutionnaire, un statut plus développé, plus avancé que l’Homme en général, donc qui a accès plus facilement, qui peut plus facilement enregistrer cette vibration, parce que c’est une vibration ! Le contact télépathique c’est une vibration, c’est une énergie vibratoire qui déconstruit l’ego parce qu’elle déplace le focus de sa conscience personnelle vers un focus plus universel, plus systémique.
Et ça, ça demande un ajustement, ça demande des années même d’ajustement, mais c’est sans importance le temps, ce qui compte c’est le phénomène lui-même, le fait. Éventuellement l’Homme se retrouve à deux et il est mieux à deux que seul, comme auparavant. Moi si j’étais seul avec moi-même, je m’ennuierais, mais à deux on est bien. Il y a toujours le petit cousin là.
Mais seul, fouiller dans le noir seul toute ta vie, vivre des relations humaines “homme-femme”, ne pas comprendre, vivre un travail ne pas comprendre, vivre la maladie ne pas comprendre, vivre la mort ne pas comprendre, donc vivre seul c’est plus difficile que de vivre à deux sur le plan systémique. Mais ça aussi, ça fait partie de l’ajustement de l’ego. Ça fait partie de l’ajustement de la conscience du mortel, et éventuellement il faut que cette conscience du mortel là soit équilibrée, c’est-à-dire rendue horizontale avec l’ajusteur de pensée, afin d’éliminer le facteur de subconscience spirituelle qui naît ou qui jaillit naturellement chez l’Homme lorsqu’il prend conscience d’une entité plus grande que lui, plus vaste que lui ou en dehors des normes de sa conscience expérimentale.
Il faut qu’il y ait un équilibre, et c’est difficile pour l’Homme parce que nous avons spiritualisé tout ce qui est étrange à notre réalité. Nous avons spiritualisé tout ce qui est techniquement… Tout ce qui jaillit du divin, tout ce qui jaillit de cette fontaine de vie qu’on appelle les mondes après la mort, nous avons spiritualisé ces êtres. Et la spiritualisation de ces êtres fait partie de notre ignorance, elle nous garde dans l’astral de la conscience, elle nous garde encore dans le confort de la mortalité, elle nous garde encore dans l’Église ou les Églises où se réunissent les âmes mortes, c’est-à-dire les conclaves spirituels qu’ils utilisent pour garder l’Homme dans l’ignorance.
Les morts sont aussi ignorants que nous, ce n’est pas parce qu’ils sont morts qu’ils sont libérés, ils sont simplement libérés de la chair mais ils ne sont pas libres dans la lumière. Mais ils sont mieux parce qu’il n’y a pas de souffrances physiques, mais ils ne sont pas libérés dans la lumière, d’ailleurs ils le savent, ils manquent la lumière, ils attendent la lumière. Mais la lumière c’est quoi ? C’est la télépathie, c’est le lien universel, c’est le lien systémique.
Son utilisation à volonté permet à l’Homme de réellement construire et défaire les formes qui pendant l’involution, dépendant des systèmes de vie en évolution, ont permis d’établir des civilisations planétaires ou des civilisations systémiques, ou des civilisations purement astrales, parce qu’il existe des civilisations astrales. Nous concevons l’organisation des mondes comme étant à la mesure de quelque chose qui dépasse notre entendement, alors qu’en réalité les formes, les formes de vies, les formes de structures, les architectures, sont essentiellement, fondamentalement uniques à tous les plans.
Ce sont les conditions qui varient, mais nos relativités sont les mêmes. Il y a des morts qui ne réalisent même pas qu’ils sont morts, ils croient qu’ils sont encore en vie tant la relativité spatiale est identique, parallèle à ce qu’ils ont vécu. Il y a des morts qui refusent de croire qu’ils sont morts, ça prend un certain temps. Il faut qu’ils s’habituent, surtout quand ils vivent des accidents qui les ont foudroyés, sortis de leurs corps tout d’un coup, sans appel à une sorte de condition logique, comme la maladie, par exemple. Et ils traînent, ils traînent dans les mondes parallèles, ils errent.
C’est pour ça que l’Homme… Quand je parle de l’Homme, je parle de l’Homme systémique, je parle de l’Homme nouveau, pourquoi j’utilise le mot “Homme nouveau” ? Pourquoi je parle de l’Homme nouveau, pourquoi ? Parce qu’il faut quand même que j’utilise un terme pour découpler l’Homme ancien de ce qui va venir, il faut que je fasse une différence entre l’involution et l’évolution. Mais dans le fond, c’est la réalité qui va définir ce que l’Homme nouveau est, ce que l’Homme nouveau deviendra, ce que l’Homme nouveau pourra, ce que l’Homme nouveau se permettra d’exercer en tant que conscience morontielle sur les plans après la sortie de son corps physique.
Nous avons toujours besoin de mesures, nous avons toujours besoin de paramètres pour mesurer où nous en sommes par rapport à un devenir, mais en réalité la vie va beaucoup au delà de nos conceptions métriques. Et c’est pour cela que la télépathisation de la conscience humaine sur la Terre est extrêmement importante pour l’évolution de l’Humanité. Et des conflits, des grands conflits – ce n’est pas parce que nous sommes au vingt-et-unième siècle que nous n’aurons pas de conflits – les conflits font partie de la symbiose de l’Esprit, de la matière, et du monde des âmes.
Ne vous attendez jamais à un âge d’or dans le sens purement académique du terme, il y aura un âge plus doré. Ce qui doit devenir absolu sur le plan matériel, ce qui doit devenir intégral sur le plan matériel, ce qui doit sortir, se libérer de la conscience existentielle, c’est l’ego de l’Homme, il doit devenir lumière. Ce qui se passe autour de lui dans le monde, dans le bas monde matériel, en relation avec l’évolution de l’Humanité, les millions d’individus, la pollution, les guerres, ainsi de suite, la perte chez l’Homme biologique de sa capacité de se protéger contre les microbes, et tout ceci, ce sont des choses qui vont se produire au vingt-et-unième, vingt-deuxième siècle, ainsi de suite.
Il faut absolument que l’Homme en tant qu’ego, en tant qu’être, soit libre expérientiellement de ces conditions planétaires, et quand je dis libre je ne veux pas dire libre dans le sens qu’il ne sera pas affecté par ces choses, mais libre dans le sens que son Esprit en sera toujours libre. L’Homme est sur la Terre pour parcourir un certain sentier qui lui est imprimé dans l’âme, ce sentier fait partie de son lien avec l’invisible, sentier dont il ne connaît pas, ne comprend pas tous les mouvements, tous les aspects, mais dont il comprendra le mouvement une fois qu’il sera suffisamment télépathe.
Nous sommes extrêmement limités dans notre sensorialité, dans notre psychisme, dans notre télépathisation, nous avons la notion que la vie sur la Terre elle est fondamentale, elle n’est pas fondamentale ! Qu’elle est primaire, elle n’est pas primaire ! Elle est simplement un accident de parcours dans l’évolution de l’âme, et l’âme est essentiellement une particularité de la lumière fragmentée parce que l’Homme n’est pas télépathique. Et tant que l’âme est fragmentée, l’Homme ne peut pas goûter, toucher du doigt, visiter son disque dur.
Il ne peut pas bénéficier de cette présence, de cette intelligence qui est toujours là en lui, qui fait partie de lui, donc il est obligé pour des raisons planétaires de vivre une conscience expérimentale, dont il n’est jamais parfaitement satisfait. C’est la raison d’ailleurs pour laquelle l’Homme cherche le bonheur. C’est une illusion, chercher le bonheur. On cherche le bonheur dans l’amour, on cherche le bonheur dans le travail, on cherche… Et ça, ça fait partie des grandes ambitions de l’involution.
L’Homme un jour ne cherchera plus le bonheur, il aura simplement la paix dans l’Esprit, pourquoi ? Parce qu’il sera télépathe. Il ne peut pas y avoir d’angoisse dans la télépathie, il y a beaucoup d’angoisse dans la réflexion. Si vous êtes télépathe et que votre médecin vous enseigne ou vous dit que vous avez le cancer, ça ne change rien dans votre conscience, parce que vous n’êtes pas capable de penser. Mais si vous êtes en réflexion, que votre médecin vous enseigne que vous avez le cancer, là vous vivez de l’angoisse.
Donc de l’angoisse c’est le résultat de la réflexion, ce n’est pas le résultat de la télépathie, il en va de tout, il en va de tout dans notre vie de la même manière. La télépathisation de la pensée humaine sur la Terre est un phénomène nouveau, ça fait partie de la cosmétisation de l’Homme, de la systématisation de sa conscience, de l’élévation de sa conscience et de l’élargissement de sa conscience, donc de l’agrandissement de sa science.
Et si vous regardez, comme nous le disions, le phénomène de l’autorité, et que vous en prenez conscience, et que vous regardez dans les coins, dans les recoins de votre conscience personnelle, les étagères où l’autorité vous coince dans des manières de pensées qui forcent votre ego à ne pas pouvoir, ou qui empêchent votre ego à pouvoir être libre, il y a là un travail à faire. Il y a là une prise de conscience à faire pour que vous puissiez mettre le doigt sur votre intelligence, votre réalité, ce que vous savez vous, le vivre, le supporter seul.
Parce que quand on est conscient on est seul, ça n’existe pas être conscient à deux, on est conscient avec eux, mais on n’est pas conscient à deux. La conscience c’est un phénomène d’habitation entre l’Homme et une partie présystémique, une partie systémique de lui-même, donc l’Homme est unique, seul, solitaire dans sa conscience. L’autre il est unique, solitaire dans sa conscience. Si les consciences sont élevées, à ce moment-là elles sont en échange, en mode d’échange facile, mais l’un demeure toujours unique par rapport à l’autre, et l’autre demeure toujours unique par rapport à l’autre.
On a voulu pendant l’involution, pour des bonnes raisons, pour des mauvaises raisons, pour des raisons de réflexion, on a voulu créer dans la conscience de l’Homme l’impression que l’univers est un grand tout, un grand tout ! Effectivement l’univers est un grand tout, mais c’est un tout qui n’est unifié que par la conscience de l’Homme, ce n’est pas un tout qui unifie la conscience de l’Homme. Pour que l’univers, la vie, soit un grand tout, il faut que nous en tant qu’Hommes soyons unifiés !
Si nous ne sommes pas unifiés, ce concept d’un grand tout qui plane au-dessus de notre tête nous invite avec le temps à spiritualiser notre conscience, à lui donner une dénomination : Dieu, et automatiquement à se soumettre à une autorité fondamentale, mais fondamentalement erronée, fondamentalement fracturée, fondamentalement illusoire qui fait partie de notre illusion fondamentale.
Donc nous sommes encore dans la première fondation de l’Homme, nous n’avons pas atteint le stage de la deuxième fondation de l’Homme, et l’Homme en arrivera à la deuxième fondation. La deuxième fondation de l’Homme, c’est la fondation, c’est le temps où il passera de l’expérience de l’âme, de la réflexion de la pensée, à la construction mentale d’un moi fondé sur le rapport étroit avec une conscience présystémique qui est sa source universelle.
Donc une fois que l’Homme sera dans sa seconde fondation, il n’aura plus besoin d’épurer sur le plan matériel des vies d’expériences, de souffrances, de naïveté et d’égarements abominables… (légère coupure)… (reprise en cours) Créer ce que nous appelons aujourd’hui la civilisation humaine. Il y a dans l’univers des civilisations tellement avancées, tellement perfectionnées, tellement habiles à travailler avec la lumière qu’elles ont dépassé le stade de la communication pour n’épouser que le pouvoir vibratoire.
Elles ont le pouvoir de vibrer, de se transporter dans l’univers systémique à des vitesses qui dépassent notre entendement. Et ce sont ces civilisations qui représentent pour nous la Cosmogénèse, le concept original de Dieu, autrement dit de ces puissances, de cette puissance qui organise, qui sait. L’Homme doit en arriver un jour à pouvoir défaire ce qu’il a appris pendant des milliers d’années, pour pouvoir finalement se reconstruire une image de la vie à la mesure de sa lumière, sinon il sera toujours pris dans le théâtre kafkaesque de son involution.
Si l’Homme n’est pas capable de construire sa vision du monde, qui va le faire pour lui ? Les morts ? Les Églises ? L’Homme ne peut pas être indéfiniment à la remorque de la pensée, il ne peut pas être indéfiniment à la remorque de la réflexion. Il doit un jour se libérer de ce joug, et pour le faire, il faut qu’il soit capable de comprendre quand le temps vient, que la vie mentale est une vie à deux et non pas une vie solitaire où l’ego fredonne ses propres refrains pendant une, deux, trois générations, à l’intérieur d’un vaste arsenal d’illusions, vaste cathédrale d’immondanités.
Qu’il y ait des Hommes dans le monde qui ont pour des raisons particulières un rôle à jouer dans l’évolution de l’Homme, soit ! Mais que l’Homme en arrive éventuellement à regarder en face sa propre réalité, sa propre petite réalité et la faire grandir de lui-même, ça fait partie de son devoir personnel.
Aucun Homme ne peut pour un autre, c’est une illusion. Le plus qu’un Homme puisse faire pour un autre, c’est de lui donner des clés universelles, le plus ! Et en général une clé universelle c’est une clé qui est très simple, facile à donner, mais non pas nécessairement facile à intégrer. C’est tout ce qu’un Homme peut faire pour un autre, lui donner une clé, et qu’est-ce que c’est une clé ? Une clé universelle c’est une façon de voir, de savoir, de saisir, qui ne dépend pas de la mémoire de la race !
Vous perdez votre temps si vous allez aux Indes chercher la connaissance. Vous perdez votre temps si vous allez dans les Églises, chercher le secret. Vous perdez votre temps si vous allez en dehors de vous-mêmes. Donc ces clés universelles qui viennent de l’Humanité, qui sont données à l’Homme, sont très simples, elles sont tellement simples que souvent on ne les voit pas, on ne les saisit pas, mais elles sont vibratoires, elles sont très puissantes, elles brisent les chaînes, elles défont ce qui a été fait, elles détruisent ce qui a été construit, parce que tout ceci fait partie du passé.
C’est pour ça que les architectures astrales qui ont précédé l’évolution seront sur le plan de la conscience individuelle, démolies systématiquement au cours de l’évolution. Non pas parce qu’elles ne sont pas nécessaires, non pas parce qu’elles n’ont pas été bonnes, mais parce qu’elles ont fait partie d’une époque, une époque où l’Homme devait demeurer dans l’ignorance afin de développer un ego ; ego qui plus tard devait renaître des cendres comme le phénix.
Si nous faisions une lecture et que nous demandions au plan mental de nous donner un aperçu de l’Humanité dans dix-mille ans, dans quinze-mille ans, nous serions très très surpris. Mais ça ne nous sert à rien, excepté à enflammer notre imagination, à créer des formes, à nous projeter dans la religion du futur, parce que le futur peut devenir une religion pour l’Homme. L’Homme n’a pas besoin de comprendre, il a besoin de savoir, c’est une différence fondamentale.
Comprendre, ça fait partie de l’involution, ça satisfait l’ego, mais ça ne donne pas à l’Homme de la télépathie, alors que savoir c’est de la télépathie. Et à l’intérieur de cette télépathie qui est le savoir, la compréhension n’est pas nécessaire. Est-ce que la lumière se questionne ? Est-ce que le soleil se questionne ? Est-ce que le soleil se compare à la lune ? Aux ombres ? Non, il vibre, il détruit les ombres. Nous avons de la difficulté en tant qu’Hommes à pouvoir échapper au caractère positif des choses positives de la conscience positive sur la Terre.
Il est plus difficile d’identifier l’astral du bien que l’astral du mal. Autrement dit le bien peut garder l’Homme dans l’ombre de sa conscience plus longtemps que le mal, parce que le mal fait souffrir. On dit : “Ah ! Ça c’est mal ! Hussein c’est mal, Staline c’est mal”. Mais est-ce qu’on peut dire que telle religion est mal ? Non c’est difficile, parce qu’il y a des aspects dans la religion qui sont bien, qui supportent moralement l’Homme, il y a des bonnes œuvres.
Donc nous ne savons pas réellement évaluer le bien et le mal, parce que pour nous le bien et le mal c’est la polarisation de certaines valeurs avec lesquelles nous avons été plus ou moins confortables pendant des siècles. Vous croyez que celui qui pratique le wahhabisme Islamique croit que ce qu’il fait c’est mal ? Non c’est bien, on fait sauter quatre millions d’Américains ! C’est pour ça qu’évaluer la réalité en fonction du bien et du mal, c’est une notion absolument polarisée, ça n’a rien à voir avec l’illusion fondamentale, ça fait partie de l’illusion fondamentale.
Moi il y a des choses que pour des raisons de conscience publique, pour des raisons d’impressions, je ne dis pas, il y a des choses que je respecte. Mais si je regardais, si je m’attaquais – pas tellement au mal – mais au bien qui est mal, je pourrais facilement mettre sous tutelle énormément de choses que nous considérons aujourd’hui comme étant utiles dans le monde, et beaucoup d’hommes et de femmes et d’enfants seraient affectés par cette notion. Parce que le bien et le mal font partie des catégories existentielles astrales de la conscience de l’Homme pour lui permettre sur le plan psychologique de l’ego de satisfaire ses appétits primaires ou d’aller vers des appétits un peu plus évolués, un peu plus civilisés.
Mais lorsque nous regardons le côté systémique des choses, le grand plan, ou lorsque nous parlons avec des intelligences qui font partie de ce grand plan qui n’est pas un plan planétaire, qui est un plan systémique, nous n’avons pas les mêmes réponses. Moi j’ai étudié ce qui s’est passé au Moyen Orient, en Irak dernièrement, surtout quand le monde était contre la guerre, et je suis allé sur le plan mental, et j’ai dit : “Est-ce qu’il doit y avoir une guerre en Irak, oui ou non”… ? Et on m’a dit : “Oui”. Alors j’ai dit : “OK”. Mais j’ai dit : “Je ne veux pas être déçu, il faut qu’il y en ait une”. Il y a en a eu une ! (rires du public).
Quand on regarde du grand plan, ça ne veut pas dire que la guerre est bonne, mais ça veut dire qu’il y a des chocs que doit vivre l’Humanité pour évoluer, pour grandir. Vous croyez qu’on va permettre à des êtres immondes comme Saddam de lâcher le pouvoir : “Venez, on va vous accueillir en France, sur la Côte d’Azur, on va vous donner un château”. Vous croyez que ces êtres, ces hommes laissent le pouvoir ? Non ! Il faut les détruire, il faut les anéantir, c’est comme Hitler en 45.
Le problème avec les démocraties, c’est que les démocraties ne connaissent pas le mal, et l’Homme, l’Homme supposément évolué, sensible, civilisé, courtois, c’est celui qui connaît moins le mal. Pourquoi il connaît moins le mal ? Parce qu’il recherche toujours la paix. Les grands Présidents Truman et Reagan, des Hommes très simples qui n’avaient pas de PhD en relations internationales mais qui étaient extrêmement effectifs, convictions profondes, ils ont fait ce qu’ils avaient à faire, ils l’ont fait.
Truman a fait sauter Nagasaki, Hiroshima, pour mettre fin à une guerre interminable dans le Pacifique, et Reagan a aidé énormément dans l’abolition du Système soviétique. Donc les mouvements pacifistes dans le monde n’ont jamais aidé le monde, ils ont servi simplement à plâtrer, à aider, à couvrir les petites émotions de l’Homme spirituel, parce qu’il ne comprend pas le mal. Je vais vous faire une lecture sur le mal. Le mal est un axe de vie qui doit être déséquilibré au point de ne jamais plus revenir en activité. Donc le mal c’est un axe de vie !
Ce n’est pas simplement une notion, c’est une vibration, il y a des populations immondes, il y a des générations, de grandes générations d’êtres qui adaptent cet axe de vie, qui sont connectées à cet axe de vie, donc cet axe de vie il faut qu’il soit neutralisé. Donc si on ne comprend pas le mal à ce niveau-là, on le perpétue. Si on avait écouté Churchill en 35, il n’y aura pas eu de deuxième guerre mondiale. Churchill qui a été reconnu ensuite comme un grand prévoyant était considéré dans le temps comme un “Faucon”.
Et un jour, vous reconnaîtrez qu’il n’y a rien de plus bête que l’opinion des masses ! Et plus nous avançons dans le temps, plus nous avançons dans la guerre de l’information qui devient la guerre de la désinformation, plus nous deviendrons confus et plus nous souffrirons du dilemme de ne pas savoir, plus nous serons prisonniers de nos mémoires raciales, et moins nous pourrons nous libérer du karma planétaire. Vous croyez que moi en tant qu’individu je m’implique dans le karma des nations ? Aucunement. Je le comprends, je le vois, mais ça, ça fait partie du karma des nations !
J’ai déjà dit à un médecin qui s’occupait du cancer, qui faisait de la recherche sur le cancer, qui s’émouvait face au cancer, qui prenait trop au sérieux son devoir de médecin face au cancer, je lui avait dit – parce qu’il me connaissait, donc je pouvais faire de l’écriture automatique avec lui – et je disais : “Le cancer des Hommes, ce n’est pas, CE N’EST PAS votre responsabilité, vous faites ce que vous pouvez, et ce que vous ne pouvez pas, vous ne le faites pas”. Il est en train de se rendre lui-même cancéreux, tant il voulait guérir le cancer.
Et nous faisons ça à gauche et à droite, aussitôt que nous avons un travail plus ou moins idéaliste, plus ou moins humanitaire, plus ou moins bien, nous dépassons les bornes. Combien de professeurs aujourd’hui veulent ou souffrent d’être dans des classes de jeunes qui ne respectent plus l’autorité, qui ne veulent plus apprendre, et qui se font du “sang de cochon” ! “Allez vendre des patates frites chez McDonald’s” !
Nous ne sommes plus dans les années 40, 50, 60 où les jeunes écoutaient… Il y a eu de la révolution c’était nécessaire, ça fait encore partie du grand plan, mais nous, qu’est-ce que nous faisons, nous les Hommes, dans ce tableau totalement cauchemardesque et qui devient de plus en plus cauchemardesque ? Si nous n’avons pas d’identité, nous sommes foutus ! C’est pour ça que les gens souffrent aujourd’hui, les gens souffrent dans le travail, les gens souffrent dans l’éducation, les médecins souffrent dans la médecine, les infirmières souffrent dans l’infirmerie, tout le monde souffre. Parce que nous ne sommes plus protégés par nos illusions spirituelles des années quarante, cinquante, trente.
Nous avions de grandes illusions de nous protéger, nous les avons fracassées ces illusions, mais nous ne les avons pas remplacées par de l’identité ! Nous les avons simplement remplacées par un radicalisme, par une effronterie, par un manque de regard pour l’ordre, par un manque de regard pour l’autorité mécanique ! Nous avons de la difficulté à respecter les policiers dans la rue qui risquent leur vie tous les jours avec des gens, des gangs qui font la drogue, qui tuent à gauche et à droite, qui n’ont aucun regard pour la vie.
Pourtant ce sont ces policiers qui nous protègent, physiquement, mécaniquement, mais nous avons été radicalisés, nous avons perdu le sens de l’autorité mécanique nécessaire, légale, des conventions qui permettent une vie plus ou moins salubre, nous payons le prix, nous allons payer le prix, c’est sûr ! Nous écoutons ces musiques frelatées anti-ordre, surtout les musiques qui viennent des États-Unis qui traitent les policiers de cochons. Vous n’enseignez pas à un gosse de cinq ans de traiter un policier de cochon, c’est abominable, et ça ne va pas changer !
Qui doit, quoi doit changer ? Nous, l’Homme, l’Homme doit changer, l’Homme doit entrer dans sa propre autorité, l’Homme doit savoir, l’Homme doit connaître, comprendre, saisir. À ce moment-là, la religion elle a sa place, la chose elle a sa place, la musique Rock elle a sa place, tout a sa place parce que tout fait partie d’un monde en évolution, en involution, en développement à l’intérieur d’une conscience planétaire en crise ! Ça fait partie d’un plan qui est vaste.
Mais nous, les Hommes conscients, n’avons pas besoin de participer à cette abomination si nous sommes conscients. Si nous ne sommes pas conscients, ben, nous n’avons pas le choix, parce que nous voyons, nous observons, nous avons des émotions, nous mesurons un peu le mal, mais nous ne le comprenons pas dans son entièreté, dans sa fonction systémique sur la Terre, planétaire, nous en sommes victimes, sinon nous n’aurions aucun problèmes… Avec la drogue, avec ci ou avec ça, ça fait partie de la vie sur la Terre.
Je vois les gens qui lisent “le Montréal Matin” ou “le Journal de Montréal” au déjeuner, c’est suffisant pour avoir une crise de déjeuner, c’est abominable ! C’est abominable ! Ce n’est pas un jugement sur le journal, c’est simplement une observation jusqu’à quel point nous sommes informés de choses dont nous devrions être libres si nous étions conscients. Donc ce n’est pas le mal dans le monde qui est le problème ! Ce n’est pas le bien dans le monde qui est l’apothéose ! C’est le fait que l’Homme n’est pas conscient, c’est ça le mal de l’Homme.
De l’inconscient c’est un autre mal, c’est une autre sorte du mal, ça fait partie du ventre du mal. Donc si nous ne sommes pas capables de comprendre le mal à partir d’un plan systémique – le bien ce n’est pas un problème techniquement – mais le mal qui peut être le bien, nous aurons une difficulté à survivre. Qu’est-ce qui se passera lorsqu’on éclatera une bombe quelque part dans un endroit stratégique ?!
Ce n’est plus les confits entre la Russie et les Américains qui vont ébranler le monde, ce sont les conflits entre les petits groupes forcenés qui accéderont à des instruments de guerre pour déstabiliser les Nations au nom de wahhabisme international ! Si nous n’étudions pas à partir de nous, autrement dit si nous n’en arrivons pas à des conclusions fondamentales concernant la structure de nos sociétés, notre relation avec la vie sociale, nous ne pourrons jamais être bien dans notre peau !
Nous voudrons éviter le mal qui ne s’évite pas, et nous voudrons nous lier au bien qui en réalité est une autre forme de mal, parce qu’il est faible de lumière. Tout ce qui est faible de lumière, c’est du mal. Donc même la bonne lumière, si elle est diluée, elle n’éclaire pas comme elle devrait éclairer, et la lumière doit éclairer comme elle doit éclairer, mais elle ne doit éclairer que l’Homme lui-même pour l’Homme lui-même.
Et lorsque l’Homme comprendra ceci, il aura une conscience systémique, il pourra regarder dans le monde comme le capitaine regarde dans le monde. Il pourra voir les îles, les montagnes, les vallées, les différentes faunes, apprécier ou ne pas apprécier, mais lui sera libre sur les vagues de sa propre vie. C’est pour ça que tout ce que vous avez lu pendant l’involution, tout ce que vous avez étudié pendant l’involution, tout ce qui vous rapporte naturellement à la mémoire de vos races, que vous soyez Chinois, Africains, Américains, Européens, ça ne fait que partie de la mémoire de la race !
Ça fait partie de la mémoire de l’Homme, ça fait partie du réseau d’énergies psychiques qui lient l’âme individuelle à une âme collective. Mais ça n’a rien à voir avec l’Esprit de l’Homme qui est en soi une aiguille qui lie le matériel, le mortel, avec les sommités lumineuses, l’intelligence universelle, l’intelligence systémique que l’on retrouve façonnée à la mesure de l’Homme, à l’échelle de l’Homme, pour sa protection, mais aussi pour son initiation à des courants de vie plus mystérieux : l’ajusteur de pensée, la télépathie.
Nous croyons, à la fin du vingtième siècle, que nous avons découvert la science, que nous sommes très avancés en science ! En 1957 un éminent scientiste Américain disait : “Jamais nous n’irons sur la lune”. En 57 ! Quelques années avant que Kennedy fasse son programme, que les Russes le fassent. Si nous faisions une étude vaste, minutieuse, nuancée, profonde, sans égard pour l’ego, pour sa protection de ce que nous appelons l’illusion, le phénomène de l’illusion, la “maya hindou”, nous réaliserions deux choses : Que la seule chose qui est réelle c’est la vibration dans l’Homme, et que la seule chose qui est permanente dans l’Homme c’est son lien avec sa source.
Tout le reste est temporel, transitoire, utile à son évolution en tant qu’âme, en tant que mémoire, en tant qu’entité incarnée, mais n’a rien à voir avec le réel. Et si nous allons plus loin dans l’évaluation, l’étude, la reconnaissance, la compréhension du réel, nous découvrons que le réel de l’Homme, le réel de l’Humanité est morontiel, il n’est plus astral, il n’est pas astral, il est morontiel. Morontiel veux-dire quoi ? Morontiel veut dire qui n’appartient plus à la Terre.
Donc même si vous mourez, vous appartenez à la Terre, parce que les archives déjà, dont sont faites vos mémoires, appartiennent à la Terre. Dans le morontiel, la Terre n’existe plus parce que la mémoire n’existe plus. Parce qu’une fois que l’Homme devient télépathe, devient morontiel, et qu’il échappe à l’astral de la mort, il est libre de tout souvenir.
Et c’est dans l’absence de souvenir, donc dans l’absence de la réflexion, que l’Homme est capable ou peut contempler ce qu’il appelait dans le passé “Dieu”, en face, et ne pas mourir. Contrairement à ce que l’Homme faisait dans le passé lorsqu’il contemplait Dieu, il mourait. Il mourait. Pourquoi ? Parce qu’il avait la frayeur de cette infinité qui faisait partie de lui et qu’il réfléchissait de manière absolument mortelle.
Donc lorsque l’Homme sera capable de ne plus réfléchir mortellement cette lumière qui fait partie de lui, l’Homme sera libre, morontialisé, il commencera finalement à progresser dans les éthers de vie, revenir à la source, pour éventuellement créer des civilisations qui sont tellement plus vastes que nous pouvons imaginer, parce que même l’imagination fait partie de la mort, alors que la créativité fait partie de l’Énergie. FIN. (Applaudissements).
mise à jour le 21/08/2024