Mondes invisibles

Snow freeride – credit: @RedBullSnow YouTube

Conférence avec Richard Glenn 3

également nommée “Mondes insolites” en version vidéo raccourcie RG : Hier, je recevais un “téléphone” d’Ottawa me disant : Monsieur Glenn… Évidemment c’était “Allophone, et puis il me disait : “Vous êtes chanceux d’avoir monsieur – que je vous présenterai tantôt – comme invité sur une émission de …” BdM

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

écouterregarder sur YouTube

également nommée “Mondes insolites” en version vidéo raccourcie

Richard Glenn (RG) : Hier, je recevais un “téléphone” d’Ottawa me disant : Monsieur Glenn… Évidemment c’était “Allophone, et puis il me disait : “Vous êtes chanceux d’avoir monsieur – que je vous présenterai tantôt – comme invité sur une émission de radio”.

C’est la première participation publique qu’il fait, on est derrière vous sur le plan, sur différents plans, pour que l’émission se passe pour le mieux. Et ça va certainement aider beaucoup de gens à saisir que le jour où on aura des contacts du troisième type de façon massive, du jour où on entrera en relation avec des êtres extraterrestres, on changera complètement notre façon de communiquer, notre façon de penser, notre façon de voir les choses, et ça va nous permettre d’aller beaucoup plus vite, dans ce qui s’appelle la réalité, ou la “vérité”.

On a deux heures ensemble avec un invité qui a vécu dans d’autres réalités, dans d’autres dimensions. Je le présente maintenant sous le nom de Bernard de Montréal. Pour les gens qui ont eu l’occasion de suivre mes émissions à la télévision sur des réseaux privés, ils le connaissent déjà, ils savent déjà de qui il s’agit puisque sur les émissions de télévision, sur les réseaux privés de la rive sud, les gens pouvaient commander ces émissions de télévision.

Et l’émission avec Bernard de Montréal a été celle qui a amené le plus de courrier, qui a amené le plus de réactions positives, j’ai une foule d’invitations de gens qui demandent à Bernard d’aller chez eux, mais ce n’est pas possible. Aujourd’hui vous l’avez ! On l’a pour deux heures. Bernard, bonjour !

Bernard de Montréal (BdM) : Bonjour !

RG : Je pense que la présentation que j’ai faite de ta présence ici, cadre assez bien à ce que tu es comme personnage ici au Québec.

BDM : Disons que c’est une présentation raisonnable. Pendant les deux heures qui viennent, il y a beaucoup de choses à dire. On doit faire une parenthèse avant de débuter et cette parenthèse est aussi importante que ce qui sera dit dans les minutes qui viennent. La raison pour laquelle j’ai accepté l’invitation, c’est pour permettre à un plus grand nombre de personnes de comprendre ce qui ne se comprend pas, de pouvoir établir des relations psychologiques avec le paranormal ou le supramental qui, pour ces personnes, surtout les personnes plus sensibles, pourrait leur donner éventuellement l’occasion de sentir, soit en eux-mêmes ou à l’extérieur d’eux-mêmes, des aspects d’une réalité qui se “superimposent” sur l’espace-temps dans lequel nous baignons.

L’Homme a de la difficulté de comprendre ce qui existe au-delà de ses facultés sensorielles normales, et ça, c’est normal. Nous vivons dans un espace clos et nous n’avons pas la vibration, en général, pour nous projeter d’une façon stable et d’une façon normale, et d’une façon plaisante, dans des mondes qui sont parallèles au nôtre mais qui, à cause de leur dimension suprasensible, sont régis par des lois qui les protègent.

RG : Est-ce qu’on a aussi des lois qui nous protègent nous aussi?

BDM : Oui, nous avons des lois qui nous protègent. Chaque plan, chaque monde, chaque univers clos a ses propres lois, et ces lois sont très rigides, elles sont fixes. Ce sont des lois physiques et si ces lois n’existaient pas, il n’y aurait pas de possibilité à l’Homme d’évoluer sur le plan matériel physique parce que l’Homme, à cause de son Esprit, à cause de son âme, tend toujours à retourner à sa source, à son origine.

Si les lois de la matière n’étaient pas établies de la façon que nous connaissons, c’est-à-dire de la façon où nous les sentons, de la façon où elles nous emprisonnent, l’Homme aurait tendance à mourir facilement. Et l’Homme ne doit pas mourir facilement parce que l’Homme doit faire l’expérience de la vie matérielle afin de donner aux autres aspects de lui-même qu’on appelle par tradition “l’âme”, une capacité d’évolution qui fait partie d’un plan plus vaste d’évolution au niveau de la galaxie.

RG : Il faudrait peut-être, Bernard, commencer par définir certains termes comme… J’aimerais qu’on commence par définir l’espace-temps, ensuite la vie, l’âme…

BDM : À chaque niveau de l’universel, il y a des espaces et des temps. Sur le plan physique, sur le plan matériel, nous avons un espace qui est conditionné par le temps psychologique de l’Homme. L’Homme ne vit pas le temps réel. L’Homme vit un temps qui est approximativement équivalent dans la longitude de la lumière à la quantité d’énergie qui pénètre dans ses neurones à chaque instant de sa vie.

Sur le plan de ce que l’on appelle aujourd’hui “l’immatériel”, le temps est beaucoup plus vaste. Ce qui est espace pour nous ici sur le plan physique, dans les autres dimensions, c’est le temps. C’est l’une des raisons pour laquelle l’Homme a beaucoup de difficulté à concevoir, surtout les scientifiques, qu’une civilisation avancée puisse voyager à partir d’une planète qui est localisée dans la galaxie, à quarante millions d’années-lumière et venir ici dans une période très courte.

RG : Oui. On se demande toujours comment font les “soucoupes volantes”, disons s’il viennent d’une autre galaxie ou d’un autre système solaire qui sont quand même très loin, très éloignés d’ici.

BDM : C’est-à-dire qu’elles sont loin en relation avec notre concept de la distance, mais les civilisations à l’extérieur de notre espace-temps n’ont pas le problème de distance. Le problème de distance n’existe pas pour eux parce que lorsqu’ils se déplacent d’un plan à un autre, autrement dit d’un univers à un autre, ils doivent changer de temps vibratoire. Alors le problème de distance n’existe pas parce que le problème spatial n’existe pas.

Ils changent les vibrations de leurs systèmes de transport, automatiquement les vibrations de leur propre corps physique sont altérées, et ils se mettent en relation vibratoire avec notre système ici et il y a ce qu’on appelle “un découchement” parallèle qui se fait, qui leur permet de voyager dans la galaxie à très haute vitesse. D’ailleurs le concept de vitesse n’existe pas au niveau des “soucoupes volantes”.

RG : La vitesse, c’est l’espace multiplié par le temps.

BDM : La vitesse, le concept de vitesse que nous avons sur le plan physique ici, ce qui nous est enseigné à l’université, c’est un concept vectoriel. C’est un concept qui nous permet d’établir une relation entre le temps psychologique humain et le déplacement qui s’effectue à l’intérieur d’une zone quelconque.

Mais lorsque ces intelligences, ces peuples, ces races voyagent de leur planète à la nôtre, ils ne conçoivent pas le concept de la vitesse, malgré que leurs systèmes sont manipulés par des moyens mécaniques qui varient suivant les civilisations, le tout dans sa modulation est attribué aux changements vibratoires. Ce sont les changements vibratoires qui leur permettent de passer d’une couche éthérique à une autre couche éthérique, pour enfin en arriver dans notre zone ici à se matérialiser s’ils le veulent ou à demeurer dans l’éthérique en suspension.

RG : C’est ce qui fait dire à certaines personnes qu’on les voit et qu’ils disparaissent ou qu’ils apparaissent tout simplement.

BDM : C’est juste. Dans plusieurs cas de personnes qui sont entrées en contact visuel avec ces races, ils s’aperçoivent que lorsqu’ils partent, ils partent et tout d’un coup, wooop… Ils ne sont plus là, ou quand ils apparaissent, ils apparaissent d’une façon très spontanée, c’est-à-dire qu’ils passent d’un plan vibratoire éthérique à un plan matériel physique, et c’est pour ça qu’il y a ce phénomène de dématérialisation.

RG : On les voit souvent aussi dans un éclat de lumière puis disparaître aussi dans un éclat de lumière.

BDM : Oui, parce que dans le monde éthérique, sur le plan éthérique, ce qu’on appelle… J’emploie le “plan éthérique” présentement, j’emploie ce terme parce que c’est un terme qui est connu, c’est un terme que l’on entend un peu partout dans le monde, surtout dans le domaine ésotérique, mais le plan éthérique c’est un plan où l’oxygène est parfaitement instable. La science n’a pas découvert l’oxygène instable encore parce que lorsque nous avons un élément sur le plan physique, éthérique, ou sur les différentes couches vibratoires, les éléments existent et on peut les retrouver, ces éléments-là, à tous les niveaux de vibrations.

RG : Bernard, nous en étions à parler des apparences, des apparitions, des disparitions. Dans le phénomène des êtres extraterrestres, il n’y a quand même pas qu’une seule sorte d’êtres extraterrestres ?

BDM : Le concept… Nous avons ici un concept qui nous aide à nous différencier de ce qui peut se passer, disons dans le monde de l’insolite. Mais il y a des planètes dans la galaxie qui sont très très variées et les êtres qui évoluent sur ces planètes-là, dans certains cas, ont des rapports très étroits avec l’Homme de la Terre. L’Homme a l’impression qu’il est encapsulé dans une planète et qu’il appartient à cette planète, et ça c’est une erreur, parce qu’il y a des Hommes sur cette planète ici présentement qui ont évolué sur d’autres planètes avant.

RG : Dans d’autres vies ?

BDM : Dans d’autres vies, qui ont eu des expériences dans des espaces qui sont très très éloignés des nôtres. Les Hommes très évolués, les grands Hommes, ce qu’on appelle les grands Hommes qui ont marqué de leur personnalité l’histoire humaine, souvent ont eu des expériences, des évolutions, dans ces systèmes-là, et leur grande sagesse provient du fait justement qu’ils avaient déjà compris beaucoup de choses. Alors, c’est très important pour les gens de comprendre que les Hommes physiques de la planète Terre, ont des âmes qui ont très très bien pu participer à l’évolution dans des systèmes extérieurs au système solaire.

RG : Mais qu’est-ce que l’âme ?

BdM : L’âme c’est un concept qui ne sera pas compris tant que l’Homme n’aura pas contact avec l’éthérique, je vais vous en expliquer les aspects que je connais, mais tant que l’Homme ne pourra pas se voir d’une façon intégrale, il ne pourra pas comprendre ce que c’est que l’âme. L’âme, le concept de l’âme a été mystifié par la religion, il a été mystifié par les doctrines ésotériques. Et c’est très normal, parce que l’Homme, lorsqu’il pense, il pense avec sa tête mais aussi avec ses émotions, l’Homme ne peut pas regarder froidement la réalité parce qu’il a besoin de la réalité qu’il connaît pour sécuriser son être, sa vie, et tout ça.

Si l’Homme – quand je parle de l’Homme, je parle des masses en général, de tous ces millions d’êtres qui parcourent les chemins de notre planète – s’ils étaient en contact avec la réalité telle qu’elle est, leur psychisme, leur Esprit, leurs facultés normales s’amoindriraient et ces gens-là souffriraient de leur expérience, en général. Alors en ce qui concerne l’âme, c’est la même chose.

L’âme, c’est équivalent à un transformateur, c’est un centre d’énergie très puissant qui est parfait, mais c’est un système d’énergie en évolution, c’est-à-dire que l’âme, telle qu’elle est aujourd’hui chez un individu, a parcouru pendant un certain temps des étapes évolutionnaires sur telle ou telle planète, et arrivée à un certain niveau d’évolution, à ce moment-là l’âme peut être – ce qu’on pourrait appeler en communication directe – avec ce qu’on appelle encore des “ajusteurs de pensée”.

Alors dans l’univers il y a les Hommes ou les extraterrestres, c’est la même chose, même s’ils ont des facultés permanentes différentes, l’Homme n’a pas encore le contrôle de la matière – les extraterrestres ont le contrôle de la matière – mais au-delà des extraterrestres, il y a ce qu’on appelle les “ajusteurs de pensée”. Et les ajusteurs de pensée sont encore des âmes très évoluées, parfaites, mais qui n’ont pas besoin de parcourir le sentier de l’évolution, c’est-à-dire de s’incarner, autrement dit ce sont des désincarnés et ils demeureront toujours des désincarnés, tandis que les extraterrestres sont des incarnés comme l’Homme est un incarné.

C’est pour ça que je n’aime pas… ce n’est pas un reproche que je vous faisais, c’est pour faire allusion au fait que l’on parle des extraterrestres et que l’on parle des Hommes comme si c’était deux paires de manches différentes.

Lorsque l’Homme aura la contrôle sur la matière, lorsque l’Homme pourra créer des véhicules éthériques, lorsque l’Homme pourra contrôler son temps – parce que l’Homme ne contrôle pas le temps, il est assujetti à un temps psychologique qui est totalement anormal – mais lorsque l’Homme pourra contrôler son temps et qu’il pourra voyager dans la galaxie et rencontrer ces êtres-là, échanger et communiquer avec eux, appartenir à la Confédération galactique, à ce moment-là l’Homme ne parlera pas d’extraterrestres.

Si on parle des Américains, ce ne sont pas des extraterrestres, il y a des Américains là, il y a des Français là, il y a des Allemands là, mais c’est la même chose au niveau de la galaxie ! Et ça, ça s’en vient ! Une des raisons pour laquelle je suis venu à la radio, c’est pour faire comprendre aux gens, lentement – il n’y a pas de “presse” – qu’il y a des évènements dans le monde qui se développent, quelle que soit l’attitude des masses, ou quelle que soit l’attitude des organisations, ou quelle que soit l’attitude des gouvernements, ou des systèmes militaires, rien ne peut empêcher le fait que d’ici la fin du siècle, l’Homme entrera en contact politique, scientifique avec les civilisations d’outre-espace.

Ça, c’est établi, c’est connu, c’est connu de tous ceux qui ont eu des contacts, mais ce n’est pas important pour moi personnellement de prendre une position d’évangélisation. Je veux bien parler de ce que je reçois par transmission pour le bénéfice des individus, sans pour cela prendre une position d’autorité ou une position de vente, je ne suis pas un vendeur ! Je conçois que le processus sera très lent, et c’est normal. Mais je sais que le processus est inexorable, qu’il a existé dans le passé, et que ça fait partie des plans de l’évolution de la planète Terre, d’entrer en contact avec les extraterrestres.

Maintenant, la responsabilité est avec les gouvernements et les organisations scientifiques ou parascientifiques. Les scientifiques ont une responsabilité vis-à-vis l’Homme et les gouvernements ont une responsabilité vis-à-vis des peuples, et c’est de former des comités. C’est normal, un type qui est dans le gouvernement ne peut pas s’il n’a pas, pour une raison ou une autre, une expérience quelconque ou le tempérament qui va avec ça, n’a pas à être intéressé au phénomène OVNI.

Mais il y a des gens dans le gouvernement, il y des gens dans les organisations scientifiques qui sont intéressés à ça, il y a des individus qui sont des individus qu’on appelle respectables, des médecins, des policiers, des scientifiques qui ont vu des OVNIs, il y a des gens qui les ont photographiés. Et c’est la responsabilité des gouvernements et des organisations d’amener cette information-là au public, petit à petit, de faire de la recherche sincère au lieu de dénigrer le phénomène, parce qu’il ne faut pas prendre les gens pour des caves !

RG : On sait qu’en Italie actuellement il y a comme une vague, au Vénézuela aussi ?

BdM : Présentement, en Italie, il y a une vague d’UFOs, d’ailleurs il y a eu un reportage sur les nouvelles dernièrement, ce qui est absolument fantastique parce que c’est assez rare que ça débouche sur les nouvelles, ce sont toujours des gens qui sont marginaux qui amènent les nouvelles à des gens marginaux, mais l’Italie est très importante. Ceux qui ont lu ou ceux qui sont conscients du rapport qui a été fait dans le manuscrit de Jean XXIII, le pape décédé, le pape mentionne très bien dans son manuscrit qui a été légué à Pier Carpi, qu’éventuellement il y aura dans le ciel des lumières blanches, vertes et bleues, qui se déplaceront à grande vitesse.

Quand le pape a parlé en 1935, quand il a fait ce manuscrit-là, alors qu’il faisait partie des Templiers qui est une société secrète, le pape a très bien dit : Des lumières qui se déplaceront dans le ciel ! Le concept d’OVNI, le concept d’UFO n’existait pas dans ce temps-là. Les gens qui ont des yeux, qui ont de l’intelligence, ou qui sont informés, se doivent de prendre sérieusement ce que le pape dit, parce qu’un pape a un certain niveau de crédibilité.

RG : Et l’ONU aussi !

BdM : Je vous ai transmis ce matin un document concernant les Nations Unies, il y a des efforts qui sont faits présentement au niveau des Nations Unies pour former un comité scientifique et aider à voir clair dans cette chose. Le problème avec les scientifiques – ça c’est l’argumentation qu’on nous donne – c’est qu’ils n’ont pas de méthodologie scientifique pour étudier les UFOs : “Mais qu’est-ce que vous voulez qu’on fasse”… C’est pas parce que tu n’as pas une mesure pour mesurer l’œuf que tu dois dire : “Ben, l’œuf n’existe pas” !

RG : Il y a des organismes officiels qui commencent à faire connaître les choses, mais il y a des gens comme Jean Miguères ou comme d’autres qui ont eu des contacts et semblerait-il, tout à fait vérifiables scientifiquement. Jusqu’à quel point on peut suivre au-delà de leur mission ce qu’ils nous apportent ? Ce que je veux dire, c’est que des gens comme Jean Miguères nous disent : “Attention, Peuples de la Terre, les extraterrestres m’ont dit lors d’un contact qu’on doit absolument cesser les guerres, et que de toutes façons les extraterrestres ont en leur possession les clés de commande militaire etc”. Est-ce que des fois il n’y a pas le risque que ces contactés outrepassent leur rôle premier ?

BdM : Ça c’est une question qui est très intéressante. La question qui se pose avec Jean Miguères qui pourrait se poser avec d’autres personnes que je connais, un type qui a contact avec les extraterrestres – ce terme-là me fatigue mais je vais continuer à l’employer – un type qui a contact avec des extraterrestres… a contact avec des extraterrestres, il maintient son identité, sa personnalité. Alors, même s’il est donné un message à ce type-là, lui, il a la faculté psychologique qui lui incombe de transmettre ce message-là et cette faculté psychologique là fait partie de son tempérament.

Moi je ne peux pas parler comme ça. Si j’entrais en contact demain matin avec une civilisation qui vient d’un autre niveau et qu’on me dirait : “Il va se passer telle telle chose”, je garde la disponibilité de mon propre champ d’énergie. Autrement dit, je ne veux pas aller dans les détails de ça, mais moi je ne peux pas être magnétisé mentalement, c’est-à-dire que l’hypnose même au niveau de ces gens-là, ou l’influence psychologique ne peut pas fonctionner, parce que lorsque le contact s’est fait avec moi, mon intellect a été neutralisé.

Je n’ai pas besoin de penser pour fonctionner au niveau mental, c’est ça qu’on appelle le supramental. Mais un type qui doit penser, qui doit se servir de ses émotions pour activer sa personnalité d’une façon normale, est sujet aux lois mécaniques de la pensée mécanique et de l’émotion mécanique. Alors automatiquement, même si on lui transmet un message qui est de haute valeur, à cause de son humanité, à cause de sa subjectivité, il peut, dans les cas qu’on connaît même, traduire ce message-là en bouffonnerie ou il peut le traduire d’une façon très sérieuse, ça dépend de l’individu.

Ce n’est pas le message des extraterrestres qui est dommageable à l’image des extraterrestres, c’est la façon dont s’y prennent les individus récepteurs qui transmettent au public ces images, et ça c’est un domaine qui est très, très, très, très, très délicat. Moi, j’appelle ça des erreurs psychologiques. Si tu parles à un Homme de quelque chose ou si tu parles à une assemblée de quelque chose, pour en arriver à pouvoir traduire ce que tu veux dire et permettre que ce que tu dis soit totalement reçu dans une bonne ambiance psychologique, il faut absolument que tu sois neutre.

Si tu veux vendre quelque chose, si tu veux imposer quelque chose, si tu veux agir autrement dit avec une certaine autorité, tu recevras automatiquement des réactions des autres. Ça, c’est normal, parce que les ego aujourd’hui, les ego humains sont opaques, ils ne sont pas translucides. C’est la raison pour laquelle je ne permettrai jamais qu’une personne m’interviewe… Que toi et une autre personne que je connais ! Parce que si je veux traduire vers l’extérieur ce que je veux dire, il fait qu’il y ait une empathie vibratoire.

Si un type veut me mettre en boîte, je ne me laisserai pas mettre en boîte, on ne peut pas me mettre en boîte, parce que je ne me sers pas de mes émotions pour conditionner mon savoir. Je fais ce que je fais avec plaisir, je donne ce que je peux donner au niveau de l’information pour aider des gens à comprendre des domaines qui sont un peu perplexes, complexes, subtils, et ça s’arrête là. On veut, on veut, on veut pas, moi ça ne change rien. Tandis que dans le cas d’autres personnes qui ont été contactées, ils ont ce qu’ils appellent des missions. Le moment que tu as une mission, tu es sujet à une interprétation personnelle de ta relation avec le monde.

RG : Sans juger le cas de Claude Vorilhon (Raël) qui a, dit-il, lui-même, eu des missions, un contact, et qui aujourd’hui réclame de l’argent pour que les gens fassent partie d’un mouvement, qu’ils se procurent aussi des médaillons, qu’ils achètent des livres, etc. etc. ça devient vraiment quelque chose de très commercial.

BdM : Ça fait partie de la psychologie de tout ce mouvement. Moi je ne peux pas faire de commentaires sur Claude Vorilhon. Personnellement, entre personnes, d’une façon privée, je pourrais parler jusqu’à un certain point, mais ce que Claude Vorilhon fait, c’est ce que Claude Vorilhon fait, et ce qu’il fait peut être accepté par certaines personnes, rejeté par d’autres. Mais en ce qui me concerne, ça n’a aucune importance, ça fait partie de son travail mais en relation avec son tempérament.

Si je fais une parenthèse, moi je rencontre des extraterrestres, nous communiquons par télépathie mais on ne m’impose rien. Parce que l’Homme, essentiellement, il est libre et il doit être libre ! Et ça, je veux en parler… Le danger de l’humanité qui va être vécu d’une façon très intense vers la fin du siècle, c’est que les Hommes ne seront pas préparés au contact avec les extraterrestres. Alors, les extraterrestres seront pour les Hommes des dieux.

RG : Comme autrefois.

BDM : Oui, mais l’Homme est libre. L’Homme a le pouvoir de fonctionner d’une façon intégrale, autonome et créative. Il n’a pas recouvert ce pouvoir, il le recouvrira éventuellement, mais lorsque ceci sera fait, il devra être totalement indépendant. Sans ça, la planète entière peut y passer.

Et c’est très connu dans les milieux occultes – qui est un autre terme que je n’aime pas mais je dois m’en servir pour expliquer un terrain fermé – c’est très connu dans les milieux occultes qu’il y a des extraterrestres, autrement dit des civilisations qui s’intéressent à l’évolution de l’Homme, qui travailleront avec nous au niveau des sciences, et qu’il y en a d’autres qui sont retardataires, qui ne veulent pas que l’Homme participe à l’évolution de la science dans la galaxie, parce que l’Homme vit encore aujourd’hui le principe de tuer ; on n’a pas le droit de tuer. Et tuer, ça fait partie de notre vie chaque jour.

RG : Mais comment manger si on ne tue pas ?

BDM : Voilà. La guerre, c’est un exemple qui est frappant. Alors ce qui se produira, c’est que les extraterrestres viendront en grand nombre et les gens qui ont de bonnes vibrations, ce qu’on appelle “de bonnes vibrations”, c’est-à-dire que les gens qui ont une âme évoluée seront absorbés dans ces systèmes-là et il y aura une transmutation moléculaire de leur corps, de tous leurs principes. Et à ce moment-là, ces gens-là pourront revenir sur le plan physique et fonctionner de façon harmonieuse entre eux et avec eux.

Les gens qui ne pourront pas prendre le choc, ce qui est une grande majorité de la population humaine, séviront dans le processus, et ça, ça fait partie de ce que les gens appelaient dans le passé : “la fin des temps”. Ce n’est pas la fin des temps, c’est la fin d’un cycle d’évolution. Il y en a eu un il y a douze-mille années dans le passé avec l’Atlantide, et il y en a un qui vient, et il y en aura d’autres, ça fait partie de l’évolution.

RG : Celui qui vient, est-ce qu’il vient avant la fin du siècle ?

BdM : Celui qui vient viendra quand ce sera le temps. Il n’y a personne qui le sait. On a des idées, des dates approximatives qui nous sont données mais rien n’est dévoilé. Un type qui vous dit que ça se produira à telle date, vous verrez que ça ne se produira pas à cette date-là. Il y a des choses qui vont se produire dans cet environnement-là.

Si vous calculez 96, 98, la fin du siècle, regardez les grands psychiques, les grands médiums, Nostradamus et ces gens-là, Malachie, qui ont fait des prédictions il y a des milliers d’années, c’est dans ce coin-là, les grands médiums d’aujourd’hui, les gens qui sont très très sensibles savent que c’est dans ce coin-là, mais la date précise, c’est caché, il n’y a pas un Homme qui le sait, parce que ça fait partie des secrets cosmiques, et vivre avec ça dans la tête, ce n’est pas plaisant.

RG : Ces êtres extraterrestres qui aimeraient autant que l’Homme n’avance pas trop vite dans sa conscience, des choses par la science etc., auraient-ils… Se seraient-ils manifestés lors du passage au paradis terrestre, lorsque l’Homme a mangé l’arbre ou le fruit du bien et du mal, et qu’à ce moment-là, l’Homme a été déchu ? D’une certaine façon, l’Homme a passé à une autre étape où justement il avait la conscience du bien et du mal.

BDM : Là, on tombe dans un passé qui est totalement inconnu du public. Ce qu’était le paradis terrestre dans le passé, ce qu’étaient les relations entre Adam et Eve qu’on appelle dans la Bible, et des entités d’outre-espace, c’est une situation qui est totalement occulte et pour parler de ça, ça nécessite une émission complète. Si on entre dans ce domaine-là, on n’en finira pas, mais je peux dire qu’il y a eu des relations dans le passé entre Adam et Eve et des plans d’intelligence supérieure. Ce qu’on appelle par exemple dans notre monde “Satan”, ce personnage fait partie d’une hiérarchie dans le cosmos.

Seulement, la raison pour laquelle je n’aime pas parler de ces choses-là en public, trop, c’est qu’il y a une dimension émotive à tous ces concepts : l’âme, l’Esprit, Satan, le bon, le mauvais, tous les termes qu’on emploie sont empreints d’émotion. Et si on parle de ces choses-là, il faut en parler d’une façon totalement supramentale et si on le fait, à ce moment-là, on tombe dans la compréhension aisée et relativement relaxe de la cosmogénie galactique. Et à ce moment-là, tout est très simple parce que les mystères n’existent pas. Les mystères existent tant que l’Homme pense, une fois que l’Homme cesse de penser, il n’y a plus de mystère.

RG : Oui, mais comment prendre les choses, comment entrer en relation avec les choses si ce n’est pas par la pensée?

BDM : On entre en relation avec les choses de différentes façons. Un Homme qui a été par exemple initié au choc, j’appelle ça “initié au choc”, à ce moment-là, la faculté normale de penser qu’il possède et la faculté normale de mémoire qu’il possède est éliminée parce que déjà, son mental est changé de vibration. Il ne fonctionne plus au niveau du mental, il fonctionne au niveau du supramental. Alors, le supramental, c’est le contact entre l’ajusteur de pensée et son ego à lui. Alors, s’il a besoin d’information et s’il doit avoir cette information, cette information lui est fournie, alors il n’a plus besoin de mémoire.

Il y a toujours la mémoire parce que l’Homme n’oublie jamais son expérience, mais dans le cas, dans l’instantané de son expérience, il n’a pas besoin de mémoire, il n’a pas besoin de se rappeler ce qu’il a dit, il n’a pas besoin de penser à ce qu’il va dire, tout vient, c’est une communication instantanée. Et ça, c’est normal, et éventuellement ce sera comme ça. Je ne suis pas un phénomène moi, seulement que mon expérience antidate peut-être l’expérience d’autres personnes, mais il y a des gens sur le plan physique ici qui ont une grande sensibilité à cette expérience-là.

RG : Bernard, vous êtes vous-même dans un certain cercle soi-disant occulte, dans le sens qu’il est caché au grand public mais qui fait référence à des Hommes de science… du gouvernement…

BDM : Oui, je travaille précisément en relation avec des organismes ou des individus qui sont à différents piliers de l’ordre scientifique et de l’ordre politique, pour faciliter justement ce que je fais maintenant, pour amener les gens à faire des études objectives sur les UFOs ou amener des politiciens à comprendre objectivement le phénomène, pour éventuellement aider les masses mondiales à comprendre qu’est-ce que c’est que ce phénomène UFO, à le démystifier, et à permettre aux gens de bénéficier de la compréhension de certains adeptes concernant ce phénomène. Parce que le phénomène d’OVNI, c’est le phénomène le plus important du siècle. C’est le phénomène du siècle !

Et petit à petit, on va voir qu’il y aura un accroissement des phénomènes, l’accroissement, l’accroissement, l’accroissement… Si vous alliez en Italie aujourd’hui et vous passez dans la rue à Rome, vous parlez d’OVNI, on vous dira : “Oui”, parce qu’il y a eu beaucoup d’expérience dernièrement.

RG : Et beaucoup de témoins.

BDM : Voila.

RG : On est toujours avec Bernard, ce contacté du Québec, ce contact qui a eu lieu en 1969, lors de ce contact, est-ce que vraiment vous avez été totalement bouleversé et est-ce que ça a duré longtemps, les effets du contact, si on veut ?

BDM : Oui, d’abord, le contact s’est fait d’une façon instantanée et les effets du contact ont demeuré pendant une période de sept années.

RG : Et vous êtes marié ?

BDM : Oui je suis marié, j’ai une petite fille, et puis le contact avec le supramental change la vie d’un individu d’une façon totale, d’abord parce qu’on perd notre faculté de penser. Alors quand on est habitué pendant vingt-neuf ans à penser et que tout à coup, on se fait dire quoi faire, ça change la personnalité.

RG : Vous savez, Bernard, je vous regarde puis vous me faites penser au type dans le film “Rencontres du troisième type”, ce type qui, le jour où il a eu un contact, il était complètement bouleversé et il n’avait qu’une obsession, qu’une idée en tête, des idées qui lui étaient télépathiques, si on veut, ou téléguidées, jusqu’au point de se construire une montagne dans son salon, mais votre épouse, comment a-t-elle réagi à ce nouveau personnage qu’elle avait devant elle ?

BDM : C’est-à-dire que quand je suis arrivé à Montréal, d’abord quand j’ai été contacté, il a fallu que j’aille, que je m’expatrie un peu pendant quelques mois, et puis quand je suis revenu à Montréal, mon épouse, je la connaissais déjà, je n’étais pas marié encore, mais tout m’a été indiqué. À ce moment-là… Parce que dans un état comme ça, il faut avoir une femme qui a beaucoup de compréhension, une femme qui est sage, une femme qui est bonne, une femme qui est patiente, une femme qui peut pendant longtemps, pendant des années, même si elle ne le sait pas, elle, subir le joug de cette transformation en profondeur.

Et puis tout s’est fait d’une façon très très normale, parce qu’il nous est donné beaucoup de force, on est aidé, et le fait qu’on sait ce qui se passe avec soi-même, ça facilite les choses, mais ça ne facilite pas nos relations avec les Hommes, jusqu’au moment où nous sommes arrivés à un état de stabilité vibratoire où le mental est calme, où l’émotion est stable, l’éthérique stable. À ce moment-là, là tu peux commencer à travailler avec les Hommes et faire un certain chemin ensemble, et là c’est facile parce que tu n’as pas l’ego qui fait interférence dans le processus.

RG : Mais cet ego justement, cet ego, je sais qu’en psychologie, on considère que l’être humain se divise en différentes étapes : le moi, le soi, le je, l’ego…

BDM : Ce que l’Homme appelle l’ego en psychologie, c’est ce qu’on pourrait appeler “la petite manifestation” de la grande manifestation. Mais l’Homme n’est pas conscient de la grande manifestion. Il fonctionne toujours sur… C’est comme : Vous avez une patinoire, le type il patine pendant vingt ans sur la patinoire, il ne réalise pas que la patinoire, elle est sur un plus grand terrain. Il s’imagine qu’il est… Ça fait vingt ans qu’il fait du patinage sur la patinoire. Il est dans l’illusion d’être dans la patinoire, mais dans le fond, il est supporté par le grand terrain…

RG : Ou comme le poisson dans son aquarium ?

BdM : Même chose !

RG : J’imagine que l’univers…

BDM : Même chose ! Derrière l’Homme qui pense, il y a un penseur. Mais l’Homme maintient son identité ou son ego par le fait qu’il a l’impression que c’est lui qui pense. Et souvent il va dire : “Oh ! On dirait que ce n’est pas moi qui ai pensé ça”, là c’est là que vient… Il appelle ça de l’intuition. L’intuition, c’est un niveau inférieur de cette communication télépathique cosmique. Si l’Homme, si les “channels” était ouverts d’une façon totale, l’Homme entrerait en contact télépathique, mental, précis avec d’autres intelligences sur d’autres niveaux d’évolution, et à ce moment-là il fait d’autres choses.

RG : Il y a une image qui est souvent utilisée lorsqu’on pense avoir une idée, on allume une lumière au-dessus de la tête de quelqu’un.

BDM : Oui. C’est une image symbolique qui représente bien que l’idée est une chose qui provient instantanément comme d’ailleurs. C’est justement ça. Si on observait en plus grande profondeur les symboles de nos expressions, on verrait qu’il y a beaucoup de choses qu’on essaie de nous dire des autres plans, mais que l’ego ne voit pas, parce que justement il y a cette densité, il y a cette illusion qui persiste. Et quand vous établissez ça au niveau de la science, des armements, du contrôle des terrains et des OVNIs, vous voyez que le problème des OVNIs devient un problème très très important, parce que les “ego” humains, les “ego” militaires, les “ego” en puissance ne veulent pas admettre qu’il y a d’autres intelligences.

On dit : “Oui c’est normal, statistiquement, il devrait y avoir tant de planètes – dans l’univers – habitées”, mais ça, c’est de la foutaise, c’est de l’intellectualisme, parce que ça ne dit rien et lorsqu’on a des faits devant les yeux qui sont probants, qui sont plus près de nous que la statistique, on se refuse pour toutes sortes de raisons, on ne veut pas perdre le statut, on ne veut pas perdre la face… Un type qui est en puissance, un type qui est dans la politique, un type qui est chef chez les militaires, il ne veut pas perdre la face.

L’Homme a un côté en lui qui est mâle, qui est robuste, qui est solide, il ne veut pas prendre les petites histoires, les petites conneries du paysan du Japon, du paysan en Amérique du Sud qui est entré en contact avec des OVNIs. Et ils vont dire : “Pourquoi les OVNIs ne viennent pas nous voir, nous, qui sommes les militaires”… Parce que si les OVNIs venaient les voir, eux, dans les champs d’aviation, qui sont les militaires, soit ils feraient la bagarre ou ils fermeraient totalement le dossier, ce qui est arrivé d’ailleurs.

Alors l’ego de l’Homme, c’est le plus grand problème de l’Homme. Ce qui manque le plus sur la planète Terre, c’est la psychologie. Et l’Homme aura la grande psychologie universelle lorsqu’il sera fusionné avec ses autres centres d’énergie. La vie, elle est très simple, très facile, mais l’Homme doit comprendre la vie, et il ne peut pas comprendre la vie avec de la psychologie humaine, parce que de la psychologie humaine, c’est encore trop simple, trop primitif…

RG : Oui, bonjour chers amis, nous sommes dans la même émission depuis une heure déjà avec un invité un peu spécial qui se nomme Bernard de Montréal et on voulait aller plus loin, on est allé peut-être aux limites de notre entendement, parce qu’évidemment Bernard nous parle avec des termes, et des fois, des expériences et des expressions qu’on ne comprend pas et qu’on ne saisit pas encore maintenant. C’est peut-être en les réfléchissant qu’on pourra saisir toute l’ampleur de ce qu’il nous apporte ici comme information.

Mais je ne cache… Je ne dévoile rien à personne en disant que ce contacté a évidemment été en rapport avec des hautes autorités sur le plan scientifique, sur le plan militaire, sur le plan politique aussi, probablement Bernard ?… Et qui, évidemment, un peu comme le type dans “Rencontres du troisième type”, risque d’être ridiculisé par certains, et pris tout à la fois très au sérieux par d’autres, les plus avisés évidemment, ceux qui sont plus au courant des faits, ceux qui sont capables d’aller au-delà des apparences.

Bernard, la question de cinq millions de dollars, à savoir : Et Jésus-Christ, à travers toutes ces expériences d’OVNIs, d’extraterrestres, on a très peur actuellement que les gens fassent une nouvelle religion, au lieu que ça soit une religion de spiritualité pure avec les anges puis l’invisible, que ça devienne une religion à base de scientifisme OVNI, extraterrestres, ça nous rejoint un peu plus aujourd’hui avec nous la science, les deux pieds sur la Terre. Mais Jésus Christ, pour un contacté ?

BDM : D’abord Jésus-Christ ou le Christ c’est un initié, et puis d’interpréter sa venue, son travail en tant qu’initié et en relation avec le phénomène OVNI, c’est pour le moment prématuré, parce que…

RG : On est allé très loin la semaine dernière, on a même parlé de l’étoile des bergers qui pouvait être autre chose qu’une étoile.

BDM : Oui, oui, mais en ce qui me concerne, je ne veux pas bouleverser les choses. Il y a des choses qui sont bonnes à dire, il y a des choses qui ne sont pas bonnes à dire, toute vérité n’est pas bonne à dire parce qu’il y a dans la population, des gens qui ont mené une vie pendant des années, il y a l’Église, il y a des ordres qui existent, des ordres qui sont même très nécessaires aujourd’hui parce que le monde est en chaos. Et il y a nos parents, les gens qui sont de caractère religieux qui vont à l’église, tout ça.

Ce n’est pas nécessaire de bouleverser ces personnes-là avec des connaissances qui sont à moitié claires. Ceux qui connaissent les aspects cachés du Nazaréen ne peuvent pas en parler, parce que les aspects cachés du Nazaréen sont des aspects qui doivent demeurer cachés et l’Homme connaîtra ces aspects-là lorsqu’il aura contact avec l’éthérique.

RG : On sait que Jésus-Christ est passé en Égypte lors de la fuite en Égypte. On sait que Jésus-Christ a eu une vie cachée pendant un certain temps. On sait qu’il est allé 40 jours dans un endroit désert.

BDM : Ce qu’on sait, ce qui est écrit, si c’est vérifié, qu’on s’en serve pour sa propre éducation. Moi, je ne veux pas en parler en public. Les raisons sont très simples, il ne s’agit pas de mélanger la religion avec les OVNIs, il s’agit de faire comprendre aux gens le phénomène OVNI. Alors, ma position, c’est de laisser la religion intacte au niveau public, au niveau diffusion publique. Il y a des gens qui peuvent s’occuper de ces questions-là, qui peuvent faire de la recherche ou quoi que ce soit, et de jeter de la lumière sur le phénomène OVNI.

Lorsque les gens auront par expérience établi des rapports de plus en plus précis, des rapports de plus en plus occultes, des rapports de plus en plus transcendantaux, ils feront eux-mêmes leur propre compréhension, mais je ne veux pas moi, servir de guide et de lumière dans cette direction.

RG : Bon.

BDM : Dans cette même veine de pensée, j’avertis surtout les gens qui s’occupent d’ésotérisme, qui vont dans ce qu’on appelle les “plans astraux”, les gens qui font des voyages, que l’univers est divisé en trois champs de force. Il y a ce qu’on appelle l’univers de l’esprit pur, il y a l’univers astral et il y a l’univers éthérique. Dans la condition présente de l’humanité, ce qui empêche le contact de l’univers le plus bas avec l’univers le plus haut, c’est la couche astrale. La couche astrale, elle est créée par l’émotionnalité, la subjectivité humaine, et elle est très dense présentement, même pour les gens qui peuvent aller dans ces mondes, ils le savent.

Maintenant il y a des intelligences qui se servent de ces énergies-là pour projeter dans notre espace-temps des “soucoupes volantes”, des OVNIs. Ces OVNIs ne sont pas réels. Ces OVNIs peuvent être photographiés mais ils ne sont pas réels, ce sont des projections mentales et ce sont ces entités, ces civilisations retardataires dont je parlais au début qui sèment de la confusion dans l’Esprit humain.

Et les Hommes connaîtront d’ici à la fin du siècle, un fait ; je dis les Hommes, je parle des gens qui sont un peu plus avisés, que nous sommes dans une période où il y a un combat pour la planète Terre et ce combat est au niveau de l’Esprit humain, et c’est un combat à mort, c’est un combat à la finale, c’est un combat pour la libération de l’Homme ou la subjugation totale de l’Homme. Il y aura des forces qui prendront contrôle, il y aura des forces qui ne pourront pas prendre contrôle !

Et ces gens-là sur lesquels ils ne pourront pas prendre contrôle, se forceront dans une direction et s’isoleront d’une façon totale, mais dans une dimension qui n’existe pas encore, qui existe mais à laquelle nous n’avons pas encore accès, ce que certains ésotéristes appellent la “sixième race”. Et le développement de la sixième race est déjà commencé et les gens qui font partie de cette nouvelle race, qui est une race supramentale, télépathique, à coefficient moléculaire très développé, pourra éventuellement vivre dans l’éthérique.

RG : Ce combat se joue entre qui et qui actuellement ?

BDM : Ce combat se joue entre les forces de différents astraux. Il y a plusieurs astraux : il y a l’astral Nord, il y a l’astral Sud, il y a l’astral Ouest et il y a l’astral Est. Ces différentes zones de temps astral sont contrôlées par des forces plus ou moins intelligentes. Les forces très intelligentes ne participent pas à l’astral, ils sont au-delà de l’astral. Mais il y a des forces plus ou moins intelligentes qui contrôlent, qui sont en combat constamment pour cet astral-là, et la planète Terre fait partie de l’astral Ouest, et l’astral Ouest présentement est en conflit constant. Et l’Homme, éventuellement, en subira les conséquences, parce que ce qui est produit dans l’astral au niveau émotivité humaine doit retomber éventuellement dans l’expérience de l’Homme. C’est pour ça que l’Homme doit souffrir avant le passage de l’autre côté.

D’ailleurs dans la “Révélation de Saint-Jean”, c’est mentionné. Ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour comprendre ou pour entendre, verront très bien que dans la “Révélation de Jean”… Parce que n’oubliez pas, hein, que les prophètes de l’ancien temps étaient des psychiques, c’était des gens de haute sensibilité, c’était des gens qui avaient contact avec des forces très évoluées, qui leur donnaient de l’information, mais naturellement ils écrivaient ça dans des termes, dans une symbologie de leur temps. Aujourd’hui, ça nous apparaît comme “quétaine” (de mauvais goût), mais c’est très précis, très précis !

RG : On pourrait parler du “Triangle des Bermudes”, ça peut être aussi en relation justement avec l’astral négatif…

BDM : “Le Triangle des Bermudes”, c’est un autre domaine encore dans l’expérience humaine qui est sujet au rire, malgré qu’il y a des gens qui prennent la situation très sérieuse, il y a eu des expériences qui ont été enregistrées mais encore là, l’Homme n’est pas prêt à accepter l’inévitable, l’Homme n’est pas prêt à accepter ou à comprendre ce qui est au-delà de son sens matériel.

On veut toujours amener ce qui est extrasensoriel à un contrôle psychologique, scientifique humain, c’est totalement ridicule parce que ça fait partie d’une autre dimension. L’astral, pour les gens qui le savent, ont un contrôle très net dans le Triangle des Bermudes. Le Triangle des Bermudes sera éventuellement un point de pénétration des forces astrales matérialisantes dans le monde occidental.

RG : Donc, négatif ?

BDM : Je ne vais pas employer le terme “négatif” dans cette condition ici, mais je vais dire qu’il y a des forces… Parce que le terme “négatif” pour moi n’a pas la même signification ; négatif-positif, ce sont des rapports de force, parce que le négatif, il existe réellement dans l’Homme, comme le positif existe dans l’Homme.

RG : Pour qu’il y ait du courant, il faut qu’il y ait les deux pôles, du positif et du négatif.

BDM : Voila, c’est juste, mais l’Homme crée plus de négatif que de positif. L’Homme, à cause de ses émotions, crée beaucoup plus de conditions impropres à son évolution que de conditions propres à son évolution. Mais pour retourner au Triangle des Bermudes, il y a des forces qui ont l’intention de retarder l’évolution humaine et c’est par le biais du Triangle des Bermudes que ces forces se feront connaître et se feront sentir, et ces forces-là sont très puissantes. Il y en a une en particulier qui est concentrée dans la région de Pluton, et c’est inutile de brancher le télescope sur Pluton ou de brancher le télescope sur Vénus pour voir s’il y a des extraterrestres parce qu’on ne voit rien, ils sont dans une autre dimension.

Mais ces forces-là ont un pouvoir énorme et le Triangle des Bermudes est pour eux un centre de pénétration dans notre atmosphère. Lorsque des extraterrestres commettent des actes de désinvolture, lorsque des extraterrestres tuent des animaux pour des fins d’expérience, ce ne sont pas des êtres qui méritent le respect de l’Homme. Et ce sont des êtres qui, éventuellement, devront être combattus, d’ailleurs il y aura un conflit entre la planète Terre et les centres secrets de son évolution, et des extraterrestres, d’ici à deux-cents ans.

Alors ce n’est pas parce qu’on parle d’extraterrestres que ce sont des dieux. Alors les gens qui parlent d’extraterrestres comme si c’était des dieux, sont les premières personnes qui vont se foutre les doigts dans l’œil, et je le dis à tout le monde, je le dis surtout aux ésotéristes qui ne sont pas assez conscients de leur propre réalité. Si l’Homme se connaît lui-même, il peut connaître les autres, les autres Hommes et les extraterrestres.

RG : Passons maintenant au plan des Anges et des Archanges. On sait que les Anges sont des êtres qui sont apparus autrefois, je pense que depuis fort longtemps les Anges n’apparaissent plus et ils étaient tout le temps entourés de lumière, porteurs d’informations de Dieu ou du Très Haut et ils étaient des fois seuls, des fois accompagnés de deux ou trois personnes.

On a retenu le nom de certains de ces Anges, on a aussi appris qu’il y a une hiérarchie chez les Anges, les Archanges, les Séraphins, les Chérubins, il y a des Anges ordinaires, les Anges gardiens, Bernard, est-ce qu’il y a encore là une relation, ce sont quand même des mondes invisibles ?

BDM : Oui. Les Anges, ce qu’on appelle des “Anges”, ce sont des champs d’intelligence parfaite et ces champs d’intelligence peuvent contrôler à volonté la matière, c’est-à-dire qu’ils peuvent créer à volonté l’ectoplasme dont ils ont besoin s’ils veulent se matérialiser. Mais je vais dire une chose, lorsque les Anges se matérialisent, c’est dans des conditions absolument extraordinaires, très extraordinaires, et en général, quand ils se matérialisent, seulement les initiés les voient. Maintenant, il y a des forces astrales qui se font passer pour des Anges et qui se sont matérialisées dans l’expérience humaine et qui ne sont pas des Anges.

C’est très simple ! L’Homme… Qu’est-ce que l’Homme connaît ? L’Homme connaît son expérience et l’expérience extrasensorielle. Il ne connaît pas les lois de ces mondes. Alors, si un personnage se manifeste chez lui dans un œuf de lumière, pour lui, c’est un Ange. Si le personnage dit : “Je suis l’Archange telle ou telle chose”, pour lui, c’est un Archange. Mais dans le fond, ce n’est pas un Archange, c’est un imposteur !

RG : Comment peut-on distinguer la différence entre les vrais des faux ?

BDM : On le sait soi-même et c’est tout ! C’est là la situation où l’Homme en est rendu. L’Homme en est rendu à un point où s’il n’a pas lui-même en lui la clairvoyance assez forte pour ne pas se faire mentir, il se fera mentir. Parce que qu’un Homme truque un autre Homme, ça c’est normal, mais quand l’Homme entre en contact avec des intelligences qui sont d’une autre dimension, il n’a plus de chance. La seule chance qu’il a, c’est son être intérieur, la sensibilité intérieure, ça, ça ne ment pas. Et à ce moment-là, il n’est pas influençable. Mais s’il n’a pas cette sensibilité-là, il peut être en danger d’influence.

RG : On sait que dans la plupart des anciennes mythologies grecques, persanes, hindouistes, l’Homme est souvent confronté à des épreuves extrasensorielles et il doit toujours les surmonter par lui-même.

BDM : Toujours, toujours. Moi j’ai déjà dit à ma femme : “Si jamais tu me dis que tu as vu une soucoupe volante, je ne te crois pas” !

RG : Pourtant, il y a des gens qui en voient.

BDM : Oui oui, mais le point c’est de toujours comprendre qu’on ne doit pas être influencé de l’extérieur, et ça c’est un point qui sera mis de plus en plus en vue, en valeur au fur et à mesure que les années viennent. On a eu une expérience malheureuse dernièrement en Amérique du Sud, de gens qui se laissent influencer. L’Homme doit être totalement… Si vous, vous sentez quelque chose, si vous êtes sur la même longueur d’onde que moi, je le serai et vous le serez et on peut travailler ensemble. Mais si moi je vous impose, je vous influence, à ce moment-là vous êtes en danger de perdre votre propre identité. Et plus l’individu est puissant, plus vous êtes en danger de perdre votre identité.

RG : Donc, il est très bon qu’il y ait des gens qui soient en désaccord avec d’autres.

BDM : C’est très bon que des gens soient en désaccord avec d’autres, parce que tous les gens ont en eux la capacité de connaître. Et quand un Homme est arrivé à un certain niveau d’intégration entre son moi et le moi supérieur, il n’a plus besoin d’écoles, de groupes, d’associations. Il peut travailler, il peut avoir des relations avec les gens mais il est totalement autonome. Moi, ça ne me fait rien de rencontrer des gens qui appartiennent aux Rose-Croix, qui appartiennent aux Diamants Verts, qui appartiennent à différentes sociétés ou organisations, ça ne me fait rien, mais je n’entrerai jamais dans des organisations.

RG : Oui, vous n’êtes pas d’ailleurs comme…

BDM : Ce n’est pas nécessaire parce que l’Homme a en lui la capacité de connaître et c’est pour ça que je parlais de psychologie, ce qui manque le plus à l’humanité aujourd’hui, c’est la psychologie et à la fin du siècle, lorsque les barrières seront rompues et que le seuil sera dépassé, à ce moment-là l’Homme connaîtra et il n’y aura plus d’organisation, il n’y aura plus de société.

L’Homme sera en relation avec d’autres Hommes, il y aura des hiérarchies de vibration, de connaissance, c’est évident qu’il y a des Hommes qui ont une sensibilité plus développée que d’autres, ça c’est normal, mais ça ne fait pas de ces Hommes, des dieux. Ce n’est pas parce que moi je parle d’une certaine façon que vous, vous devez m’écouter pour ce que je dis. L’Homme doit se réaliser sur le même plan d’évolution que d’autres Hommes. On est tous en évolution. On a tous sur le plan de l’âme, la même valeur.

Sur les autres plans, on travaille de la même façon qu’on travaille ici, mais ici, en général, on fait des gaffes, on se prend pour un autre. Il y a beaucoup de gens que j’aimerais rencontrer, il y a beaucoup de gens qui ont des choses intéressantes à dire, mais parce qu’ils se prennent pour des évangélistes ou des gens qui ont quelque chose de spécial, je ne veux pas les rencontrer. D’abord je sais, je connais par mon contact ce qu’ils font.

Je sais si ce qu’ils font est bon, parce que je n’ai pas besoin d’eux pour me dire qu’ils sont bons, ou qu’ils sont faux, ou qu’ils sont vrais. Alors s’ils sont vrais, à ce moment-là, j’aimerais les rencontrer mais je dois attendre souvent quatre ans, cinq ans, six ans, sept ans avant de rencontrer ces gens-là. Lorsqu’ils sont arrivés à un certain niveau de maturité, d’équilibre, de calme, là, on se rencontre et c’est comme si on s’était toujours connus.

RG : Il y a une forme de contact que j’aimerais qu’on aborde ensemble, c’est le cas de Uri Geller qui reçoit des messages des extraterrestres qui s’impriment automatiquement sur des bandes magnétos, de magnétophones, et qui sont adressés à des chefs d’État ou des scientifiques. Uri Geller donc a des contacts encore mais ces contacts se font avec qui ? Et je sais que vous êtes en relation avec…

BDM : Oui, c’est pour ça que je ne veux pas pour le moment parler de Uri Geller parce que… À cause des relations qui existent entre nous et d’autres personnes. Pour le moment, c’est mieux de garder la situation sous couvert, mais plus tard j’en parlerai.

RG : Oui, mais vous savez qu’actuellement vous frustrez beaucoup de gens, de dire souvent “pour le moment, il ne faut pas parler de”. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi il y a tant de choses sur lesquelles il ne faudrait pas parler ?

BDM : Frustrer les gens pour moi, ça n’existe pas. Si les gens sont sages, s’ils sont sensibles… D’abord, dans toute situation, dans toute situation concernant l’insolite, c’est très bon d’être très patient, parce que je dis à tout le monde qu’il n’y a rien à comprendre. Tout est su ! Alors, ce dont les gens ont besoin, ce n’est pas de l’information de moi, ce qu’ils ont besoin de comprendre, ce sont les principes de base qui mènent au développement de leur force intérieure pour en arriver éventuellement à pouvoir entrer en communication vibratoire ou télépathique avec d’autres niveaux.

Ce n’est pas parce que je donne de l’information, je pourrais baver au téléphone pendant un an, ce n’est pas ça qui va donner aux gens de la connaissance. La connaissance, ça ne se donne pas, on l’a en soi. De l’information, ça se donne mais ce n’est pas de la connaissance, de l’information. De la connaissance, c’est en soi, chacun l’a en lui-même. Il s’agit que ça monte, qu’on le sente, et c’est plus important que je donne les principes pour arriver à ça, au développement intérieur des individus que leur donner de l’information. Voilà !

RG : Et on a devant soi aujourd’hui, une personne de ce monde insolite qui a eu un contact en 1969 et qui depuis a rencontré des Hommes de science, et maintenant pour la première fois à la radio, fait connaître ces informations comme dit-il lui-même, il ne s’agit pas d’entrer dans des connaissances puisqu’on l’a en dedans de chacun de soi.

Mais l’information nous aide peut-être à établir des contacts, des communications, des réseaux, et toutes ces personnes qui nous écoutent actuellement Bernard, s’interrogent certainement à savoir : Est-ce que ça vous donne quelque chose aujourd’hui ou vous continuez à vivre comme tout le monde, vous travaillez etc., mais sur un autre plan, sur une autre dimension, avez-vous un rôle ?

BdM : Je fais un travail que je connais, et d’ailleurs, je connais mon avenir. Et le travail que je fais, je le fais d’une façon parfaite, c’est-à-dire que je le fais d’une façon totalement dirigée. Je ne peux pas devancer le temps. Je ne peux pas aller trop vite. Je fonctionne psychologiquement en relation avec des vibrations qui ne sont pas psychologiques, je ne fais pas ce travail d’une façon psychologique, je le fais d’une façon totalement mécano-créative. Ils contrôlent mon cerveau et je fais mon travail en tant que personnalité. La dimension du travail, la qualité du travail, elle est connue. Je sais ce que mon travail fait sur le plan vibratoire et je sais combien de temps je dois le faire, mais de là à donner à mon travail une qualité quelconque, ce n’est pas nécessaire.

RG : Des gens qui auraient peut-être peur de dire : Oui mais peut-être que ce type-là est en relation avec des mondes invisibles, d’accord, mais peut-être des mondes invisibles négatifs ou dangereux ou maléfiques ?

BDM : C’est une très bonne question. Un type qui rencontre, disons, une autre personne comme moi-même, doit faire une chose au début, c’est ne pas la croire, parce que si on croit une personne, automatiquement, on devient esclave de cette personne-là, à un niveau quelconque. On peut écouter une personne. Alors la différence entre croire une personne et écouter une personne, c’est comme blanc et noir.

Un type comme moi qui fonctionne sur un plan de vibration différent de la normale humaine, de la psychologie humaine, peut facilement travestir la réalité. C’est très facile de servir de cobaye à des forces que souvent on ne comprend pas. Le type qui me rencontre ne sait pas ça, le type qui me rencontre ne connaît pas le processus par lequel moi, je suis passé pour être sûr de moi-même. Moi, je suis bien dans ma peau mais lui ne sait pas, ne connaît pas les conditions de la qualité de ma réception et de ma communication.

Alors la première chose qu’il doit faire c’est d’écouter, si c’est intéressant ça va, si c’est banal ça va, mais de ne jamais croire. Il ne faut pas croire des gens comme nous. Il ne faut pas croire les gens qui ont des contacts avec les plans suprasensibles. Il faut les écouter et les accepter si on se sent bien avec eux et les foutre à la porte si on se sent mal, et ça, c’est important. Ça, c’est plus important que toute l’information que je peux donner sur le Triangle des Bermudes, parce que c’est là que ça se joue.

Il y a des gens qui sont assez sensibles en dedans pour sentir qu’un personnage est bon, il est consistant, il est bon, ça va, on est à l’aise. C’est vibratoire, il y a une sympathie. Mais dès qu’un type commence à s’interposer, à établir une autorité selon un autre individu, quel que soit le niveau de sa connaissance, là, ces gens-là sont en danger. Et on est dans le temps là où ça se produit et où ça va se produire encore plus.

RG : Oui, il y a beaucoup de faux prophètes ou de vrais prophètes qui prévoient que pour d’ici la fin du vingtième siècle, que ça soit des guerres…

BDM : Les vrais prophètes, les faux prophètes, ça revient justement à ce que je dis, autrement dit les prophètes ou les psychiques ou les gens qui vont à la télé, parce qu’on a de la télévision, les gens qui sont connus dans le monde font quelque chose, mais souvent ces gens-là ne savent pas ce à quoi ils ont affaire sur les autres plans, parce que… Je vous donne un exemple. Vous prenez Adolf Hitler. Hitler il avait des bonnes intentions au début, mais quand il a commencé à mélanger sa politique avec de l’ésotérisme, de l’occultisme, il s’est mis en communication vibratoire avec les forces de l’astral, et éventuellement elles ont pris contrôle, et éventuellement elles ont mené l’Allemagne où l’Allemagne est venue.

Et beaucoup d’Allemands en Allemagne durant ce temps-là ne voyaient pas ça, il y a même un grand psychologue qui a fait partie du mouvement nazi en Allemagne. Pourquoi ? Parce qu’ils ont cru, on ne peut pas se permettre de croire. Et dans le temps qui vient, on ne peut pas se permettre de croire, même les extraterrestres, parce que ce sont des gens qui peuvent foutre la patte en l’air le plus vite possible. Et je mets la population en garde contre ça, surtout les gens sensibles, les gens qui sont voyants, les gens qui se promènent dans l’astral, et tout ça. Il faut une intégration de la personnalité. Il faut être sûr de soi-même.

RG : Les deux pieds sur terre.

BDM : Les deux pieds sur terre. Je comprends qu’il y a des gens qui prennent des fuites vers les mondes spirituels. Ça, c’est normal parce que quand on commence à être touché, on devient spirituel, on veut faire du bon, on veut aider l’humanité. Mais éventuellement, on doit redescendre et prendre racine dans la terre et garder la tête où elle est pour qu’il y ait une balance, et à ce moment-là, on peut faire un travail qui est normal, qui est sympathisant et qui ne chambranle pas les choses, pour rien.

RG : Maintenant le rôle des individus, je pense que maintenant, on le saisit très bien, le rôle du Québec en tant que groupe ?

BDM : Le Québec dans la destinée des nations a une place particulière qui est cachée encore, elle ne peut pas être dévoilée, cette place, parce qu’elle affecte toute la vie du Québécois, toute la vie des Québécois, mais… Et en plus de ça, ce n’est pas tout de suite, il y a tous les conflits mondiaux, il y a aussi le contact entre notre planète et des civilisations avancées, alors il y a beaucoup de choses concernant le Québec, mais pour donner un appui qui a déjà été mentionné avant par d’autres personnes, le Québec a une importance capitale dans l’évolution de la sixième race de l’Homme.

RG : Quasi exclusif au Québec ou ailleurs dans le monde ?

BDM : Non, parce que c’est mondial.

RG : C’est mondial.

BDM : Oui, seulement qu’il y a un centre d’énergie à Québec qui est dans l’éthérique d’ailleurs, qui est vu et qui est connu par des gens qui peuvent aller dans l’éthérique et ce centre d’énergie là est directement en relation avec deux autres points sur la planète Terre dans l’éthérique où sont établis les laboratoires scientifiques de la sixième race.

RG : Et ces deux autres points, est-ce qu’on peut les connaître ?

BDM : Oui, on peut les connaître ces points-là si on a la vibration. Il faut pouvoir pénétrer dans cette dimension vibratoire là pour voir les laboratoires, parce que les laboratoires sont dans le sous-sol de la Terre.

RG : À l’intérieur de la Terre, l’Agartha?

BDM : Ils sont… je ne veux pas dire si c’est l’Agartha. Je veux dire qu’ils sont à l’intérieur de la Terre, parce qu’il y a Shambhala, il y a Agartha, ce sont des concepts hindous qui ont été amenés dans le monde occidental et il y a des rapports de personnalités cosmiques entre ces points de civilisations cachées et un cercle auquel j’appartiens et c’est pour ça que je ne veux pas parler de ce cas. Mais les laboratoires de la sixième race sont dans l’invisible et sont imprenables, ils sont intouchables, et les gens qui vont et qui iront dans ces laboratoires-là, iront par le biais du corps éthérique, comme les extraterrestres se promènent d’une dimension à l’autre.

RG : On a l’air de faire petit, nous, sur la surface de cette Terre, il se passe beaucoup de choses en dehors de nos perceptions.

BDM : La planète Terre présentement est dans un état de mort, et elle sera éventuellement revitalisée, mais la planète Terre, présentement, meurt, sur tous les plans. Et l’Homme n’a plus la conscience créative et la volonté créative et le pouvoir créatif de lui redonner la vie. La conscience doit être totalement altérée, d’ailleurs l’astral de la planète Terre sera détruit lorsque le nouveau cycle commencera. C’est pour ça d’ailleurs que les gens pourront voir directement avec leurs yeux dans l’éthérique. Mais pour que ça soit fait, l’astral de la planète doit être détruit.

RG : Il y a des gens qui nous disent qu’on entre bientôt dans l’anneau d’Alcyone.

BDM : L’anneau d’Alcyone, c’est une dimension de temps qui est équivalent en longueur d’onde à quatre fois notre capacité mentale actuelle. Et la raison pour laquelle nous appelons ça un anneau, c’est parce que “The ring” est un symbole ésotérique, c’est un symbole cosmique qui ouvre et qui ferme la destinée d’une personne ou d’un cercle, ou d’une race, ou d’une nation. Alors si vous voulez que je continue un peu à être libre comme ça, parce qu’il vient un point où on n’a plus de question…

RG : J’ai comme l’impression qu’on a fait passablement le tour…

BDM : Justement, c’est très bien parce que si jamais je reviens, on pourra prendre des petites sections et aller de plus en plus en profondeur, parce que le terrain est très vaste… Mais il y a sept points que je veux mettre au clair aujourd’hui. Le premier point, c’est que l’Homme de la rue, l’Homme qui s’intéresse à la recherche, qui veut se trouver, qui s’intéresse à l’ésotérisme a besoin d’une chose : c’est la patience, qu’il soit patient.

Deuxièmement, s’il sent en lui des vibrations, s’il sent qu’il a des pouvoir même pour aller dans l’astral ou des choses comme ça, qu’il soit humble. L’humilité, parce que j’ai remarqué une chose chez les gens que l’on considère comme des gens évolués, c’est que leur plus grand défaut, c’est l’orgueil spirituel. Et l’orgueil spirituel, ça colle et ça ne décolle pas tant qu’on ne comprend pas l’illusion de ça, parce qu’un Homme ne peut pas avoir la connaissance s’il a de l’orgueil parce qu’il capote, parce que la connaissance n’appartient pas à l’Homme, elle est là, l’Homme la reçoit comme une radio.

La radio ne commence pas à sourire quand la connaissance passe à travers, il la transmet. L’Homme c’est la même chose, et lorsque la connaissance passe, il est content parce que c’est une bonne vibration. Mais la connaissance elle est là. Ce qui va se faire dans deux-mille ans c’est déjà connu, alors si ça passe à travers le tuyau, il ne s’agit pas que le tuyau fonde.

La troisième chose, c’est que les gens qui sont occultes ou qui sont “occultifiés”, ou qui s’intéressent à l’ésotérisme, qui s’intéressent à toutes ces choses du paranormal, doivent réaliser une chose, que ce qui est important, ce sont eux, c’est leur sensibilité intérieure, qu’ils puissent sentir intérieurement leur moi, le Grand moi, le penseur derrière le penseur et qu’ils suivent, qu’ils développent l’intuition pour en arriver éventuellement peut-être à avoir un contact direct télépathique. Parce qu’une fois qu’ils ont ça, ils ont le courant d’or, ils ne peuvent pas faire d’erreurs.

Alors qu’ils soient influencés, qu’ils rencontrent n’importe qui, n’importe où, dans n’importe quelle dimension, ils n’auront jamais crainte, parce qu’un Homme qui a la crainte, il est dans l’ego. Un Homme qui est dans l’ego ne peut pas voir la lumière, il crève.

La quatrième chose, c’est que ceux qui sont dans les organisations ufologiques, les gens qui ne sont pas nécessairement spirituels mais qui s’intéressent à ces choses-là parce que ça fait partie de leur imagination, ça fait partie du fantastique, devraient apprendre une chose : c’est de laisser parler avec confiance ceux qui ont eu des expériences. Parce qu’il ne faut pas s’imaginer qu’un type qui vit dans les bas-fonds de l’Amazone ou qui vit dans les bas-fonds de Tokyo, a un intérêt particulier d’entrer en contact avec des journalistes pour leur dire qu’il a vu une “soucoupe volante”. C’est une expérience qui lui est tombée sur la tête, du ciel, comme on dit. Lui, il raconte les faits.

Alors ces gens-là, les gens qui font partie de ces organisations-là, devraient développer un peu plus de consanguinité humaine, de sentiment d’empathie, pas à se laisser embarquer dans des histoires, mais à sentir, à développer le sentiment pour faciliter la communication des échanges, et qu’ils se parlent entre eux, qu’ils parlent d’une relation d’une organisation à une autre organisation.

D’ailleurs, ce qui manque présentement dans le monde, c’est qu’il y a des gens qui savent mais ils sont incapables de communiquer ce qu’ils savent à l’extérieur. Il y a des branches, il y a des courants, il y a des circuits fermés. Un aspect de mon travail, c’est d’ouvrir des courants. Moi si je veux parler éventuellement au président d’un pays, je devrais être capable d’en arriver à prendre le téléphone et l’appeler pour des raisons sérieuses.

Alors quand les Hommes pourront travailler à ce niveau-là, qu’il y aura assez de confiance entre eux, pour qu’un général puisse parler à un journaliste, pour qu’un journaliste puisse parler à un fonctionnaire d’état, quand les gens pourront se parler parce qu’ils auront un ego qui sera un peu plus élastique, qu’ils seront plus humains, il y aura beaucoup de communication sur la planète, et à ce moment-là, les choses iront plus vite.

Mais je vous dis ça parce que j’explique le problème de l’Homme, qui est un problème de communication. Et ensuite il y a une station à Montréal, cette station c’est CKVL qui rend des services au niveau de la population, et la population devrait apprécier les services que rend cette station-là, et lorsqu’il y a une situation où on a une expérience insolite au niveau des OVNIs, on devrait la communiquer à cette station. Les gens ne devraient pas se gêner, et ceux qui sont responsables pour les études, les observations, pourront à partir de cette station, faire de la recherche.

Il faut concentrer les communications. Il faut que les gens aient un point de centralisation, ils ne savent pas où aller, ils ne savent pas où mettre la tête, et ce n’est pas toujours à la Police qu’il faut communiquer ces informations parce que souvent la Police n’est pas équipée pour transmettre l’information aux réseaux d’information. Ils sont occupés, ils ont d’autres choses à faire. Souvent, si ça tombe sur un policier qui n’a pas de sentiment pour ces choses-là, il va prendre le rapport mais ce n’est pas le même intérêt. Il faut le côté intérêt.

RG : Oui, allo !

Une personne au téléphone : Oui Monsieur Glenn ?

RG : Oui !

Interlocutrice : Bon, moi c’est parce que quand Monsieur Bernard a parlé, il a dit qu’il n’avait pas le contrôle de son cerveau.

RG : Oui exact. Il n’a pas le contrôle… Il a le contrôle de son cerveau, mais ses pensées lui viennent automatiquement.

Interlocutrice : Oui, alors moi j’appellerais ça plutôt “être un robot”, c’est de la possession tout simplement, parce que voyez-vous, quand on n’a plus notre libre arbitre, c’est la grande déception de la fin des temps.

RG : Si vous saviez que quand vous dites ça, vous avez probablement fort raison. Le seul danger qu’il y a dans votre interprétation, de dire que c’est comme un robot, c’est de croire que parce qu’il est comme un robot, c’est mauvais.

Interlocutrice : Ah ! Oui, c’est mauvais parce que, ce que ces êtres peuvent faire (inaudible)… sur l’animal (inaudible)… Ce serait faire exactement ce que ces forces sur l’Homme pourraient faire… Puis d’ailleurs, quand il a dit qu’il rentrait en contact avec d’autres êtres, que lui, il resterait bien, seulement les autres être pourraient… (inaudible)… Puisque les autres ont la télépathie, ils pourraient savoir exactement tout de suite qu’est-ce qu’il pense…

RG : Oui, il voulait dire par là qu’il y aura des êtres humains qui ne pourront pas franchir l’étape de cette nouvelle façon de penser, de cette nouvelle vibration qui va animer les êtres sur la Terre, et cette vibration, elle porte un nom qu’on connaît déjà qui s’appelle “l’amour” et le phénomène d’amour va faire que, comme il disait lui-même, un général va communiquer avec un journaliste, un journaliste va communiquer avec un ministre, il n’y aura pas de problème.

J’aimerais faire une parenthèse juste avant que Bernard prenne la parole pour terminer l’émission, Bernard n’est pas un grand prêtre, et puis derrière lui il n’y a absolument personne qui suit les pas de Bernard dans une secte ou dans un groupement, au contraire.

Bernard travaille dans son rôle, seul, avec toute son identité, toute sa personnalité, et son travail il nous l’a expliqué tantôt, c’est de faire entrouvrir des contacts et des communications dans des réseaux politiques, scientifiques et militaires. Alors je vais demander à Bernard de clore l’émission immédiatement. Bernard, si tu as une minute, à peine.

BDM : Je vais répondre à cette dame qui demande une question très intéressante…

RG : On a une minute, Bernard…

BDM : Alors c’est un problème de fusion, Madame, lorsque l’âme est en fusion avec l’ajusteur de pensée, il se produit une relation étroite, unitaire, dans laquelle la personnalité sert un rôle, un rôle qui est occulte ou cosmique, on peut appeler ça comme on veut, mais c’est une… Vous avez raison, c’est une forme de possession. Mais c’est une possession spirituelle et non une possession astrale. Le terme “possession” implique un lien très très étroit entre un Esprit évolué et une personnalité humaine. Dans le cas personnel ici, c’est une fusion et comme référence, vous pouvez peut-être regarder les livres d’Alice Bailey, on en parle dedans.

RG : Il y a même des religions qui en ont fait de grands saints, de ceux qui ont été possédés de l’Esprit, du Grand Esprit.

BDM : C’est ça.

mise à jour le 25/08/2024

Retour en haut