Les pouvoirs de la magie-sienne

Extrait de la conférence audio RG-50c « Bilan ésotérique, troisième partie »

Vidéo 28 – 16:26

« Sur le plan politique, je suis totalement d’accord, sur le plan individuel, c’est une autre paire de manches. Il y a une différence entre un individu dans son Intelligence individualisée qui a découvert son identité et un individu qui fait partie d’une conscience amorphe, qui pense les pensées de tout le monde. Donc ce que fait l’ordre social vis-à-vis de cette problématique, je suis totalement d’accord. » BdM

En Français vous lisez la transcription manuelle de la vidéo short de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.

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Bernard de Montréal (BdM) : (…) Sur le plan politique, je suis totalement d’accord, sur le plan individuel, c’est une autre paire de manches. Il y a une différence entre un individu dans son Intelligence individualisée qui a découvert son identité et un individu qui fait partie d’une conscience amorphe, qui pense les pensées de tout le monde. Donc ce que fait l’ordre social vis-à-vis de cette problématique, je suis totalement d’accord.

Je suis totalement d’accord avec le Vatican qui dit : “Il ne doit pas y avoir d’avortement” parce que si le Vatican donnait, sanctionnait demain matin l’avortement, vous trouveriez des bébés dans les pays sous-développés, dans les poubelles. Donc il y a de l’Intelligence créative derrière ceci. Dans le cas de l’euthanasie, c’est la même chose. Il y aurait des gens qui se feraient tuer pour qu’il y ait une ristourne financière quelque part.

Mais le problème philosophique de l’euthanasie, de l’avortement, il continue quand même à mijoter dans l’Esprit de l’Homme, dans l’Esprit des gens. Et c’est avec le temps, au fur et à mesure que l’Homme deviendra plus conscient, que la science sera de plus en plus adaptée et que la conscience de l’Homme sera de plus en plus grande, que ce problème-là disparaîtra comme le problème de l’avortement disparaîtra.

C’est un problème de conscience, c’est un problème d’involution, c’est un problème de relation entre l’involution et l’évolution… Et moi, je suis absolument sans secours dans cette situation-là, je ne peux pas donner d’opinion, je peux faire des opinions personnelles, dans un cadre personnel. Mais je ne peux jamais faire d’opinion publique parce que ça ne me regarde pas comment les Hommes traitent de leurs problèmes. Comment les Hommes traitent de leurs problèmes, ça fait partie de leur conscience expérimentale, ça fait partie de leur expérience.

Richard Glenn (RG) : On parle d’un autre cas…

BdM : Je pourrais parler à un homme individuellement, je pourrais parler à un chirurgien, je pourrais parler à un médecin et je pourrais lui faire voir, lui faire comprendre certaines choses. Je pourrais établir des liens de communication télépathique avec lui avec un autre plan, pour qu’il comprenne certaines choses. Mais à ce moment-là, le problème qu’il aurait eu auparavant disparaîtrait, mais automatiquement, il ne pourrait plus professer dans le même cadre de l’entendement ou de la convention sociale qui faisait partie de sa relation auparavant, donc il serait mis probablement en dehors des structures qui existent, mais étant dans son Intelligence, autrement dit ayant compris quelque chose d’autre, il serait prêt à le faire.

RG : Voulez-vous dire que quelqu’un qui atteint un autre niveau de conscience risque gros d’être banni de la société par certains aspects, qui ne sont pas reconnus par la masse des inconscients ?

BdM : Quelqu’un qui est dans sa conscience intégrale ne peut pas travailler à l’intérieur d’une structure sociale. C’est impossible.

RG : Vous pouvez répéter ça, s’il vous plaît ?

BdM : Une personne qui est dans sa conscience intégrale, ne peut pas travailler à l’intérieur d’une structure sociale. Il ne peut pas s’assujettir à la convention psychologique de l’humanité. Il devient lui-même un centre d’énergie qui travaille selon une programmation différente, occulte, à vaste échelle, mais toujours retiré de la structure sociale, jusqu’à tant que la structure sociale soit totalement changée, altérée. Et là, il peut la réintégrer, s’il le désire.

RG : Le travail se fait. Qui dit travail, dit contrat. Au début et à l’origine du travail public de Bernard, y a-t-il eu contrat, et avec qui ?

BdM : Oui, il y a contrat, il y a contrat dans un sens très occulte, il y a contrat dans un sens de très grande souffrance personnelle. Pour vivre de ce que j’appelle l’Intelligence créative, pour vivre de cette communication instantanée avec des Plans d’Intelligence qui, pour l’Homme, sont très “étheréels”, ce n’est pas facile, parce que l’Homme est conditionné à sa vie et l’Homme voit sa vie, et vit sa vie selon un mode qu’il connaît depuis très longtemps.

Et lorsque ce mode est altéré, qu’il est fracassé d’une façon très rapide, dans un instantané, et que son Intelligence change, que son Intelligence au lieu d’être subjective, psychologique, égocentrique, devient pré-personnelle, objective et sans attachement émotif, il est évident que l’Homme doit vivre cette souffrance, ce contrat d’une façon qui lui est particulière, c’est-à-dire d’une façon qui convient à son expérience. Et s’il essaie de traiter avec cette expérience, pour un public au large, s’il essaie de faire comprendre cette expérience à des Hommes qui ne la connaissent pas, il est évident qu’il peut leur apparaître, à travers le verbe comme vous dites, différent, drôle, incompréhensible ou même contradictoire.

Ce qui permet à l’Homme de vivre ce contrat, c’est-à-dire cette fusion, c’est-à-dire cette relation étroite entre l’énergie créative et son mental, c’est une capacité de résistance énorme à la désintégration psychologique de son être ; autrement dit, un refus total et absolu de casser sous la pression de l’énergie. Et s’il ne casse pas sous la pression de l’énergie, il peut la canaliser et ensuite, l’Homme, avec le temps, en bénéficie.

RG : Vous savez, il y a des gens qui pensent ou qui oseraient penser que vous êtes fou ou d’une douce folie qui fait pas mal à personne, mais il y a des gens qui écoutent Bernard de Montréal, soit sur des cassettes ou en séminaires ou en conférences et qui, comme on dit en québecois, capotent. Alors est-ce que la relation à faire entre l’énergie qui a frappé Bernard il y a de ça plusieurs années, c’est cette même énergie qui passe à travers le verbe de Bernard, y a-t-il à ce niveau-là, une mise en garde à faire vis-à-vis des gens qui écouteraient, transcriraient sous dactylo les conférences de Bernard ?

BdM : Oui. Il faut que les gens reconnaissent ou réalisent que le mot parlé consciemment devient une expression du pouvoir de l’énergie. Et lorsque ce mot est impressionné dans le mental de l’Homme, si ce dernier se rattache trop à la forme, s’il croit trop, s’il s’imbibe trop de la forme, s’il prend trop au sérieux les paroles, il oublie l’origine des paroles. Donc il oublie le contact entre sa propre Intelligence et sa propre énergie, et il ne vit que de la forme psychologique qu’impose la forme sur son mental.

Et c’est à ce moment-là, s’il l’être est moindrement déséquilibré, qu’il peut augmenter ce déséquilibre. C’est pour ça, je dis depuis très longtemps, il ne faut pas prendre sérieusement un Homme comme moi, il ne faut pas croire ! Il faut écouter, voir, essayer de saisir, réécouter, et réécouter, et réécouter, et apprendre à percevoir ce qui est caché derrière la forme. Et si nous apprenons à percevoir ce qui est caché derrière la forme, nous ne sommes plus sujets à la qualité très très inférieure de la forme, et nous ne vivons que de la vibration de son énergie. Et à ce moment-là, nous comprenons très rapidement ce qui ne se comprend pas par l’intellect.

Donc à ce moment-là, il nous est facile de ne pas, comme vous dites, souffrir dans le mental ou d’être mené à l’aliénation. Ce qui mène l’Homme à l’aliénation, c’est qu’il n’est pas habitué psychologiquement à traiter avec des termes qui sont parapsychologiques. Donc automatiquement, sa psychologie est affectée par le parapsychologique parce que dans le parapsychologique, il y a une paralogique et la paralogique, c’est la nature même de l’Intelligence.

La paralogique définit la nature même de l’Intelligence en fonction d’elle-même et non jamais en fonction de la logique humaine. La logique humaine est simplement une organisation cérébrale, mécanique de la mémoire et n’a rien à faire avec la nature de l’Intelligence, elle est assise sur la constatation des faits mentalement perçus, mentalement organisés par la mémoire, en fonction du symbolisme accumulé dans l’Homme.

Mais dans le domaine du paralogique, il n’y a plus de frontière, il n’y a plus d’espace psychologique, il n’y a plus d’émotion. Il n’y a simplement qu’une créativité sans cesse et reconnaissable seulement par la dimension supramentale de l’Homme, et jamais reconnaissable par la dimension inférieure, mentale, cartésienne de l’Homme. Donc c’est à ce moment-là que l’Homme commence à dépasser le cartésien, le logique, pour entrer dans le paralogique et ne plus être affecté par l’émotion dans son Intelligence, et ne plus subir la possibilité de l’aliénation ou de la détérioration émotionnelle.

RG : D’autres problèmes sociaux comme l’avortement et les autres, mais est-ce que je fais une erreur de jugement en trouvant l’exemple suivant : c’est comme si avec Bernard de Montréal, quand on vous écoute parler, on est des êtres humains qui regardons des fourmis en bas et des fourmis qui posent des questions.

Et nous on se dit : Bon, hein, qu’ils règlent leurs petits problèmes en bas et ça ne changera pas la face du monde, de toute façon ! Ce que je veux en venir à dire, c’est, avec la perception supramentale que vous avez, Bernard de Montréal, on se demande si des fois, l’être humain ne se cogne pas le nez volontairement sur des murs invisibles, s’il cherche pas des “bibittes” (bestioles) ou des problèmes là où il n’y en a pas ? C’est à cause de…

BdM : Vous venez de dire quelque chose, vous dites : Est-ce que l’être humain ne se cherche pas des problèmes ? L’être humain, c’est un être à problèmes. L’être humain, c’est un être à problèmes ! Trouvez-moi un Homme sur la Terre qui n’a pas de problèmes, qui ne se crée pas de problèmes ? Pourquoi l’Homme se crée des problèmes ? Parce qu’il est fait d’une nature mentale qui se pose des questions au lieu d’être fait d’une nature mentale qui reçoit des réponses.

C’est ça, s’il était d’une nature mentale qui reçoit des réponses, il n’aurait pas en lui de problèmes. Moi, si j’étais chirurgien dans un hôpital et que j’avais devant moi un problème d’euthanasie ou d’avortement, et que je recevais des réponses de mon Intelligence, j’agirais selon mon Intelligence. Mais l’Intelligence elle est totale, donc je ne créerais pas de remous, je serais très patient. Je m’arrangerais pour amener le problème de l’euthanasie à une solution, selon l’Intelligence créative.

Mais les Hommes ne sont pas encore dotés de ce rapport étroit entre eux-mêmes et leur Intelligence, donc ils sont toujours obligés de traiter avec des choses qui sont très simples, parce que du point de vue supramental, le phénomène de l’euthanasie ou le phénomène de l’avortement, c’est un phénomène qui est extrêmement simple à résoudre.

Mais du point de vue de la diffusion dans le public de la conscience supramentale ou de l’information supramentale, l’Intelligence ne permet pas que l’Homme reçoive de l’information d’ordre supramental, alors que lui n’est pas suffisamment supramental pour la recevoir. Donc l’Intelligence se refuse de parler ou d’établir une problématique ou une solution à la problématique vis-à-vis de ces grands problèmes de l’humanité.

RG : Si on passe à une autre point qui préoccupe présentement la science, c’est la transplantation de certains organes vitaux. On en est maintenant au cœur. Le cœur qu’on transplante, on sait que c’est là que paraît la vie, dans le fœtus, et bientôt on en sera peut-être à la transplantation au cerveau. Quelle est l’opinion de quelqu’un qui n’est pas pris, qui n’est pas “pogné” ?

BdM : L’opinion de quoi ? L’opinion de la transplantation ?

RG : L’opinion de Bernard de Montréal quant à l’action, les effets cosmiques de quelqu’un qui reçoit le cœur de quelqu’un d’autre. On sait que le chakra cardiaque pour les orientaux est le chakra central, on en a trois en dessous et trois au-dessus, que par l’amour on active le chakra cardiaque qui est un, alors que tous les autres marchent par des paires, que le chakra cardiaque est celui qui nous met en relation avec le cosmique…

Et on prend le cœur d’un être qui est sur le point de mourir d’un accident automobile, son cœur bat encore, on le prend, on le transplante dans le corps d’un autre qui avait le cœur malade. Ça, c’est peut-être moins perceptible pour la science actuelle, conventionnelle, que si je parlais plutôt d’une transplantation du cerveau, car à ce moment-là on va dire : Oui mais qui est-ce qui pense ?

Alors que dans le premier cas, on va dire : Quelle est l’âme qui est là ? Et dans le deuxième cas pour le cerveau, on dirait : Oui mais qui est-ce qui est l’autre ? Parce qu’on a transplanté le cerveau de l’un qui avait une tumeur cancéreuse au cerveau, on lui enlève et on lui met un cerveau d’un autre qui a été accidenté et qui a eu tous les organes de déchirés. Et là, à présent, c’est un nouveau problème ?

BdM : C’est un problème ? L’Homme se crée toujours des problèmes à cause de la façon dont il pense !

RG : Oui, mais ce n’est pas de la science-fiction…

BdM : Non, ce n’est pas de la science-fiction. Et d’abord, pourquoi les scientistes ont tellement de difficultés avec le cardiaque, avec la transplantation cardiaque ? Parce que le cardiaque c’est un chakra comme vous le dites, donc c’est un centre d’énergie. Et ce centre d’énergie, il est vitalisé par certaines forces. Mais si l’Homme, le scientiste change ce cœur pour un autre, à ce moment-là, il y aura une relation d’énergie entre ce chakra et les forces, parce que l’organisme matériel, ce qui est matériel, ce qui est physique pour l’être humain, fait toujours partie du plan de vie de cet être-là.

Si vous prenez un rein d’une personne, d’un étranger ou le cœur d’une personne, vous continuez toujours le plan de vie. C’est déjà su que cette personne-là aura dans quelques années, une transplantation. Donc nous, nous avons la tendance à rationaliser la transplantation, mais à dire : “Bon, ben, si vous prenez le cœur d’un autre, ça ne marche plus ou si vous prenez le cerveau d’un autre, ça ne marche plus”. Et ce n’est pas le cas !

Le physique de l’Homme, le physique de l’Homme est interchangeable. D’ailleurs l’Homme verra dans les générations qui viennent, des activités scientifiques absolument extraordinaires… Absolument extraordinaires ! Mais nous mettons tellement d’importance dans le matériel, dont nous ne connaissons pas les lois de la vie, que nous sommes incapables de décider philosophiquement si nous sommes capables de retrancher l’Homme dans la vie matérielle, pour le laisser continuer sur les plans subtils.

Notre problème, ce n’est pas l’euthanasie qui est le problème, ce n’est pas l’avortement qui est le problème, c’est notre aptitude phychologique vis-à-vis les lois de la vie. Nous nous prenons tellement au sérieux dans la nature du corps humain, dans la nature de la vie physique, que nous perdons complètement la notion de la vie qui est à l’extérieur de ce corps-là, et qui réellement manipule le corps physique.

Prenez le cas de cette dame, Thérèse Neumann. Elle était pendant des années, cette femme, allongée sur un lit et elle ne mangeait jamais, elle buvait un peu d’eau, elle était maintenue par des forces derrière le rideau de l’espace-temps, derrière la matière. Alors ce cas, il existe pour tous les Hommes, mais nous perdons notion de ceci. Nous perdons notion que ce qui nous arrive dans le matériel, au niveau de la transplantation, au niveau de l’euthanasie, nous perdons notion que tout ceci fait partie de notre plan de vie…

mise à jour le 22/09/2024

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