Costa-Rica

Bernard de Montréal

Vidéo 32 – 27:44

“Le projet De Costa Rica c’est un projet que je muris depuis des années même avant que j’ai commencé dans le public. Pour moi le projet de Costa Rica c’est un test pour mesurer la volonté créative de l’homme par rapport et en fonction des principes de la conscience que j’ai donnés depuis plusieurs années.” BdM

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C’est évident que ce soir je veux pas parler de conscience. Le projet de Costa Rica, c’est un projet que je muris depuis des années, même avant que j’ai commencé dans le public. Pour moi, le projet de Costa Rica, c’est un test pour mesurer la volonté créative de l’homme, par rapport et en fonction des principes de la conscience, que j’ai donnés depuis plusieurs années. Le projet de Costa Rica c’est pour moi une lance, une rampe de lancement.

C’est une façon pour nous, les gens qui ont une certaine conscience, un certain savoir, de pouvoir mesurer jusqu’à quel point, sur le plan matériel, on est capable d’intégrer une énergie créative qui a été libérée, jusqu’à quel point on est capable de faire le lien entre le monde de la matière et le monde de l’esprit. Dans ce sens, le projet de Costa Rica c’est, dans le cadre de ma pensée, un moyen créatif embryonnaire, original de faire éclater ce que j’appelle la pauvreté. Il y a énormément de volets à l’évolution de la conscience, il y a énormément de volets à l’évolution de l’intelligence, il y a énormément de volets à la capacité de l’homme.

Pendant l’évolution, l’homme, le monde de la matière, a été régi par des forces qui unifiaient à la fois la passion, la concupiscence et aussi la bonne volonté. Les civilisations ont été basées sur l’éloignement du pouvoir des masses humaines, mais aussi sur l’utilisation du pouvoir à travers les masses humaines. Dans les idéologies modernes, dans le socialisme, dans le communisme international, on a rêvé, on a idéalisé le pouvoir du prolétariat, mais ça aussi ça a été un contresens, parce que ces formes d’idéologie n’appellent pas l’homme à l’œuvre dans la totalité de sa conscience.

C’est-à-dire que ces idéologies ne permettent pas que l’homme se manifeste dans le monde à partir de son esprit libre. Et les états composés, sur-composés, ont voulu prendre sur eux la responsabilité de donner au prolétariat international une valeur constructive, mais dans ce processus les hommes ont été obligés de se sévérer de leur réalité, ont été obligés de mettre de côté leur religion, ont été obligés de s’abstenir de certaines études livresques, ont été forcés de se séparer de leurs familles qui, dans beaucoup de cas, s’objectaient à l’intrusion paternaliste d’un système social, qui ne convient pas à l’esprit de l’homme. Et ce n’est que dernièrement, que certains pays ont commencé à regarder de plus près la nature de leur idéologie et l’histoire démontrera que ces mêmes pays seront amenés, avec le temps, à devoir respecter les droits de l’homme, comme nous avons essayé de le faire dans les pays soi-disant démocratiques, d’une façon plus ouverte, d’une façon plus réaliste.

Mais l’homme nouveau ne fait pas partie de l’involution sur le plan de l’esprit, il fait partie de l’involution sur le plan de la matière. Et comme il ne fait pas partie de l’involution sur le plan de l’esprit, il est obligé à court ou à long terme d’extrapoler de sa conscience créative, d’extrapoler de son moi, de plus en plus universel, les différents courants d’énergie créative qui se situent dans le fondement de l’homme, que cet homme soit chinois, qu’il soit américain, qu’il soit noir ou qu’il soit blanc ou d’autres races.

Et la nature de la conscience supramentale sur le globe, pour devenir véritablement une mesure d’elle-même, devra dans le temps, à court ou à long terme, faire vibrer sa propre lumière, rendre compte à la civilisation qu’il existe dans l’homme des facettes inachevées, mais grandissantes, permettant à l’homme finalement, au cours de l’évolution, de bénéficier de ce qu’il est, c’est-à-dire d’une lumière cachée, enrobée d’une couverture charnelle.

Le projet de Costa Rica, s’il fonctionne, il fonctionnera non pas parce que moi je veux qu’il fonctionne, parce qu’aujourd’hui je n’ai plus les forces que j’avais auparavant. Je n’ai plus l’intérêt que j’avais auparavant. Mais il fonctionnera parce que des hommes, des femmes, des jeunes, des êtres plus avancés en âge auront finalement réalisé que vient un moment dans la vie où, lorsque l’homme prend conscience ou lorsque l’homme s’éveille à sa réalité, vient ce moment dans la vie où il doit prendre sa place parmi les nations, parmi les peuples, et aussi parmi ceux qui détiennent le pouvoir. Autrement dit, il est donné à l’homme d’esprit de pouvoir aussi, sur le plan matériel, bénéficier d’une certaine façon de vivre, qui a longuement convenu à des races ou à des groupes ou à des sections d’humanité plus privilégiés par les lois karmiques, mais néanmoins responsables, au niveau de l’action de ces mêmes lois.

Le projet de Costa Rica, c’est un rempart, c’est un mouvement de départ, c’est un test pour l’homme. Ce n’est pas un test pour moi. Que nous fassions Costa Rica ou que nous ne fassions pas Costa Rica, ça ne change rien à ma vie. Mais que nous fassions Costa Rica, c’est une mesure de ce que l’homme, dans le temps, a ou aura pu comprendre de la nécessité, chez soi dans le monde, de bénéficier des choses que l’involution a créées, parce que l’homme est un être intelligent, mais que l’involution aussi à polluées, parce que l’homme, très souvent, passe à côté de son intelligence.

Le projet de Costa Rica, s’il fonctionne, me permettra de prendre conscience d’une certaine signalisation, c’est à dire d’un certain état de préparation ou de capacité, un état de capacité qui, suite à ce projet, nous permettra dans le temps de créer des conditions micro-sociales, où l’homme sensible pourra, en parallèle avec le monde involutif, ses structures, vivre, s’amuser, créer et jouir de la présence et de la permanence de son intelligence créative.

La raison pour laquelle j’ai choisi d’abord Costa Rica, avant de me lancer dans l’industrie, c’est parce que déjà l’homme a beaucoup besoin de pouvoir se reposer, déjà l’homme a beaucoup besoin de pouvoir se réunir avec d’autres hommes, dans une atmosphère, dans une ambiance qui convient à une mentalité qui n’est pas très vaste sur le globe.

Dans ma conscience, dans ma vision des choses, dans mon entendement des choses, mis de côté le temps, il n’y a pas de limitation à l’évolution, à l’intégration et à la manifestation de l’intelligence créative de l’homme conscient. L’homme conscient peut faire des choses absolument extraordinaires, mais il a besoin, pour les faire ces choses, d’être lui-même extraordinaire. Et pour être extraordinaire, sur un plan qui est extrêmement ordinaire, nous avons besoin d’avoir beaucoup d’esprit et, pour avoir beaucoup d’esprit, il nous faut avoir accès à notre propre intelligence, à notre propre sensibilité, à notre propre lumière, sans que celle-ci soit colorée, sans qu’elle soit divisionnaire et sans qu’elle nous empêche, nous les hommes, de finalement faire en sorte que la Terre, le sol, son sous-sol, puisse un jour nous appartenir d’une façon créative et d’une façon scientifique, dans le sens où l’esprit, s’appliquant à la matière, instruit l’homme dans les lois de la matière.

Je sais que le temps, mon temps public, doit tirer à sa fin. Je ne peux pas indéfiniment continuer à parler et à parler et à parler et à parler parce que je suis arrivé un point dans ma vie, où je dois me donner un peu de vivre, me donner un peu de vivre avec ma famille et me donner aussi le plaisir de travailler à l’intérieur d’une corporation, d’un complexe que nous avons créé, qui nous a permis de monter ceci afin de pouvoir développer des structures qui, dans le temps, nous permettront, nous osons l’espérer, à tous ou à presque tous de pouvoir travailler avec nous, dans une enceinte qui sera créative, plaisante et réellement gravitaire, dans ce sens que les hommes travailleront dans un même esprit, pour leur propre bénéfice personnel et pour le plaisir de tous.

Donc, viendra le temps où je voudrais me retirer de ce que j’ai fait pendant des années, pour m’appliquer de plus près à convertir une énergie créative dans des fonctions sociales, qui pourront nous plaire à tous, dans la mesure où nous serons prêts, prêts à les monter, à leur donner vie. Donc, c’est à l’homme conscient, c’est à l’esprit de l’homme de donner vie à sa réalité, c’est-à-dire à la manifestation de sa réalité sur le plan matériel.

La pauvreté, c’est de l’impuissance. Je suis fatigué de voir, dans le monde, les fils bien nés participer d’une façon royale à ce que la Terre peut leur offrir, je suis fatigué de voir les gens vivre le jet set, le plaisir, alors que des milliers de personnes sensibles, qui se cherchent, ne connaissent que la pauvreté ou des aspects plus ou moins glorieux de la petite richesse.

Donc, viendra le temps, dans l’évolution, où l’homme conscient aura mis fin à l’absence d’abondance sur le plan matériel. Et, dans ce temps, il aura compris suffisamment les lois de son propre psychisme pour finalement faire jaillir de lui cette puissance créative qui fait, de l’homme nouveau, un être total, un être qui est bien dans sa peau, mais non pas simplement bien dans son intériorité mais aussi bien dans le monde.

Nous sommes effectivement à un croissant, nous sommes à un point dans l’évolution, de ce que nous savons aujourd’hui, où nous devons, réellement pour nous-mêmes individuellement, par nous-mêmes individuellement, mesurer ce que nous pouvons faire de façon globale. C’est inouï ce que nous pouvons faire de façon globale. C’est inouï. C’est inouï dans ma vision des choses, c’est inouï dans mon entendement des choses, mais nous ne pouvons pas perdre, même si nous faisons partie d’une certaine collectivité, nous ne pouvons pas perdre notre individualité, nous ne pouvons même pas perdre notre droit de refus, parce que notre droit de refus fait partie de notre individualité.

Donc, il n’y a absolument rien dans le plan de Costa Rica, qui force qui que ce soit à contempler une ligne d’action qui puisse être, à court ou à long terme, utile pour lui-même. Mais, d’une façon collective, créative et à la fois individuelle, nous devons regarder cette opportunité, que nous avons créée, afin de pouvoir finalement sentir que des hommes, qui ont été à la recherche pendant des années, doivent maintenant découvrir. Et qu’est-ce que nous découvrons lorsque nous sommes conscients ? Nous découvrons le monde.

Un homme qui est conscient découvre le monde, pour le moment le monde matériel. Un homme qui est conscient, qui s’est déjà fixé dans son identité, n’est plus intéressé à se découvrir. Il s’est découvert, il s’est fixé, il s’est placé. Maintenant, il doit découvrir le monde, il doit travailler à la mort, il doit faire vibrer la forme dans le monde. Et c’est ça, que la conscience créative fera, d’une manière ou d’une autre, à plusieurs ou à moindres exemplaires.

Nous pouvons remarquer que tous les séminaires, tous les contacts avec les hommes ont été faits pendant des années, d’une façon ouverte, jamais de choix, excepté dans des conditions particulières, n’a été fait pour restreindre l’accès à ce que j’avais à dire, donc les gens étaient libres. Les gens sont venus parce que des gens étaient rendus à un point où ils avaient besoin de sentir, de percevoir, de reconnaître certaines choses qui faisaient partie de leur devenir.

Évidemment, ce n’est pas facile de vivre une science du mental, dont le but fondamental est de briser le lien entre les forces involutives, qui ont manipulé l’homme pendant des siècles, et l’amener finalement sur le terrain neuf de sa propre volonté intelligente. Donc, c’est naturel que l’homme, ait ou dans l’avenir, vive de profondes transformations face à une science, qui n’est plus fondée sur la mémoire de l’homme, mais issue de sa propre lumière.

Donc, si nous regardons Costa Rica, le projet de Costa Rica, que toute l’équipe a si bien monté, nous devons voir dans ce projet l’ébauche, non simplement d’une forme que nous pouvons aujourd’hui cristalliser, mais l’ébauche d’un devenir parce que, pour moi, lorsque Costa Rica sera rendu dans sa forme, s’il devient forme, je serai déjà en train de regarder autre chose.

Mais je ne donnerai jamais à personne, ni même aux gens les plus près de moi, telle que ma femme, l’opportunité de savoir si Costa Rica va se faire ou non. Personne, ni les gens dans la corporation, ni vous mes amis, ne seront dit de moi qu’il va se faire ou qu’il ne se fera pas. Je n’utiliserai jamais ma voyance pour prédisposer psychologiquement les gens que je connais, les gens que j’aime et les gens que je respecte profondément, à une forme de perception qui est la mienne et qui pourrait facilement, à cause de notre lien, les attoucher d’une certaine façon et leur forcer la main. Jamais, je ne forcerai la main à qui que ce soit, parce que je suis un homme libre et je respecte les libertés de l’homme.

A cause de ma situation, je peux faire des choses, je peux faciliter des choses, je peux trafiquer facilement avec des formes, mais ce n’est pas à moi de donner naissance à ma vision, c’est à vous. Ce n’est pas à moi de me présenter comme visionnaire, c’est simplement à moi de participer à une vision qui, quelque part dans le temps, quelque part dans la psyché de tous, est valable, dans ce sens que nous avons tous besoin de vivre, de nous reposer et de bénéficier de certains attraits qui seront expliquées par Donald Moses plus tard parce que, dans le fond nous sommes des hommes, dans le fond nous ne sommes pas tous privilégiés, mais dans le fond nous nous pouvons créer le privilège.

Donc, c’est à nous les hommes de nous créer le privilège, c’est à nous les hommes de nous créer notre propre privilège, si nous n’avons pas été, par la naissance et par les astres privilégié, et elle est là la différence entre l’homme de l’involution et l’homme de l’évolution. Il est là essentiellement mon message : “ce que les forces, les dieux ont empêché ou ont retiré de la conscience de l’homme, pour l’expérience de l’âme, chez l’homme conscient, chez l’homme nouveau, il ira chercher lui-même ce que par incarnation, ce que par mémoire, ce que par réincarnation, il ne pu goûter, parce que il y avait une partie de sa vie qui devait être testée, afin de voir jusqu’à quel point l’esprit pouvait se justifier dans la manifestation créative de mental egoïque, conscient au delà de la forme, qui fut celle de l’homme involutif, aveugle et ignorant”.

Donc, le privilège de la vie, l’homme nouveau n’attendra plus après lui, le privilège de la science, l’homme nouveau n’attendra plus après lui. L’homme nouveau créera les conditions sur le plan matériel pour faire vibrer en lui toutes les forces rayonnantes de sa conscience créative, et elle est là la différence entre l’homme ancien et l’homme nouveau. L’homme ancien est venu sur la Terre, il a vécu une vie dans l’aveuglette, il a vécu une vie dans l’aveuglette, autant sur le trône royal que dans les abîmes de la pauvreté. Les rois souffrent de leurs courtisans, les pauvres souffrent de leur impuissance.

L’homme conscient, l’homme nouveau, ne souffrira plus de rien parce qu’il aura finalement compris les lois de la conscience créative. Il aura compris que, finalement, l’intelligence ne peut pas se manifester dans sa totalité seulement à travers un homme, elle doit se manifester à travers plusieurs unités humaines. Et lorsque ces unités humaines auront finalement décoloré leur conscience, lorsque les hommes seront réellement à la mesure de leur esprit, lorsque les hommes seront réellement dans leur esprit, l’homme sera libre dans l’esprit et dans la matière.

[Applaudissements]

mise à jour le 22/09/2024

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